Linda Holeman

Dans le début du XIXème siècle, en Inde, une jeune anglaise mère d’un petit David, annonce au lecteur sa volonté de raconter son histoire, une histoire que son fils ne doit pas connaitre. C’est l’histoire d’une enfance avec une mère pauvre et d’un beau-père violent et alcoolique. A la mort de la mère, l’homme sans foi ni loi prostitue la petite fille de 11 ans. Seules quelques rencontres amélioreront son sort. Puis, elle part en Inde pour tout recommencer. Mais là-bas, un homme va la reconnaitre et lui faire un chantage au mariage.

Un roman aux ressorts assez classiques, très bien écrit, et qui se lit avec entrain. C’est le récit d’une combattante qui toujours cherchera à s’en sortir.

La Perle du Sud ... déjà la couverture m'a séduite : de belles et chaudes couleurs d'épices.

Le récit est tout un voyage, une découverte du Maroc avec ses villes, ses coutumes, ... Je suis partie en vacances avec cette lecture. L'histoire est prenante, les personnages attachants ... Je recommande !

Cela m'est rarement arrivé mais je voulais que la 671éme page n'arrive pas, bien que je désirais connaitre la fin mais en même temps je voulais restée plongée dans ce monde coloré et parfumé.



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L'histoire de Daryâ, afghane qui a été fiancée jeune et mariée à un homme qui avait été choisi par son mari. Elle n'arrivait pas à lui donner d'enfant malgré toutes les choses qu'elle a tentées. Il voulait sa mort. Elle a rencontré un Anglais qui l'a prise sous son aile et l'a amenée en Inde puis à Londres.

On trouve diverses cultures dans ce roman, qui est plutôt intéressant.

L'histoire se passe au XIX ème siècle. Linny grandit dans la misère à Liverpool. Après le décès de sa mère, son père adoptif la force à se prostituer.

Après des années de calvaire, grâce à une belle rencontre elle arrive à mener une existence modeste mais respectable. Lorsque l'occasion de partir vivre en Inde se présente à elle, elle y voit l'occasion de tourner la page sur son passé.



Mon avis :



Cette couverture m'inspirait une romance mais ce n'est pas vraiment le cas.

Linny est une jeune fille très touchante mais sa vie est un combat depuis sa naissance et on juste envie que quelque chose de bien lui arrive.

Le gros bémol pour moi sur ce livre est le résumé de la quatrième de couverture qui annonce des choses qui ne se passent qu'à la page 500 (sur 635). Du coup j'ai eu l'impression que ce roman traînait en longueur alors que je n'aurai pas eu ce ressenti sans avoir lu ce résumé.

J'ai tout de même passé un très bon moment de lecture. L'écriture est fluide et agréable.

J'aurais pu mettre 5 étoiles à ce roman.

Son défaut ? Ses 685 pages.

En ce qui me concerne, je peux me lasser d'un univers et d'un contexte extrêmement rapidement. Donc les pavés ne sont pas tout à fait fait pour moi. De plus, la construction du roman m'a un peu perturbée : un peu fouillis au premier abord. Une fois qu'on a saisi le fonctionnement, cela marche très bien.



Je pensais que le contexte historique serait plus prégnant mais on l'oublierait presque tant on est aspiré par le quotidien de la famille de Mikhaïl.



Un bon pavé pour la plage.

Très très belle découverte

Ce roman est un hymne au voyage, à la recherche de soi.

A travers l'histoire de Sidonie, je découvre l'histoire du Maroc que je ne connaissais pas dans les années 30.

Bien qu'elle m ais parfois énervée sur certains événements, j'ai dévoré ce livre en très peu de temps.

Il est parfois nécessaire de partir loin pour se retrouver.

Merci à l autrice Linda HOLEMAN pour ce merveilleux voyage.

Hâte d'en lire d autres de cette dernière

J'ai pleuré durant deux jours après la lecture de ce roman.

C'est une histoire d'amour mais surtout un message d'espoir. C'est un récit d'abnégation et de résignation. Voilà ce qu'est la rose rebelle.

On voyage avec Darya à travers son " Watan" et bien plus. La description des lieues et des personnages y est parfaite. Mais au delà de tous j'ai était séduite par le courage et la force mentale de ce bout de femme qui ne va jamais renoncer à croire en sa destinée.

L'un des meilleurs romans que j'ai eu à lire. La rose rebelle m'a marqué à vie et je suis impatiente de le redécouvrir lors d'une prochaine lecture ♥

C’est une membre de booknode qui m’a chaudement recommandé ce livre. Je l’ai acheté sur une brocante et depuis deux ans, il dort dans ma PAL. Je l’ai enfin sorti et lu. J’ai bien fait.

C’est très bien écrit, je vivais tous les événements avec Linny. C’est très prenant, très intéressant. C’est une histoire très triste et dure, surtout dans les deux-cent premières pages mais elle est passionnante. J’ai pleuré, ressenti de la colère et même voyagé avec l’héroïne. C’est une femme qui a énormément subi de malheur et de violences dans sa vie et dés son plus jeune âge. Elle a subi le pire mais obstacle après obstacle, malheur après malheur, elle se bat pour survivre. Elle a une telle force de caractère, une telle volonté, c’est impressionnant. Beaucoup serait tombé dans la dépression, la folie voir l’envie de ne plus vivre pour moins que ça.

Je me suis totalement attachée à elle, le contraire n’est pas possible.

Le petit bémol dans ce livre, c’est justement tout ce malheur. Quand on pense que c’est fini, que Linny a vécu le pire, il y en a encore. Elle mérite le bonheur tout de même… Elle trouve la paix à la fin mais davantage de bonheur aurait été un gros plus.

C’est une belle découverte. C’est un très bon livre, très bien écrit. L’auteur est douée, je recommande cette lecture.

Très belle peinture de la société russe de la seconde partie du XIX e siècle.

Tout se désagrège, les valeurs, les codes sociaux, la morale emportés par une inconcevable misère...

L'histoire est également une belle suite de parcours de vie, des destins peu communs qui s'entremêlent jusqu'à un final flamboyant.



L'écriture est addictive et les personnages magnifiquement étudiés.

Comment dire ? C'est le roman le moins agréable qu'il m'a été donné de lire en cette funeste année 2020.

La première moitié du livre est longue et ennuyante à mourir. La vie morne de Sinodie est d'une tristesse affligeante ; je ne comprends pas pourquoi l'auteure a choisi de raconter l'histoire inintéressante de cette femme qui n'a rien vécu jusque 30 ans de son plein gré et qui a causé la mort très prévisible d'un proche de par son irresponsabilité. C'est d'ailleurs son pire défaut, elle enchaîne les erreurs gravissimes.

Elle a très bien compris que son Etienne de malheur ne voulait pas d'elle et de l'enfant dont elle était enceinte, alors pourquoi cette folle a t-elle voyagé presque deux mois pour le retrouver ? Je n'ai pas du tout été prise dans cette recherche d'Etienne et de ses secrets. Je m'en moquais éperdument, de ce fichu médecin et de son passé tout aussi inintéressant que celui de l'héroïne. Je voulais voir le Maroc et les Touaregs. Je n'ai eu le droit qu'à une poignée de chapitres agréables, le reste concentrait seulement des malheurs sur malheurs - je ne les comptais plus. Et puis il y a eu Manon, alias Satan, qui ne servait à rien sinon mentir, manipuler, vendre son corps de prostituée et maltraiter des enfants. Satan dans toute sa splendeur, aussi incompréhensible que fatiguant. Elle n'a fait que raconter des bobards à cette imbécile de Sidonie qui, évidemment, gobait tout et s'en allait pleurer à chaudes larmes. Sa faiblesse de caractère m'a usé jusqu'au bout de la corde. Et le touareg aux yeux bleus venait à CHAQUE FOIS lui dire que c'était faux. La révélation finale était dégoûtante et décevante à l'image de tout le roman. L'histoire d'amour que j'attendais a été trop tardive et discrète pour rattraper toute la perte de temps que furent les chapitres passés.

Pour résumer, ce livre était prévisible, trop long pour rien et je n'ai même pas compris l'intérêt qu'il présentait. Sans doute un fantasme de l'auteure de vivre sa romance du désert.

J'admets ne pas comprendre le manque de succès de ce livre, il en mériterait davantage !

Avant de le commencer, je m'attendais à un roman à l'eau de rose pénible et cliché. Dès le premier chapitre, je me suis rendue compte que ses thématiques allaient être plus graves et la romance s'est faite, somme toute, belle mais tardive.

L'héroïne mène une vie des plus difficiles et pourtant, son évolution et son voyage sont impressionnants. J'ai aimé suivre le récit de sa jeunesse, même si c'était parfois dur à lire, car la note finale demeure selon moi assez optimiste pour la suite.

Je trouve cela dommage d'avoir si peu vu le personnage de Daoud tant sa relation avec l'héroïne était poétique. Un très beau poème à découvrir.

Un très beau roman qui nous fait voyager en Afghanistan et aux Indes au milieu du 19ème siècle et nous donne un aperçu très précis de la condition précaire et soumise, au père puis à l'époux, des femmes de ces pays. Pour elles, une vie de servitude et d'obéissance les attend. Daryâ, indomptable et rebelle, ne peut s'y résoudre. A la lecture du résumé j'ai un peu craint de me lancer dans une "histoire à l'eau de rose". Mais pas du tout. J'ai été fascinée par la description des paysages, du mode de vie de ces peuples et la farouche volonté de Daryâ pour surmonter tous les obstacles. Je ne regrette pas mon choix !

Ce livre m'a été offert par une amie ; un peu comme une blague entre nous. Elle sait que je ne suis pas trop versée dans le genre romance et rien que la couverture présageait du côté guimauve de l'affaire.

Mais j'ai relevé le défit et je l'ai lu.

Dès les premières pages, il apparaît nettement que le style d'écriture est relativement moyen. D'autant que la traduction, comme souvent, scolaire n'arrange rien.

Pourtant, contre toute attente, j'ai aimé ce livre. Une histoire riche en rebondissements, de l'aventure et une véritable immersion dans le Maroc des années 30. Finalement, tout cela est bien ficelé et m'a apporté une évasion bienvenue en ces temps anxiogènes.

Après une jeunesse misérable à Liverpool notamment sur les trottoirs de Paradise Street où elle vendait son corps, Linnet fit la rencontre de Shaker.

Shaker est le premier homme à respecter Linnet et ne voyant pas en elle la prostituée. Après lui avoir sauvé la vie, il lui offre un toit, à manger et un travail. Linnet a une nouvelle vie et pourrait être comblée. Une de ses nouvelles lui propose de l'accompagner aux Indes, elle veut s'y trouver un mari. Ne pouvant pas refuser l'invitation, Linnet décide donc de l'accompagner. Après plusieurs semaines de traversée, elles arrivent à Calcutta et contre toute attente, Linnet se trouve rapidement un mari, mais personne ne sait qu'il est le fruit d'un arrangement.



"L'oiseau du Cachemire" est le premier roman de Linda Holeman qui nous transporte d’Angleterre aux Indes. Une très belle triste histoire où Linnet a une belle vengeance sur cette vie qui n'a pas été tendre avec elle.

Daryâ est une jeune adolescente afghane tadjik. Fille unique d'un couple de fermier, elle n'avait que l'amour de sa grand-mère durant son enfance. Daryâ adorait que sa grand-mère lui raconte sa vie d'avant alors qu'elle vivait sous d'autres latitudes. Mais sa grand-mère mourut et la laissant dans le désarroi. Avec la naissance de sa petite sœur, Daryâ trouva une nouvelle alliée, sa mère, rejetée par son mari car elle a donné naissance à une nouvelle fille.

Un concours de circonstance fit que la nouvelle femme de son père lui jeta une malédiction et la jeune adolescente se retrouva bannie de la société. C'est alors que son père décide à la vendre à un chef patchoune, qui cherche une troisième épouse à son fils.

Dans la tribu nomade, même si Daryâ réussit à s'adapter assez facilement, son mari est de plus en violent car elle ne tombe pas enceinte. Après plusieurs années de mariage, Daryâ a vent de rumeurs sur elle et une prétendue malédiction. Elle prend peur et quitte précipitamment le campement. Après des jours d'errance, fatiguée, assoiffée et affamée, elle tente le tout pour le tout et demande de l'aide à un anglais.

Que fera-t-il pour elle ? Pourquoi la ramène-t-il de l'Afghanistan jusqu'à Bombay ? Que fera Daryâ loin de sa famille et de son peuple ? Comment va-t-elle survivre ?



"La rose rebelle" est un roman très prenant qui nous fait découvrir des peuples de l'Afghanistan au temps du Raj Britannique. L'histoire est très triste mais la force de caractère de Daryâ est incroyable. Elle surmontera les épreuves sans rechigner. C'est un roman qui fait voyager son lecteur.
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J'ai une maman qui suit de très près - sans pourtant y participer - le Challenge Bookineurs en Couleurs, du coup, à chaque nouvelle session elle nous apporte - à la petite soeur et à moi-même -, un sac de lectures de la bonne couleur. Et, pour cette session, elle y avait glissé La perle du Sud de Linda HOLEMAN. Pour le coup, cela faisait de nombreuses années que je me challengeais pour le lire et avec ma liseuse chez le docteur, je n'avais pas de bonnes raisons pour ne pas le faire ;)



J'ai trouvé dans ce roman tout les ingrédients que j'affectionne tant dans les histoires : de l'aventure, du voyage, de belles rencontres et de l'amour. J'ai particulièrement aimé aussi le fait que l'histoire mêle présent et passé au fur et à mesure que s'enchaînent les chapitres : Linda HOLEMAN alterne donc les histoires et les personnages gravitant autour de Sidonie ce qui permet de jouer avec les mystères, de redonner régulièrement du souffle mais surtout de bien comprendre les enjeux du présent.

En découvrant le passé de Sidonie, j'ai immédiatement saisis d'où lui vient sa force et sa volonté d'agir seule. Clairement, sa vie américaine n'était pas la plus joyeuse jusqu'à temps qu'elle rencontre Etienne dans un des moments les plus durs de sa vie. Alors, forcément, il est facile de sentir pourquoi ; "vieille fille" handicapée par une maladie, vivant loin des préoccupations des jeunes femmes de son âge depuis longtemps ; elle succombe au charme de ce jeune médecin français qui est le premier à lui accorder de l'attention. Nous connaissons tous la force d'un premier amour alors, même s'il est difficile à concevoir, il est possible de comprendre pourquoi Sidonie se met en tête de traverser l'océan Atlantique pour le retrouver, après qu'Etienne l'ait lâchement abandonnée après avoir appris qu'elle était enceinte. Quel courage !

Il se trouve qu'Etienne à des racines au Maroc et c'est donc dans ce pays que nous partons à l'aventure. J'ai beaucoup aimé découvrir la vie des expatriés dans ce pays ainsi que les mœurs locaux. J'ai aimé l'accueil chaleureux de ses habitants bien que tous ne soient pas extrêmement ouverts d'esprit, après tout, l'histoire se passe dans les années 30. Sur place, Sidonie découvre les histoires de famille peu reluisante d'Etienne, mais surtout Manon - son inquiétante soeur - et Badou son fiston tout mignon ainsi qu'Aszoulay qui vaut bien le voyage à lui tout seul ;)

L'histoire sur place est de nouveau riche en rebondissements mais aussi en attente. Entre incompréhensions, mensonges et sueurs froides, impossible de s'ennuyer en lisant ces pages ! J'ai beaucoup aimé les moments plus calmes et doux avec Aszoulay et les découvertes des habitants du Maroc ainsi que la parenthèse au milieu des Touaregs. La fin pourrait être triste mais elle se révèle finalement très belle et pleine d'espoir.



Sidonie, m'a beaucoup plu. L'auteure à beau nous rappeler plusieurs fois qu'elle est handicapée, j'avais du mal à me l'ancrer en tête tant elle est volontaire et toujours en mouvement. J'ai aimé ses valeurs de respect et d'entraide ainsi que son attachement immédiat à Badou et Falida - la petite employée de maison. Sidonie prend soin des gens et je trouve ça vraiment beau.

Aszoulay ressemble beaucoup à Sidonie par sa façon de prendre soin de son entourage, même contre leur volonté. Par contre, il est beaucoup plus doux, réfléchi et sans doute plus à l'écoute. Mais c'est normal aussi, Sidonie est là après avoir suivi son coeur : clairement, ils ne vivent pas les mêmes choses au même moment et ne peuvent donc pas être dans le même état d'esprit.

Etienne et Manon sont tellement différents l'un de l'autre mais se ressemblent pourtant beaucoup dans leur égoïsme. Malheureusement le livre ne les montre pas sous le meilleur jour : elle calculatrice et destructrice, lui totalement lâche et désintéressé. De là à penser que toute la famille est pourrie, il n'y a qu'un pas.



L'écriture de Linda HOLEMAN est très agréable : elle pose les choses calmement et joue entre les moments d'attentes et les révélations. Au final, La Perle du Sud est un bouquin imposant avec ses 670 pages mais avec lequel je n'ai pas vu le temps passer ! J'ai aimé la fluidité de l'écriture ainsi que la précision des émotions qui nous font nous mettre à la place de Sidonie. Les actions se font discrètes, sans grand remue-ménage mais c'est ça aussi qui donne de la crédibilité à l'histoire : clairement c'est bien la force d'un quotidien dans une ville inconnue.
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moyennement convaincue par ce livre dont le résumé m'a induite en erreur, je m'attendais à voyager à travers la russie peour retrouver l'enfant disparu et en fait pas du tout, ça manque de rythme et les peorsonnages ne sont pas attachants

dépaysant et intéressant, une lecture détente

Un roman découverte du Maroc, notamment Marrakech au début du 20 eme.

L'aventure de Sidonie dans ce pays, et pour le moins curieux, et même si l'auteur c'est beaucoup renseigné, ça fait bizarre, de voir une femme seul dans les années 30, pouvoir vivre ainsi, en femme libre, alors que la liberté de la femme est parue bien plus tard et encore.

En tout un cas, un beau roman, qui montre différentes cultures, un pays attirant mais dangereux, car la nature fais sa loi.

L'auteur a su décrire les passages, que l'on s'y croit, on sent les épices, la chaleur, on aimerait y être.

L'histoire est un peu longue et tiré par les cheveux pour ma part, et je pense qu'il aurait mieux fallu y mettre à une autre époque, en tout cas on s'attache aux personnages, et le coté documentaire est très plaisant.
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Un roman d'été (ou pas) avec pour décor Marrakech et ses paysages d'Afrique du Nord : un voyage au bout des sentiments … et des préjugés.