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Critiques de Magali Villeneuve (80)
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Départs

L'anthologie Départs contient huit nouvelles écrites par six des auteurs de l'Homme sans Nom et deux inconnus qui pourraient potentiellement rejoindre la maison d'édition. Sortie à l'occasion de la Japan Expo 2014, elle a été offerte aux heureux acheteurs ayant pu participer à l'événement, et elle sera bientôt disponible à la vente au prix de 3€. Sachez que les bénéfices tirés de la vente du recueil seront intégralement reversés à une association : Coeur de Forêt. N'hésitez pas à faire une bonne action tout en vous offrant un recueil des plus agréables à lire et très bien illustré par Magali Villeneuve et Alexandre Dainche. Encore une fois je suis conquise par la couverture, qui à elle seule m'aurait suffit pour me jeter sur l'anthologie. Mais heureusement, le contenu est tout aussi satisfaisant à l'image du catalogue de l'HSN.



On y trouve donc huit nouvelles, que voici (sans ordre particulier, je précise) :



Le Rebord du Monde, de Magali Villeneuve (préquelle à la Dernière Terre) m'a énormément plu. J'espérais vraiment retrouver dans cette nouvelle ce que Magali a choisi de raconter. Souvenez vous du tout début, des premiers mots de la Dernière Terre, souvenez vous de votre première découverte des brumes... Eh oui, dans le Rebord du Monde, nous retrouvons les personnages rencontrés dans le prologue de LdT. J'ai été ravie de ce choix, ayant été très marquée par ce prologue qui m'a immédiatement happée, conquise et fait aimer La Dernière Terre. On y retrouve bien sûr le style unique de Magali, sa façon de conter si particulière, comme si elle peignait les décors... Autant vous dire que si vous attendiez le troisième tome avec impatience, cette nouvelle ne fera qu'aggraver votre impatience. Et si vous ne connaissez pas encore LdT, vous risquez de vouloir vous jeter sur la saga sans tarder...



Ensuite, je retiens aussi la qualité du texte de Céline Landressie : Aurore, aussi un préquelle, de Rose Morte cette fois. Si vous aimez Rose Morte au moins à moitié autant que moi, vous adorerez Aurore. Cette nouvelle vous présentera le départ d'un personnage important, bien qu'en quelque sorte encore inconnu... Une fois encore, j'ai été émerveillée par la plume de Céline, sa façon de vous accrocher en quelques phrases. Alors oui, la nouvelle m'a énormément plu, mais elle m'a aussi énormément frustrée ! Quelques pages seulement pour un texte si bien écrit, c'est presque de la torture et ça vous laisse forcément sur votre faim. Comme s'il y avait besoin de me faire attendre le troisième tome avec encore plus d'impatience ! J'ai hâte de retrouver l'univers de Rose Morte et cette nouvelle aussi ne fera qu'ajouter à votre impatience, si vous êtes dans le même cas que moi ! Et si vous n'avez pas encore découvert l'univers créé par Céline, déjà, vous avez tord et vous n'avez pas d'excuse, mais cette nouvelle risque de vous intriguer juste assez pour que vous craquiez pour la saga...



Vous trouverez aussi dans cette anthologie la nouvelle Pots de départ, écrite par Alexis Flamand. Comme à son habitude, il m'a encore une fois faite rire et sourire tout en revisitant le mythe du génie de la lampe et des fameux trois voeux. Il faut toujours faire attention à ce que l'on souhaite, et Alexis le met en forme d'une excellente façon, à la fois drôle et critique, tout en étant presque dramatique. Et le tout toujours aussi bien écrit, bien sûr ! Et après avoir lu la nouvelle, je ne suis pas sure de vouloir accepter les trois voeux qu'il m'offre dans sa petite dédicace... Merci pour le cadeau empoisonné, Alexis !



J'ai ensuite découvert Nicolas Debandt, seul auteur de l'HSN dont je n'ai pas encore lu les romans, à travers sa nouvelle Générations Migrantes, laquelle m'a beaucoup plu. J'ai hâte de me lancer dans Iluvendan et Xénome, maintenant ! Sa nouvelle est très touchante et bien écrite, si bien qu'en quelques pages seulement on est très vite immergé dans l'univers SF qu'elle dépeint. Mais ce sont surtout les deux personnages mis en scène qui m'ont touché ! Une belle découverte, que je vais m'empresser de poursuivre en me jetant sur Iluvendan dès que possible !



J'ai malheureusement été un peu moins conquise par L'Envol, écrite par Feldrik Rivat. J'aime beaucoup l'univers qu'il a créé dans les Kerns et je m'attendais à le retrouver plus ou moins, je n'ai donc pas réussi à m'immerger dans ce tout nouveau monde bien plus proche de la SF que de la Fantasy. Mais la nouvelle reste agréable à lire et bien écrite, et je suis curieuse de savoir si Feldrik nous réserve quelques surprises axées SF après la fin des Kerns...



Quant au mystérieuuux John Ethan Py, il nous propose encore du gore et de l'horrifique avec Sur la route again. Dérangeant à souhait, il ravira ceux qui ont été conquis par Chesstomb ou qui aiment le glauque et le gore. J'avoue être peu concernée par le genre s'il n'y a pas une intrigue en béton derrière, et le format nouvelle ne permet pas vraiment d'approfondir le background de l'histoire, qui est donc juste dérangeante, bien qu'intéressante.



J'espère que vous aurez très vite la chance de pouvoir avoir ce petit bijou de 45 pages entre les mains, même s'il vous frustrera autant qu'il vous emportera !
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Départs

L’Homme sans nom est une maison d’éditions que j’apprécie beaucoup car elle publie peu mais publie bien. J’ai découvert chez eux l’incroyable John Ethan Py/Sébastien Péguin avec ChessTomb et Le songe d’Adam.



Avec Départs, la maison d’édition trouve l’occasion de mettre à l’honneur ses auteurs fétiches. A travers huit nouvelles, le lecteur peut découvrir ou redécouvrir la plume d’auteurs confirmés et doués.



Cette anthologie propose donc des nouvelles dont le thème est le départ. Si chacun des auteurs respectent le contrat, j’ai trouvé que les textes de Magali Villeneuve ou de Céline Landressis n’étaient pas forcément les nouvelles les mieux appropriées au recueil. Certes, elles traitent toutes les deux de départ mais sont en réalité des préquels à leur roman respectif et satisferont les lecteurs ayant déjà lu leur œuvre. Cela n’enlève cependant rien à leur talent.



La nouvelle Aurore de Céline Landressis m’a cependant convaincue de m’intéresser à son roman Rose Morte tant elle m’a intriguée. J’ai aimé l’atmosphère et le style un peu surannée développés dans ce court texte.



J’ai énormément apprécié la nouvelle Sur la route again de John Ethan Py. J’aime toujours autant son humour noir et ses clins d’œil littéraires appuyés (ici à Kerouac). En quelques lignes, l’auteur nous entraîne sur une route sablonneuse, dans un camion crasseux. Deux hommes doivent faire une étrange livraison. La chute de la nouvelle est glauque, noire et laisse le lecteur un peu songeur.



J’ai adoré Pot de départ d’Alexis Flamand, une nouvelle originale et drôle. Un employé reçoit en cadeau de remerciement un pot à tabac magique. Quelques instructions sont jointes au présent concernant les abus et les dérives liés à ce pot qui s’avère fonctionner comme une lampe magique. C’est cruel et désopilant et j’ai beaucoup ri de l’insatisfaction chronique des hommes.



Les autres nouvelles valent aussi le coup d’œil même si elles m’ont moins charmée. Le vrai plus de ce recueil reste dans son prix abordable (3 euros) et son but caritatif: les bénéfices du recueil servent à financer une association luttant pour la valorisation des forêts. Bref, une belle lecture et une B.A: que demander de plus?
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Départs

J'avoue, je ne l'ai achetée que pour la préquelle de La Dernière terre de Magali Villeneuve.

L'écriture est toujours aussi magique et digne des plus grands auteurs de fantasy.

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Départs

Ce recueil, je l'attendais beaucoup et je me le suis procuré en avant- première à Japan Expo.

Je retiendrai 3 nouvelles:



- celle d'Alexis Flamand qui nous emmène dans une histoire très bien mené et qui revisite le mythe de la lampe d'Aladin.

- celle de Magali Villeneuve qui nous dévoile le préquel de sa saga La Dernière Terre, qui est mon plus gros coup de coeur depuis bien des années.

Nous retrouvons les personnages du prologue avant leur départ pour les brumes et le destin funeste qui les attend.

Ce fut trop court, on en veut toujours plus de cet univers mais cela m'a fait un peu patienté avant la sortie du tome 3.

- celle de Nicolas Debandt, qui après le Xénome me surprend une fois de plus avec une nouvelle sur le thème grave de la maladie d' Alzheimer mais en SF.

Peut -être cela méritait-il une version longue car un univers bien intéressant



Toutes les nouvelles sont bonnes mais ce sont celles-ci qui m'ont le plus interpelé.
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La Dernière Terre - Intégrale, tome 1

Magali Villeneuve nous livre ici un début de fresque grandiose laissant libre cours à son imagination et à l'épique. Très orientée vers la mise en place de son cadre d'univers et sur les relations parfois ambiguës entre les personnages, on vit les événements au rythme des protagonistes. Qu'ils soient tragiques ou joyeux mais souvent difficiles, ces moments nous poignent et nous font vivre avec passion cette lecture.
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La Dernière Terre - Intégrale, tome 1

Ecrit et illustré avec un talent extraordinaire. Un bijou autant par son apparence (version collector ; couverture dure avec illustrations) que la qualité de sa plume, à la fois dure de réalisme et délicatement poétique.
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La Dernière Terre - Intégrale, tome 1

- Cette critique ne concerne que le premier tome, "L'enfant merehdian", de cette intégrale -



Déjà, peut-on parler de la beauté de cette intégrale ? Je n’ai pas connu l’édition de LHSN mais la qualité ici est de très haute volée, richement illustrée, et bon sang que c’est beau. Bon par contre on risque la tendinite à chaque fois que l'on prend le livre, le poids du bébé étant assez conséquent, mais qu’est-ce que ça vaut le coup.

Et si l’écrin est magnifique, le texte en lui-même ne l’est pas moins. L’écriture de Magali Villeneuve est très détaillée, approfondie, et en même temps coule assez facilement, malgré un petit tic d’écriture (la surutilisation de « Puis » qui m’a fait un peu tiquer).



Alors certes, il ne se passe pas grand chose, l’élément déclencheur n’apparaît qu’au bout de 150 pages et c’est vraiment un tome introductif d’exposition, mais les quelques mystères disséminés appâtent bien et donnent très envie d’en apprendre plus sans non plus laisser de frustration.

Et s’il ne semble pas se passer grand chose dans les événements extérieurs, en réalité, niveau relations entre les personnages, psychologie et bouleversements intérieurs, on est servi. Chacun a ses aspérités, a du relief, beaucoup luttant souvent entre l’apparence qu’ils pensent devoir renvoyer et leur vraie nature (dont on vient à douter parfois pour certains, peut-être comme eux-mêmes d’ailleurs).

Le racisme ordinaire, le sentiment d’exclusion sont très bien rendus et serrent le cœur. Forcément, Cahir m’a beaucoup touché, et cette dernière scène avec Melgar m’a noué la gorge en seulement un geste et quelques mots. D’ailleurs j’ai été ému (dans des émotions parfois assez diverses) à plusieurs reprises au cours de la lecture, comme quoi on est véritablement immergé dans l’histoire et on la vit avec les personnages.



Une excellente lecture dont j’espère lire la suite le mois prochain, et je vais suivre attentivement les nouvelles sur cet univers (déjà, il va me falloir la BD, obligé).
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La Dernière Terre - Intégrale, tome 1

Cette intégrale regroupe les deux tomes parus de la saga La Dernière Terre, dans un magnifique volume relié de cuir et parsemé de merveilleuses illustrations. Malgré son poids et le risque non négligeable de tendinite du poignet, j’ai adoré avoir cet objet en main et le contempler à loisir.



Non seulement le livre est beau mais le contenu est dense et on peut dire qu’on en a pour son argent ! Cette série fait partie de celles qu’on lit lentement, pour en appréhender toutes les subtilités. Il m’aura personnellement fallu dix jours pour parvenir à la dernière ligne, avec un rythme de lecture plutôt variable.



En effet, le premier tome prend le temps de présenter ses nombreux personnages, cet univers complexe, les coutumes des uns et des autres, le tout avec un langage très soutenu, une plume presque pompeuse qui m’a personnellement rendu l’implication difficile. C’est compliqué pour un lecteur de devoir à la fois s’approprier un monde, des personnages, des caractères, des fonctions quand la plume trop travaillée tend à rendre les évènements plus distanciés.



Et puis il faut attendre 160 pages avant que l’action ne débute et qu’on comprenne enfin où va l’intrigue générale. C’est une bonne chose de développer les personnages et leurs interactions, et c’est d’ailleurs le point fort de cette série, mais cela ne doit pas nuire à l’avancée du fil rouge du roman. En toute sincérité, j’ai failli abandonner bien avant cela, mais je me suis accrochée parce que les avis étaient très enthousiastes, que cette intégrale était un cadeau (que j’avais réclamée de tout mon cœur) et que vu la magnificence de l’objet-livre, j’avais envie d’en découvrir tous les recoins.



Je n’ai pas regretté d’avoir tenu bon car j’ai beaucoup aimé la deuxième moitié du tome 1 et j’ai dévoré le tome 2, dont la plume plus fluide et l’intrigue plus visible m’ont fascinée, tout autant que les personnages qui se révèlent dans toute leur complexité.



Le seul souci, c’est que la suite n’est pas écrite (six tomes au total étaient prévus) et que je doute qu’elle le soit un jour, où alors dans tellement de temps que j’aurai oublié tout ce qui concerne cette série. Et ça c’est vraiment dommage.
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La Dernière Terre : Le prendre pour le garder

J’ai une tendresse toute particulière pour cette bande-dessinée. En fait, tout a commencé en 2013 lorsque j’ai découvert le premier tome de la saga de dark fantasy du même nom, alors édité chez L’Homme sans Nom, premier opus qui a été un véritable coup de foudre… coup de foudre complété l’année suivante par la lecture du second opus. Cette histoire, ce fût une révélation.

L’univers et si riche et si bien travaillé qu’il appelle forcément des produits dérivés… ce qu’est cette bande dessinée. Non seulement j’étais pressée de la découvrir pour prolonger l’aventure dans ce contexte qui me plaît tant mais en plus, ayant gagné le concours organisé par Magali Villeneuve et Alexandre Dainche, j’ai eu la chance d’y apparaître, croquée par Noëmie Chevalier à qui les deux auteurs ont confié le travail d’illustration.

Le prendre pour le garder fait office de préquelle à la saga de romans et était, à l’origine, sous forme de courte nouvelle. Ici, elle est adaptée à travers quasi 20 planches, grâce à Noëmie Chevalier donc. Magali et Alexandre ont choisi de nous offrir non seulement cette adaptation mais également la nouvelle d’origine, l’occasion de comparer les deux et de se plonger en douceur dans cette histoire assez dense. Je pense que c’est une bonne approche de l’univers, cela vous donnera une assez bonne idée de la plume et de l’imaginaire de Magali Villeneuve et Alexandre Dainche.

En tout cas, si vous aimé cette introduction dans laquelle il est aussi question d’une adoption forte en émotions et de la rencontre entre deux êtres que tout oppose, je vous invite à vous plonger dans la série de romans, bientôt rééditée chez Doseïma, label créé par Magali et Alexandre.
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La Dernière Terre : Le prendre pour le garder

Cette courte bd est l’adaptation de la nouvelle bonus du même titre de la saga La dernière terre de Magali Villeneuve.



Magali et Alexandre Dainche ont crée un univers incroyable autour de leur saga, réalisant de nombreux goodies et trouvant à chaque fois des choses pour nous surprendre.



Ils ont donc décidé de s’associer à Noëmie Chevalier pour créer cette bande dessiner.



Le prendre pour le garder c’est la rencontre de Melgar Cenerianh et Cahir, le Giddire. Rencontre qui va bouleverser leur vie à tout d’eux.



Je ne veux pas raconter plus car c’est tiré d’une nouvelle donc c’est court ^^ après si vous connaissez la saga vous connaissez l’histoire . Mais ce que je peux dire c’est que la relation entre ces deux personnages est une de celle qui me touche le plus dans La dernière terre et que je suis ravie de la redécouvrir sous forme d’image.



L’illustratrice a donné vie aux personnages de Magali et je dois dire que je suis fan de la bouille de Cahir .



Le livre est divisé en trois parties : la BD, le texte original et le storybord qui nous permet de rentrer dans les coulisses de la réalisation.



Je pense qu’il faut toutefois avoir lu la saga pour vraiment apprécier ce livre.



Avis au fan de La dernière terre et de l’œuvre de Magali en général, je vous le conseille ❤
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La Dernière Terre : Le prendre pour le garder

Le préquel de la dernière terre m'a transporté dans un premier voyage, un peu court mais au combien touchant. Les dessins de Noémie Chevalier sont sublimes, ils reflètent parfaitement les émotions et font voyager. le texte de Magali Villeneuve est quant à lui d'une exquise justesse, j'ai adoré cette plume dont j'avais tant entendu du bien et qui me donne tellement envie de lire la saga maintenant.
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Je n’ai vraiment pas accroché à cette lecture. Je conçois que certains l’ont apprécié, c’est d’ailleurs après avoir vu toutes les bonnes critiques que je me suis penchée sur son cas. Mais, non, rien à faire, malgré toute ma bonne volonté, je suis restée complètement imperméable à l’histoire qui se déroulait au fil des mots, sous mes yeux ennuyés.



J’ai eu du mal à finir ma lecture (à vrai dire je l’ai même mise de côté pendant près de deux mois…). Je n’ai pas trouvé ce que je cherchai dans ce livre, qui peut se résumer en un mot (ou 3, m’enfin c’est façon de dire) : de l’action que diable ! Bon, il me manque également quelques autres trucs superflus du genre : des personnages attachants, la puissance d’une quête grandiloquente (et hypothétiquement sans espoir), des batailles héroïques, des créatures mystiques badass, et surtout, SURTOUT, du langage de paysan.(c'est le détail qui a toute son importance). C'est un peu trop propre. Le niveau de langue des citadins instruits est le même que celui du paysan sorti du fin fond de sa campagne (tout le monde parle pareil et avec des beaux mots et des longues phrases et joue de l’implicite –pas comme moi quoi). Crédibilité : 0 pointé.



Mon gros problème, c’est que ni l’univers, ni les personnages, ne m’ont plus. Et pourtant, il y en a pléthore de personnages et puis, on ne peut pas dire qu’ils ne soient pas développés, ni que l’univers soit incomplet. Car c’est bien le contraire, tout est hyper travaillé, construit en profondeur. Seulement voilà, je n’ai pas été émue, touchée, transportée. Et c’est un peu ce que j’attends d’une histoire.



Malgré un univers riche et un style d'écriture recherché, ce livre a été une déception pour moi.


Lien : https://plumesdelune.wordpre..
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Bonjour à tous,



Je me suis récemment attelé à la lecture de « La Dernière Terre, l’Enfant Merehdian », de Magali Villeneuve, et ce, avec peu d’enthousiasme, il faut bien le reconnaître. Disons que le lectorat, féminin en majeure partie, me laissait grandement perplexe. Désolé mesdemoiselles, mesdames, ne voyez nullement en mes propos une quelconque forme de misogynie ou de machisme.

La quatrième de couverture ne m’a pas laissé en reste…dans le mauvais sens du terme. «…, Cahir, jeune homme frêle, maladif, aux mœurs et aux allures bien éloignées des codes stricts qui font loi autour de lui, subsiste envers et contre la réprobation générale… ». Voilà, ça empeste le livre pour adolescents (et surtout adolescentes). Après tout, ma réaction résulte peut-être tout simplement de l’approche de mes 28 ans… Ou pas.

Tout ceci à un parfum d’énième récit sur le parcours initiatique d’un gamin en qui personne ne croit : le mal aimé de service, le vilain petit canard, le mouton noir, la brebis galeuse,… En même temps, à part ce genre de truc, et le fameux : « C’est l’Elu, la prophétie disait vraie ! », je me demande où est l’originalité revendiquée par plusieurs lecteurs(trices). Quoi qu’il en soit, de nos jours, faire quelque chose d’original est impossible, tant il y a déjà eu de choses avant (et ceci est valable dans bien d’autres domaines).

Ce que je reproche à ce livre ? Un peu près tout ce que je reproche aux livres de fantasy (sauf à de rares exceptions légendaires). Le livre est un ramassis de problèmes d’ados (et oui ! encore un beau ciblage du lectorat !), mais, bien sûr, transposé dans un monde inventé de toute pièce par l’auteur…C’est à ce moment que j’éclate de rire. En effet, en parlant du monde, j’ai pu voir bon nombre de cartes dans des livres de fantasy et je dois bien dire qu’il s’agit de la pire de toutes. Elle est absolument infâme, pour ne pas dire inutile. En effet, ce torchon servant de carte contient seulement une vingtaine de noms. Pourquoi tant de haine ?

Rien que le nom de la chose sent le vu et revu : « Les Cinq Territoires ». Pourquoi toujours mettre un chiffre (ou un nombre) allié à un mot du genre : royaume, principauté, territoire ? Sérieusement, et je suis bien placé pour le savoir, ce n’est guère compliqué d’inventer des noms, où alors il faut arrêter d’écrire de la fantasy. Sinon, où se situent vraiment ces Cinq Territoires ? Où est le reste du monde ? Ce n’est tout de même pas que ça ? Si la réponse est OUI, c’est vraiment se foutre de la gueule du monde.

Sincèrement, j’ai lu plusieurs commentaires et la grande majorité d’entre eux relève du paroxysme des aberrations. Franchement, comment certains, certaines, peuvent affirmer sans aucune honte que ce monde possède une grande richesse ? Personnellement, je n’ai jamais rien vu d’aussi pauvre, à part peut-être un clodo vivant dans la rue depuis une bonne décennie. Voyez par vous-même, la carte et le glossaire sont des preuves irréfutables de ce que j’avance. Lectrices (et peut-être lecteurs) de la Dernière Terre, soyez sérieux juste cinq petites minutes. Vous n’avez jamais lu le Hobbit, le Seigneur des Anneaux, le Silmarillon ? Là, sans aucune contestation, on peut parler d’un monde RICHE. Ce qui n’est pas du tout le cas de la Dernière Terre, ni dans quasiment aucun livre d’ailleurs, et surtout pas dans ceux provenant d’auteurs français.

Exemple : Pages 12/13 : « Traduction de la berceuse merehdiane » « Sasn’mereihde ni nölsteen ».

Là encore, tous les auteurs fonctionnent sur un model identique. Parler de manière fugace de certaines choses sans approfondir réellement, voire même pas du tout. L’exemple ci-dessus en est une preuve concrète. D’où sort cette berceuse merehdiane ? Par qui a-t-elle été écrite ? A quelle époque ?....Aucune réponse. L’auteur essaye tout de même d’enrichir la chose en ajoutant le mot « traduction », puis, ajoute une phrase dans une langue inventée. Bien qu’au final il n’y ait pas grand-chose autour de cette pseudo langue. Mouais…bon, rien d’étonnant.

Depuis des années maintenant, et encore plus depuis le début des années 2000, les auteurs ont bien comprit une chose : la fantasy est devenu (malheureusement pour les puristes) un phénomène de mode et les textes qui en résultent sont dans 95% (voire plus) des cas, parfaitement pitoyables. En effet, tous ces auteurs se contentent de créer une histoire… et c’est tout. Pourquoi donc s’emmerder la vie à faire comme le Saint Patron du genre, J.R.R. Tolkien ? ->La perfection. Je rappel juste que l’écriture du Seigneur des Anneaux s’est étalée sur 12 ans, et celle du Silmarillon, sur une cinquantaine d’années, pour être finalement publié à titre posthume. Dans les écrits de Tolkien tout est lié et forme une cosmogonie parfaite. Qui peut-en dire autant ? Personne ! Même Le Trône de Fer (qui pourtant compte sûrement plus de personnages que chez Tolkien) ne peut en dire autant. (D’ailleurs, même si je ne suis pas du tout un fan du Trône de Fer, je respecte la manière d’écrire de G.R.R. Martin (sauf parfois le langage ordurier des ses personnages), car il est selon moi, un des rares, peut-être même le seul auteur actuels qui sorte du lot parmi tous les affreux qui sévices…).

Voilà pourquoi, depuis Tolkien, les auteurs se contentent de créer une histoire, des personnages et, éventuellement une carte (souvent dérisoire). Cette facilité me dégoute profondément et je suis vraiment inquiet pour l’avenir de ce genre littéraire…A moins que quelqu’un trouve le courage de lui redonner ses lettres de noblesse…

Autre point important : L’auteur passe un temps fou à détailler tout et n’importe quoi, et ce, à outrance. Et plus particulièrement les moindres faits et gestes des personnages. Exemple, page 49 : « -Je ne t’ai pas félicité pour la démonstration de ce matin, dit Ghent.

L’abaissement des sourcils de Chair trahit une fugace incompréhension, remplacée par un faible sourire, vierge de toute vanité. Quelques fois, la fraîcheur de ses mimiques évoquait celle d’un enfant.

-Ton père est meilleur instructeur que l’homme Laenden. ».



Je n’ai rien contre les détails, mais là, c’est trop ! Le moindre pet est décortiqué de haut en bas et de long en large. Autre exemple, toujours page 49 : « Cahir se retourna pour soulever le loquet. Il gratifia la stridence des gons d’un froncement de nez. »… Non mais sérieusement… Ca me rappel un extrait d’un bouquin de Marc Levi, lu par un acteur dans une émission de télé. Ce passage racontait, avec une pléthore de détails, l’histoire trépidante et rocambolesque d’un personnage en train de préparer un café…le tout sur une trentaine de lignes…

Quoi d’autre ? Ah oui ! Pourquoi les auteurs ne se donnent plus la peine d’inclure une table des matières ? Est-ce vraiment de la paresse ? Ou peut-être, pour faire comme tout le monde et ainsi suivre, et faire perdurer ces abominables effets de mode…



Quelques exemples me laissant sceptique :

-Page 15 : « électrisait les échines ». Rapport à l’électricité. Pas d’électricité dans ce monde ? Donc, anachronisme…

-Page 42 « singea la moue sévère… ». -> A savoir que « singer » vient de « singe » : pas sûr qu’il y ait des singes dans le « monde » inventé par l’auteur. Donc, incohérence.

-Page 43 : « fusilla du regarde ». Pas de fusil dans ce monde là ? Donc…Donc, anachronisme !

-Le chapitre « La fille de Tihl », où j’ai pu assister, complètement impuissant, à 7/8 pages de dialogues et de descriptions sur une histoire d’achat de tissu….

-Page 68 : « Maroquinerie » : A savoir que « Maroquin » : nom masculin, vient de Maroc. (Peau de chèvre tannée au moyen de produits végétaux,…..). Encore une fois, y-a-t-il un quelconque rapport avec le Maroc dans ce livre ? Je ne crois pas…

-Page 71 : « dit-elle en griffonnant une note rapide sur le calepin… ». Est-ce que les stylos à bille existent, ou est-ce que le personnage se balade en permanence avec une plume et un encrier ? Ou un crayon de papier peut-être ?

-Page 78 ; « impérieux ». La notion d’ « empire » existe-t-elle dans ce monde ?

Il est 01h06 du matin et, il y a quelques minutes, j’ai enfin pu refermer ce livre définitivement… A la page 114. Pourtant cela faisait plus de deux mois que je n’y avais pas touché et je pensais (ou pas) pouvoir reprendre la lecture. Au final, je n’ai pas supporté plus de quatre pages.

Bref, je ne recommande ce livre à personne (ou peut-être juste à mon pire ennemi, et encore). En effet, l’auteur ferait bien d’arrêter de passer son temps à créer des objets dérivés (mugs, set de tables, oreillers, et j’en passe) et de se concentrer sur un travail littéraire bien plus sérieux et moins puéril, mais surtout, de créer un monde complet et vraiment riche. Voilà enfin une décision qui serait bien utile pour l’avenir de la fantasy…
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Je commence ma participation à Babelio par mon plus gros coup de coeur de l'année 2014!!! Et j'irai même plus loin en disant que depuis l'assassin royal de Robin Hobb ( ce n'est pas étonnant puisque les deux auteurs ont une approche plutôt similaire dans leur façon d'aborder leur saga) je n'avais pas ressenti autant d'amour pour une oeuvre littéraire.



Découvert par hasard en librairie, la couverture m'a attiré et la quatrième de couverture a terminée de titiller ma curiosité en me le procurant. Que j'ai bien fait!!!



Ce qui impressionne dès les premières lignes, c'est la plume de l'auteure. Que ce soit les descriptions des lieux ou le travail de mise en situation, l'écriture de Magali Villeneuve impressionne. C'est ce genre de littérature qui ne se lit pas dans le métro mais assis confortablement dans son fauteuil pour se laisser emporter par l'auteure.

L'on peut au début pafois se perdre devant le nombre de personnages, ce qui est finalement logique quand on voit que La Dernière Terre sera une saga en plusieurs tomes et que, comme toute saga, un temps d'adaptation est nécessaire pour bien appréhender l'univers.



Une plume maitrisée, une histoire qui nous transporte littéralement, personnages qui sont d'une profondeur incroyable, la dernière terre est ma grande saga de cette année, qui se place dans mon trio de tête avec l'assassin royal et le trône de fer.



Ne vous attendez pas à de l'action à foison, ici tout est subtilement distillé où l'action est psychologique, où les événements sont utilisé avec intelligence.

Je suis vraiment accroc à cette saga, une oeuvre à découvrir.
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Lu en 2014, l'histoire de Cahir, enfant du peuple Giddire et vivant à Tileh Agrevian, capitale des Cinq Territoires, m'a donné l'idée d'enchaîner avec le second tome. Il s'agit d'un univers imaginaire construit de manière remarquable et d'une grande créativité, tant sur le plan narratif qu'illustratif, et ce grâce aux coups de crayon de Magali Villeneuve. Je le recommande :)
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Ce premier tome est un tome d’introduction très prometteur. On début par un prologue mystérieux puis on se retrouve de suite avec une flopée de personnages. Les personnages et l’univers se dévoilent petit à petit et j’ai mis un peu de temps à appréhender toutes les informations qui m’étaient données. En effet, l’auteure n’hésite pas à nous donner beaucoup de détails dès le départ ce qui fait que j’ai progressé assez lentement dans ma découverte de l’univers des arpenteurs et des cinq royaumes. J’ai aussi au début eu un peu de mal à cerner qui étaient les personnages principaux car il y a des personnages à foison et chacun a son trait de caractères. Entre Cahir le Giddire ou encore Ghent l’Agrevin, les relations sont complexes et régit par des codes de société que j’ai dû assimiler au fur et à mesure.



L’univers est très riche et le soucis du détail est très poussé. Je pense que c’est le genre de livre qu’il faut relire pour en connaître et comprendre toutes les subtilités. Si ce monde parait plutôt petit et limité sur la carte, les cinq royaumes sont bien distincts que ça soit par leurs us et coutumes que par le physique des habitants. C’est un univers tellement riche, on prend plaisir à le découvrir. De plus, le tout est très visuel et l’auteure n’est pas avare en descriptions probablement parce qu’elle est illustratrice.



Les caractères des personnages sont très travaillés et complexes mais la société dans laquelle ils vivent également. Un fort accent est aussi mis sur les émotions et en particulier sur ceux de Cahir, l’on comprend rapidement que c’est l’enfant Merehdian dont parle le titre de ce premier tome. Un jeune homme plein de sentiments, de frustrations mais en même temps encore un enfant. J’ai trouvé que ce soucis du détail était tellement important qu’il prenait parfois le pas sur l’histoire elle-même.



Mais il faut reconnaitre que même si ce monde est un monde qui prend du temps à être appréhendé, c’est un univers riche, le genre d’univers qui me plait, qui me fait réfléchir et qui hante encore une fois le livre refermé.



C’est donc un livre que je vous recommande pour la richesse de l’univers et des détails apportés aux personnages et à cette société.
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

En Résumé : Ce premier livre nous offre un tome de présentation au rythme lent et qui tombe parfois un peu trop dans le contemplatif, mais qui possède ses qualités. Il est un peu top pour parler de l’intrigue, dont on ne découvre que peu de choses, mais qui se révèle tout de même intrigante. Les gros points forts de ce roman c’est le travail effectué sur l’univers, qui se révèle riche et complexe, ainsi que sur les personnages qui sont denses et soignés, même si j’ai trouvé une certaine répétition dans la présentation des personnages et une certaine difficulté à s’accrocher à certains. De plus je reste toujours perplexe devant la présentation de héros qui n’ont peu d’utilité dans ce tome, mais dont on se doute qu’ils vont prendre de l’importance par la suite ; pourquoi justement ne pas les présenter plus tard. Après tout n’est pas parfait non plus, certaines longueurs se font ressentir tant l’auteur prend parfois un peu trop son temps, ensuite je trouve l’utilisation des flashbacks parfois hasardeuse et enfin j’ai eu du mal à accrocher à la scène où un des héros, en pleine convocation officielle, se permet d’insulter de rabaisser son souverain sans aucune punition ou autre. La plume de l’auteur se révèle profonde et soignée, mais parfois elle en fait un peu trop, cherchant à trop vouloir prouver de sa qualité. Au final un roman avec ses forces et ses faiblesses, je ne crierai pas à l’excellence, mais un livre qui offre de bonnes bases et m’a assez titillé par ses zones d’ombres pour me donner envie de lire la suite.



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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Ce premier tome, vous l’aurez compris, est essentiellement axé sur les personnages. Le rythme reste tout de même soutenu grâce à la plume de Magali Villeneuve.



D’une part, chaque chapitre nous expose le point de vue d’un personnage. D’autre part, son vocabulaire riche et sa syntaxe impeccable révèlent des protagonistes construits, comparables à des êtres humains.



On veut les comprendre. Leurs souffrances, leurs espoirs, leurs envies… Magali Villeneuve nous livre tout, avec parcimonie et délicatesse. Forts en caractères ou timides, sens de l’humour ou implacabilité, êtres de feu ou de glace… la soif de les connaître reste égale pour tous.



Les Cinq Territoires ainsi que les Brumes et ses mystères ficellent ce roman et le hisse sur le podium de mes meilleures lectures.



Les descriptions m’ont immergée dans le décor. J’ai littéralement marché aux côtés de Ghent dans Tileh Agrevina, manié l’épée avec Cahir lors de la Grande Relève…



Ce monde est complexe, riche et encore une fois construit de bout en bout. J’y ai plongé avec plaisir… et quelle difficulté pour reposer ce roman et revenir dans le monde réel !



Assurément, voici un long moment qu’une telle perle ne m’étais pas tombée entre les mains !



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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Un premier tome envoûtant, à commencer par son univers. Riche et soigné, il a pour moi été source de fascination. C’est un ensemble dense et très réfléchi qui nous est ici offert. Il est travaillé dans toutes ses civilisations. Et si ce volume est essentiellement introductif, présentant l’univers, les personnages ainsi que l’élément perturbateur de cet ordre bien établi, il n'y a aucune lassitude à le découvrir. C'est un opus qui touche par ce qu’il développe au delà de l’intrigue. Les personnages, notamment, ont été autant de dards que je me suis pris en plein cœur. Criants de réalisme et de relief, travaillés, ils sont devenus de véritables compagnons que j’ai eu bien du mal à se sortir de la tête une fois le livre refermé. Ce sont eux qui font toute la beauté du roman et l’imprègnent d’une émotion et d'une profondeur incontestables. Ils sont de ceux qui vous rendent impatient de les retrouver, juste pour une fois de plus les voir s’animer.
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La dernière Terre, Tome 1 : L'enfant merehdian

Un premier tome tourné vers l’introductif mais qui a su me séduire par tous ses aspects que ce soit par l’écriture, les personnages ou l’intrigue. La Dernière Terre n’a aucun défaut et mérite sa place dans mes plus gros coups de cœurs de l’année puisqu’il hante encore mes jours et mes nuits. J’ai hâte de pouvoir me procurer le second tome et me replonger dans l’histoire de Cahir, Ghent, Feor et tous les autres car le sevrage s’avère déjà difficile.



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