Masato Hisa

L'action s'accélère dans ce septième tome: Odin et le Serpent lance leur guerre contre les panthéon et Mac Coy se trouve au cœur de cet affrontement. Car comme on le sait, le serpent cherche à récupérer l'épée de Kusanagi.

L'auteur lance encore de nouvelles interrogations sur le passé de notre héroïne, mais on sent que cela va bientôt se dénouer.

Un tome qui se lit très vite mais qui nous fait attendre avec impatience la sortie du prochain.

Extrait :

Nouvel avis sur une nouvelle série, dont j’ai déjà quelques tomes depuis un petit moment dans ma collection. Etant fan de l’univers des Kamen Rider, je ne pouvais qu’être tenté par ce titre qui en est inspiré. L’intrigue nous place au Japon en l’an 400, soit pas du tout dans l’ère moderne, je suppose qu’il n’y aura donc pas de moto typique des Kamen Rider. Le rythme de l’intrigue est assez déroutant, comme certaines planches d’action… mais il y a aussi des passages avec un certains charmes.



L’aventure commence à peine que le ton semble déjà posé, ainsi que les personnages importants, dont l’antagoniste. Monko est une sorte de voyageur itinérant, cherchant à vendre ses petites statuettes, mais derrière cette façade, il est aussi Kamuya Ride ! Un mystérieux combattant qui cherche à renvoyer les « divinités » chez eux. J’aime bien le design de l’armure, ainsi que la partie clé/serrure, c’est original. Pour les deux autres personnages, il s’agira d’un allié et l’autre d’un antagoniste. Cette rencontre fortuite est bien menée, la comédie omniprésente me fait penser que la série sera peut-être une parodie des Kamen Rider. Et la suite à tendance à me le confirmer, car la série ne semble pas être sérieuse pour un sous.



Qui dit parodie, dit aussi scènes clichées… notamment celles liées aux tentacules, bien trop présentes à mon goût. Une fois pourquoi pas, mais plusieurs fois de suite ça devient redondant et pas du tout marrant. Sans compter que la victime est un prince, et ses scènes font douter sur son genre. Surtout qu’évidemment, il n’a pas une dégaine de mec, mais bien une efféminée, en plus de prendre des positions très féminine, comme par hasard. Que la série se veuille parodique, pourquoi pas, mais je ne trouve pas ce genre de scènes drôles… J’espère donc qu’il y en aura moins dans les prochains tomes, car si je vois les scènes de tentacules trop souvent, alors la série perdra de l’intérêt, vitesse grand V, à mes yeux. Ce qui serait quand même assez dommage, car pour le reste, la série serait très attractive.



[...]
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Kamuya Ride, tome 1. Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été emballé par ce manga. Je me suis assez ennuyé, que ce soit dans l'histoire ou dans la succession des combats (il y en a pas mal quand même dans ce tome) qui ne m'ont pas marqués, et que j'ai trouvés un peu brouillon.

Je précise quand même que mes lectures de mangas de ce genre datent (Kyo, Kenshin...!) et que je ne suis sans doute pas le mieux placé pour en juger...

Hisa Masato, par son style graphique marqué mais précis, propose une évocation claire et puissante de ces temps anciens où la magie était à la fois à la marge et omniprésente. [...] Il prouve encore une fois sa capacité à magnifier les mythes anciens et modernes pour offrir une œuvre singulière et enthousiasmante.
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La lame qui se trouve à l'intérieur de la cage thoracique de McCoy appartient aux kappas, espèce dont Kishiro fait partie. Et son pote Kirimaru aussi, récemment arrivé dans Area 51.



C'est la mission qu'ont reçues les deux kappas... ramener l'épée même si cela signifie tuer McCoy. Or, McCoy et Kishiro ont un lien très étroit, rappelé dans le tome sous forme de puissants flashbacks, intenses et fort bien ficelés.



D'autres flashbacks montrent les relations entre Kishiro et Kirimaru, façon frères de sang. C'est bien vu.



Kirimaru, contrairement à Kishiro, est prêt à tout, y compris faire croire à McCoy que Kishiro est mort, afin d'arriver à remplir sa mission. Cela donne une scène intense et fort émouvante, de duel entre McCoy et Kirimaru.



McCoy est lancée dans une quête de long terme. Elle doit se venger, abattre son ennemi juré. Le pouvoir de l'épée la maintient en vie. Le chapitre 4 relance l'action en amenant un personnage de plus, abrité à l'intérieur d'une prison de haute surveillance. L'homme n'a plus de nom et ressemble fort à Hannibal Lecter. Il réclame rien de moins que s'évader... c'est la mission de McCoy dans le 4è récit.



Le tout se lit bien, est fort cohérent et rythmé. Pas de perte de rythme. Et beaucoup de contenu, de matériel.

Autant j'apprécie toujours le graphisme et les partis pris sur une façon d'aborder le dessin façon "négatif", avec énormément d'ombres, autant je n'ai pas accroché aux 4 aventures qui composent ce second tome. L'univers est sympa, cette sorte de zone, Area 51, où se trouvent les créatures mythiques, les dieux, etc. et quelques humains déchus. Meurtres, chantage, compromission... tout le toutim, le B.A. BA du privé, à l'image du personnage principal, McCoy, une détective privé, déterminée et volontaire. Les quatre récits servent à présenter des galeries de dieux, demi-dieux, monstres fantastiques, etc. mais avec des ressorts qui ne fonctionnent pas car éculés ou tout à fait prévisibles. Cela ne me semble pas la meilleure manière de faire découvrir l'univers.



Comme souvent, les dernières pages du tome apportent un rebondissement intéressant. Kishiro, le partenaire de McCoy, retrouve un ami éjecté du monde réel. Mais ses intentions sont loin d'être avouables. Pendant ce temps, McCoy est vue dans une clinique particulière dans un quartier mal famé. La révélation de la dernière page est très forte. On voit la cage thoracique de McCoy traversée d'une lame par l'intérieur pendant que Kishiro et son pote complotent pour tuer McCoy.

Avec ce tome 11, on tend vers quelque chose que je n'aime pas. On commence à avoir l'impression que la mangaka manque d'inspiration et qu'il continue sa série parce qu'il a un contrat avec les éditeurs. En effet, alors que les dessins sont toujours aussi maitrisés, les intrigues s'essouflent et commencent à se ressembler. C'est dommage!



Dans ce tome, nous découvrons la boite de Pandore et surtout un nouveau complot qui vise encore une les panthéons.

Derniers tomes d’une série qui aura su agréablement me surprendre, Jabberwocky trouve ici une conclusion bienvenue mais guère surprenante.



Sabata et Lilly se lancent sur les traces d’Eddison dont les vols d’inventions pour « dominer » le monde se font au détriment de leurs créateurs et surtout, de leur vie. En effet, le savant fou ne recule devant rien et ne s’embarrasse d’aucun état d’âme.

En même temps, il faut également faire face au « serpent à plumes », cette organisation de dinosaures refusant toute cohabitation avec les hommes et bien déterminée à anéantir l’humanité.

Vous l’aurez compris, Lilly et Sabata ne sont pas au bout de leurs surprises et ne sont pas, mais alors pas du tout, prêts à se reposer. Bien entendu, c’est pour notre plus grand plaisir. L’intrigue est toujours aussi dynamique et ne souffre de quasiment aucun temps mort. Le mangaka sait alterner les passages et équilibrer à juste dose entre des planches aux bulles bien replies et des planches à l’impact visuel fort.



Le mangaka a su poser la fin de sa série et ce, pile au bon moment. Lilly et Sabata ne font palors pas l’objet d’une série inutilement à rallonge qui aurait fini par lasser le lecteur. De même, aucun sentiment de frustration n’est généré pour le lecteur, le synopsis de départ étant de suivre une enquête précise des deux héros, la série se concluant bien sur cette enquête.
Lien : http://drunkennessbooks.blog..

Derniers tomes d’une série qui aura su agréablement me surprendre, Jabberwocky trouve ici une conclusion bienvenue mais guère surprenante.



Sabata et Lilly se lancent sur les traces d’Eddison dont les vols d’inventions pour « dominer » le monde se font au détriment de leurs créateurs et surtout, de leur vie. En effet, le savant fou ne recule devant rien et ne s’embarrasse d’aucun état d’âme.

En même temps, il faut également faire face au « serpent à plumes », cette organisation de dinosaures refusant toute cohabitation avec les hommes et bien déterminée à anéantir l’humanité.

Vous l’aurez compris, Lilly et Sabata ne sont pas au bout de leurs surprises et ne sont pas, mais alors pas du tout, prêts à se reposer. Bien entendu, c’est pour notre plus grand plaisir. L’intrigue est toujours aussi dynamique et ne souffre de quasiment aucun temps mort. Le mangaka sait alterner les passages et équilibrer à juste dose entre des planches aux bulles bien replies et des planches à l’impact visuel fort.



Le mangaka a su poser la fin de sa série et ce, pile au bon moment. Lilly et Sabata ne font palors pas l’objet d’une série inutilement à rallonge qui aurait fini par lasser le lecteur. De même, aucun sentiment de frustration n’est généré pour le lecteur, le synopsis de départ étant de suivre une enquête précise des deux héros, la série se concluant bien sur cette enquête.
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Un bon premier tome.



Je n'ai pas tout de suite accroché aux dessins qui sont très particuliers, dans le style d'un Sin City ou dans les dessins de Mike Mignola, mais au fil de l'histoire on s’habitue, trop absorbé par les enquêtes de Mc Coy.

C'est une série que j’apprécie beaucoup tant par ses dessins très originaux que par son histoire et ce tome-ci ne déroge pas aux tomes précédents.

Dans ce tome, Mc Coy est en mauvaise posture face à l'apparition d'un nouveau personnage redoutable, maléfique et très ancien. On découvre également un peu plus son passé et sur ce qui l'a amené dans l'aréa 51. Un très bon tome!

Nous arrivons au tome 6.

Un tome qui commence à faire le lien avec un certain nombre d'aventures des autres tomes.

Après avoir rencontré le dieu singe du panthéon chinois, et leurs morts vivants, on retrouve les intrigues autour des panthéon des dieux et plus particulièrement celui des dieux nordiques avec Odin et les Valkyries.

MacCoy se retrouve encore dans de sales drap à cause de l'épée qu'elle possède dans son corps.



Le Serpent originel refait surface et l'on sent qu'il prépare quelque chose, car petit à petit les pièces du puzzle se mettent en place.



On reste toujours dans le flou quand au passé de MacCoy, mais aura-t-on des indices avant la fin de la série? Rien n'est moins sûr.



Par contre on retrouve un ancien personnage, qui semblait-il était mort, mais comme il le laisse entendre, ce n'est pas encore le moment pour qu'il revienne...



Un tome donc charnière qui dessine les prémices de la fin de la série avec tous les dieux de l'area51 et leurs histoires qui se relient petit à petit les unes aux autres.

Deuxième tome, on continue à suivre les aventures de McCoy et de son acolyte le kappa. Les enquêtes nous mènent vers des personnages plus ou moins connus de la mythologie mondiale.



On commence à mieux cerner les zones d'ombres de l'héroïne, bien que ce ne soit pas encore le sujet dans ce tome. Un fil rouge néanmoins commence à se mettre en place: McCoy a une blessure qu'elle soigne grâce au centaure Chiron, et son ami le kappa n'est peut-être pas celui que l'on croit, et s'il a approché la jeune femme ce n'est pas pour rien: il recherche une épée qu'elle leur aurait volé.



Ce tome est toujours aussi bien travaillé graphiquement, l'histoire manque maintenant de rebondissement qui semble enfin arriver pour le troisième tome. On attend la suite.

Un excellent volume pour une série qui l'est tout autant et mériterait plus de visibilité!
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Un cinquième opus toujours aussi percutant mais qui va cette fois nous permettre d'en apprendre un peu plus sur notre héros, en levant en partie le voile qui le concerne!

On en redemande encore et encore!


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Dans ce manga nous découvrons un monde japonnais historique, rempli de guerriers et Prince.

Le versant fantasy ne tarde pas à arriver et est je trouve plutôt bien amené grâce à une astucieuse présentation des protagonistes en tout début d'histoire.



Les illustrations sont au départ un peu déroutantes, ne suivant pas les codes modernes de tracé manga, avec des visages plutôt minimalistes et où le corps des personnages est d'avantage mis en valeur. D'ailleurs, le mangaka utilisera à plusieurs reprises la nudité pour exprimer la vulnérabilité de l'un de ses personnages notamment.



Les combats sont impressionnants, très visuels et tournant autour d'une thématique magique, tels des sorts que l'on scellerait ou libérerait. Le contexte est intéressant et fouillé. Des rebondissements époustouflants, laissent planer des suspenses agréables et donnant clairement envie de poursuivre sur les tomes suivants.



Pour conclure, un premier tome introductif qui ne se contente pas de planter le décor. On est tout de suite happé par une intrigue qui nous tient en haleine et c'est magiquement bon.

Un volume bluffant visuellement qui se lit malheureusement bien trop vite, le lecteur étant happé par le rythme frénétique imposé par l'auteur !

Véritablement un excellent titre, aussi surprenant que savoureux !


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Je ne le dirai jamais assez mais Masato Hisa est un véritable génie méconnu et c'est tout à l'honneur de Vega de prendre le risque de nous proposer sa dernière série en date, et je les en remercie!
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Suite et fin de cette rencontre de l'univers de Batman avec le japon féodal. Il y est question de robots géants, de sabres et de ninjas, le tout sous le magnifique trait de Masato Hisa. Toujours aussi fun.
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Oh comme j’ai adoré ce manga! J’aime beaucoup l’univers de Batman, alors découvrir Batman dans le Japon féodal c’était encore mieux! Je n’ai jamais vu le film d’animation Batman Ninja, je ne sais pas si ça raconte la même chose que le manga sur ce coup là je ne pourrais pas faire de comparaison. Mais personnellement, j’ai beaucoup aimé ce manga! Ce premier tome est, pour moi, excellent! J’ai hâte de découvrir le deuxième et dernier tome.



On retrouve tous les personnages emblématiques du monde de Batman et ça c’est génial. Il n’y a pas seulement le Joker. On retrouve également Poison Ivy, le pingouin, Catwoman, Robin et compagnie. On va donc suivre Batman et toute sa clique dans un voyage dans le temps propulsé dans le Japon Féodal. La bas, les méchants emblématiques se sont partagé le pays, devenant par la même occasion, des seigneurs feodaux.. Batman, arrivé deux ans après tout le monde, ainsi que toute son équipe doivent donc veiller et aider le peuple et, évidemment, ramener tout le monde à Gotham!



L’histoire est vraiment bien ficelé, si bien qu’on ne s’ennuie pas et le manga défile vraiment très vite. La fin nous donne clairement envie de lire le tome 2, qui s’annonce d’ailleurs assez dingue au vue de la fin du premier! J’ai beaucoup aimé les illustrations, elles sont très agréables à la lecture et sont vraiment très jolies!



Ce premier tome est donc une bonne surprise pour moi. J’avais peur d’être trop dépaysé de Gotham mais finalement ça se passe tout seul! Il est rempli d’action, ça défile très vite et j’ai trouvé l’histoire très cohérente! J’ai hâte de lire le dernier tome et voir comment ça va se passer pour Batman et toute son équipe!
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