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Critiques de Lianke Yan (207)
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La Fuite du temps

Belle découverte! L'histoire de Sima Lan et de son village est un joli voyage vers la Chine campagnarde.

J'ai eu toutefois la sensation de m'ennuyer mais ce sentiment était rapidement occulté par le récit.
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Les chroniques de Zhalie

C'est la première fois que je lisais un roman Lianke Yan, et je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans le livre, en particulier à cause du style qui, loin d'être poétique comme je l'attendais, ce fait parfois un peu indigeste, gachant l'histoire en elle même qui pouvait être intéressante.

Je ne dis pas non à lire un des ses autres livres, mais reste sur ma faim avec celui-ci. Dommage.
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Bons baisers de Lénine

Nikoz a très bien résumé l'impression que m'a laissé ce livre.



Tout le premier tiers commence bien avec une écriture truculente et des personnages bien trouvés et puis de pages en pages, on peine à s'accrocher. Les circonvolutions de l'auteur finissent pas nous perdre. Et on finit par ne plus savoir ni où l'on va ni pourquoi...



Il faudrait que je relise ce livre afin de voir si une seconde lecture me permettrait d'en saisir le charme. Mais je dois avouer que l'impression laissée la première fois est telle que je peine à trouver le courage :S







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La Fuite du temps

Yan Lianke laisse crier les haines et regarde s'abattre les cataclysmes naturels avec la même élégance hébétée. Il porte sur les êtres en furie un éternel regard d'enfant inter­loqué, partagé entre l'hypnose et la fuite.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Le rêve du village des Ding

Lecture jeune, n°122 - Outre le sujet très fort de l’ouvrage, le style de son auteur nous interpelle. D’une grande poésie, avec un registre lexical très riche lorsqu’il écrit sur la mort, la désolation des paysages, les couleurs (le rouge en particulier), le jeune narrateur nous parle du ciel et apporte au récit une note tendre et plus légère. Quel livre choc et quel pari d’écrire sur ce scandale qui fit les gros titres de la presse il n’y a pas si longtemps mais que nos consciences ont évacué depuis. Ce livre est bien évidemment interdit en Chine, même si l’auteur a pondéré ses propos. La thématique et la manière de l’écrire le rendent accessible à des adolescents. D’autres titres récents peuvent les éclairer sur les réalités contemporaines de la Chine, tels que Chinoises ou Funérailles célestes, deux romans de Xinran chez le même éditeur (2005). Michelle Charbonnier
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Le rêve du village des Ding

Lecture jeune, n°122 - Dans le village des Ding, comme dans les autres villages de la plaine du Henan, en Chine centrale, les habitants s'enrichissent en vendant leur sang collecté par l'Etat. Certains à un rythme effréné. Les malades se multiplient, le village se dépeuple, la mort devient si banale que les habitants ne pensent plus qu'à leur cercueil. Le remords ronge le vieux Ding dont le fils s'est enrichi en collectant le sang et dont le petit-fils, qui est le narrateur de cette histoire, meurt empoisonné à l'âge de douze ans. Ce récit atroce prend ainsi la dimension d'une tragédie grecque intemporelle. Cela ne l'empêche pas d'être rempli d'humanité grâce à la bonté, la sagesse et la compréhension du grand-père pour ces êtres ignorants et résignés, qui ne comprennent que tardivement la nature de cette épidémie. Tout au long de cette lecture, on souffre avec l'auteur qui exprime en postface son désespoir et son « amour de la vie ». Les thèmes du sida et de la Chine encourageront les adolescents à lire ce roman déroutant. Gilberte Mantoux
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Le rêve du village des Ding

Lecture jeune, n°122 - Yan Lianke brosse ici un tableau réaliste et bouleversant des ravages du sang contaminé dans sa province du Henan, et de la dualité d’une Chine déchirée entre aspiration matérialiste et poids des traditions. Il donne la parole à un enfant, victime innocente de la cupidité des hommes. L’enfant témoigne depuis l’au-delà des vilenies commises notamment par son père, le « patron du sang », dont l’avidité va crescendo au fil du roman. L’exacerbation des mauvais côtés de l’homme en situation d’épidémie fait penser à L’aveuglement, du Prix Nobel José Saramago (Seuil, 1997). Au milieu de ces hommes, chez qui les mauvais penchants prennent le dessus, se dresse la figure du grand-père, âme noble et droite, qui lutte entre son amour paternel et l’intérêt général. Ce personnage extraordinaire, la voix du narrateur, les rêves qui ponctuent le récit et la très belle écriture atténuent la noirceur de ce drame et laissent le lecteur ému mais serein. Florence Renouard
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