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Critiques de Louis Sanders (33)
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Les Naufrageurs

Dans un parfait style XIXème, l’auteur nous offre un excellent roman d’aventures qui ont eu lieu au XVIIIème et sont racontées en 1826.
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Février

Le narrateur est un Anglais installé en Dordogne. Un matin, il est invité par ses voisins, les Malebranche à présenter ses condoléances à la famille Caminade qui vient de perdre leur fils tué par l’arbre qu’il coupait. Mais quand il apprend par le médecin local que le mort avait des traces de coups au visage et que le premier fils de la famille est mort noyé, le jeune Anglais reconsidère la thèse de l’accident et mène alors une enquête informelle où il découvre les secrets enfouis de ce petit coin du Sud-Ouest. Des secrets qui remontent en partie à la dernière guerre, une Hollandaise qui n’en est pas une, un Anglais pas tout à fait anglais, un idiot du village et le pineau qui coule à flots…

Février est un bon petit polar du terroir périgourdin, entre communauté anglaise et patois local, secrets de famille et bistrots séculaires.
Lien : https://puchkinalit.tumblr.c..
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La chute de M. Fernand

Excellent ! Je me suis amusé à la lecture des aventures de Fernand Legras dans le Pigalle des années 70 . Cynique , profiteur , égoïste etc etc Fernand accumule les défauts et pourtant il est si sympathique .

Louis Sanders écrit ici une version romancée de la vie de Fernand Legros escroc qui inonda de faux tableaux le monde entier dans les années 60 et 70.

Sa description du Paris et plus particulièrement du Pigalle des années 70 est savoureuse et la galerie de personnages qui hante ce livre est un sommet du genre .

Roman bien écrit et sa lecture est jubilatoire même si parfois on se mêle les pinceaux entre les noms et surnoms des personnages .
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La chute de M. Fernand

Un pitch très alléchant : place Pigalle, Monsieur Fernand avec son manteau en peau de singe et sa rolls blanche un peu défraîchie. Il est fauché et va reprendre les affaires pour répondre à la demande d'une de ses connaissances corses (Albertine, un caïd, bien évidemment) : trouver un faux Dufy.

En parallèle le meurtre d'une prostituée qui fait entrer en scène un drôle de flic Cabrillac, avec ses chemises col pelle à tarte. Des soirées hautes en couleurs dans le monde de la nuit, de la drogue, de tous les excès.

Tout cela pour finalement un matin, arriver à la découverte du cadavre de Monsieur Fernand, dans une poubelle, tué de dix sept coups de pic à glace.

Tout était là pour plonger dans cette histoire!!! Mais je n'y suis pas rentrée, personnages pas forcément faciles à suivre, il faut attendre plus de la moitié du livre pour voir l'enquête sur le meurtre de M Fernand commencer.

En synthèse un pitch peut être trop alléchant!!
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La chute de M. Fernand

M. Fernand, figure pittoresque du quartier Pigalle, a connu son heure de gloire avec la vente de faux tableaux. A la fin des années 70, tous ses faussaires sont en prison ou sont parti au Brésil et il est fauché. Il terminara son parcours, troué de dix-sept coups de pic à glace, dans la poubelle d'une boîte de nuit des Champs-Elysées. La police n'aura que l'embarras du choix, parmi son entourage plus au moins recommandable, pour déterminer qui est le coupable.

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Février

Un bon livre policier à l'ancienne, classique, pour changer de style, si vous sortez d'un Kafka ou d'un Faulkner.

Mais rien de révolutionnaire pour la littérature.
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La Lecture du feu

"La Lecture du feu" est l'un des derniers romans écrit par Louis Sanders. Il a connu le succès par "Février", "Un passe-temps pour âmes ignobles" et "Les Naufrageurs". Ici, ils nous emmène dans le Périgord suivre des pompiers volontaires.



La quatrième de couverture laisse penser qu'il s'agit d'un roman policier. Mais ne vous y trompez pas, rien à voir avec un roman policier. Un roman noir certes. En effet, le roman ne respecte pas les codes du genre : pas d'enquêteur, pas de crime (enfin presque) et pas de coupable démasqué. Malgré tout, il y a un certain fil conducteur un peu mystérieux quand Yvon Lescure l'un des pompiers volontaires de Saint-Romain trouve bizarre l'attitude de ses collègues sur une de leur intervention. Il se pose donc des questions et s'il tente bien une sorte d'investigation, celle-ci reste très limitée. En fait, on dirait plutôt la description de crimes mais qui restent impunis car on suit des pompiers pas la police.



Il s'agit donc surtout de chroniques d'interventions de ces pompiers volontaires dans la campagne du Périgord. On découvre le quotidien des pompiers, toute la noirceur et la misère humaine. Comme par exemple, les vieillards abandonnés à eux-mêmes qui ne font plus le ménage chez eux et vivent dans leur merde quand ce n'est pas pire. L'auteur ne nous décrit pas des choses très réjouissantes. Tous les personnages ont plus ou moins le mal de vivre, une bonne partie est alcoolique et l'autre moitié ne croit plus en la vie... Et pourtant, tous ces pompiers continuent jour après jour à aider leurs concitoyens.



J'ai été plutôt surprise par le scénario puisque je m'attendais plutôt à un roman policier/polar, mais je n'ai pas été déçue. J'ai toujours eu envie de lire la suite et de savoir ce qui allait bien pouvoir arriver à la cohorte de pompiers. L'une de mes petites critiques est qu'au départ, on s'y perd pas mal entre tous les personnages... surtout que dans certains paragraphes, l'auteur passe de l'un à l'autre sans crier gare. Cela m'a obligée à relire certaines pages pour être sûre de bien suivre et encore parfois je ne suis pas sûre d'avoir bien compris. Idem pour les abréviations qui ne sont pas expliquées... Désolée mais je ne suis pas pompier ! Heureusement ce défaut s'estompe assez vite passé les 2/3 premiers chapitres. Pour le reste, le style de l'auteur m'a bien plu.



Au final, j'ai plutôt bien aimé. Je le conseille volontiers à tous ceux qui sont fans des romans qui suivent au plus près leurs personnages. Une bonne découverte et je pense que je tenterai la lecture d'autres romans du même auteur.
Lien : http://nekobus.wasabout.net/..
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La Lecture du feu

Rivages/Noir a publié ce roman en 2010 si je ne me trompe pas, Rivages/Noir, "collection dirigée par François Guérif" (à l'époque), une référence incontestable. Je me suis engagé dans "la lecture du feu" par hasard, après m'être procuré le livre dans un rayon d'occasions. Mon ressenti ? Une probable incompatibilité de mes goûts littéraires ! Cette chronique mettant en scène des pompiers volontaires du Périgord ne m'a pas convaincu. Peut-être parce que j'attendais un roman noir, avec une intrigue "policière" comme on dit, ce qui n'est pas le cas. Pris à contre-pied?

°

La quantité importante de personnages a compliqué ma lecture ; il m'a fallu une centaine de pages pour commencer à les identifier chacun, précisément (au point que j'ai failli établir une fiche les listant !) ; l'ambiance scatologique, ensuite, lourde et appuyée – ça va un moment, comme on dit ; l'ambiance rétro, au point qu'on se croirait dans les années 1950… Jusqu'au final, qui dévoile un (petit) mystère sur un probable assassinat, de façon totalement invraisemblable (pages 219-220). Comment un médecin peut-il diagnostiquer un arrêt cardiaque en examinant le corps d'un homme portant une large blessure au torse (même nettoyée) ? Peut-être est-ce sans importance…

°

Bref ! Je n'aime guère écrire ce type de compte rendu. Une fois n'est pas coutume ; et je sais que le ressenti d'autres lecteurs pourra se révéler très différent. La magie de la lecture (du feu) en quelque sorte !
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Auprès de l'assassin

Mark et sa famille arrivent dans un hameau de Dordogne avec l'envie de rénover un corps de ferme pour y aménager des gites.



Au delà de la barrière de la langue c'est une certaine froideur du voisinage qui va vite les faire déchanter. Jenny, la femme va commencer à avoir des visions et la tension va monter peu à peu tout au long du roman.



Cette famille anglaise se sent complément perdue, ne connait pas les codes de ces ruraux mal dégrossis, essaie de s'intégrer maladroitement et le roman verse peu à peu dans le drame.



Un roman noir, angoissant, bien mené, court et efficace.
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Comme des hommes

Lamentable ! A lire ce livre, et à voir la méconnaissance totale du Périgord et de la mentalité de ses habitants, l'accumulation de clichés, et, disons le mot,d' anneries, j'ai pensé que l'auteur était un de ces anglais qu'il met en scène. Eh bien non! Il est français ! Je ne sais pas quelle expérience du Périgord il a pu avoir, à moins qu'il n'y ait jamais mis les pieds. C'est d'ailleurs probable.
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Périgord noir

Plusieurs histoires courtes; certaines plus sombres que d'autres - A réserver aux inconditionnels de Louis Sanders.
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Taisez-vous, s'il vous plaît

Je pense que ce livre était très bien car on s’attend a ce que ce soit le Charentais qui a tué Jean Louis mais en fait c'est sont meilleur copain qui l'a tué pour des raison d'argent
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La chute de M. Fernand

Louis Sanders raconte une histoire simple. Un homme, une mort, une vie. Au singulier et au pluriel. Une réussite.
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