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Critiques de Marc Voltenauer (318)
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Le Dragon du Muveran

Habitant à proximité de la Suisse, j’ai été attiré et intrigué par ce roman policier. C’est le premier livre de Marc Voltenauer que je lis et je dois avouer que j’ai un avis mitigé à l’issue de la lecture. En effet, je trouve qu’il apporte de belles promesses mais qu’il n’est pas complètement abouti. Trop de longueurs et faux rythmes a mon goût. De plus, bien que l’intrigue m’attirait, j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire et à m’attacher véritablement aux protagonistes. MAIS paradoxalement, j’ai quand même hâte de lire son roman suivant d’autant plus que des échos que j’ai eu, l’auteur n’a cesser de progresser depuis…
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Frissons suisses : Péril au Grand-Saint-Bernard

Je connaissais Marc Voltenauer auteur de roman policier pour adultes, mais j’ignorais que les Editions Auzou qui s’adressent aux jeunes, publiait des livres de cet auteur. J’ai découvert avec plaisir dans la collection « Frissons suisses » ce titre qui met en scène deux ados, un vétérinaire, l’hospice et les chiens du Grand Saint-Bernard. Après de nombreux rebondissements tout se termine bien ! G
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Le Dragon du Muveran

Une plongée prenante dans ce thriller bien mené et efficace. Un plaisir d avoir rencontré Andreas, son compagnon Mikaël et bien sûr ces compères Karine ,Nicolas, Christophe...

Je n en dis pas plus mais si vous aimez les thrillers allez y!
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Le Dragon du Muveran

Ce premier roman de Marc Voltenauer est un récit policier assez traditionnel qui se passe dans un petit village suisse. En alternance avec les chapitres relatant le déroulement de l’enquête, d’autres donnent le point de vue du tueur en série qui évoque son enfance et nous fait comprendre, progressivement, la motivation de ses actes.



J’ai apprécié les personnages et notamment l’inspecteur Andreas Auer, efficace dans son boulot tout en étant bien dans son couple – ce qui est plutôt rare dans les polars. Petite note très dans l’air du temps, il est gay et est d’ailleurs secondé efficacement par son compagnon Mikael, journaliste de son état.



Par contre, j’ai trouvé l’intrigue trop lente et l’accumulation de bondieuseries et autres extraits bibliques a fini par me lasser.



Au final, des enquêteurs sympathiques, une enquête intéressante mais un peu trop tirée en longueur à mon goût.
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Le Dragon du Muveran

J'avais commencé par "Qui a tué Heidi", son second roman.

Et ce diable de Voltenauer avait aiguisé ma curiosité avec l'aveu d'Erica, la pasteure (que ce mot est laid, mais on a échappé à "pastrice") du si typique village suisse de Gryon.

En quoi consistait cet aveu ? Vous le saurez en lisant le précédent volume. Ce que je viens de faire.

Bon, maintenant je le sais... Et ?

Et bien je ne sais pas si je vais suivre cet auteur, il est un peu trop tordu pour moi.

Des crimes abominables minutieusement décrits, la violence, la vengeance par le sang avec l'Ancien Testament en toile de fond.

Si le meurtrier dans Heidi est décrit comme "l'homme qui s'enivrait du parfum de sa mère", dans ce premier opuscule on a droit à "L'homme qui n'était pas un meurtrier".

J'avoue que j'ai été accrochée, mais dans le genre "J'ai honte de rire à cette mauvaise blague".

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L'aigle de sang



Andreas Auer, policier suisse, apprend par sa soeur qu'elle n'est pas sa soeur, parce qu'il a été adopté. C'est un choc pour lui. Et il part en Suède, puis en Estonie sur la trace de ses parents naturels. On le suit dans son enquête et dans la recherche de ses souvenirs d'enfance. Il va se retrouver sur l'île de Gotland. Gotland, cette île qui est le cadre de nombreux polars nordiques d'auteurs comme Anna Jansson, Mari Jungstedt ou Hakan Ostlundh… Gotland au passé viking et médiéval. L'enquête menée sur cette île par Andréas réserve bien des surprises. Il va réussir à découvrir son passé caché. Mais ce passé retrouvé révèle des crimes impunis, Andreas n'ouvre-t-il pas la boite de Pandore?





Marc Voltenauer introduit dans son intrigue une société secrète - dont les membres sont des habitants de l'île - et qui se réunit lors des fêtes anciennes pour célébrer le culte de Freya (déesse Viking), incluant en particulier des sacrifices d'animaux. Il parle aussi de personnes retrouvées mortes selon le rite dit de l'aigle de sang (cage thoracique sectionnée dans le dos). Cette partie du récit semble bien documentée, mais peut-on croire à la vraisemblance de telles pratiques en 1978, et en 2016? de plus, comme chaque fois qu'un auteur situe son action dans un pays qui n'est pas le sien, pour faire plus authentique, Marc Voltenauer nous assomme d'une série de termes locaux et d'informations superfétatoires. J'ai rencontré récemment cette manie aussi bien chez Mo Malo (dans Qaanaaq) que chez Ian Manook (dans Heimaey). Un auteur suédois n'aurait pas parlé ainsi de Gotland et de son passé. Qu'importe diront certains, au moins, on en sait plus sur la mythologie Viking.





Et bien ce n'est pas si sûr. Dans Historia je relève que: 'Les sources nordiques anciennes n'indiquent pas spécifiquement qu'il y ait eu un culte de la déesse Freya'. Freya est la déesse de l'amour, déesse bonne et généreuse qu'on invoque pour ce qui a trait à l'amour, la sexualité et la fécondité. César, dans la Guerre des Gaules note que les Vikings 'n'ont aucun goût pour les sacrifices'. Tout ceci est donc contraire à ce que Marc Voltenauer présente. Enfin, il semblerait que le supplice de l'aigle de sang n'ait aucune réalité historique. Ce sont les moines qui en parlèrent en premier en Europe. Ils étaient les principales victimes des invasions des Vikings. Aussi, la popularisation de ce supplice effroyable, visait principalement à dénigrer et diaboliser les Vikings, ces pillards du Nord. Ce dernier point est d'ailleurs évoqué dans la deuxième moitié du récit. Finalement, on se retrouve face à une fausse tradition Viking, mais qui constitue cependant le coeur du roman!!! Oublions donc la véracité historique.





Reste alors un polar, à l'intrigue complexe, bourrée de coïncidences opportunes, et d'invraisemblances. le récit trop long et la multitude de personnages en rendent la lecture difficile. Dans la deuxième moitié, les évènements s'enchaînent à toute allure sans qu'on puisse reprendre son souffle par exemple à l'occasion d'une description de paysage ou d'expression de sentiments. L'émotion n'est pas au rendez vous. L'accent est constamment mis sur l'action. L'intérêt faiblit au fil des pages. Déception.

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Qui a tué Heidi ?

J’ai trouvé ce roman particulièrement ennuyeux.Une intrigue qui aurait pu tenir dans un tiers du livre seulement et dont on saisit assez vite l’essentiel.Pour le reste, des chapitres inutiles , des redondances , des considérations longuettes et des personnages sans charisme aucun.

Mon expérience avec cet auteur se terminera là.
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Qui a tué Heidi ?

Dans ce petit village suisse, la montagne, l’élevage, la fatalité ou l’espoir semblent orchestrer les vies. Cette apparente tranquillité bien montagnarde est soudain troublée par la mort de deux vaches, l’affrontement de deux paysans, le meurtre et l’apparition d’un mystérieux tueur à gages russe...

Une belle intrigue, bien imaginée et rythmée mais qui aurait mérité une écriture plus riche, moins conventionnelle, sinon « collégienne ».
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L'aigle de sang

Voltenauer quitte son village suisse pour redécouvrir ses racines suédoises en même temps que son héros inspecteur. Si le voyage le rapproche des romans noirs scandinaves, il lui fait perdre sa spécificité. L'intrigue se tient, mais ses sauts constants dans le temps, les identités multiples de ses personnages, et les coïncidences qui font avancer l'enquête, finissent par lasser.



Sous forme de haïku :



Secrets de famille.

Suisse et Suède réunies.

Par les liens du sang.
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Le Dragon du Muveran - Qui a tué Heidi ?

Une ambiance macabre et gothique pour ce polar de bonne facture qui tranche de manière incisive avec la sérénité du lieu. En dépit d'une "suissitude" bien marquée, l'influence des romans scandinaves s'y ressent. Mais avec son lot de cadavres mis en scène, ses citations théologiques distillées et son suspens dosé, les montagnes suisses si calmes sous la neige en deviennent angoissantes.



Sous forme de haïku :



Dans la Suisse si calme.

Le feu du dragon vengeur.

Incendie les âmes.
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Le Dragon du Muveran

Bon polar mais ça s'arrête là..... Un histoire qui se tient mais très vite l'enquête piétine et c'est un peu agaçant en lisant le livre. Andreas, policier, habitant de Gryon en Suisse, se trouve chargé d'une enquête sur des meurtres se perpétrant dans son village. Il suit des pistes mais son enquête est un peu brouillon et prend du retard.... On suit, au fil des chapitres, ce qu'il s'est passé 40 ans plus tôt et le pourquoi de ces meurtres. Des personnages un peu trop "cliché", quelques longueurs.... De beaux paysages suisses par contre sont décrits et ce roman donne envie de les découvrir. Je lirais le livre suivant de cet auteur par curiosité.
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L'aigle de sang

J'ai rencontré Marc Voltenauer lors de la Comédie du Livre 2019 à Montpellier. L'Aigle de Sang, en plus d'être son dernier ouvrage, m'a attiré car il traite de la mythologie viking, thème que je ne connais pas très bien. Même si c'est le troisième tome des aventures de l'inspecteur Auer je ne me suis pas sentie perdue au fil de ma lecture. Quand nous sommes face à une situation relevant du passé l'auteur arrive à introduire l'explication.







Les policiers font partis de mes lectures favorites. L'Aigle de Sang ne déroge pas à cette règle et j'ai apprécié ma lecture.







L'enquête nous fait voyager. Le point de départ est le Gotland. C'est la plus grande île de Suède. Visby, la seule ville de Gotland, est une ancienne ville hanséatique dont la vieille ville est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'adjectif hanséatique vient de Hanse, association historique des villes marchandes de l'Europe du Nord. L'île possède un important passé historique, notamment au Moyen-Âge, époque des vikings. C'est de cette époque et de la religion viking que le roman L'Aigle de Sang tire son nom.







L'aigle de sang est un sacrifice viking à la signification obscure. Ce serait un sacrifice à la gloire d'Odin ou une manière de venger son père. Dans la littérature les deux représentations les plus anciennes sont celle de saint Edmond et celle du roi Aelle. Ce dernier a été sacrifié par les fils de Ragnar Lodbrok. Je ne développerai pas plus ce supplice mais les lecteurs ayant vu la série Vikings savent de quoi je parle.







Andreas mène son enquête avec minutie et, tout comme lui, nous sommes entrainés vers des mauvaises pistes. Plus d'une fois on se dit "C'est un tel le coupable" et au final c'est loin d'être le cas.







Les chapitres sont courts et agréables à lire. Le récit se déroulant actuellement est entrecoupé de chapitres évoquant le passé. Ces épisodes sont essentiels au déroulement de l'histoire.







Les personnages sont nombreux ainsi que les rebondissements, bien que quelques fois j'en ai trouvé un ou deux prévisibles. J'ai tout de suite été touchée par la quête d'identité d'Andreas. Cela m'a donné envie d'ajouter les deux premiers tomes à ma collection.







Une petite particularité linguistique m'a un peu perturbée au début de ma lecture. Il s'agit du tutoiement. Dès les premières paroles deux inconnus se tutoient, style auquel je ne suis pas vraiment habituée. Au fil des pages j'ai fait abstraction de cette particularité et plus rien n'a pu me détourner de ma lecture.







Si vous êtes fans de polars nordiques, ce livre est pour vous. Si vous ne connaissez pas, foncez tout de même.
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Le Dragon du Muveran

Ce livre est tellement mauvais qu'il m'a poussé à laisser ma première critique sur le web. C'est dire.. on a l'impression que l'auteur veut démontrer qu'il est intégré en Suisse et qu'il connaît sa région. C'est une longue suite de clichés sans intrigue et de descriptions inutiles . Il faudra attendre 300 pages avant que quelque chose arrive! 300 pages pour une intrigue prévisible et infantile depuis le début.

Je suis tellement déçue des bonnes critiques et des recommandations chez Payot qui m'ont incitée à l'acheter. Très très mauvais achat. Un ennui monumental. :(
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Cendres ardentes

Avec «Cendres ardentes», le Suédois de Gryon embarque pour l’Albanie, cinquième étape pour l’inspecteur Auer.
Lien : https://www.tdg.ch/marc-volt..
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Frissons suisses : Péril au Grand-Saint-Bernard

Dans ce polar jeunesse, Marc Voltenauer a choisi de mettre en scène les personnages de ces romans adultes. Certes, les héros principaux de cette histoire sont surtout Mélissa et Adam, respectivement 13 et 11 ans, mais leur oncle, l’inspecteur Andreas Auer, leur vient en aide pour résoudre cette affaire d’enlèvement de chiots Saint-Bernard.



L’auteur nous conte des faits historiques sur le col et l’hospice du Grand-Saint-Bernard, un endroit mythique avec un ancrage de sauvetage et d’accueil depuis des siècles. Il nous dévoile également des aspects très intéressants sur les fameux chiens et sur la fondation Barry qui les accueille et les élève à Martigny.



Contre toute attente, ce court roman n’est pas qu’un simple livre destiné aux enfants : l’auteur ajoute des thèmes amenant une réflexion et sensibilise le plus jeune public (et les moins jeunes), notamment sur les questions du trafic de chiens et sur ces chenils des pays de l’est où les chiennes sont poussées à faire de petits à tour de bras pour vendre à prix d’or sur internet des chiots souvent en mauvaise santé et transportés dans des conditions déplorables. Peu abordée, c’est pourtant une triste problématique de nos jours. Nous en apprenons également plus sur l’autisme Asperger au travers des traits de personnalité de la vétérinaire Florence.



Indiquée pour un public dès 10 ans, la collection Frissons Suisses (https://www.auzou.ch/Collection/frissons-suisses-c2539120) proposée par l’éditeur Auzou compte déjà quelques titres d’auteurs bien connus en Suisse Romande. A noter que cet ouvrage est joliment illustré par David Chapoulet.



En résumé, un polar jeunesse instructif et très bien mené !


Lien : https://tasouleslivres.com/p..
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L'aigle de sang

e n'en voyais plus le bout! Plus de 700 pages qui auraient pu être réduites de moitié si Marc Voltenauer avait évité les répétitions en voulant ranconter le point de vue de chaque personnage sur un même évènement. C'est dommageable pour la lecture car l'intérêt sombre vite alors qu'il est quand même question de la quête d'identité de son inspecteur récurrent, Andreas Auer!

Complètement raté!



Pitch (4ème de couv):

"Gravée sur le granit, cette épitaphe: Parti bien trop tôt… Puis son nom. Son vrai nom.

Pour remonter le mystère de ses origines, il a fallu que l'inspecteur Andreas Auer appareille pour Gotland, cette île parsemée de vestiges vikings au large de la Suède.

C'est donc sur ce caillou nordique que le policier suisse a vu le jour… Et, enfant, trouvé la mort. Mais comment? Et que signifient ces cauchemars récurrents - où les cages thoraciques, sectionnées dans le dos, font des ailes atroces aux cadavres? Pourquoi soudain ce crime rituel? Une omerta des insulaires? Entre passé et présent, la vérité gît dans les ruines, en lettres de sang…"



J'ai comme l'impression que les rites vikings sont une manne d'inspiration pour les auteurs de polars! Après Olivier Bal, Marc Voltenauer décide de mêler le passé de son inspecteur Auer aux pratiques ancestrales suédoises. De célébrations en sacrifices, Andreas va découvrir que le sang l'a éclaboussé dès son plus jeune âge.



Ce roman aurait pû être un climax de la série Auer, puisqu'il touche directement au personnage principal. L'occasion de faire trembler ou pleurer le lecteur pour Andreas. Mais c'était sans compter sur une écriture bien malhabile qui se complait dans des longueurs inutiles! Le cataclysme émotionnel qu'aurait dû déclencher cette quête d'identité n'est finalement qu'un bref soufflet. Aucune empathie n'arrive à émerger car aucune crédibilité ne ressort des émotions de l'inspecteur et même plus, d'aucun des personnages! Et sur la forme, l'écriture tourne en rond, l'impression d'avoir fait mille fois le tour de Gotland et de l'histoire du clan viking, avec pour conséquence un épuisement attentionnel garanti pour le lecteur.



Désolé Monsieur Voltenauer, mais vraiment cette lecture a rimé avec torture!
Lien : https://unlivredansmabaignoi..
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Les protégés de Sainte Kinga

J’ai beaucoup aimé ce livre qui m’a fait à la fois découvrir l’histoire de Sainte Kinga, les mines de sels de Bex, et même… que la Suisse est finalement un pays comme un autre avec ses policiers et ses équipes de choc pour intervenir dans les situations difficiles (même si on n’en entend rarement parler).

Le livre est habilement découpé, le passé venant régulièrement éclairer l’action présente et le suspense est total.

Je ne sais pas si toutes les manipulations techniques et informatiques sont vraisemblables mais au vu du nombre de personnes qui figurent dans les remerciements pour leur concours je vais croire que oui.

Malgré cela, certains détails m’ont un peu « chiffonné ». C’est sans doute le revers de la médaille : plus une histoire est bien agencée, plus l’ensemble paraît tenir la route et plus on est sensible à ce qui ne semble pas coller. Mais peut-être est-ce simplement moi qui ai mal compris aussi je livre ces quelques remarques à votre sagacité (en texte masqué bien sûr, à n’ouvrir que si vous avez déjà lu le livre).



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Les protégés de Sainte Kinga

Ce livre est bien différent des 3 autres, il est plus facile de suivre les différentes intrications entre tous les personnages. Le style change, cela reste bien écrit. Pour ma part, j’ai moins croché que sur les autres histoires bien que la trame soit excellente. Peux-être est-ce dû à ce Marc Voltenauer nous ait habitué à nous faire découvrir un monde plus mystique où il parle de rituels etc...
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