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Critiques de Laura Esquivel (123)
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Chocolat amer

Me encanta. La historia es una delicia.

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Chocolat amer

Je ne suis pas amateur de cuisine, j'ai beaucoup de difficulté à apprécier le fantastique ou l'incohérent, j'ai du mal à me situer quand le récit fait des bons en arrière... comment aurais-je pu aimer ce roman ???
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Chocolat amer

Pour info, "Como agua para chocolate" a donné lieu à un film sorti en 92 qui est plutôt une bonne réussite.
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Chocolat amer

Le Mexique, sa cuisine, sa révolution, son imaginaire et surtout ses femmes et leur rapport à l’amour. Merveilleuses et tyranniques les femmes du Mexique sont à la fois attachantes et effrayantes.



Je dois la lecture de ce roman au blog « Enlivrezvous », pour le coup on ressort de ce livre « enlivré » d’amour et de cuisine.



J’ai bien aimé, d’où trois étoiles, mais le merveilleux d’Amérique latine n’a jamais été ma tasse de thé (ni mon verre de téquila, on boit beaucoup aussi dans ce livre).

Tita est un beau personnage très touchante dans sa volonté de vivre malgré la tyrannie de sa mère. Son histoire d’amour est superbe et totalement impossible évidemment puisque sa mère ne la destinait qu’à s’occuper d’elle jusqu’à sa mort.



Tout ou presque se passe dans la cuisine, chacun des douze chapitres portant le nom des douze mois de l’année commence par une recette de cuisine. Donc on voit Tita et les autres femmes éplucher, écraser, battre, tamiser, pétrir, rouler…. tous les gestes de la cuisine, dans des odeurs d’épices, de friture, de plats qui mijotent de chaud de frais ... dans une atmosphère où tous les sens sont en éveil. Une forte sensualité se dégage de tous les chapitres.



En arrière plan, la révolution mexicaine mais ce n’est pas très important, les troupes passent il faut les nourrir sinon les soldats se nourriront en volant tout ce qui se mange.



L’important c’est la tyrannie d’une mère qui fera le malheur de toutes ses filles, par respect de la tradition. Elle a pourtant été, dans sa jeunesse, victime de ces mêmes traditions. Ou c’est peut être parce qu’elle même a été malheureuse qu’elle s’acharne ainsi sur ses filles.



Le côté merveilleux apparaît comme une exagération épique : ils se consument d’amour : ils brûlent vraiment et avec eux toute la ferme.



Elle aime tellement le bébé de sa sœur qu’elle le nourrit au sein par amour elle aura une montée de lait.



Comme je l’ai dit au début, j’ai toujours du mal à accepter ce genre de merveilleux, mais dans ce roman là je trouve que ça passe assez bien.
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Chocolat amer

En ouvrant ce livre, vous connaitrez l'histoire de Tita, reléguée à la cuisine par sa mère. Sa seule faute ? Être la dernière des filles, et selon la coutume, elle doit rester chez sa mère toute sa vie afin de s'occuper d'elle.

Tita voit donc son amoureux épouser sa sœur, et c'est meurtrie qu'elle prépare les plats de leur mariage.

Ce qu'elle ne sait pas encore, c'est qu'elle possède un véritable don pour la cuisine.



Un roman où se mêlent merveilleux et histoire d'amour.

Une réussite.
Lien : http://leiloona.canalblog.co..
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Chocolat amer

- CHOCOLAT AMER-



Un nouveau coup de cœur pour ce mois de janvier, Un livre qui parle de sujet important avec une tendresse et une originalité. Le livre se sépare en 12 mois avec chacune une recette même si dans chaque chapitre le temps est différend. Le personnage de Tita m'a touchée le cœur et sa relations avec sa famille montre a qu'elle points a les toxique même avec Pedro sa relations était toxique. Mais même si on comprends les sujet grave, cela ne choque pas car la justesse de ses mots avec les recette de cuisine permet d'adoucir. Je vais vous faire un résumée :



Tita vit avec ses deux sœur et sa mère dans ranch pendant la période de la révolution mexicaine. Tita est la plus jeune et son devoir est de s’occuper de sa mère jusqu’à qu'elle meurt. Mais Tita est jeune et tombe amoureuse d'un certain Pedro qui décida de demander sa main mais la mère de Tita refusa et offre la main de son ainée et Pedro accepta de épouser la sœur de Tita..



Je vous conseille ce livre déjà pour son contexte historique et pour découvrir la lecture de l'amérique latine.



Carlaines
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Chocolat amer

Quelle belle découverte !!



Avant toute chose, il me faut dire que ça n'est, de prime abord, par le genre de lecture vers laquelle je vais me tourner. Alors, je remercie vivement la librairie La Géosphère de Montpellier, de proposer des paquets surprises, avec juste quelques mots pour donner envie de découvrir des livres, sans savoir lesquels exactement. C'est grâce à ça que j'ai pu lire celui-ci.



Dans ce roman, Laura Esquivel mêle brillamment la cuisine à une histoire d'amour dans le Mexique du début du siècle dernier, avec les joies et les tragédies de la tradition.



J'ai trouvé cette lecture pétillante ! Certes, comme toute histoire d'amour, rien n'est facile, et c'est même parfois, très dur et triste, mais la joie de vivre est toujours présente. L'amour inconditionnel est toujours présent. J'ai adoré la construction du livre, très originale, basé sur des recettes de cuisine. Les personnages, notamment Tita, sont véritablement attachants, tous et toutes à leurs manières.

Ce livre est vraiment une très belle surprise littéraire de cette année ! Je retiens, après cette lecture, qu'il me faut plus souvent sortir de mes genres littéraires favoris.



À vous de vous laisser tenter par de bonnes recettes !
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Chocolat amer

Etrange lecture. Je ne sais quoi en penser.

J’ai tout d’abord pensé à Victoire de Maryse Condé, puis La maison aux esprits d’Allende avant d’avoir un sentiment de Barbara Cartland (volontaire ?).



La lecture est rapide, très rapide. Parfois un sentiment de manque concernant la révolution mexicaine, en arrière fond lointain, jamais réellement développé.



La fin semblait un peu expédiée aussi (et là je me sentais chez Roald Dahl).



Un mélange de relation amoureuse, de réalisme magique, de cuisine, de révolution…



A vrai dire je ne suis pas capable de dire si j’ai aimé ou non, toujours est-il que le livre m’a marqué par sa construction (est-ce raté ? Est-ce volontairement étrange et presque vide ?).



Est-ce un roman ? Une longue nouvelle ?



Toujours est-il que je suis content de l’avoir lu et que je reste intrigué !



Donc pour mettre une note…
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Chocolat amer

Mexique, début du XXème siècle. Tita découvre avec effarement qu'étant la plus jeune des filles elle ne pourra jamais se marier car elle devra s'occuper de sa vieille maman. Sacrifiée sur l'autel d'une coutume immuable. Mais voilà, Tita est amoureuse de Pedro qui ressent un amour immense et impérissable pour elle. Hélas, parfois les compromis… car Mamá Elena veille sur sa maisonnée en parfaite mégère, d'une poigne de fer et sans coeur. Et Pedro est un idiot, car il accepte un arrangement stupide.



Cuisine, amour, peines de coeur et joie de vivre, voilà de quoi ce roman nous parle, avec un soupçon de magie. J'ai adoré l'idée !



Douze chapitres, douze mois de l'année mais pas forcément toujours la même année, avec une recette à chaque fois. Par moments il émane de ces pages une sensualité torride, où les sens se voient exacerbés par le talent culinaire, la préparation de mets succulents et élaborés éveillant des désirs refoulés. Car Tita met tellement d'elle-même dans ses plats, qu'ils semblent posséder ses gènes, près à contaminer ses convives.



Tout le long de ma lecture j'ai eu la chanson du film Peau d'âne en tête, Recette pour un cake d'amour.

J'ai adoré l'histoire de Tita, en qui j'ai vu un mélange de Cendrillon, Blanche-Neige et Peau d'âne. Elle est toutes ces femmes à la fois et en même temps le vilain petit canard… avec un soupçon de frivolité sous-jacent, de la bonne humeur et surtout l'amour de la vie et de la bonne chère. Il y a dans ce roman un mélange de la féerie de l'enfance, un côté Vatel tant l'art culinaire est essentiel et passionnément fêté, le tout saupoudré d'un zeste de fantastique. D'ailleurs la fin est incroyable.
Lien : https://mechantdobby.over-bl..
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Chocolat amer

Bonjour, moi c’est Maelys. Je suis en terminale générale et j’ai dû lire "como agua para chocolate" pour la spé llce espagnol et franchement j’ai décidé de le lire également en français. C’est un livre qui accroche rapidement, je suis pas une grande lectrice et franchement les personnages sont attachants malgré la tournure de l’histoire. Enfin voilà je vous souhaites une bonne lecture. (Courage aux futurs bacheliers de Llce espagnol)
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Chocolat amer

Au vue des critiques, je suis visiblement passée à côté de Chocolat amer de Laura Esquivel. Peut-être est-ce en partie dû au fait que j'ai lu ce roman en version originale. Mon Espagnol étant un peu rouillé, ma lecture a été moins fluide que d'ordinaire et je n'ai peut-être pas bien saisi le sens de certains passages.



L'écriture, sans être désagréable à lire, est trop distante, trop clinique, comme si je lisais uniquement... un livre de cuisine. Je n'ai absolument pas ressenti la passion entre Tita et Pedro, pourtant l'objet du livre. J'ai plutôt ressenti de la résignation, voire de la lâcheté, face à leur situation imposée.



Chocolat amer, ce n'est pas seulement l'histoire d'amour entre Tita et Pedro mais c'est l'histoire de nombreux amours empêchés ou non partagés. C'est déprimant.



Par ailleurs, je n'ai pas aimé le sort réservé à Gertrudis. J'ai compris l'idée, la concrétisation de cet amour impossible entre Tita et Pedro. Mais, c'est glauque et sans finesse. Quant à ce qu'il arrive à Pedro dans les dernières pages du livre, juste envie de dire "tout ça pour ça"...



Pour finir sur une pointe positive, l'originalité de la trame est intéressante et ce roman illustre bien l'absurdité de certaines traditions.



Désolée pour les nombreux lecteurs qui ont apprécié ce Chocolat amer. Avec moi, la recette n'a pas fonctionné.

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Chocolat amer

Joli roman qui se lit comme un conte.

D. Royer





C'est le récit haut en couleur d'une chronique familiale mexicaine. Avec beaucoup d'humour, le fantastique fait pleinement son entrée dans la cuisine .

Marie Van Der Vynckt
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Chocolat amer

belle lecture amusante
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Chocolat amer

Laura Esquivel est une auteure de nationalité Mexicaine, née dans les années 50. Elle n'a aucun lien avec la cuisine, elle écrit juste ses livres en cherchant des chemins originaux.

L'histoire se passe au Mexique, au début du siècle , pendant la tempête révolutionnaire. Dans une ferme, une jeune fille prénommée Tita vit avec sa mère et ses deux autres sœurs. Celle-ci est amoureuse de Pedro mais elle doit renoncer à son amour pour lui car elle est la cadette de la famille, et dans ces temps-là, au Mexique, la cadette avait le devoir de s'occuper de sa mère jusqu'à ses derniers jours. Mais elle va désobéir et grâce à ses recettes et à son don magique de pouvoir faire passer ses émotions dans la cuisine, elle va vivre son histoire avec Pedro en cachette.

J'ai surtout aimé le début de ce livre car la fin il n’y a pas de rebondissement. Le fait que l'auteure ait mis au début de tous les chapitres une recette pour chaque mois de l'année m'a aussi semblé original. Enfin il y a aussi des temps historiques dont la période Révolutionnaire au Mexique et la condition de la femme.





Isabelle Laur
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Chocolat amer

Un très joli roman. Une saga familiale.



L’auteur mêle littérature et recette de cuisine, tout cela sur un fond d’amour, de tradition, (Tita, Pedro,

Ros aura,)



La principale héroïne Titan possède d’étranges talents culinaires, ce dont lui a été donné par la gentille Nacha, la cuisinière qui l’a élevée : ses cailles aux pétales de roses ont un effet aphrodisiaque, des gâteaux aux pouvoirs destructeurs.



Bien sûr, ne pas oublier la terrible Mama Elena fait régner «la tradition »…..



Ce roman est original, puisqu’il comprend 12 chapitres, soit 12 mois et 1 recette pour chaque mois. (un jour prochain je me lancerais peut être à faire une de ces recettes).



Pour conclure c’est un roman agréable, chocolaté.

Eliane Godinho









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Vif comme le désir

Lluvia plonge dans le passé de sa famille, dans l’histoire de ses parents, dans sa propre vie finalement. Son père, Jubilo, est un génie du télégraphe, capable de percevoir les pensées et les sentiments de ceux qui l’entourent, ce qui lui permet de satisfaire leur désirs les plus secrets, ceux qu’eux-mêmes de connaissent pas. Sa mère, Luca, a renoncé à son confort bourgeois pour vivre avec lui. Difficultés financières et isolement social disparaissent pendant longtemps dans la douceur des caresses et dans l’osmose de leurs cœurs. Et pourtant, Lluvia les a toujours connus faisant vie à part. Aujourd’hui que le corps de son père est tourmenté par la maladie et qu’il ne peut plus parler, elle cherche à comprendre où s’est évaporé cet amour…



On se souvient (ou non) du début de Chocolat amer : Tita naissait dans la cuisine familiale, au milieu des pleurs d’oignon. Julio naît lui dans les rires. Et pourtant, son destin n’en sera que plus tragique, semé cependant de merveilleuses embûches et de précieuses rencontres. Laura Esquivel mêle encore une fois la douceur des larmes à l’acidité du sourire, la tragédie sensuelle à la fable sensible. Mais peut-être parce que j’en attendais trop, je n’ai pu m’empêcher d’être déçue… Ou alors, l’effet de nouveauté passant, j’ai été moins réceptive à sa plume somme toute très agréable.



Quoiqu’il en soit, l’auteure nous livre ici une ode à l’amour et un bel hommage à son père.
Lien : http://auxlivresdemesruches...
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Chocolat amer

Un régal ce livre ! A la fois roman-feuilleton et livre culinaire. Un roman très agréable à lire, et je dois dire que je n’ai pu m’en détacher facilement. Je ne dis pas que je l’ai lu d’une traite mais quasiment, tellement on a envie de tourner les pages pour connaître l’histoire en entier. L’auteur Mexicaine a su être très originale en mêlant à l’histoire les recettes de cuisine. Chaque chapitre porte le nom d’un mois, et le nom d’une recette, vient ensuite les ingrédients de la recette puis commence l’histoire du chapitre en mêlant directement à l’histoire, la manière de cuisiner le plat en question. Vraiment original ! De plus l’histoire évoque de nombreux rebondissements, et nous ne sommes jamais au bout de nos surprises. Ce qui est normal me direz-vous, entre une mère tel un dragon en furie et un jeune couple qui s’aime éperdument sans pouvoir vivre leur amour. Les recettes apportent leurs charmes en plus de cette histoire d’amour, elles apportent quelques notes parfumées, quelques saveurs exotiques et un brin de magie. Et puis l’époque est intéressante, n’oublions pas que nous sommes en pleine Révolution Mexicaine et qu’en plus des us et coutumes de l’époque, les conditions de la femme sont difficiles. Que vous dire de plus si ce n’est que j’ai beaucoup aimé cette lecture….. un livre que j’ai savouré au fil des pages ;-)




Lien : http://1erchapitre.over-blog..
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Chocolat amer

Je n'ai pas trop aimé le livre, les recettes ajoutées n'apportent rien de plus à l'histoire et le découpage du livre par mois, sans que cela ai un rapport avec l'histoire n'aide pas. J'ai eu l'impression de lire un sous Isabelle Allende.

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Chocolat amer

Moment d’évasion garantit avec ce récit bourré d’humour et de magie !



La construction de cette histoire, au sein duquel s’entremêlent des recettes de cuisine, peut paraître déroutante à certains moments mais ça a complètement fonctionné avec moi. J’ai dévoré ce roman à la fois drôle, piquant et finalement si poétique dans son absurdité.

On joue avec nous : est-ce réel; un souvenir déformé; ou juste un rêve ? Finalement peu importe, je me suis complètement laissée porter…



Certaines scènes sont à mourir de rire, quand d’autres sont d’une grande beauté.

J’ai d'ailleurs souvent souri devant certaines informations lâchées de manière totalement inopinée et rendant la situation plutôt drôle, même lorsqu’elle ne l’était pas.



Finalement la seule chose qui m'a dérangée est qu'il y a 12 chapitres, 1 pour chaque mois de l'année, sans que cela ait de rapport avec l'action du récit (qui se déroule sur plusieurs années).



Je recommande donc ce roman à tous ceux de la team second degrés qui ont déjà ri devant une Telenovelas.
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Vif comme le désir

J'ai profité de cet été pour lire en espagnol. Je me suis tournée évidemment vers Laura Esquivel, dont j'adore la plume et j'ai lu "Tan veloz como el deseo". J'ai découvert qu'il a été traduit en français sous le titre "Vif comme le désir".

Dans ce roman, on découvre la vie de Jubilo, qui est né avec le don de pouvoir communiquer avec les éléments, la nature. Mais à la fin de sa vie, il se trouve malade, sans avoir la possibilité de communiquer. Lluvia, sa fille, fait tout pour lui faciliter la vie.

Par le biais des flashbacks on apprend plus sur la vie de Jubilo, sur l'évolution des moyens de communication, l'évocation du télégraphe, moyen de communication éphémère qui représenta le métier de Jubilo. Mais le grand mystère est la raison qui explique son éloignement avec Lucha, l'amour de sa vie avec qui il avait une relation fusionnelle et charnelle.

C'est une très belle histoire avec sa dose de réalisme magique, des secrets de famille, d'un Mexique qui s'est métamorphosé au cours du XXe siècle, et des croyances et les cultures précolombiennes. Finalement des thèmes auxquels l'autrice nous a déjà habitués et desquels on ne se fatigue jamais.



Cependant, j'avoue que ce roman n'a pas été un coup de cœur. J'ai trouvé un peu brouillonne l'exploitation des thèmes traités. J'ai bien aimé la première partie, sur le don de Jubilo. Les allers-retours dans le passé d'un homme en fin de vie m'ont fait penser à "La mort d'Artemio Cruz" de Carlos Fuentes. La seconde partie, consacrée au fameux secret de famille, plus dramatique, m'a moins enchantée, mais uniquement parce que ce n'est pas ma tasse de thé.



J'ai quand même apprécié ma lecture et j'ai même été troublée d'apprendre le fameux secret de famille. Un grand bravo à la manière de raconter l'histoire où tout change de point de vue selon le narrateur. J'espère que la version française a pu faire justice à son style et le choix des noms des personnages principaux.
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