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Critiques de Luc Doyelle (73)
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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

C'est au pied du mur qu'on mange les merles est le roman de Luc. Sa première oeuvre : Les liaisons presques dangereuses m'avait enthousiasmée et ma chronique le démontre de manière incontestable.



Ce nouvel écrit est à l'image du premier sur lequel je n'avais pas, je pense, suffisamment mis l'accent sur l'humour présent à chaque page.



Dans Les Merles comme j'appelle ce roman affectueusement, on y retrouve les mêmes personnages, les mêmes héros mais quelques années plus tard. Lucius s'active à faire la promo de son premier roman et à la manière de Retour dans le futur, on assiste à des va et vient dans la passé, le futur. Le Lucius d'aujourd'hui croise son autre (son lui ?) quinze plus tôt, le croise et le recroise à divers moments de sa vie au cours d'une visite des plus banale dans un placard dans le but, que nous faisons tous deux par an, de d'intervertir les habits d'été et d'hiver.



L'humour y est fortement présent. J'ai terminé ce second roman pendant mes vacances en Ardèche, surtout le soir sous la couette au sens propre du terme car je partageais ma chambre avec deux de mes enfants et ne voulais les incommoder par la lumière. Je n'ai pu cependant réprimé quelques éclats de rire, quelquefois étouffés, d'autres incontrôlables (pardon ma Puce de t'avoir réveillée parfois).



L'humour y est fort, présent tout au long du roman. On rit mais je ne parle pas d'une ébauche de sourire, je parle d'un rire franc, fort et impossible à contrôler.



Concernant l'écriture, la travail suit son oeuvre et Luc est incontestablement un travailleur acharné. Ses textes s'en ressentent, j'y ai perçu plus de maturité, plus de maîtrise et Luc est Luc et il laisse son empreinte, son style, son "moi" avec sensibilité et son coeur.



Alors Luc, nous nous commençons à bien connaître maintenant et je ne vais te lancer des fleurs gratuitement, non, non, non !!! J'ai beaucoup aimé Les Merles mais il m'a manqué un petit quelque chose, un je ne sais quoi. Les allers-retours dans les différentes périodes de ta vie ne m'ont absolument pas déroutée, au contraire, j'ai trouvé l'idée très originale. Peut-être est-ce du alors au fait qu'il n'y avait plus l'effet découverte ? Je ne sais pas.



Je vous conseille cependant avec ferveur et conviction la lecture de "C'est au pied du mur qu'on mange des merles" mais attention il y a un risque : celui de vous décrocher la mâchoire à force de rire.



Quant à toi Luc, le gamin timide, ne t'arrête pas. Avec la sensiblité et la talent que tu possèdes, tu écriras un jour un très grand et véritable chef d'oeuvre et ce jour-là, je serai encore là pour le lire.
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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

Ramettes, je te dois de gros sourires, de petits rires (lorsque je n’étais pas seule) de bonnes rigolades (lorsque j’étais seule dans mon lit).



Certains présentateurs de télévision se trouvent mis au placard. Savons-nous de quoi il s’agit exactement ? Et si cela se passait comme pour Lucius ?



Lucius est un grand voyageur spatio-temporel. Pas besoin d’une logistique digne de Kourou, il n’a qu’à entrer dans son placard et, hop…. Direction le passé. Des séquences délicieuses lorsque Lucius le Jeune rencontre Lucius le Vieux et quel chaos, quel choc.



Surtout ne pas essayer de trouver LA logique. Dans le monde de Lucius et de ses placards, elle n’existe pas, pardon, ce n’est pas la même que nous.



Les calembours genre Almanach Vermot ou genre moi se ramassent à la pelle (pourtant nous ne sommes plus en automne et les feuilles sont déjà tombées et ramassées). Dès le préambule nous sommes avertis de sa qualité de membre honoris causa de l’ASNOBAPA.

Pas de doute, Doyelle est barré placardé. Son humour loufoque, ses jeux de mots à 2 balles (de ping-pong) m’ont enchantés, m’ont fait rire. Séance de gymnastique faciale gratuite avec extensions des zygomatiques, des abdos par contractions hilarantes et j’en passe et des moins bonnes.



OK, c’est barré, c’est loup-phoque, hi l’hareng, mais l’écriture n’en pâtit pas et non petit pas. Il y a du boulot dans ce livre (le chêne est trop onéreux). Vous aurez même l’explication du dicton « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse » !



« Faute de grives on mange des merles » dit le dicton. Mais des merles sauce Doyelle, j’aime m’en repaître (je mets re devant car je ne suis pas un bovin). Je vais me pencher ( mais pas trop) sur le cas de son premier livre « les liaisons presque dangereuses, ou comment soigner l’hypertrichose d’un animal de compagnie ». Le titre est déjà tout un programme.



Un livre qui fait beaucoup de bien qui chasse la morosité.




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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

Un titre qui en dit long sur ce l'humour qui nous attend !

Bon rentrons dans le vif du sujet j'ai adoré les jeux de mots, les situations cocasses, surréalistes (la scène chez le boucher est géniale... dur dur de manger un steak de kangourou maintenant). les noms des personnalités sont souvent modifiés... question pourquoi pas pas Philippe Djian (là Lucius von Lucius tu as fini par me charmer! il ne faut pas grand chose parfois pour se sentir sur la même longueur d'onde).



L'emploi volontairement humoristique des notes en bas de pages, j'ai trouvé ça une bonne idée... elles introduisent parfois des digressions et parfois mettent en exergue des boutades et autres jeux de mots. L'emploi de fausses références comme celle du Larousse en 18 vol poitevin-français (qu'il arrive à un moment donné à sortir d'une boîte à gant !) est belle trouvaille aussi...



Quand aux conversation avec Gypsie (GPS) elle m'a trop rappelé les dialogues surréaliste de mon mari avec les pompes à essence à carte.



Astucieux de nous renvoyer à ton premier roman puis aux suivants qui sont à écrire !

Comme souvent dans les romans dit humoristiques on y trouve des sujets très sérieux que l'humour fait passer... On y découvre des questions plus philosophiques sur les relations dans un couple, le fameux effet papillon (j'ai la chanson de Benabar dans la tête "petites causes, grandes conséquences"). Rien n'est anodin et surtout pas des voyages dans le temps dans sa propre vie !



Bon après avoir dit toutes ces banalités j'espère avoir donné envie de passer un bon moment de détente !
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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

Monsieur Doyelle, membre actif (mais non voyons, pas celui-là !) militant contre l’interdiction du papotage des oiseaux fildeféristes (IPOF), j’ai failli ne pas franchir la page 15 (elle était collée à la suivante (page, hein) : une enquête est en cours) de votre roman "C’est au pied du mur qu’on mange des merles" : mal m’en aurait pris.

Votre maison et ses placards abritent de bien sympathiques personnages, et votre notion du temps qui passe est une bénédiction pour les zygomatiques.

Vous l’aurez compris, une nouvelle fois, j’ai adoré votre livre !

PS : vous passerez le bonjour à l’amie, de ma part, et n’hésitez pas, au passage, à pincer les fesses de Monica (On ne se refait pas… mes origines italiennes, ça ).

Amicalement… et vive le prochain !!!

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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

En ces temps où l’hiver perdure, je connais un remède contre la morosité ambiante : il suffit de lire ! Oui, mais pas n’importe quoi ! Il vous faut quelque chose qui vous réchauffe le cœur, le corps et l’âme. Et moi, j’ai trouvé ! « C'est au pied du mur qu'on mange des merles » de Luc Doyelle (Lucius von Lucius, pour les intimes^^^) édité aux Éditions Laura Mare, est THE livre à avoir impérativement dans sa bibliothèque ! En fait, c’est un livre de type climatisation : il vous réchauffe par son style, les sourires et les rires qu’il déclenche si vous le lisez quand il fait froid, et il vous souffle une brise fraîche et décoiffante en cas de fortes chaleurs ! Je soupçonne son auteur d’être fou, mais pas au sens psychiatrique du terme – oh ! Non – mais de cette folie douce, celle qui vous pousse à aller de l’avant, qui vous donne l’âme créatrice et qui vous entraîne dans un monde où la dérision règne en maître ! Chapeau bas, Môssieu Luc ! Et en un mot comme en cent : Lisez du Doyelle et la vie sera belle !
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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

Préfigure l'univers de l'auteur, contient déjà les ingrédients qui font de ses livres de purs moments de bonheur
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C'est au pied du mur qu'on mange des merles



Alors, alors, alors... Ce roman, comme le premier d'ailleurs (Les liaisons presque dangereuses) est comme une bouffée d'air frais. Une vent frais durant un été caniculaire. L'écriture est fraiche, amusante. Nombre de rires m'ont secouée. C'est farfelu à souhait. Dans ce monde, dans cette époque ou règne une grisaille sans faille, empreinte de dépression, ce livre est comme une bouée. Un délire délicieux :).



Je vais mettre cet extrait car il m'a fait bien rire :





- Monsieur Mecton, je vais te raconter une histoire, qui date de mes années de fac. J'avais une copine, pas très fute, fute...

- Ca veut dire quoi?

- Pas très futée, si tu préfères. Un jour, je l'emmène à la plage, à l'espiguette, en compagnie d'une bande de copains. Il y avait Jibé, Jief, Zib et quelques autres. Nous étions allongés sur le sable, à discuter et rigoler, et elle, elle dit : "Tu viens te baigner?" Je lui réponds d'aller sans moi, et je reste avec mes copains, à rigoler et mater les maillots des filles. Elle se pointe dix minutes plus tard : "Tu viens te baigner?". "Non, je reste encore un peu sur le sable". Alors elle y retourne. Et revient encore dix minutes plus tard, pour m'entrainer à la flotte. Ce petit manège dure un bon moment. Quand elle me demande pour la dixième fois si je vais me baigner avec elle, je commence à m'énerver, et je lui dis " Allez, casse toi maintenant". Du coup, elle prend ses cliques et ses claques, et je ne l'ai plus jamais revue. J'espère qu'elle a fait du stop pour rentrer, car il y a bien une centaine de kilomètres entre l'Espiguette et Uzès.

- Papa, elle est chouette, ton histoire, mais je ne vois pas quelle moralité je peux en tirer.

- Pourtant c'est simple : tant va la cruche à l'eau, qu'à la fin, elle se casse...






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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

L'auteur nous fait voyager avec lui, pour notre plus grand plaisir. C'est mal de se moquer des autres, mais là... difficile de faire autrement. Il ne se passe pas une page sans que le sourire nous éclaire le visage. Quand Lucius voyage, ce n'est pas dans la Doloréane mais dans son placard …. Il se rencontre avec lui même, se croise, se parle, voyage même avec lui... Il se fait même la morale à lui tout seul...



Comment ça je ne suis pas très claire dans ma chronique ???? En même temps je vous mets au défi de le faire. Lisez ce livre et essayer d'en donner un avis clair et limpide !!!!! Ce livre n'a aucune logique, mais qu'est ce qu'il est bien alors …. On y croise aussi plein de gens connus (en espérant seulement que eux ne se reconnaîtront pas....)



Casquette haute (moi aussi je sais faire : chapeau bas n'est plus d'actualité maintenant!) pour cet auteur hors du commun qui utilise les bas de page (malheureusement les hauts de page ne sont pas encore acceptés … Ca en est où d'ailleurs ? Des retours de l'Académie Française sur le sujet ???? ) comme une partie intégrale de la page... Mais à quand les annotations dans la marge Lucius …


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L'ennui du mort-vivant

Les chapitres sont racontés tour à tour par Lucius, un homme détective-écrivain, qui aide parfois son meilleur ami à embaumer des corps; et par un grand Vizir qui pourchasse une peau de mouton. Ils sont chacun sur un continent et leurs chemins vont finir par ce croiser suite à une enquête un peu folle.



Dès le début, j'ai eu du mal à plonger dans cette lecture. Les chapitres concernant le grand vizir, je les ai survolés, je ne comprenais pas tout. Les chapitres racontés par Lucius était plus terre-à-terre mais c'est sans compter les de jeux de mots. Il y en a un peu trop à mon goût. Même si j'ai rigolé à certains moments, j'avais une sensation de lourdeur.



Je n'ai pas vraiment compris l'histoire en elle-même, l'enquête : un ami de Lucius s'est fait volé une peau de mouton (la même que cherche le Vizir) par un homme; ce dernier meurt mais son corps disparaît, il est revu vivant, puis retrouvé mort à nouveau, etc. Lucius tente donc de percer ce mystère.



Les noms de tous les personnages sont loufoques (j'ai bien aimé le nom du chien : Moisi !).



Je ne m'attendais pas trop à cela en lisant le résumé. Je n'ai pas accroché, l'univers de cet auteur ne me correspond pas. C'est un récit (très) décalé, mais bien écrit.
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L'ennui du mort-vivant

Dès le prologue, le ton est donné. Un achat dans une médina semble grandement déplaire à un homme, vizir de son état (oui, oui, un vizir, bah, pourquoi pas, après tout), qui commence par éliminer le vendeur avant de partir à la recherche du touriste qui a fait cette acquisition.

Dis comme ça, il y a des chances pour qu’on se retrouve dans un policier, voire un thriller. Mais le ton ne ressemble en rien à tout ce à quoi l'on peut s’attendre. Calembours et loufoqueries en tout genre sont de la partie. Bon, en même temps, on est déjà en présence d’un ministre de l’Égypte antique, alors quoi d’étonnant ?

Cette enquête se déplace d’un continent à l’autre, à la suite de notre touriste. Quoi de plus drôle, pour une histoire qui part de l’Égypte que de faire entrer en scène un thanathomachin, là, mais si vous savez, enfin bref, un embaumeur. Destinataire d’un cadeau volé à l’arrivée, notre homme va bien malgré lui se retrouver à mener l’enquête.

Sous couvert de morts en séries, et de recherche d’une relique disparue, on est surtout en présence d’une histoire complètement déjantée qui ne se prend pas au sérieux une minute.

L’humour présent tout du long, les personnages, ce qui leur arrive ainsi que leurs idées sont totalement décalés. Au fil des pages, même si les morts semblent s’accumuler, on ne peut que sourire face aux cocasseries des situations et des jeux de mots. Toute cette histoire n’est que prétexte à cet exercice et l'on s’y laisse prendre, on les cherche, on les attend. Les notes de bas de page aident, fort heureusement, pour certaines traductions, car on a même droit à certains passages en différentes langues, voire même en hiéroglyphe…

Quant au mort vivant, du titre, effectivement, on se pose la question plus d’une fois, mort ou vivant ? Mais c’est qui ce type ? Comment fait-il pour revenir sans cesse à la charge ? Si, si, je vous assure, ce mort semble plus vivant qu’il en a l’air, ou ce vivant plus mort qu’on le croit. Enfin bref, l’auteur arrive à m’embrouiller, à force je ne sais plus.

Voilà une histoire rafraîchissante, au style d’écriture unique et inclassable. Si vous aimez vous prendre au sérieux, passez votre chemin, sinon, allez-y, vous risquez comme moi, de n’avoir qu’un seul regret : pourquoi j’ai gardé ce livre aussi longtemps avant de l’ouvrir ?
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L'ennui du mort-vivant

Lorsque l’auteur m’a proposé de lire son roman, j’ai de suite dit « Oui, oui, mille fois oui » à cause du titre.

Oui, je sais, achevez-moi… les mort-vivants et moi, c’est juste une très très grande histoire d’amour.



Bon alors aucun zombie à l’horizon, hein!!

Je me suis faite avoir comme une bleue!! :p



Non mais je m’en doutais en fait… Nous sommes ici dans un polar humoristique pas dans un roman horrifique!

Oui, oui, un polar humoristique…

Je ne connaissais absolument pas!

Il faut dire que je lis peu de polar (bien que de plus en plus, quand même!) et peu de livres qui font rigoler donc forcément.



Le début du roman a été un peu déroutant mais surprenant.

Un polar où notre héros Lucius von Lucius va devoir percer un mystère mystérieux à base de secret hyéroglyphé sur une peau de mouton fossilisé et de cadavre qui se la joue Highlander.

Le héros vient apostropher le lecteur de temps en temps, j’ai trouvé cela assez sympa mais par contre, j’ai trouvé les jeux de mots un peu trop présents par moment.

Cela n’a absolument pas dérangé ma lecture mais je me suis dit « C’est un peu lourd, là » à plusieurs reprises.

C’est sûrement le genre qui veut cela et beaucoup de gens risquent d’y trouver leur compte mais c’est vrai que pour moi, un peu moins de jeux de mots, cela aurait sympatoche.



Cependant, j’ai trouvé cet univers déglingo sympathique comme tout.

Les références sont assez marrantes et l’histoire vraiment prenante.



Pour vous faire une idée du style du l’auteur, je vous laisse lire sa biographie:



Luc Doyelle est un enfant de la Baule. Arraché à sa famille suite au crash du bus 144 détourné sur Naypyidaw par un commando poujadiste, il est recueilli par une panthère noire et un ours dans la jungle birmane.

La fin de l’adolescence ayant permis la disparition de quelques boutons d’acné, il décide de se confronter à la civilisation, s’établit au Cap d’Agde et organise des tournois de strip poker dans les camps naturistes de la région, accumulant durant ces années une véritable fortune. Fortune qui lui permettra, quelques années plus tard, de remporter le fameux prix Congourt pour son premier roman : « L’être et le nez en trompette ».

Aujourd’hui, Luc Doyelle vit retiré du monde à cinq minutes de La porte de Champerret et organise des combats de koalas dans les bas-fonds de Neuilly et Courbevoie.

La police n’a jamais pu le prendre en flagrant du lit.

Voilà, c’est tout à fait cela le style Luc Doyelle. :)




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L'ennui du mort-vivant

« L’ennui du mort-vivant » est un polar dans la même veine que San Antonio. Jeux de mots garantis. Luc Doyelle nous emmène à la poursuite d’un parchemin en suivant la trace d’un « mort-vivant » et de poils de chèvre. Contrairement à Lucius, j’ai passé un bon moment.
Lien : https://linemarlin.com/ennui..
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L'ennui du mort-vivant

Je vous présente Lucius Von Lucius et son pote Jad . Anciens légionnaires ?, rattrapés par l'âge, il leur a fallu arrêter leurs pérégrinations, pas toutes touristiques soit dit en passant, à travers le monde et rentrer au bercail. Les voilà installés à Paris reconvertis le premier dans l'écriture de romans et l'autre dans l'embaumement. Cool la vie sauf quand réapparait Kryptonite alors là les emmer.... commencent pour Lucius et ce n'est là qu'un euphémisme!

Quand vous saurez que tout tourne autour d'un morceau de peau de mouton vous commencerez à comprendre le propos, quand vous réaliserez que cette peau est en fait un parchemin égyptien de toute beauté et surtout de grande valeur vous connaitrez le mobile; le décor Paname, les personnages meurent , les cadavres disparaissent et réapparaissent , les morts sont des morts vivants jusque là rien de plus normal dans l' univers déjanté de Luc Doyelle . Si vous êtes nostalgique du Commissaire San Antonio et de sa gouaille ce roman est fait pour vous ! N'hésitez pas c'est exactement ce qu'il vous faut. Quant à moi je suis satisfaite , j'ai tout compris pas un mot ne m'a échappé, certes parfois les vannes sont un peu lourdes, souvent il faut les lire à haute voix pour comprendre le jeu de mots mais qu'elle importance ...

Je voudrais remercier Luc Doyelle qui m'a donné l'occasion de découvrir ainsi sa plume. Et même si ce genre littéraire ne me convient pas je dois reconnaître le talent de l'auteur.
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L'ennui du mort-vivant

L’ennui du mort-vivant ou le vrai con malté s’inscrit dans la veine des San Antonio et on retrouve d’ailleurs un nombre impressionnant de néologismes, calembours et autres contrepèteries. De plus, si vous souhaitez en découvrir un peu plus sur l’univers et les personnages, je vous suggère de lire les autres romans et nouvelles de l’auteur.



En bref, bon roman qui séduira les réfractaires de la lecture jusqu’aux inconditionnels de l’humour. Son style fluide permet une lecture facile et rapide, les cliffhangers, eux, se chargent du reste. Idéal pour réchauffer les longues soirées d’hiver à venir.
Lien : https://biblideleona.wordpre..
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L'ennui du mort-vivant

Si on enlève l’humour que je n’ai pas capté, les références que je n’ai pas relevées, et la vulgarité trop présente à mon goût, ce bouquin est plutôt intéressant. D’ailleurs, je l’ai lu jusqu’au bout... car ce type qui mourrait et ressuscitait sans cesse...c’est quand même intrigant. Et puis, il faut dire que l’auteur sait embarquer le lecteur en entourant l’histoire d’assez de mystère pour que ledit lecteur veuille aller plus loin... il y a également de bons ( voir même très bons) jeux de mots...

Un bon bouquin même si je n’ai pas tout capté (et ceci ne tient qu’à moi et non à la belle plume de l’auteur qui a un très bon talent de narrateur !)



Je vous conseille tout de même de vous essayer à la prose de cet auteur car il le « veau bien » ... bon...mes jeux de mots sont loooooin d’être à la hauteur des siens. Si vous aimez les jeux de mots, le mystère, les enquêtes qui sortent de l’ordinaire... testez ce livre !
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L'ennui du mort-vivant

Luc Doyelle est un homme multi-facettes. Tout d’abord infirmier en psychiatrie, il exercera parallèlement le métier de photographe et celui d’écrivain.



L’auteur n’en est pas à son premier roman humoristique, il a déjà écrit les liaisons presque dangereuses (Les nouveaux auteurs), C’est au pied du mur qu’on mange des merles (Laura Mare éditions), Qui veut la peau de Nestor Boyaux? (Laura Mare éditions) et Les pensées inavouables de confusius ( Éditions du Venasque).



L’ennui du mort-vivant (Independently published) est le deuxième polar humoristique de l’auteur dans lequel on retrouve des références à certains des romans cités supra.



D’ailleurs, il est vivement conseillé de les lire pour une meilleure compréhension des personnages et leurs interactions. (pour les bourses modestes, dont je fais partie, les romans en version numérique sur Amazon sont vendus à entre 0,99e et 5e.). Vous pouvez également consulter les avis sur le blog de Luc DOYELLE @ LuciusVonLucius.



Le titre et le dessin de la couverture sont en adéquation avec l’intrigue de l’histoire.



A ce propos, voici un bref résumé de ce polar: Une relique égyptienne volée et re-volée. Un mort qui ressuscite sans cesse. Un flic au bord de la crise de nerfs. Un embaumeur amateur qui va vivre les pires quarante-huit heures de son existence.

Heureusement, tout cela n’est pas à prendre très au sérieux, dans ce polar humoristique trépidant.



Si vous aimez les histoires loufoques, drôles, remplies de sous-entendus et les polars, ce roman est fait pour vous car tous les ingrédients énoncés sont présents.



En dehors du trait humoristique continuellement présent, l’auteur grossit les traits de chacun des personnages mais également ceux liés à la religion et à la politique qui, en fonction des sensibilités, fait qu’on apprécie ou pas ce genre d’humour ainsi qu’un parti pris de la part de l’écrivain (où pas mais on peut le supposer). Perso, j’ai adoré.



L’auteur maitrise et manie parfaitement la langue française et les jeux de mots sont un vrai délice.



L’intrigue est bien ficelée mais personnellement je me suis un peu perdue avec l’humour et les sous-entendus ou jeux de mots présents à chaque phrase.



Malgré ce constat, j’en garde un délicieux souvenir et ce qui me plaît ne plaît pas forcément aux autres, raison pour laquelle je recommande vivement la lecture de ce roman (et tous les autres écrits par Luc Doyelle).



Pour finir, c’est un roman qui fait du bien aux zygomatiques et vu la conjoncture actuelle il devrait même être remboursé par la sécu.
Lien : https://aliaspapin.wordpress..
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L'ennui du mort-vivant

Je n'ai jamais autant ri en lisant un livre. Luc Doyelle a su intégrer de l'humour intelligent, parfois bien caché, à un roman policier loufoque et addictif. A lire (et à relire) !
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L'ennui du mort-vivant

Pour notre plaisir, Luc Doyelle récidive avec les aventures trépidantes et rocambolesques de son alter ego Lucius von Lucius, lui-même auteur de polars et thanatopracteur à ses heures perdues et non retrouvées ajouterait peut-être l'auteur.



Voici son personnage embarqué dans une affaire étrange dans laquelle, on retrouve pioche-mêle : un mystérieux texte hiéroglyphique, Nestor Boyaux, la pas si refroidie Monica Bellouga, un grand vizir allumé, un président presque normal, un pas ami surnommé Kryptonite qui joue les serial killed, un flic, de la bière, un thanatopracteur professionnel, un pokerman (tient celle-là tu ne l'as pas fait Luc !), un tatoueur, un massacre de portables, un no-life, un disque dur qui n'en est pas un, la douce Amandine et j'en trépasse surement, l'Amie aussi.



Un rythme endiablé à faire friser les ailes des anges et surtout un humour décalé comme je l'aime. Luc Doyelle est maître es- calembours et jeux de mots les plus tirés par les cheveux que même un coiffeur n'oserait pas commettre de Haley. Que c'est bon ! Expressions détournées, références iconoclastes, clins d'oeil à quelques célébrités et coup bas aux passages. Moi aussi je risque d'épuiser mes synonymes si je continue à essayer de décrire les bons mots de l'auteur ; et je m'excuse d'heureux chef auprès de lui, d'avoir emprunter si maladroitement son style en forme d'Ô mage (respect !) dans cette chronique. Pour finir je le lui rend donc...



Bref, un roman qui m'a ravi où l'humour prend le pas sur une histoire qui reste tout de même présente. Un livre que je vous recommande chaudement (pas autant que la fin, tout de même !).
Lien : http://fredericgobillot.over..
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L'ennui du mort-vivant

Avec ce livre, j’ai découvert l’univers de Luc Doyelle. Un univers que j’aime beaucoup ! J’ai passé un très bon moment avec Lucius et tout les autres personnages qui gravitent autour de lui et que l’on retrouve également dans ses autres romans. Autres romans que je vais d’ailleurs me faire un plaisir de découvrir. Mais revenons à ce livre ci. C’est un polar, je dirai même un polar humoristique. Chaque chapitre, chaque paragraphe est truffé d’expressions, de blagues en tout genres ou encore de jeux de mots absolument hilarants. C’est complètement décalé et ça fait un bien fou ! C’est écrit à la première personne, sauf dans les chapitres consacrés à l’homme porteur de babouches (dont je ne vous dirai rien d’autre). J’aime beaucoup lire des livres narrés à la première personne, je trouve que ça rapproche davantage le lecteur au personnage. Et dans ce livre, comme si l’écriture à la première personne ne suffisait pas niveau rapprochement, Lucius s’adresse directement à nous. En nous laissant, par exemple, choisir la meilleure appellation dans une sélection de plusieurs, ou encore, en discutant avec nous avant de revenir au sujet initial et j’ai vraiment adoré ça. Autre chose que j’ai adoré pendant que j’y suis : Les notes de bas de page. Je n’en dirai pas plus non plus, mais elles valent le déplacement ! Je vais maintenant parler de l’intrigue. Ce livre est certes rempli d’humour, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un polar. L’intrigue donc, tient remarquablement bien la route, elle est très bien ficelée et je me suis prise au jeu de cette enquête aux multiples rebondissements. En bref, ce livre sort complètement de l’ordinaire. C’est un polar avec pour personnage principal un véritable roi de la blague, un pro des calembours. Un livre idéal pour tout ceux qui aiment les livres réunissant les enquêtes et la franche rigolade. Je vous le recommande en vous invitant toutefois à être prudent si vous comptez le lire en public, un fou rire est si vite arrivé !
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L'ennui du mort-vivant

Luc a encore fait fort, avec ses jeux de mots, son humour, et son esprit débordant d'histoires rocambolesques.



Véritable remède contre la morosité ambiante, l'intrigue se déroule autour de décès suspects. Surtout quand il s'agit de la mort multiple d'un homme.



L'histoire est bien amenée.



On se retrouve à l'issu de notre propre gré, lié à Lucius, vivant ses aventures à ses cotés, ne dormant plus, ne mangeant plus.



J'ai particulièrement aimé les passages sur Franche Info, avec les déplacements purement écolo du président Normal.



Vous trouvez que la vie est grise? lisez L’ennui du mort-vivant, vous ne serez pas déçu.




Lien : http://mcchipie.over-blog.co..
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