Citations de Marc Levy (4799)
On est tous l'étranger de quelqu'un.
Un départ sans un mot, c'est pire qu'un abandon, le silence est une trahison.
« Ce que je vais vous dire n’est pas facile à entendre, impossible à admettre, mais si vous voulez bien écouter mon histoire, si vous voulez bien me faire confiance, alors peut être vous finirez par me croire et c’est très important car vous êtes, sans le savoir, le seul personne au monde avec qui je puisse partager ce secret. »
" C'est là que par une fin d'après-midi, en rentrant de l'école, elle avait vu sa mère se pencher dangereusement au balcon. "
– J'ai un scoop pour toi, Olson, si tu veux bien te relever.
Olson se redressa et se cogna la tête.
– C'est quoi ton scoop ?
– Un crétin vient de se cogner le crâne. Bonne journée, Olson.
Andrew se dirigea vers les ascenseurs en sifflotant.
- Quand quelqu'un vous baratine, il y a toujours quelque chose qui cloche
- Un enfant adopté finit toujours par ressentir le besoin de faire la lumière sur ses origines Ceux qui ne le peuvent pas en souffrent toute leur existence On n'y peut rien, c'est dans la nature de l'homme
« L’homme n’invente l’éternité de son existence que dans les sentiments qu’il partage. »
Pour créer une illusion, la première chose dont les hommes de pouvoir ont besoin, c'est d'obtenir votre confiance. L'illusion doit apparaître aussi vraie que la réalité qu'elle cache.
La montagne n'a pas d'amis, elle ne connaît que des intrus ; lorsqu'elle vous ferme ses portes, il faut lui obéir, sans réserve.
L'alpinisme en haute altitude peut très vite devenir une partie de cache-cache avec la mort.
Chaque jour, chaque heure, tu te rassureras de tes résistances, de tes manières, de tes esquives, mais l'envie de sa présence sera bien plus forte qu'une drogue. Alors ne sois pas dupe de toi-même, c'est tout ce que je te demande. Il envahira ta tête, et rien ne pourra plus te délivrer du manque. Ni ta raison, ni même le temps qui sera devenu ton pire ennemi. Seule l'idée de le retrouver, tel que tu l'imagine, te fera vaincre la plus terrible des peurs : l'abandon... de lui, de toi-même. C'est le plus délicat des choix que la vie nous impose.
Il suffit d'une minuscule graine d'espoir pour planter tout un champ de bonheur...
" le courage n'est qu'un sentiment plus fort que la peur, répondit Suzie en soulevant son baluchon
- Comment s'appelait la fille de ma grand-mère ?
Les yeux de Dorothy Blaxton s'emplirent à leur tour de larmes. Elle prit dans ses bras la jeune femme qu'elle aimait tant et dit à son oreille d'une voix tremblante :
- Comme vous, mademoiselle, elle s'appelait Clara
- Vous devriez venir voir ce que je viens de trouver ! cria Peter de l'autre côté du mur.
- C'est le stress, mon vieux, soupira Pilguez. Je sais de quoi je parle, on perd tous ses moyens quand on a la trouille. Le coeur palpite, les oreilles bourdonnent, on s'enfonce dans de l'ouate, les sons se font distants et paf, on se retrouve le cul par terre. Vous nous avez fait une petite crise d'angoisse.
Il vous suffit d'une seconde d'abandon, de lâcheté, de cruauté, pour perdre à tout jamais notre dignité
La fois, lorsqu'elle est sincère, vous oblige au respect de votre humanité
Le courage est un sentiment plus fort que la peur
Olson avança vers l'essuie-mains et tira de toutes ses forces sur le rouleau de tissu.
– Ces trucs ne marchent jamais, dit-il en tapant sur le couvercle de l'appareil.
– Tu devrais en faire un article, je suis certain que ça plairait beaucoup, ton plus beau papier de la saison, « La malédiction des essuie-mains » par Freddy Olson.
Tu vois, c'est l'histoire d'un curé qui se prive de manger pour sauver un Arabe, d'un Arabe qui sauve un Juif en lui donnant encore raison de croire, d'un Juif qui tient l'Arabe au creux de ses bras, tandis qu'il va mourir, en attendant son tour; tu vois, c'est l'histoire du monde des hommes avec ses moments de merveilles insoupçonnées.