Citations de Maeve Binchy (116)
Dans le monde d’aujourd’hui, il n’était pas nécessaire de tout expliquer ou d’aller au fond des choses.Tout ce qui comptait, c’était de saisir les bonnes choses quand celles-ci s’offraient à vous de façon à faire encore plus de bien autour de vous. Il fallait saisir la chance au vol lorsque celle-ci se présentait.
On ne vivait qu’une fois, après tout.
Ce bois n’est-il pas merveilleux ? On finit toujours par trouver une solution à ses problèmes quand on vient ici.
La moisson est grande, mais rares sont les laboureurs.
La paresse est la mère de tous les vices.
Qu’il est agréable de se promener dans les bois quand il n’y a personne! C’est ce que je préfère: faire une bonne balade sans rencontrer âme qui vive.
Il avait l’air si heureux, si juvénile, qu’il était difficile de ne pas le trouver sympathique.
Peu des Irlandais ayant émigré aux Etats-Unis avaient eu l’occasion de pratiquer ces nobles sports sur la terre de leurs ancêtres. Ils étaient partis aux Etats-Unis, chassés de chez eux par d’autres Irlandais, d’une religion différente. Patrick leur proposerait un retour aux sources, une revanche.
Il est inutile d’entamer une discussion qu’il nous faudra interrompre dès que quelqu’un franchira la porte. D’ailleurs, nous ne sommes sûrs de rien. A quoi sert-il de s’emballer? Nous apprendrons en temps voulu ce que ce bonhomme a l’intention de faire exactement de Fernscourt. Qui sait? Nous y trouverons peut-être notre compte.
Les Américains ne faisaient pas les choses à moitié!
C’est très étrange. Les ombres semblent animées d’une vie propre, vouloir nous dire quelque chose. Je suis sûr que ça vous plairait beaucoup. Il leur parlait comme à des grandes personnes, leur suggérant tranquillement quelque chose d’aussi irréalisable qu’une escapade nocturne à Fernscourt.
On ne peut vraiment rien faire dans ce pays sans que tout le monde soit au courant. Et moi qui étais justement en train de me dire que Mountfern était un endroit plaisant. Sans surprise, mais plaisant.
Il n’y a pas d’homme là-haut, ce qui ne t’empêche pas de trouver la lune très belle
L’argent n’avait jamais beaucoup compté pour eux, mais récemment, ils avaient pris conscience du fait que quatre enfants ne vivaient pas de l’air du temps, qu’ils avaient besoin de chaussures, de cartables, de cahiers, de manteaux...
Plus je vieillis, plus je m’aperçois que les bonnes sœurs avaient raison : les hommes sont tous des brutes sans cœur.
Servir à boire aux autres ne lui avait pas fait prendre une once de ventre, comme elle le lui faisait remarquer plus souvent qu’à son tour, ne manquant jamais d’ajouter qu’il n’existait aucune loi exigeant qu’un patron de pub accepte de boire un verre avec chacun des ses clients exprimant le souhait de trinquer avec lui.
Il savait qu’il existait des poètes tenanciers de bar, qu’il était des hommes capables d’écrire des vers au fond des tranchées, sous une pluie d’obus.
livre en anglais - Penguin reader
Elle n’ignora plus rien des mesures d’austérité prises en Angleterre et crut rêver en lisant que les oignons étaient devenus si rares qu’on les distribuait comme lots aux tombolas.
A quoi bon savoir parfaitement tenir une maison si elle est vide ?