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Critiques de Lord Dunsany (49)
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La fille du roi des elfes

Je n'ai pas aimé ce livre car il et un peu répétitif.
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La fille du roi des elfes

Une œuvre majeure de la littérature fantastique. A mi-chemin entre le conte féérique et la poésie, avec une touche anglaise qu'on retrouve aussi chez Tolkien par exemple, une mélancolie légère et une odeur de pluie...
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La fille du roi des elfes

Je sais que j'aurais du aimer ce livre.

Il est très bien écrit, très riche, dans un univers féérique intéressant...

Mais qu'il est long!!

Très peu de dialogues, des descriptions à rallonge, de la magie en petite quantité...

On se noie, on se perd, on s'emmerde, disons le carrément!

Cela faisait longtemps que je n'avais pas passé plusieurs mois sur un roman et ça a le don de m'énerver...Quelle perte de temps au final.



Bref, méfiance.
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Les Dieux de Pegàna

Je n'ai pas du tout aimé ce livre. je l'ai trouvé long (il fait 112 pages). En fait je ne l'ai pas fini, par manque d’intérêt. Personnellement j n'ai pas apprécier le style.
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Les Dieux de Pegàna

Ce recueil est composé de courtes nouvelles,en voici la préface:



"Il est des îles dans la Mer Médiane, dont les eaux ne sont bordées d'aucune rive et où nul navire ne vogue-ceci est la foi de leur peuple.



*********



Dans les brumes d'avant le commencement, le Destin et le Hasard jouèrent ausx dés le droit de diriger la Partie; puis celui qui avait gagné s'en alla à travers les brumes vers MANA-YOOD-SUSHAI et dit : " Maintenant crée des dieux pour Moi , car J'ai gagné et la Partie sera Mienne. " Qui gagna, et qui, du Destin ou du Hasard, s'en alla à travers les brumes d'avant le Commencement vers MANA-YOOD-SUSHAI - nul ne le sait. "







Étant on ne peut plus novice et inculte dans ce genre de littérature, je me garderai bien de faire une quelconque analyse de ces textes et mes recherches d'autres avis pouvant m'inspirer sur la toile s'est révélée quasi-infructueuse (je n'ai fait que les sites en langue française)



Lord Dunsany se serait inspiré des mythologies celtiques pour écrire ces nouvelles. Il nous livre ici une sorte de récit cosmogonique basé sur un "panthéon panthéiste". On a MANA-TOOD-SUSHAI, le créateur de tous les petits dieux , Kib,le pourvoyeur de vie dans tous les mondes, Mung, seigneur de toutes les morts entre Peganà et le Bord, Limpang-Tung, le dieu de la joie et des ménestrels mélodieux....



Pendant que Mana se reposait, les dieux dirent en parlant avec leurs mains "Créons des Mondes pour Nous amuser pendant que MANA se repose. Créons des mondes et la Vie et la mort, et des couleurs dans le ciel; mais ne brisons pas le silence de Pegana"







J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ces petites nouvelles., très poétiques et allégoriques.







Pour en savoir plus sur cet auteur , je vous encorage à aller voir cet article: Lord Dunsany: le maître de la fantasy onirique qui inspira Lovecraft
Lien : http://lagrandestef.over-blo..
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La fille du roi des elfes

un classique parmi les classiques des littératures dites de l’imaginaire, et plus précisément de la fantasy. N’est-il d’ailleurs pas considéré comme l’un des – si ce n’est le – premiers du genre ?



Première constatation j’ai aimé. C’est indéniable, cette lecture m’a vraiment fait renouer avec tout un pan de l’imaginaire que j’adore : celui qui tire dans le merveilleux, dans cette petite touche de quelque chose propre à l’idée que je me suis toujours faite des féeries diverses et variées. Au point d’en penser qu’il s’agit plus d’un conte, d’une fable, que d’un roman. Pourtant, seconde constatation, au bout de la moitié du roman, j’ai commencé à peiner.



L’histoire en elle-même n’est, il faut bien l’avouer, pas extraordinaire. En même temps, le récit ne paraît pas innovant aujourd’hui, après presque 100 ans d’une littérature fantasy qui emprunte beaucoup aux codes des récits, pour le coup épique, de Tolkien. En le replaçant dans le contexte de sa première publication de 1924 (donc avant les premières publications de Tolkien en dehors de certains de ses poèmes) il en est probablement tout autre.

J'ai retrouvé ce même sentiment qui s’était déjà manifesté lors de ma lecture de 1984 de G. Orwell et qui est assez caractéristique de ces œuvres qui ont fondé un mouvement, un genre. Les créations postérieures ont tellement puisé dedans, s’en sont inspiré ou leur ont rendu hommage à un point que si les « sources » sont lues après, elles paraissent fades, redondantes et presque dénuées d’intérêt.



Plus le temps passe depuis la fin de ma lecture, plus je ressasse le récit et plus il semble évident que ce n’est pas tant l’histoire de la quête d’Alveric que la question de l’intrusion de la magie dans la vallée des Aulnes qui est – pour une part – au centre. J’ai vraiment apprécié le retournement qui se passe avec le cercle des anciens.

Autre point que j’aimerais noter. Il n’y a pas de jugement de valeur – ou du moins je n’ai pas ressenti de jugement de valeur. Contrairement à ce qui se passe dans plusieurs romans de cette veine qui mettent en scène les deux sphères que sont le folklore anglo-nordico-celtique et le christianisme, il n’y a pas dans La fille du roi des elfes d’intervention pour dire que l’une ou l’autre est le « bon camp ».



Au final, même si je suis mitigée sur ma lecture dans le sens où je ne suis jamais rentrée dans l’histoire, pas au point de passer des heures dans ma lecture à ne pas décrocher et me dire « au prochain chapitre j’éteins », j’ai vraiment aimé cette lecture. Ou plutôt j’aime le souvenir et l’idée de cette lecture, j’aime ce que j’éprouve quand j’y repense.
Lien : https://luciegmatteoldi.word..
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La fille du roi des elfes

J’ai eu envie de lire La fille du roi des elfes de Lord Dunsany quand j’ai vu ce titre dans une liste Babelio le mentionnant comme l’un des pionniers de la fantasy, avant Tolkien. L’histoire me paraissant tentante, je me suis en tête de lire ce roman.



Sur ordre de son père, le prince Alveric part pour le Royaume Enchanté afin de trouver et de capturer Lizarel, la fille du roi des elfes. Alveric parvient jusqu’à elle mais au lieu de l’enlever de force, Lizarel sous le charme du prince, le suit de son plein gré jusqu’au royaume des Aulnes. C’est là que naîtra Orion, le fruit de leurs amours. Mais le père de Lirazel, anéanti par la fuite de sa fille, utilise un sortilège pour la ramener près de lui. Alvéric part à sa recherche mais en vain car le roi cache son royaume et sa fille à sa vue. Orion, quant à lui, grandit et apprend à connaître la forêt.



Même si je reconnais beaucoup de qualités à ce texte, je dois avouer qu’au final je reste sur ma faim. J’ai trouvé l’univers développé par lord Dunsany très intéressant. J’ai beaucoup aimé cette idée de différence de temporalité entre le monde des hommes et le monde des elfes : ainsi, si l’action s’écoule sur des années pour les humains, au Royaume Enchanté, il ne se passe qu’une journée tout au plus.

J’ai également trouvé l’intrigue intéressante : la quête désespérée d’Alveric, l’appel de la forêt pour Orion. Par ailleurs, l’auteur arrive à créer une ambiance vraiment mystérieuse dès que l’on aborde le Royaume Enchanté.



Malgré ces points positifs, je ne peux pas dire que ce roman m’ai emballé. Je l’ai trouvé très long. Tout d’abord, j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages. Peut-être est-ce dû à la narration à la troisième personne du singulier, mais je n’ai pas réussi à me sentir proche d’eux.

De plus, le rythme de l’intrigue est très lent. A mon goût, il y a trop peu de rebondissements qui viennent relancer ou pimenter l’histoire. Entre cela et les personnages dont je ne me sentais pas forcément proche, au final, j’ai trouvé ce roman un peu longuet.



Du coup, je ressors un peu déçue de cette lecture. Peut-être que j’en attendais trop ou peut-être suis-je passée à côté. Toujours est-il que malgré certains qualités, La fille du roi des elfes de Lord Dunsany est loin de m’avoir passionné.
Lien : http://tassedeculture.com/20..
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La fille du roi des elfes

Un gros flop je n'ai ressenti aucun attachement pour aucun personnage,il n'y as pas d'allure,ce livre est très fade il ne nous transporte pas du tout.


Lien : http://fantasialivre.skyrock..
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La fille du roi des elfes

C’est cette magie des temps anciens et pourtant si proches que l’auteur parvient à faire surgir de sa plume, ravissant le lecteur par son style éthéré, envoûtant, mais jamais désuet.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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