Laura Lee Guhrke

Un joli tome pour conclure cette série. J'ai beaucoup aimé la relation piquante des deux héros et surtout leurs débats autour de l'écriture. On sent comme une pointe de vécu de la part de l'auteur dans cette angoisse de la page blanche. Par contre, j'ai touvé quelques longueurs, arrivée à mi-tome...

Une histoire adorable, les deux héros sont pleins de failles et de maladresses, ce qui le srend très attendrissants, tels deux enfans. Ils se cherchent, se taquinent, se chamaillent et la sauce prend très bien. L'écriture est piquante et énergique. Un très bon tome.

Résumé alléchant mais histoire un peu fade par rapport à ce qui était annoncé. La faute à une héroïne trop naïve et un brin agaçante. Sa prise de conscience sur la fin et le caractère ambigu du héros relève un peu le niveau mais ce ne sera pas une lecture inoubliable.

Voici le quatrième et dernier livre de la série Les héritières américaines (du moins à l'heure actuelle, puisqu'il reste un célibataire dans le cercle des cinq amis qui marquent le lien entre les différents tomes…) et malheureusement, c'est celui qui m'a le moins plu car l'intrigue sonne un peu faux à mon avis.



En effet, l'auteur ose se lancer dans une histoire moins classique, qui va même à l'encontre des codes habituels avec un noble qui décide d'épouser une danseuse de cabaret (d'habitude, ce sont plutôt des gouvernantes ou au moins des jeunes filles à la réputation irréprochable). L'idée est bonne et pour une fois les tergiversations des deux amoureux semblent justifiées mais le dénouement m'a paru très artificiel et peu touchant.



Je conclue donc cette série sur une légère déception, mais en ayant découvert la jolie plume d'un auteur que je lirai à nouveau avec plaisir.
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J'ai un peu moins apprécié ce troisième tome des Héritières américaines car la mise en place de l'intrigue m'a paru très longue et un peu répétitive.



Le style de l'auteur reste cependant très agréable et, une fois passée la première partie, l'histoire gagne en intérêt même si elle suit le même schéma que les deux précédents volumes : deux personnes parties du mauvais pied sont "forcées" de passer du temps ensemble jusqu'à apprendre à s'aimer. Mais après tout il s'agit d'une trame très classique dans les romances.



Malgré un début difficile, j'ai passé un bon moment avec Raison et mariage et je vais tout de suite commencer le quatrième tome des Héritières américaines, La gloire de Miss Valentine (en espérant quand même que l'histoire sera moins longue à démarrer).
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Ce deuxième tome m'a beaucoup plu, peut-être même un peu plus que le premier, La perle rare, car le point de départ du roman m'a paru un peu moins "artificiel".



L'intrigue reste très classique mais l'écriture de Laura Lee Guhrke est toujours aussi agréable. Les héros, Edie et Stuart, tous deux blessés par la vie, sont touchants et leur lent rapprochement est joliment raconté avec une note de légèreté qui fait de ce roman une lecture très plaisante.



Toutefois, l'épilogue m'a un peu gênée : cela me met mal à l'aise qu'une vengeance (bien méritée au demeurant) qui se solde par un suicide soit considérée comme un heureux dénouement.



Malgré ce bémol, j'ai passé un bon moment avec Une épouse à séduire ; et comme il serait dommage de s'arrêter en si bon chemin, je vais poursuivre sans délai la série des Héritières américaines avec Raison et mariage, dont le héros un ami de Stuart fait une brève apparition dans Une épouse à séduire.
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J'ai bien aimé cette romance historique qui reprend les éléments habituels du genre tout en y insufflant une touche de modernité, peut-être grâce à la situation de départ ou à la personnalité de ses héros.



Le style de Laura Lee Guhrke est agréable et relevé d'une pointe d'humour bienvenue. J'ai aussi trouvé les personnages de Belinda et Nicholas sympathiques et attachants, leur couple fonctionnant plutôt bien.



Il manque peut-être "le petit truc" qui ferait que l'histoire se détacherait vraiment du lot, mais La perle rare m'a permis de passer un très bon moment et je vais donc enchaîner sans attendre avec le deuxième tome Des héritières américaines : Une épouse à séduire, qui met en avant un personnage rapidement croisé ici, Edie.
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Et la saga continue, après la couture voici la pâtisserie…

Et toujours les amies se retrouvent le dimanche, à la pension, autour d'une tasse de thé et d'une assiette de petits gâteaux.

Et là, la frontière des classes disparaît, et ne reste qu'une belle et profonde amitié.

Une écriture riche et fluide, des descriptions de gourmandises à faire saliver des pierres, des dialogues plein d'humour et toujours cette touche d'érotisme qui donne la couleur rouge au roman.



J'aime beaucoup, une auteure à suivre définitivement et donc, je me plonge directement dans le dernier opus de la série ;-)

Chose promise… Bon, c'est facile, j'avais acheté toute la série des « Jeunes filles en fleurs » même si je ne connaissais pas encore l'auteure, mon côté joueur ;-)

Et je ne suis pas déçue, on retrouve les mêmes personnages, j'adore ça, et on en découvre de nouveaux ainsi que de nouvelles règles de « savoir-vivre » de l'époque victorienne.

Après une demoiselle un peu austère qui rêve d'être publiée, voici son amie de pension pour « vieilles filles » pas si vieilles que cela, couturière de son état et dont la vie va être bouleversée par un héritage inattendu.



Une plume vie, truculente, moderne qui donne un coup de peps à mes fameux livres rouges que j'aime toujours autant lire et surtout découvrir. Pas besoin d'attendre, le suivant est déjà sur l'accoudoir de mon fauteuil préféré ;-)

Fin du XIXème siècle, l'aristocratie s'enlise dans ses propres dettes et n'a pas encore compris que la puissance et surtout l'argent sont du côté des affaires ; affaires qu'un noble ne peut toucher sous peine d'être excommunié par ses pairs.

Fin du XIXème siècle, les femmes commencent à s'émanciper mais comment reconnaître alors la vraie dame des filles entretenues ; comment mettre ensemble, pour le meilleur et pour le pire, bienséance et vie de femme.

Fin du XIXème siècle, mariage de raison, pour redresser un domaine en ruine, mariage d'affaire pour agrandir son pouvoir, et pourquoi pas un mariage d'amour quand on a la chance d'avoir pu se connaître réellement.

Une fin de siècle pleine de bouleversements dans une Angleterre victorienne encore si puritaine, si attachée à ses règles de savoir-vivre parfois si ridicules, et où deux personnes issues de deux mondes différents doivent se battre contre la société entière pour enfin pouvoir s'aimer librement.



Une écriture vive, beaucoup d'humour, une bonne connaissance du « savoir-vivre » déjà si drôle par lui-même, un brin d'érotisme exotique, des personnages bien cernés et attachants, voilà une auteure de livres rouges que je vais suivre ;-)

D’ordinaire, je n’aime pas trop les histoires de retrouvailles entre des amants qui se sont quittés en se déchirant. Ce qui est le cas ici puisque Lola a laissé en vrac (dans tous les sens du terme) Denys Somerton six ans auparavant alors qu’il tenait à l’épouser. Car où a-t-on vu que des comtes épousaient des danseuses ? C’était ce que c’était dit Lola qui avait préféré rompre plutôt que d’entraîner son jeune amant dans une union malheureuse. Et la voilà de retour à Londres, associée à parts égales avec Denys, prête à diriger elle aussi le théâtre. Et, pour une fois, j’ai bien aimé l’histoire de ces deux amants qui voient rejaillir leurs flammes dès qu’ils se regardent. Il y a une certaine élégance chez les deux personnages : chez Denys qui, d’abord en colère de devoir travailler avec celle qui lui a brisé le cœur, lui pardonne quand il entend les raisons de leur rupture et qui s’efforce ensuite de la traiter en amie et égale ; chez Lola ensuite qui, malgré l’amour qu’elle éprouve encore pour lui, est prête à se sacrifier de nouveau pour lui éviter d’être rejeté par sa famille et son milieu social. Les différences sociales sont d’ailleurs bien décrites dans ce roman, notamment quand Lola se rend, sans le savoir, à une exposition florale où elle se retrouve nez à nez avec la famille et les amis de Denys, c’est une scène à la fois cruelle et tellement vraie qu’on se prend à ressentir de la compassion pour notre belle héroïne. A part la fin un peu guimauve, le roman est plaisant à lire.

Lady Belinda Featherstone s’est spécialisée dans le business des mariages. Elle aide de riches Américaines à trouver chaussures à leurs pieds dans l’aristocratie anglaise. Mais comme Belinda a été la victime d’un coureur de dot, elle est attentive au bien-être de ses protégées et ne veut pas les marier à de vulgaires profiteurs.

Lorsque Lord Trubridge se présente chez elle afin qu’elle lui trouve une jeune et riche héritière, Belinda sort les griffes. Car Lord Trubridge lui rappelle son ex-mari, un débauché notoire qui ne veut qu’un mariage d’argent.

Mais rapidement, Belinda se rend compte que Trubridge ne se limite pas à ce qu’il veut bien montrer…



Premier tome d’une trilogie, ce roman a été une lecture agréable mais qui ne m’a pas emportée comme je l’espérais.



Pourtant j’aime l’époque, le cadre, le passé difficile des personnages, … mais il m’a manqué quelque chose.



Lord Trubridge, fils unique, a hérité d’un père particulièrement machiavélique qui fait tout pour le façonner à son image. Il a du coup pris le parti de se rebeller et de tout faire pour lui déplaire.

Belinda, de son côté, a vécu un mariage décevant avec un homme qui n’attendait d’elle que son héritage. Devenue une veuve respectable, elle se méfie des intentions cachées des hommes.

Leur romance fonctionne même si je n’ai pas été complètement convaincue.



Difficile de mettre le doigt sur ce qui n’a pas marché pour moi. Peut-être ce petit plus inexplicable…

Chronique de Diana



Voilà une auteure de romance historique que je découvre et j’ai vraiment pris du plaisir avec la romance qu’elle nous propose.



Prudence fait partie des petites mains, elle est couturière et travaille pour une grande maison de couture. Invisible parmi le grand de ce monde, elle se sent d’autant plus complexée en étant pas dans la norme des canons de beauté de l’époque.



Son cœur s’emballe lorsqu’elle rencontre le duc de St, Cyres. Homme inaccessible pour elle étant la fille illégitime d’un riche expatrié. Ces deux-là n’auraient jamais pu se rencontrer si à la faveur d’un héritage, elle n’était pas devenue immensément riche.







Car le nerf de la guerre c’est l’argent, lui a un titre mais pas de richesse. Il part en chasse et tente de la dupé avec une supercherie éhontée.



Tel est pris qui croyait prendre et on découvre en tournant les pages pourquoi Rhys parait si superficielle et quelles sont les circonstances de sa personnalité cynique.







Pour une fois, on inverse les rôles dans cette romance. C’est Prudence qui mène le jeu et qui est un fin stratège (du moins dans le jeu de la séduction). Rhys nous devient plus humain et moins axé sur son train de vie. On apprend à la découvrir en même temps qu’il se découvre une âme de romantique et c’est très agréable.







C’est une romance légère, mais rythmée. On ne s’ennuie pas et prend plaisir à tourner les pages. Le style de l’auteur est parfait pour l’époque dans laquelle évolue ses personnages. Elle n’en fait pas trop et elle dose bien l’avancement de la romance entre ses héros.



Je n’hésiterai pas à lire un autre de ses romans.
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Ce nouveau tome de Jeunes filles en fleurs met une nouvelle fois une jeune femme au cœur de l’action, une femme mûre et capable qui fait son propre chemin dans la vie sans attendre qu’un homme se porte à son secours. Je trouve intéressant que l’auteure....
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Désirs secrets est le troisième volet des Jeunes filles en fleurs, des récits de jeunes femmes célibataires au panel de carrières assez larges. Après une secrétaire et une couturière, nous entrons dans un univers de douceurs sucrées. Maria est une jeune femme intelligente, authentique et déterminée à vivre son rêve. Mais c’est avant tout le personnage de Philippe qui nous attire immédiatement avec son allure impassible. Il porte de profonds sentiments pour...
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En fermant ce dernier tome de la série Les héritières américaines de Laura Lee Guhrke j’étais toute triste de dire au revoir à ces personnages avec qui j’ai encore passé d’excellent moment, avant de réaliser qu’en fait, il y avait un quatrième tome à paraître. *joie* Bref, c’est donc toute heureuse que je vais vous parler de Raison et mariage, tome que j’attendais avec impatience.



Un tome en lien direct avec les précédents. Le héros n’est autre que Jack le bon-à-rien de beau-frère de Belinda (héroïne de La perle rare), il était le frère de son premier crétin (je reste polie) mari. Jack qui a été envoyé en mission aux États-Unis son ami Stuart (héros d’Une épouse à séduire) pour venger sa toute nouvelle femme héroïne du même tome. Il doit avec Nicholas, Stuart et Denys (héros du prochain roman) entraîner la ruine d’un parfait sal*pard (désolée, mais là je ne vois pas comment le dire de manière polie). Sauf qu’une fois en Amérique, leur machination en place et proche du succès, il découvre que le bachi-bouzouk a un plan de secours et compte épouser Linette, héritière américaine, après l’avoir compromise. (suite sur le blog)
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☙ Jeunes filles en fleurs, Tome 3 : Désirs secrets ☙ par Laura Lee Guhrke offre un délicieux moment d'évasion, frais, qui dévoile par touche ses protagonistes. Un instant tout en finesse, en émotions, intense, magnifique et porté par deux héros charmants Maria et Philippe. Deux pépites qui nous poussent à fondre un peu plus à chacun de leurs échanges. L'auteur réussit à les rendre attachants, pétillants, émouvants, passionnants. Les liens se tissent depuis des années pour éclore superbement.



Une gourmandise pour l'âme. Un baume apaisant superbe
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Tout comme dans le premier volet, Laura Lee Guhrke nous offre une héroïne indépendante, qui vit en marge des règles de la haute société. Prudence est une jeune femme romantique, autonome que j’ai apprécié découvrir. Sa façon d’être ne dévie pas lorsque sa situation change : elle reste elle-même et souhaite rester proche de ses amies qu’elle souhaite aider avec sa fortune. Rhys, quant à lui, possède son lot de sombres secrets, en outre un terrible secret familial qui le hante, et qui ont fait de lui un être manipulateur. La présence rafraîchissante de prudence va lui ouvrir les yeux. L’héritière est, en quelques mots, une lecture plaisante, une histoire solide avec des personnages attachants.
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L'histoire est intéressante car elle sort du sentier habituel de la naissance d'une romance pour aboutir au mariage. Ici, le mariage est un échec cuisant et public, mais John souhaite reconquérir Viola pour perpétuer sa lignée. Le livre est particulièrement bien écrit, l'intrigue nous tient de bout en bout, les personnages très attachant. Bref, tout ce que l'on peut attendre de ce genre de livre et même un peu plus, car il se relit avec beaucoup de plaisir. A lire absolument

Et il l’embrassa est une romance fraîche, envoûtante que j’ai pris plaisir à parcourir. Harry est un homme ambitieux qui aime travailler et gagner de l'argent par ses propres moyens, sans s’attarder sur son titre. Mais c’est aussi un homme brisé, qui a subi un divorce déshonorant. Il a depuis, à de nombreuses reprises, décrié le mariage, ne souhaitant pas renouveler l’expérience, ce qui ne refroidit pourtant pas les ardeurs des jeunes femmes qui tournent autour de lui, ni calme ses sœurs qui font tout pour lui trouver une nouvelle épouse à son goût....
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