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Citations de Luca Blengino (136)


La politique n'est rien d'autre qu'un immense spectacle.
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- Hoplite, que se passe-t-il ? Pourquoi ce retard ?
- Et bien, mon ami, disons que j'avais des besoin à satisfaire.
- Tu n'as donc pas écouté le discours de ton roi ?
- C'est peut-être nouveau pour toi, Corinthien, mais moi j'ai déjà assez entendu assez de discours pour savoir qu'ils se ressemblent et que cela ne changera rien. Dans quelques heures, je serai peut-être transpercé par une flèche perse... au contraire de ceux comme toi, bien planqués à l'arrière.
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Quelle est l'importance d'un visage lorsque l'on parle d'une légende ? Le corps, le visage.... appartiennent à la dimension mortelle. Alexandre est devenu immortel de son vivant.
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- De l’argent, de l’argent, toujours de l’argent...
- Inventer de mauvais présages et semer le doute au sein du peuple est long et onéreux…
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Le trône de Rome trône n’est qu’un instrument de torture… Une machine à tuer particulièrement sadique, destinée à broyer les chairs et les esprits de tous les malheureux que le destin lui a désignés.
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- Qui était-il donc pour assassiner ses vieux amis l'un après l'autre tandis qu'il épousait la fille de son ennemi ?
- Lui ? C'était simplement... Alexandre... Certes pas un dieu, mais sans doute le plus grand des hommes qui marchèrent sur cette terre. Un homme qui avait un rêve : porter le peuple grec aux confins du monde.
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Damnatio Memoriae. Un châtiment très ancien que le peuple romain a emprunté aux Grecs. Il aurait été infligé pour la première fois il y a plus de cinq cents ans, à un berger de la ville d’Ephèse qui avait décidé de brûler le grand temple de Diane bâti là-bas, et ce dans l’unique but de marquer l’Histoire. Raison pour laquelle son nom fut condamné à l’oubli.
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Le peuple croit toutes les histoires du moment qu’elles sont bien racontées.
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Tous les Grecs ne s'étaient pas laissé séduire par les charmes de l'Orient. Pour beaucoup, et je confesse que j'étais parmi eux, l'éloignement de notre Grèce natale était devenu insupportable. Au cours des années, le mécontentement était devenu sédition. Et la sédition ouvrit la porte à la rébellion. Nous étions sur le point de revivre les temps oubliés de Thèbes, d'Athènes... quand les Grecs levaient les armes contre d'autres Grecs. Alexandre fut cette fois plus clairvoyant. Il comprenait qu'il ne pouvait demander plus d'efforts à son armée. Il permit à dix mille vétérans de repartir en Macédoine. Oui. Je sais, j'étais l'un des chanceux. Il m'a fallu quatre ans pour rentrer chez moi.
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- Lorsque nous sommes partis à la poursuite de Darius, j'étais persuadé que la campagne ne durerait que quelques mois... J'étais stupide...
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Et voilà… Hélépolis ! La destructrice de cités !! La monstrueuse machine de guerre conçue par le général Démétrios pour abattre les défenses de Rhodes !! Embarqués sur un bateau incendié par l’ennemi à l’aide de poix et de chaux vive, moi et mes glorieux matelots avons mené un assaut désespéré pour la vaincre… Ce fut comme escalader l’Olympe lui-même à mains nues, et se présenter en face des dieux… Sous nos pieds brûlaient les flammes des enfers. Au-dessus, les lances de nos ennemis étaient si nombreuses qu’elles assombrissaient le ciel, en ce jour tout à la fois terrible et glorieux…
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C’est tellement difficile d’imaginer la guerre. Il est impossible de concevoir, si on ne les a pas vécues, les horreurs du champ de bataille.
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-Je ne pensais pas que si près d'Alexandrie pouvait exister un endroit aussi...
-Horrible ? Je comprends... Certaines choses sont difficiles à imaginer quand tu es né du bon côté de la muraille.
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Les maladies se fichent des frontières et de la politique.
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- Seuls les dieux méritent qu'on se prosterne devant eux ! Alexandre ignore-t-il que nous les Grecs, nous ne nous agenouillons jamais devant un mortel ?
- Tu as raison. Mais Alexandre n'est pas grec... C'est un Macédonien !
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La seule et unique chose qu’un dieu ne peut pas exiger des humains, c’est qu’ils cessent de l’adorer.
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- Elle… Elle est morte ?
- Non, ma princesse. Elle respire normalement. C’est juste que… elle ne pleure pas. Un enfant qui vient au monde en silence et sans larmes, c’est très mauvais signe. Le malheur accompagnera cette créature durant toute son existence.
- Le vrai malheur, c’est surtout que j’ai encore accouché d’une femelle, totalement inutile à la descendance de la dynastie.
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- Quelle est cette folie ?! Les rapports, les comptes... tout est faux !
- Une... mauvaise administration, mon roi ! Les satrapes et dignitaires persans que tu avais généreusement maintenus n'ont pas oublié pour autant leur ancien vice perpétré gaiement du temps de Darius... la corruption ! Après tout ; avec ton absence prolongée, il est normal que les anciens vaincus aient oublié si vite qui était le vainqueur.
- Comme si tu étais étranger à cette sale habitude, Harpale ! Et l'incompétence n'est pas réservée aux Perses !!
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- Avant la fin de l'année, nous eûmes un vieux roi à pleurer, un usurpateur à exécuter et un nouveau souverain devant lequel s'agenouiller. Comme si, bien sûr, ce n'était pas lui l'usurpateur...
- Ah ! Un usurpateur ! Rien que ça ! Que doivent endurer mes vieilles oreilles...
- Et que faudrait-il dire ? Un roi qui, au lieu de conquérir le royaume de son voisin, s'assied tranquillement sur son trône pour en devenir le nouveau souverain... tels certains mollusques qui quittent leur coquille trop petite pour s'installer dans une plus grande restée vide.
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C'est l'une des erreurs d'Alexandre de n'avoir jamais préparé sa succession.
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