Citations de Marc Pasteger (33)
"Je me souviens parfaitement de vous,mais un moment de folie n'est pas un tître de reconnaissance."
(Casanova)
Serge Gainsbourg a parlé de la gent féminine avec tendresse,humour,amour et, bien sûr, provocation:
"Disons que,pour la femme,je suis un mâle nécessaire et que, pour moi,elle est un bien inutile."
"Je préfère les jeunes filles.Leurs histoires sont plus courtes", confiait sournoisement Jacques Dutronc à un ami.
De Bernard Franck,pamphlétaire redouté et pourfendeur des "hussards" de la littérature,dans les années 1950:"Quand un homme n'est plus misogyne,c'est souvent qu'il n'aime plus les femmes."
Un jour,devant témoins,Marlène Dietrich tapota du doigt la tête de Jean Gabin:
-Ca sonne bien creux là-dessous! Es-tu sûr d'avoir un cerveau?
Et comme l'autre ne répondait pas,elle le rassura:
-Mais je t'aime tel que tu es!
Louis Brunel a toujours été jaloux. Marie-Françoise, son épouse, pense que la faute en incombe à sa mère, Geneviève, qui a trop couvé cet enfant unique. (...)
Lorsque la vie s'était chargée de lui donner les claques que sa maman n'avait jamais songé à lui administrer, Louis aurait pu ouvrir les yeux et adapter son comportement. Il n'avait pas fait le bon choix et, consciemment ou pas, avait continué à considérer que Maman ne pouvait pas s'être trompée. Le problème était donc chez les autres. (p.63)
"Dans tous les cas,mariez-vous: si vous tombez sur une bonne épouse,vous serez heureux;si vous tombez sur une mauvaise,vous deviendrez philosophe,ce qui est excellent pour l'homme."
(Socrate)
Sacha Guitry voyait en l'amour-propre le seul amour garanti fidèle.On lui doit d'ailleurs cette boutade:
"Elle: Je t'aime..
Lui: Moi aussi, je m'aime.."
On connaît la désinvolture affichée de Jacques Dutronc,marié à Françoise Hardy:
"Avec Françoise nous partageons les tâches à la maison.J'apporte la poussière,elle nettoie."
"Le problème avec certaines femmes,c'est qu'elles s'excitent pour un rien...et puis l'épousent",ironisait,un brin amère,l'actrice et chanteuse américaine Cher.
"Un homme qui a du succés est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense.Une femme qui a du succés est celle qui trouve un tel homme".
L'écrivain Jules Renard (1864-1910) affirmait:
"Le divorce est un moyen légal pour une femme de rester honnête sans passer sa vie avec le même homme."
- Vous avez vu ? Vous commencez à avoir des rides !
- Je vous en ai piqué deux ou trois mais vous en avez tellement que ça ne fait aucune différence.
p.14
À cinquante ans, cette dame de grande taille, aux cheveux toujours très noirs et au regard dissimulé derrière des lunettes à monture épaisse et aux verres larges, n’a pas échappé aux rides. Celles qu’elle arbore au coin des yeux, par exemple, ne sont pas apparues à force de rire. Car Nancy rit rarement. En revanche, elle ricane. Ce qui explique peut-être le pli disgracieux au bord de la lèvre inférieure, que l’on pourrait confondre avec un rictus permanent.
« À tout âge, on peut changer de vie, il suffit de le vouloir ! », « Il n’est jamais trop tard pour prendre son destin en main ! »
Un être aussi gentil, aussi généreux, aussi compréhensif, voilà ce qui manque au monde ! Et c’est tellement vrai que nous, les humains, avons fini par l’inventer.
À force de l’avoir imaginé, vénéré, à force de lui avoir écrit et parlé, à force d’en avoir tant rêvé, des millions et des millions d’enfants auraient réellement fait naître le Père Noël ! Il s’agirait d’un miracle, quelque chose que personne ne pourrait expliquer et encore moins nier…
L’histoire n’est pas neuve. Les Égyptiens, les Grecs et les Romains de l’Antiquité se méfiaient déjà du 13, sans doute parce que celui-ci arrive… juste après le 12 qui, lui, faisait figure de nombre parfait. C’est ainsi que l’on compte notamment douze dieux dans l’Olympe, douze mois dans une année ou douze signes dans le zodiaque. Parallèlement, on note dans la Cabale, 13 esprits du Mal. Et pour trouver trace de l’Antéchrist dans L’Apocalypse, il faut aller jusqu’au chapitre 13. C’est comme ça qu’on finit par trimbaler une mauvaise réputation !
On ne put s’empêcher de laisser vagabonder les imaginations. Ainsi affirma-t-on dans le coin que la maison des Duplantoy avait été bâtie sur un souterrain reliant autrefois deux châteaux. Il était régulièrement emprunté par des sorcières qui finirent sur le bûcher dans le courant du XVIe siècle. Le rapport avec notre affaire ? L’esprit de ces créatures perverses traînerait encore dans les lieux fréquentés autrefois et serait toujours à l’affût d’un mauvais tour à jouer aux honnêtes gens…
La musique ne fait pas qu’adoucir les mœurs ; elle pourrait donc également sauver des vies…