AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Leandro Avalos Blacha (37)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Malicia

"Malicia" écrit par Leandro Avalos Blacha, auteur argentin, est une découverte carrément ébouriffante. De cet auteur, je ne connaissais rien, même pas son existence. Je le confesse humblement, j’ai tendance à délaisser la littérature étrangère. A la lecture de ce roman, je reconnais que c’est bien dommage.



De l’intrigue je ne dirai pas grand-chose tant il serait dommage de vous priver du plaisir de l’inconnu. Je vais seulement planter le décor : Juan Carlos et Perla, qui viennent de se marier, choisissent de passer leur lune de miel à Carlos Paz, jolie petite cité balnéaire mais aussi ville de jeux avec casinos et cabarets. Le jeune marié étant un joueur invétéré, le choix du lieu ne procède sans doute pas du hasard. Ils sont accompagnés de Mauricio, meilleur ami, mais surtout souffre-douleur de Juan Carlos.



N’étant pas coutumière de ce genre de littérature, ce récit m’est apparu comme un "OLNI". Je trouve, en effet, extrêmement difficile de le qualifier. On pourrait dire qu’il s’agit là d’un roman policier, oui, il y a des morts, du sang, de l’horreur, une recherche de coupable mais pas que… car tout à coup surgissent des personnages tous plus particuliers les uns que les autres : une "voyante", une gamine passablement manipulée, des nonnes étonnantes.



J’ai adoré le côté déglingué du récit, les personnages décalés, le rythme endiablé, l’écriture tumultueuse, presque pailletée et la musicalité qui rend palpable le spectacle continuel. C’est enlevé, emporté, bousculé. C’est loufoque et pourtant au milieu de tout ce barnum, on devine une critique de notre société, des médias prêt à faire feu de tout bois, une population attirée par les morts et le sang.



Quel bazar ! Mais quel moment de plaisir que la lecture de ce roman pour le moins cocas
Commenter  J’apprécie          30
Berazachussetts

Ce que j’ai aimé : La 4e de couv’ : quand j’ai lu le petit résumé, j’ai tellement pensé à moi qu’il fallait que ce livre intègre ma trashothèque… Je l’ai commencé et lu d’une traite. C’est complètement barré et ça part un peu dans tous les sens, et on s’attache vite aux personnages. En plus, sous couvert de n’importe quoi, l’auteur nous laisse une belle analyse de la société argentine, des plus pauvres aux plus riches. J’ai adoré le personnage de Periquita, l’handicapée que chacun dans la ville doit héberger une journée, et qui détient à elle seule les moyens de faire chanter absolument tout le monde.



Ce que je n’ai pas aimé : Rien, j’ai tout kiffé ma race!


Lien : http://wc.pressepuree.fr/ber..
Commenter  J’apprécie          30
Berazachussetts

Lorsque Dora et ses amies recueillent chez elles Trash, une jeune punk à moitié nue qu'elles croient victime d'un violeur en série, elles ne se doutent pas une seule seconde que leur vie va en être radicalement changée. Car Trash est en réalité une zombie. L'errance qui débute alors pour les cinq femmes va leur faire découvrir les recoins les plus sombres, mais aussi les plus huppés, de Berazachussetts, ville argentine improbable où tout semble possible, y compris, et surtout, l'impossible.

Un livre qui sort de l’ordinaire, un curieux mélange des genres où l’on retrouve, différents éléments de cultures populaire : personnages féminins au bord de l’hystérie, des situations dignes des télénovélas les plus kitsch , assassins et zombies sanguinaires et froid , football, et du cataclysme/ scénario catastrophe, punks et marginaux etc …On ajoute une bonne pincée d’humour noir et la mayonnaise prend parfaitement . Un roman punchy et haut en couleur qui constitue, assurément, un merveilleux divertissement .
Commenter  J’apprécie          30
Côté cour

Désolée je n'arrive pas à finir ce livre. Trop de violence, physique et morale. Je n'ai pas accroché aux différentes histoires.
Commenter  J’apprécie          30
Berazachussetts

Quatre retraitées de l'enseignement qui cohabitent dans un appartement de



Berazachussetts en Argentine. Ville en pleine déliquescence où nous vivent Dora, Milka, Beatriz et Susana, institutices à la retraite, veuves et fières de l'être.



Leur rencontre avec Trash, punkette à moitié nue, zombie à ses heures perdues, ramassée au détour d'un bois, allongée là inconsciente, à moins qu'elle ne se soit posée là pour faire un somme.



Le coup de foudre de la capricieuse et nymphomane Dora pour Francisco Saavreda, ancien maire de la ville, véreux à toute heure.



Des fistons plein aux as qui tuent le temps à orchestrer des viols pour publier les vidéos sur Internet.



Et Periquita, la paralytique de service, tenant à sa botte l'ensemble de la ville avec son armée de fauteuils roulants.



Les éditions Asphalte aiment les écritures acides et urbaines et les auteurs mordants et cyniques.



Leandro Avalos de Blacha nous donne à voir une Argentine explosive, jouant du grand guignol et de la métaphore pour rentrer dans le lard de la corruption, du mépris, des inégalités et des fossés qui se creusent. Du tragi-comique bien pensé et brut de décoffrage. Blacha n'arrondit pas les angles et c'est franchement plaisant.



Une farce décadente à lire en musique avec la bande son à écouter sur le site de l'éditeur.
Lien : http://casentlebook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          30
Berazachussetts

La ville argentine de Berazachussetts n'est pas la plus tranquille qui soit au monde et pourtant, elle pourrait ressembler à bien d'autres, avec ses quartiers pauvres, ses propriétés de riches, son chômage, sa corruption, son trafic d'influences et ses habitants hauts en couleur. Quand quatre amies retraitées en promenade tombe sur une jeune femme obèse à moitié dénudée dans un parc, elles supposent que celle-ci est la dernière victime d'un gang de violeurs qui sévissent depuis un moment mais en fait, ce n'est pas une victime qu'elles vont aider mais une jeune zombie punk au caractère bien trempé, qui a une petite envie de chair fraiche et de bière …

J'aime beaucoup les histoires totalement déjantées et pour être déjantée, celle-ci l'est complètement. Mêlant fantastique et bizarreries en tous genres, l'auteur brosse un portrait loufoque et totalement décalé d'une ville sud-américaine mais il ne se contente pas d'amuser les lecteurs : il les interpelle aussi, posant des questions sur l'état de nos sociétés actuelles. D'ailleurs, l'utilisation de noms de lieux dérivés d'endroits existants, dont le titre est un exemple typique, est très bien vu : cela crée une distance tout en reliant l'histoire totalement irréaliste à ce qui existe réellement. Bien sûr, pour apprécier un tant soit peu ce roman, il vaut quand même mieux aimer le bizarre, le décalé, l'humour noir et le fantastique mêlé de rock'n'roll ! On y retrouve des zombies, des retraitées pas si sympathiques que ça, des voisines très curieuses, un ancien maire plein aux as dont les fils ne sont pas très recommandables, des révolutionnaires, des handicapés menés par une jeune fille en fauteuil roulant qui a visiblement un problème psychiatrique en plus d'un handicap physique … bref, la galerie de personnages est riche et variée mais il n'y en a pas vraiment un de sympathique ! Chacun a de vilains travers, amplifiés par l'auteur pour souligner tout ce qu'on peut retrouver dans nos sociétés, à part que là, les défauts sont tous concentrés et poussés à l'extrême ! J'ai trouvé ça assez amusant mais j'avoue que vers la fin, cela avait presque fini par me mettre mal à l'aise car on ne sait plus trop vers qui se tourner pour s'attacher au moins à un personnage. La fin en forme de feu d'artifice géant finit presque par apporter une sorte de soulagement vu que je me posais beaucoup de questions sur la destinée de tout ce petit monde et je ressors de cette lecture plutôt satisfaite de cette découverte originale et pleine de punch !
Commenter  J’apprécie          30
Berazachussetts

Quatre amies inséparables rencontrent une punk zombie. Leur vie et celle de la ville de Berarachussetts va être chamboulée au plus au point. Leandro Avalos Blacha signe un roman déjanté, portrait d'une argentine désespérée.
Commenter  J’apprécie          20
Berazachussetts

Prenez des personnages complètement barés, ajoutez un zest de génie et saupoudrez le tout de punk et d'impertinence. Une perle extravagante et stylisé. Ce tourbillon de personnages fous vous rendront avec humour à la frénésie littéraire.



L'oeil externe que l'auteur porte sur cette ville allégorique de l'immoralité moderne est tout simplement saisissant. Cette vision subjective qui se posent sur chaque protagonistes et qui adoptent leur point de vue est comme un tourbillon magistralement bien orchestré.



Toute cette aventure punko-fantastico-horrifique n'est en fait qu'un prétexte pour parler politique, social, culturel, humaniste, artistique...etc. Bref tout les aspect de la société argentine mais pas que puisque ce portrait virulent pourrait être calqué sur les sociétés modernes en générale.



De plus les personnages même les plus secondaires ont une personnalité très intéressantes et développées. Leur caractéristiques psychologiques sont parfaitement bien déployées et sont saisissantes parce que même les montres ou les banales sont percutant.



J'ai un peu retrouvé la conception de Ryû Murakami (auteur japonais de "Bleu presque transparent" entre autre), dans un registre de science-fiction, qui souligne au marqueur les problème de sa société en suivant quelques acteurs de cette immense comédie.



Un voyage sous acide de l'Argentine aka la société de consommation contemporaine, les influences culturelles multiple sont très reconnaissable dans le roman mais l'auteur arrive à imposer sa pâte et a nous faire avaler avec plaisir cette univers sous LSD que l'on ne veut pas voir se terminer...(Suite sur le blog)
Lien : http://bookymary.blogspot.fr..
Commenter  J’apprécie          20
Côté cour

Cour des miracles !

Après l'excellent, mais délirant "Berazachussetts", Léandro Ávalos Blacha nous entraîne dans une nouvelle aventure. Un huis-clos côté cour, explorons l'univers de cet auteur argentin qui, semble t-il, n'a pas fini de nous surprendre.

Imaginons un monde pas très réjouissant (de toute façon en littérature du futur, ils ne le sont jamais) où chacun peut avoir sa prison personnelle avec son occupant! Vous êtes rétribué pour garder un repris de justice, il ne garde pas les enfants, donc ce n'est pas non plus "un prisonnier au pair"! C'est ce que "Le Plan" nomme une prison domestique.

Mais Ángel lui fait mieux, il garde sa gardienne, Fanny dans le fond de son lit! C'est vrai qu'il y a quelques arrangements à faire, celle-ci doit d'abord faire sombrer sa maman dans le sommeil, quelques pilules suffisent et à eux la liberté, enfin n'exagérons pas non plus! Ángel est un homme heureux, il est logé, nourri et son lit est garni. Que demander de plus? rien! Sauf que son épouse légitime, femme ayant de la suite dans les idées, arrive toujours à le retrouver, et là sa dernière trouvaille est la suivante, le faire évader. Chose qui ne fait pas l'unanimité chez les amants, bien au contraire! Alors cela devient, Stalingrad sur Cour, Waterloo morne enclos. Le bonheur de l'une vaut bien le malheur de quelques autres.....

Les jeux du cirque façon Magda et Elmer, c'est grandiose....le public en raffole et les prisonniers tels les gladiateurs des temps anciens deviennent des vedettes? Mais "The show must go on", le mort est au bout du spectacle mais là aussi l'argent est le but des organisateurs! Le monde se répète, la vie et le trépas , c'est un éternel recommencement!

Une poupée jetée par erreur dans un jardin en friche devient vivante! Oh miracle, c'est Clarita, venez voir, mais n'oubliez pas votre obole, Phonemark tout puissant vous le rendra...les marchands du temple prospèrent surtout chez les pauvres gens. Dans l'euphorie, la foule subjuguée en réclame encore plus, quoi de plus grandiose qu'un sacrifice humain....un pauvre gosse, fils d'un détenu, pas grand chose en définitif!

Préparons un trombinoscope grand modèle et hors-norme, la norme, chose qui ici n'a pas lieu d'être. Fany, une jeune femme un peu timide qui succombe au charme de son prisonnier et qui est prête à tout pour le sauver, mais vraiment à tout. Elmer, mort pour la surface de la terre et pour l'état civil, organisateur de combats de prisonniers en sous-main. Un docteur réducteur de têtes, son assistante répondant au doux nom de Dinastía, une petite fille cannibale, dans un monde où sévit encore par à coup la rage. Les "enragés" hommes ou femmes font d'excellents lutteurs pour les combats clandestins qui génèrent beaucoup d'argent. Cela doit être cela de croquer la vie à pleines dents. Mais la carrière est courte!

Et si c'était les mamies qui détenaient la vérité et la bonté, parlez à Olga, Hilda, elles seules ont encore des sentiments humains.

Mais au dessus de tout, planant sur le quartier, la silhouette de la tour Phonemark, son halo vert et ses radiations se diffusant de manière silencieuse et invisible sur la faune et la flore environnante! Surtout sur la faune d'ailleurs.

Un monde de la démesure, pas un roman plutôt un recueil de nouvelles avec une cour comme décor...avec ce que cela implique comme huis-clos amplifié par le statut de prisonniers des principaux protagonistes de ces récits.

Pas vraiment rose l'avenir, mais ne sommes-nous pas de toute façon, déjà prisonniers d'un système qui est uniquement basé sur le profit de certains au détriment du plus grand nombre.

C'est bien de nous mettre face à face avec le monde que nous laissons à nos descendants!

Pour une fois la playlist musicale me parle ! Patti Smith, et Echo & Bunnymen entre autres.
Lien : http://eireann561.canalblog...
Commenter  J’apprécie          20
Berazachussetts

Berazachussets, un petit roman argentin qui ne ressemble à rien d’autre
Lien : http://lecturesdileane.blogs..
Commenter  J’apprécie          10
Côté cour

5 nouvelles dans un cadre commun, un quartier avec ces maisons identiques, possédant une cour dans laquelle un opérateur téléphonique omnipotent place des prisonniers. 5 histoires mêlant satire et fantastique. La façon de raconter de l'auteur, qui présente les choses les plus grotesques et déroutantes comme la normalité, crée un décalage. On se croirait dans des épisodes de "la Quatrième Dimension".
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
Commenter  J’apprécie          10
Berazachussetts

Du pulp, complètement déjanté, mené à 100 à l'heure, avec des personnages plus insupportables et désolants les uns que les autres, un roman qui se lit d'une traite, sans reprendre son souffle. On y devine, en arrière-plan, l'Argentine du début des années 2000, ravagée par la crise, mais, à quelques indices, on la voit s'étendre au monde. Amateur de zombis, risque de surprise : ceci est une fable !
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
Commenter  J’apprécie          10
Berazachussetts

Commenter  J’apprécie          10
Côté cour

Ce que j’ai aimé : Comme le précédent roman, j’ai adoré! L’auteur nous plonge dans des histoires complètement loufoques, mais on y plonge de bon cœur. Ce livre a également plusieurs degrés de lecture, ce qui me laisse supposer que j’y remettrai le nez dedans dans pas trop longtemps. Et puis bon, on a critique de notre société qui est carrément audacieuse. Le petit plus que j’ai adoré, c’est la playlist que nous propose l’auteur pour accompagner la lecture. Ca c’est une idée qu’elle bonne!





Ce que je n’ai pas aimé : Trop, mais alors vraiment trop court!
Lien : http://culturedecomptoir.com..
Commenter  J’apprécie          00
Malicia

C'est un bien étrange roman que le Malicia de Leandro Avalos Blacha.



Un trio bien mal assorti se retrouve à Carlos Paz, une station balnéaire où se côtoient des starlettes en maillots et des joueurs de casino : Juan Carlos, jeune marié adepte du jeu, son épouse Perla, une jeune femme énigmatique et sans caractère, « heureuse élue » pour sa capacité à porter chance, et Mauricio, « celui qui ressemble le plus à un ami, même si c'est un enfoiré », qui subit sans trop sciller les ordres de son « ami » d'enfance et les remarques désagréables d’Elida, la mère de ce dernier.



Par une écriture vive et ironique, Leandro Avalos Blacha narre, en alternant les points de vue, le quotidien banal de ce petit groupe de personnages en mode cocktail Tequila. Il place dans le shaker un peu de télé-réalité, un tueur en série, quelques femmes possédées, et une pointe de satanisme.



Si la lecture de ce roman m’a laissée un peu pantoise, notamment dans sa deuxième partie, Malicia n'en reste pas moins une œuvre originale qui porte un regard satirique sur la société argentine moderne, encore empreinte de croyances et de traditions anciennes.

Commenter  J’apprécie          00
Malicia

"Une nuit (de noces) en enfer", comme diraient Tarentino et Robert Rodriguez...

Malicia est le récit d'un voyage de noces complètement loufoque. Difficile de résumer l'histoire. Sachez que vous y croiserez des tueurs en série, des starlettes, des médiums, des gamines possédées, l'antechrist, des extraterrestres, des nonnes démoniaques, bref vous ne serez pas au bout de vos surprises.



A priori j'aime plutôt les romans à l'histoire bien ficelée. Malicia ne peut pas être plus éloignée de mes lectures habituelles et pourtant... Celle-ci commence comme un roman noir "réaliste" puis sombre brusquement dans le chaos. Mais c'est cette folie qui est réjouissante, quel défouloir !

Double merci à masse critique, 1) pour m'avoir permis de lire ce roman et 2) pour m'avoir fait découvrir, il y a 3 ans maintenant, Asphalte, maison d'édition dont je suis particulièrement les sorties.

Commenter  J’apprécie          00
Côté cour

J’ai trop souffert, trop dur de lire ce genre de livre pour moi. Sans doute suis-je trop cartésienne ! L’écriture est parfaite, très agréable, on se laisse porter mais les histoires, my god !! Cinq histoires, mais quelles histoires !!, on rencontre un rétrécisseur de têtes, des familles qui logent des détenus dans leur cour, un couple qui dresse des chiens pour des combats avec les prisonniers…Sans doute suis-je pourvu d’une imagination trop importante et des images sanguinolentes défilent devant mes yeux. Un livre pour moi dérangeant mais à ne pas prendre au premier degré contrairement à ce que j’ai fait. Bravo tout de même à Mr Blacha pour son imagination hors pair. Nena
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Leandro Avalos Blacha (79)Voir plus

Quiz Voir plus

Le joueur d'échec de Zweig

Quel est le nom du champion du monde d'échecs ?

Santovik
Czentovick
Czentovic
Zenovic

9 questions
1887 lecteurs ont répondu
Thème : Le Joueur d'échecs de Stefan ZweigCréer un quiz sur cet auteur

{* *}