Kyung-II Yang

Un étoile explose à des années-lumières et de nombreux humains sont transformés. Jugés trop dangereux, ces mutants ou altered sont emprisonnés sur une île secrète, Area D. Ce tome 5 cette bonne série est consacré au combat entre Jin et Asura, capable de créer des illusions mortelles. Un tome très intéressant qui permet de mieux comprendre l'univers de ce manga.

Les auteurs d'Area D nous livrent un cinquième tome tout bonnement génial, tant d'un point de vue narratif que graphique. Le suspense est à son comble depuis que nous avons découvert que Rei, le frère de Jin, est à la tête du mystérieux Conseil des surhommes. Nous ignorons encore ce qui est réellement arrivé aux deux frères et qui est le responsable de l'incident de Renge. Autant dire que chaque nouvelle réponse amène une nouvelle question !



Dans ce cinquième tome, les auteurs ont trouvé un moyen original de nous ramener dans le passé afin de découvrir les épreuves traversées par Jin et son frère aîné. En effet, il choisissent de nous plonger dans les souvenirs sombres et douloureux de Jin. Comme en témoigne ces souvenirs ainsi que le duel opposant Jin à Asura et son terrible don psychique, ce tome a une dimension plus psychologique que les précédents. L'action est bien évidemment présente mais elle laisse plus de place aux sentiments comme la culpabilité, la souffrance, les regrets.



Une des choses que j'apprécie particulièrement dans cette série est que tous les personnages évoluent au fil des tomes. Les personnages secondaires, comme le docteur Soga, son assistante Mariko ou encore Isobe, sont tout aussi importants que les principaux, et prennent part de manière très active à l'histoire.



Je suis plus qu'impatiente de lire la suite. Peut-être assisterons-nous enfin aux retrouvailles des deux frères. De l'action et de l'émotion en perspective !

Ce chapitre est super ! J'adore le pouvoir de cet infirmière ! :)

Nous voyons l'enfance de Jin. Ce qui lui est arrivé à lui et son frère le jour de l'apparition de la lumière qui dura 12 jours.



Nous faisons également la rencontre de Agata Ango, un scientifique de 18 ans qui recueille les Altered pour faire des expériences sur eux. C'est également lui qui a créé l'île Area D.



** Attention spoiler **

Jin et Rei vont être sauvés et vont se retrouver dans un camp de réfugiés avec plein d'Altered. Là Rei semble amoureux d'une jeune fille. On va bien voir ce qu'il va se passer entre eux dans le prochain tome.

Un tome 5 qui sent encore bon la baston. Après avoir été confronté à un des trois chef de quartier de l'area D. Jin et ses amis vont devoir en affronter un deuxième, "la sorcières". Qui a un pouvoir des plus surprenant et très très fort. Dans ce tome ont en apprendra aussi beaucoup plus sur la vie de Jin et de son frère Rei juste après la catastrophe qui a conduit les altered a avoir leurs pouvoirs.

Après avoir vaincu Kidô, Jin et ses amis doivent cette fois-ci affronter Asura et son pouvoir de la tragédie grecque.



Après un tome 4 qui m'avait un peu déçue, ce tome 5 remonte un peu le niveau. Le début est consacré au combat contre Asura et son pouvoir si particulier, qui s'ouvre ensuite sur la visite d'un souvenir à part : celui du passé de Jin et son frère Rei. La technique du flash-back est loin d'être nouvelle, mais j'aime bien la manière dont elle est ici renouvelée pour ne pas simplement être ''posée là'' mais véritablement intégrée dans l'histoire et la servir.



C'est aussi l'occasion de découvrir le passé de Jin et Rei, qui ont ici droit à un traitement extrêmement classique et comme on en trouve dans tous les comics traitant des mutants. C'est classique mais efficace, et ce même si ce schéma ''mutants font peur -> ils sont enfermés/souffrent/subissent des choses très dures -> ils se vengent ensuite'' aurait tout de même pu être dépoussiéré un peu. Ceci dit, j'ai bien aimé le Guerrier Cuirassé Galder, lui et son groupe de super-héros sont en décalage avec l'histoire mais j'aime bien cette petite fantaisie.

Après avoir été plongée dans les souvenirs de Jin, Asura est complètement métamorphosée. Elle est même prête à se sacrifier pour que Jin puisse accomplir ce pour quoi il est venu sur l'île. C'est une grande douleur pour Jin d'être l'instrument de sa mort. Mais l'Area D est ainsi, elle impose sa loi, et peu sont à même de s'y opposer. Alors que Jin se remet à peine de la terrible épreuve psychique qu'il a traversé, ainsi que de son duel avec Asura, un nouveau combat s'annonce contre Doz, le chef du quartier Sud...



Le conseil des Surhommes est décidément machiavélique, manipulant constamment les Altered, telles de vulgaires marionnettes... Je suis plus qu'impatiente de voir Jin et ses amis mettre fin à leur domination barbare. Mais pour l'instant, j'ai du mal à voir comment ils vont bien pouvoir y parvenir car ils ne sont franchement pas en position de force.



Ce sixième tome est particulièrement riche en scènes d'action mais malgré tout, il n'est pas dénué d'émotion. Nous découvrons enfin ce qui a séparé les deux frères. Un évènement dramatique auquel nous assistons avec impuissance et nous laisse partagés par des émotions contraires. Après avoir involontairement replongé dans ses souvenirs d'enfance, Jin nous apparaît pour la première fois en larmes, profondément meurtri. Cette scène est très émouvante...



Un excellent tome.

Dans ce tome 6, nous terminons la chute libre dans les souvenirs de Jin Kazaragi. C'est le chaos qui déferle sur avalon (remember "Rising Stars", l'une des meilleures histoires de super-héros de tous les temps), et trahis par l'un des leurs les altered doivent se battre pour leur liberté voire leur survie. Et quand Rei perd l'amour de sa vie, symbole d'un espoir de cohabitation entre mutants et humains, il bascule du Côté Obscur de la Force en révélant à la face du monde son véritable pouvoir : reproduire à l'échelle humaine l'Incident Antarès !



Jin émerge du labyrinthe de sa mémoire en pleurs, mais son duel avec Asura doit trouver sa conclusion : sans haine, sans mépris, sans indifférence mais avec violence ! (on est dans le pathos à la "Hokuto no Ken", épique mais un peu basique…)

On n'a même pas le temps de souffler que Jin se bat avec Gil du Conseil des Surhommes pour protéger la dépouille d'Asura, et que Goz le chef du Quartier Sud vient directement défier Jin... C'est un duel de titan entre deux mutants dotés du pouvoir de muter quasi instantanément pour mieux s'adapter à leur environnement (ici dédié au combat !) : attention bastion dragonballesque d'anthologie !!!

- le combat entre Jin et Goz est si violent qu'il oblige les surveillants de l'île à intervenir (vainement, cela va sans dire ^^)

- la team Jin enquête dans le Quartier Sud, pour découvrir la sylphide Sol qui voit reposer sur ses frêles épaules la survie des réfugiés essayant d'échapper à leur bestialité, avant de partit en quête du professeur Gajiro Mori qui pourrait les aider à libérer à la fois leurs compagnons retenus en otages et Luna la soeur jumelle de Sol, indispensable pour soulager les balèzes de Goz…

- le Conseil des Surhommes commence sa révolution sur l'Area D, avec pour emblème le scorpion de l'Empire Mongaul de "Guin Saga", le cycle fantasy culte de Kaoru Kurimoto… (Tout un programme hein ^^)



Vite la suite !!!

Un bon blockbuster, tout en maîtrise, sans originalité dans le fond mais remarquable sur la forme.
Lien : http://www.bodoi.info/area-d..

En plein combat contre Asura, Jin copie son pouvoir de la ''tragédie grecque''. Les deux pouvoirs s'entrechoquent, et les personnages se retrouvent propulser dans les souvenirs de Jin, du temps où il était encore enfant.



Ce tome 6 continue donc d'explorer les souvenirs de Jin et son frère Rei, et je dois bien avouer que j'ai été déçue. Le flashback débuté dans le tome 5 était ultra-classique, et ce qu'on découvre dans ce tome 6 n'est guère plus inventif : Rei pète donc un plomb parce qu'un des altered les a trahi et que la fille dont il est amoureux est tuée sous ses yeux. C'est un peu trop cliché à mon goût, mais ce qui me gêne surtout, c'est la raison de la séparation entre les deux frères, que je trouve juste ridicule : Jin est tellement choqué par le massacre des mutants puis des humains sous ses yeux qu'il ne réagit pas lorsque son frère lui demande de fuir avec lui. Manifestement vexé, Rei n'insiste même pas et tourne les talons, et Jin se relève ensuite et ne le trouve plus. Sincèrement, j'ai trouvé cette explication totalement artificielle. Pourquoi est-ce que Rei n'insiste pas au moins une fois ? Je veux bien qu'il soit choqué par ce qu'il vient de vivre, mais qu'il tourne si facilement le dos à son frère adoré, je trouve vraiment ça trop facile et trop incohérent.. Une fois cette vision du passé achevé, le combat peut reprendre entre Jin et Asura, et comme pour le combat contre Kidô, on se doute que Asura n'est pas morte.



Mais pas le temps de respirer, l'un des sbires des Surhommes attaque, rapidement tué par Goz qui provoque le combat contre Jin. Un nouvel affrontement commence donc, et j'avoue que même si le rythme est toujours explosif, moi il commence à me lasser.



Area D me fait beaucoup penser à Dragon Ball Z, avec son enchainement de combats contre des guerriers toujours plus fort, et Jin qui apparaît comme le héro surpuissant à la Goku. Les autres personnages sont relayés au second plan, même si j'apprécie toujours autant Mariko et que j'ai hâte de découvrir comment elle va évoluer. De plus, la découverte du pouvoir de Rei laisse déjà présager de ses intentions : tel Magneto, il va sans doute vouloir transformer tous les humains en altered, et c'est Jin qui va héroïquement s'interposer/



Au final, j'ai l'impression que ce manga n'est que le condensé de nombreux comics, shonen et autres jeux vidéos. Ce n'est pas forcément mauvais, bien au contraire, mais ça reste très cliché et prévisible, ce qui est un peu dommage pour un seinen.

Un volume qui met son intrigue légèrement en suspend, mais qui confirme tout de même tout le bien que l'on pense de cette série depuis le début !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Pour libérer ses amis, Jin se retrouve forcé de tuer les trois chefs de la ville aux mains des Altered. Au cours de son duel contre Asura, celle-ci révèle le passé de notre héros à tous les protagonistes, mettant à jour les raisons qui l'ont éloigné de Rei. Quelles seront les conséquences de ces cruelles révélations ?



Pour Jin, pas le temps de souffler. C'est maintenant Goz qui se lance dans la bataille. Leur combat sera une violente démonstration de force pure et dure !

Nous connaissons enfin ce qui s'est passé avec le frère de Jin. Pourquoi il est devenu méchant.



Jin commence également à se battre contre Goz pendant que les autres essaient de trouver un moyen de faire sortir Satoru et Mika. C'est ainsi qu'ils feront la rencontre de Luna, une petite fille qui arrive à calmer l'agressivité des gens en jouant de la flûte.

Jin confie à ses amis la mission de libérer Satoru et Mika. Ils se rendent d'abord chez le professeur Môri sur les conseils de Soga. Celui-ci accepte de les aider, en échange d'un service plutôt particulier. Après s'être plié aux désirs du professeur, le groupe se rend finalement sur les lieux de l'éclipse. Parviendront-ils à sauver leurs camarades sans leurs pouvoirs ?!

La suite est toujours aussi bien faite. Ce manga est vraiment prenant. Dans ce tome nous faisons la connaissance d'un vieillard et de Sol la soeur jumelle de Luna.



De plus, nous apprenons la raison pour laquelle Kaito s'est fait enfermer sur l'île.



Très bon tome plein de rebondissement. On se demande aussi comment Jin va s'en sortir.

A peine commencé, déjà terminé... Il y a toujours un goût de trop peu avec Area D ! Une nouvelle fois, les auteurs parviennent à me rendre encore plus impatiente de connaître la suite que lorsque j'ai commencé ce nouveau tome. Cela prouve que l'intrigue est habilement construite et son développement, maîtrisé.



Les auteurs tiennent leurs promesses dans ce septième volume, tant du point de vue graphique que scénaristique. Le dessin est à l'image des précédents tomes : dynamique, élégant, sombre et sanglant. L'intrigue poursuit son chemin avec une grande efficacité.

De nouveaux personnages viennent enrichir l'histoire : le professeur Gajirô Môri, le mystérieux assassin Zéro et la jeune Sol. Malgré l'apparition de ces nouveaux visages, les auteurs ne délaissent pas pour autant les autres personnages et continuent même d'approfondir leur psychologie. Ainsi, nous découvrons quel évènement a conduit Kaito à se rendre sur l'île. Par la même occasion, nous comprenons la raison de son attachement à Mariko.



S'il fallait que je relève un point négatif (pour chercher la p'tite bête), je dirais que Jin est trop absent de ce tome. Son personnage étant très charismatique, l'intrigue perd un peu de densité en son absence.



Vivement le tome suivant afin de découvrir le dénouement du duel Jin/Goz ainsi que les révélations sur les sœurs Lune et Soleil.

Pendant que Jin affronte Goz, il charge ses amis d'aller sauver Satoru et Mika.



Plus ce manga avance et plus mon intérêt décroit, la faute à une avalanche de clichés et de hasards qui tombent rudement bien. Ainsi lorsque Enki explique avoir été détenue dans une ''éclipse'', le hasard fait bien les choses puisque le docteur connait justement le scientifique qui connait tout sur les éclipses, et il sait même où il se cache ! Véritable cliché sur pattes, le scientifique en question est un papy pervers qui aide trop facilement nos héros, et la petite troupe se met cette fois-ci en direction d'une fête foraine (avec entre autre un mélange de Magicien d'Oz et de traversée de la maison des gémeaux dans Saint Seiya).



Les combats s'enchainent, et comme par hasard encore une fois, c'est pile quand on apprend le destin de la sœur de Kaito qu'on croise aussi son assassin (assassin qui massacre ses collègues du conseil des Surhommes sans raison, et qui peut découper du métal dans une zone où il ne devrait pas avoir de pouvoirs d'ailleurs). Toujours par hasard, le voisin de cellule de Satoru est bien entend Sol, et c'est là que ça pose souci : le hasard fait tellement toujours bien les choses qu'on se doute très vite de qui est ce voisin, il n'y a aucun suspens. De même que les personnages sont très gravement blessés mais que ce n'est jamais grave au final.



Et que dire de cette grande déclaration comme quoi Jin serait l'espoir des altered... ?



Plus on avance, et plus je me dis que ce manga n'est tout simplement pas fait pour moi, parce que malgré son appellation de seinen, on est bel et bien dans un shonen à la Dragon Ball Z qui perd en intérêt. Ceci dit, pour le lecteur qui veut juste de l'action bien bourrine et qui est fan de comics, clairement c'est le top.

Ce tome 7 fait la part belle au professeur Gajirô Môri, un aficionado de jeux vidéos et de figurines érotiques qui va monnayer ses servies en séances de cosplays auxquelles vont devoir se plier Rio, Enki et Mariko… ^^

Le passé de certains personnages est révélé : Enki a été envoyé sur l’Area D bien qu’ayant arrêté elle-même le pyromane don lui imputait les crimes, et Kaito est à la recherche du mystérieux assassin de sa sœur, un mutant serial killer de mutants avec un Z tatoué sur la joue gauche (festival de références ou de clichés ? la question est posée !)

Les calculs du prof otaku (dont la véritable apparence est proche de celle d’un savant fou des Contes de la Crypte, ou d’un alien de "Mars Attacks !" car c’est selon en fait), les mènes dans les ruines d’un parc d’attraction : c’est donc tout naturellement que le combat aura lieu dans la maison hantée !

Tandis que Rio et Enki affrontent les Sœurs Klein dans un remake du "Magicien d’Oz" de L. Frank Baum, Kaito est impuissant à assoupir sa vengeance conter sa Némésis et se fait sauver la couenne par sa soupirante zombie… En fil rouge la mystérieuse préado qui déclare prendre Satory son aile dans leur tentative d’évasion et qui s’avère être en fait XXXX, et en conclusion, la poursuite du choc des titans plein de super cases super héroïque entre Jin et Goz (Goz expliquant à un Jin médusé qu’il incarnerait au sens propre l’espoir de toutes les mutants réunis)



Au final un tome tiré vers le bas par un festival de cases petites culottes… (Soupirs) Les n’auteurs n’ont jamais été hostiles au fanservice mais là trop c’est trop ! Et en plus on tombe sur quelques clichés et quelques incohérences des familles alors que jusque là ils avaient su les éviter (Z qui tuent sans aucune raison ses collègues du Conseil des Surhommes, Z qui découpent en un seul geste des poutres en acier avec de simples couteaux dans une zone d’annulation des super pouvoirs, etc). On espère que tout cela ne constitue qu’un faux pas…

Maintenant que Sol est en sécurité, Luna rejoint le lieu du combat entre Goz et Jin pour l'arrêter avant qu'un des deux ne soit blessé. Pendant ce temps, le conseil des Surhommes a profité du chaos pour prendre le contrôle de l'île.



Dans la droite ligne des derniers tomes, celui-ci enchaine donc avec la même action effrénée qui le caractérise depuis le début, mais je trouve que ces enchainements se font avec de moins en moins de fluidité. Si le tome 7 était très marqué par le hasard qui fait rudement bien les choses, le début du tome 8 s'abime lui dans le drama inutile. Ainsi lorsque Luna rejoint Jin et Goz pour stopper leur combat, elle pourrait se manifester de plein des manières différentes (appeler, crier, jouer de la flûte...) mais elle opte pour la manière la plus dramatique et la moins intelligente : elle s'interpose pile entre eux et est donc gravement blessée. Pour moi, c'est un vrai souci parce que c'est inutile, c'est cliché et ça rend très artificiel. Ni Jin ni Goz n'avait perdu le contrôle de lui-même, il aurait suffi qu'elle joue 10 secondes de la flute pour calmer tout ça, mais non, le mangaka préfère estropier encore un personnage afin de rajouter de la surenchère pseudo-dramatique.



Une fois ce combat totalement inutile (et sans beaucoup de conséquence) terminé, on apprend que le conseil des Surhommes a pris le contrôle de l'île, ce qu'on attendait depuis un paquet de tomes déjà. C'est l'occasion d'une mission éclair au sein de la caserne où Jin nous déballe ses éternels bons sentiments typiques d'un héro de shonen, et là encore j'avoue que ça me pose souci. Que le manga privilégie l'action constante, pourquoi pas, mais pour moi il y a un manque de liant entre toutes ces actions. Ça manque de naturel, et c'est une impression que je n'avais pas avec les premiers tomes.



En bref, de nouveaux supers combats nous attendent, même si on peut aisément deviner vers quoi on va (et c'est vraiment dommage parce que visuellement, le manga est toujours aussi beau).

Au risque de me répéter, ce nouveau tome d'Area D est tout simplement génial. L'auteur continue de nous plonger corps et âme dans son univers carcéral sombre, violent, mais où une lueur d'espoir reste toujours présente. Quelle maîtrise, tant au niveau du scénario que du graphisme ! Un pur régal.



Dans ce neuvième tome, la lueur d'espoir transparaît à travers le tandem formé par Jin et Kakuta, un surveillant de la prison. En combattant tous deux côte à côte, les deux hommes prouvent qu'une alliance entre humains et Altered est bel et possible, et que c'est peut-être même la solution pour mettre fin à la guerre qui fait rage entre les deux "espèces". Dans ma critique du tome 7, j'avais déploré l'absence de Jin. Ce tome marque son retour en force dans la bataille face au conseil des surhommes ! Jin est toujours aussi charismatique.



Encore beaucoup d'action dans ce volume. Jin s'approche progressivement de la tanière du maléfique Owl-eye tandis que ce dernier franchit les murs de la prison pour atteindre le quartier du personnel. Ceci nous permettra de découvrir une nouvelle facette de l'île dans le prochain tome.