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Critiques de Matsuri Hino (314)
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Captive Hearts, tome 1 :

Alors, contrairement à Vampire Knight, je n’ai pas du tout accroché à cette autre œuvre de Matsuri Hino. J’ai trouvé la thématique de la malédiction plutôt sympa, mais l’exécution beaucoup moins. L’état étrange et quasi-permanent du personnage principal masculin m’a plutôt mise mal à l’aise qu’autre chose. Je ne continuerai pas cette saga, c’est une chose certaine.
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Captive Hearts, tome 2 :

Oui, je sais, je n’avais déjà pas apprécié le tome un pour plein de très bonnes raisons, mais je suis tombé sur le tome deux pour 50 ct en bouquinerie et j’ai voulu lui donner une deuxième chance. Oui, c’est bien la dernière fois que je vous parle de Captive Hearts. Je n’aime pas l’univers ni les choix de l’autrice pour cette histoire. Le côté “esclave” me dérange toujours autant. Bref adios Captive Hearts, je me contenterai dorénavant de Vampire Knight.
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Meru Puri, tome 1

Grand amour, magie et méchants. Airi ne rêve que du prince charmant quand elle rencontre Alam, un jeune garçon sorti de son miroir. Alam est un jeune prince dont le frère aîné ne cesse de vouloir l'éliminer. Un sort lui a été jeté : plongé dans le noir, il vieillit et seul le baiser de sa bien aimée peut le sortir de ce sortilège.

Un peu mièvre, un peu trop de tout mais on se laisse embarquer.
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Meru Puri, tome 1

...

Shojo classique où le romantisme a une part très importante dans l'histoire. Histoire d'amour digne d'un conte de fées, avec un prince aussi mignon et attachant en enfant que beau et sexy en adulte !! Beaucoup d'obstacles pour détruire le couple, pas mal d'humour et de scènes cocasses.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
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Meru Puri, tome 1

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire mais après quelques chapitres le ton décalé et loufoque m'a donné envie de continuer.

L'héroïne n'est pas particulièrement attachante mais les personnages masculins sont intrigants et donnent une dynamique à l'histoire.

Un premier tome où je ressors mitigé. Je verrais après la lecture du tome 2 si je continue ou non.



Un second tome où le ton a trouvé son équilibre entre débilité, romance et sérieux.

C'est bien fun et les personnages deviennent attachants.

Je lirais les deux derniers tomes.
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Meru Puri, tome 1

super
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Meru Puri, tome 1

Meru Puri a été la première oeuvre de Matsuri Hino que j'ai commencé. Je ne sais plus trop pourquoi j'avais décidé de lire cette série. Le dessin avait sûrement dû m'attirer car le style de la mangaka est fin, stylisé et a aussi un côté très "romantique". Le soin du détail est très présent et ses personnages ne se ressemblent pas du tout (ce qui est malheureusement le cas chez certains mangaka, ce qui conduit souvent à des incompréhensions lors de la lecture).



Donc oui, le graphisme m'a clairement attiré. La série faisait quatre tomes, je ne m'engageais pas dans une aventure à rallonge et le résumé avait quelque chose d'assez drôle. Une héroïne à la recherche du GRAND amour qui voit débarquer de nulle part un petit prince qui cherche à échapper à son grand frère (tous les deux magiciens de surcroît). J'avoue, j'ai trouvé cela adorable et ma curiosité a tout de suite été piquée.



Airi est tout de suite décrit comme étant une grande romantique, un peu candide et étourdie. Elle est attachante, dynamique, et semble avoir un caractère bien trempée également. Sa rencontre avec Alam est assez amusante d'ailleurs. Le jeune prince est mal poli, arrogant, s'adressant à Airi en l'appelant "Femme"... Et Airi ne se laisse pas faire du tout, bien au contraire. Pour Alam, c'est sûrement la première fois que quelqu'un doit lui remonter les bretelles et lui faire la morale. C'est très drôle car le petit garçon est tout de même adorable et qu'il finit par écouter tout ce que lui dit Airi.



Il est assez normal, en fin de compte, que le petit prince tombe amoureux de l'adolescente. Et les choses se compliquent encore plus quand on découvre la malédiction que Jeile a jeté à son frère. A chaque fois que Alam est plongé dans le noir, il vieillit. Je vous laisse imaginer la tête de Airi quand elle le découvre, surtout qu'ils sont en train de dormir tous les deux dans le même lit ! Mais pourtant, Alam reste le petit garçon que l'on a rencontré.



C'est ce point là de la série que je trouve très intéressante, car en effet, Alam reste mentalement un petit garçon malgré son corps d'adolescent. Avec ses sentiments pour Airi qui commencent à grandir et la jeune fille qui est quand même troublée par l'apparence plus adulte de son petit "locataire", les choses promettent d'être assez mouvementées. C'est aussi sans compter la présence de Jeili... le grand frère de Alam étant un égocentrique surdimensionné et loufoque... les scènes amusantes ne font pas se tarir de si tôt.



Un premier tome très réussi qui mélange adroitement pas mal de genres. La suite se montrera moins drôle à mon avis pour se concentrer plus sur nos deux héros et les obstacles qu'ils vont rencontrer, mais pour une mise en bouche, c'est l'adhésion totale.
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Meru Puri, tome 1

Je viens de relire la série. Je me souviens l’avoir adorée, principalement grâce à Alam, mon grand amour de papier à l’epoque du collège.



On suit Airi, une lycéenne qui vit seule et ne rêve que de se marier avec l’homme de sa vie. D’un autre côté, Alam, un jeune prince de sept ans, est ensorcelé par son grand frère et se voit obligé de quitter son monde pour le nôtre. Il traverse un miroir magique de son palais et ressort par un autre miroir, celui d’Airi.

La jeune fille va se retrouver embarquée dans cette histoire et hébergera le petit prince le temps qu’une solution soit trouvée. Parce que le problème d’Alam, c’est qu’une fois dans le noir, il vieillit et se transforme en garçon de dix-sept ans (ultra BG, j’dis ça j’dis rien) et ne contrôle plus sa magie (je préfère vous prévenir : l’aspect magique n’est qu’en second plan du shôjo).

Airi et Alam sont très touchants, surtout Alam qui se voit traité comme un enfant normal pour la première fois. Adieu les privilèges de prince, et il aime plutôt ça ! Les deux héros se chamaillent, Airi tentant tant bien que mal de préserver sa vie de lycéenne en quête du grand amour.

Les personnages secondaires enrichissent l’histoire, bien qu’ils soient un peu clichés.



Même si les circonstances de la rencontre et de la cohabitation entre Airi et Alam sont vachement tirées par les cheveux, j’aime toujours autant ce manga. Alam fera à jamais battre mon coeur.



C’est un shôjo que je recommande aux jeunes rêveuses et grandes amoureuses.
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Meru Puri, tome 1

Un sympathique shojo qui utilise une astuce magique pour traiter de l'immaturité des garçons à l'adolescence.

Ça se lit tout seul, c'est frais, léger et plein d'humour. Un beau démarrage déjà très complet !
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Meru Puri, tome 1

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire mais après quelques chapitres le ton décalé et loufoque m'a donné envie de continuer.

L'héroïne n'est pas particulièrement attachante mais les personnages masculins sont intrigants et donnent une dynamique à l'histoire.

Un premier tome où je ressors mitigé. Je verrais après la lecture du tome 2 si je continue ou non.
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Meru Puri, tome 1

Un manga adorable avec une histoire romantique (parfois un peu trop) rempli de magie. Le couple Airi et Alam est vraiment trop adorable !

Un manga de la main de Matsuri Hino, une mangaka dont les traits sont magnifique.
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Meru Puri, tome 1

J’ai cette série de mangas dans ma bibliothèque depuis sa sortie en librairie si je ne me trompe pas et pourtant, je n’ai jamais pris la peine de vous en parler plus en détails sur mon blog. Composée de quatre tomes seulement, elle se dévore rapidement et c’est tant mieux, puisque nous n’avons pas besoin de dépenser des millions pour avoir le fin mot de l’histoire. Enfin un shōjo où acheter vingt-huit opus n’est pas nécessaire ! Dans cette histoire nous faisons la connaissance de Airi Hoshina, une élève de seconde au lycée qui vit seule avec ses deux chiens, Pochirô et Koromi, et qui est, disons-le franchement, niaise comme pas permis. Son but dans la vie ? Vivre la plus belle des relations amoureuses et se marier à vingt ans, puis avoir des enfants et acheter une maison bien particulière avec un toit rouge et des murs blancs. Mais un jour, son chemin croisera celui d’un étrange petit garçon prénommé Aster Ey Daimonia Eucalystia Alam (rien que ça) et son quotidien, pourtant classique, en sera tout bouleversé. En effet, l’enfant vient d’un royaume magique et, alors qu’il s’en échappait parce qu’une personne mal-intentionnée était en train de lui jeter un mauvais sort, il est venu dans notre monde en passant par le miroir de poche de l’héroïne ! En attendant qu’une solution soit trouvée et que le coupable avoue quelle formule il a utilisée, elle va héberger le jeune prince et prendre soin de lui. Mais elle déchantera bien rapidement quand elle se rendra compte qu’une fois dans le noir, Alam vieillit et devient un jeune homme au charme et au charisme indéniables. Dès lors, sa vie paisible d’adolescente va prendre un virage radical et ne sera jamais plus la même.



En ce qui concerne les personnages, je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal avec Airi. C’est l’héroïne et pourtant, je n’ai pas totalement adhéré à sa façon de faire ou à sa façon de penser. Certes elle est gentille et elle travaille dur, mais son côté fleur bleue est envahissant au point de devenir, parfois, carrément énervant. Ce qui est regrettable puisque d’autres aspects de sa personnalité auraient pu être mis en avant aussi. Mais non, il n’y a que ça. Et, pire encore, d’où tu t’entiches d’un enfant ? Quand j’ai découvert ce manga j’étais jeune et je devais avoir autour de treize ans, du coup, ça ne m’a pas choqué tant que ça et je trouvais ça plutôt choupi, mais avec le recul je me rends compte que c’est plutôt.. étrange. Alam, en revanche, m’a bien plus plu. Je l’ai même adoré ! Comme il vient d’une famille royale, il a certaines manies que j’ai trouvées assez drôles. Il ne s’est jamais lavé tout seul, il appelle Airi « femme », il est hautain, arrogant, etc. Néanmoins, je l’ai trouvé particulièrement touchant. Il est victime d’un sortilège et pourtant, il ne se plaint jamais. C’est un petit bonhomme drôlement courageux qui a la tête sur les épaules et qui sait se montrer fort quand la situation l’exige. Parmi les autres protagonistes nous avons Jeile, le demi-frère (aîné) du héros. C’est de sa faute si Alam grandit quand il est dans une pièce sombre et s’il ne peut plus pratiquer la magie correctement. C’est lui le responsable de tous ses maux. Nous avons également Heskia Lei Lipuli, le serviteur du jeune prince ; Nakaôji, un camarade de classe de Airi ; et Malulu, une drôle de petite fée au caractère bien trempé.



Globalement, cette re (re-re-re-re-re..) lecture a été bonne. L’histoire est mignonne comme tout et elle a un bon rythme grâce aux personnages et à leurs interactions, parfois farfelues. Les dessins sont sympathiques seulement, Airi était terriblement banale, aussi bien physiquement que mentalement. Je n’ai pas trouvé son caractère très poussé — peut-être que c’était cherché ? — et ça m’a déçue. Heureusement que les garçons étaient là pour remonter le niveau. Meru Puri est une œuvre créée par Matsuri Hino, que l’on ne présente plus et qui est aussi à l’origine de Vampire Knight. Si vous appréciez sa patte artistique et les romances sur fond de magie, celle-ci devrait vous plaire. Et, je le répète, mais il n’y a que quatre tomes !
Lien : http://madameratou.com/meru-..
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Meru Puri, tome 1

J'ai cette série dans ma bibliothèque depuis des années, mais je n'ai jamais pris le temps de la chroniquer ici, même si je l'adore.



Meru Puri est une petite série en 4 volumes, ce qui est déjà en soit une bonne nouvelle (Ca nous change des séries qui s'étirent en longueur jusqu'à perdre l'intégralité de sa substance). Il s'agit d'un shojo assez classique avec une lycéenne courageuse en héroïne principale à laquelle s'ajoute toute une série de soupirant tous plus craquant les uns que les autres.



Plus concrètement, on suit Airi, une jeune lycéenne aux GRANDS idéaux amoureux, vivant seule et travaillant dur pour s'améliorer et trouver son grand amour.

Elle se déplace toujours avec un petit miroir dans sa poche, héritage familial, jusqu'au jour où le jeune Prince Alam (Genre 10 ans) le traverse afin d'échaper à la tentative de sortilège jeté par son grand demi-frère (Gentil lui aussi, mais un peu bargot sur les bords).

Ne comprenant pas vraiment ce qu'il se passe, et d'une grande générosité/naïveté, elle se propose de prendre soin de lui jusqu'à ce qu'un adulte bien intentionné le prenne en charge.



Mais les choses vont commencer à devenir franchement surréaliste quand les effets atténués du sortilège se matérialise: Alam devient un adolescent lorsqu'il est plongé dans le noir. Du coup, Airi qui s'était endormi avec un jeune garçon dans ses bras se réveille avec un adolescent en tenu d'Eve dans son lit...



Airi se retrouve à dévoir gérer ce nouveau soupirant qui ne peut pas vraiment rentrer chez lui, le majordome bougon d'Alam, le frère d'Alam, tout en essayant de débuter une relation avec son soupirant au lycée... Bon courage...



Je n'en dirai pas plus sur l'histoire, il y a sufisamment de rebondissement pour que l'histoire ne souffre pas de lenteur, les personnages sont bien construit et on une réelle consistance.

Concernant le dessin, il est assez classique des shojos également, les traits sont fins et l'on retrouve certaine planche très ouvragé pour donner de la profondeur, toujours dans les grands moments (Au cinéma, ceux sont les moments où il y aurait eu un fond sonore avec l'intégralité de l'orchestre, si tu vois ce que je dire).



Bref, je recommande sans aucune hésitation pour les jeunes filles et celles qui ont gardé cette âme romantique-fleur-bleu.
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Meru Puri, tome 1

Alam prince d'Aster se fait ensorceler par son demi-frère. Pour lui échapper il passe un miroir à 7 branches que possède Airi. Elle décide donc de l'héberger. Le soir venu, ils dorment ensemble mais le lendemain matin le petit garçon de la veille était devenu un jeune-homme de 17 ans. Seul "le baiser de la jeune fille" peut lui rendre son état normal.



J'ai bien aimé ce manga, je l'ai trouvé assez drôle. La romance entre un garçon de 17 ans (mais qui a 10 ans d'âge mental) et d'une fille "normale" est peu ordinaire.



Lau
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Meru Puri, tome 1

Meru Puri est drôle, c'est une comédie romantique sur fond de pouvoirs magiques un peu abracadabrants. Les personnages ont tous un côté humoristique, surtout le grand frère censé être le méchant de l'histoire ! Airi est une héroïne franche et directe qui attend le grand amour et qui ne s'attend pas à le voir débarquer sous la forme d'un petit prince sorcier qui se transforme en beau jeune homme une fois plongé dans l'obscurité. C'est sans prise de tête, ça se lit très vite, surtout que c'est une saga en quatre tomes, ou plutôt en deux volumes, si vous avez, comme moi, préféré l'édition qui regroupe les tomes. Matsuri Hino est connue pour sa série (bien plus populaire) Vampire Knight et c'est intéressant de voir son style de dessin dans quelque chose de beaucoup moins sérieux (même si j'apprécie beaucoup Vampire Knight). Si vous tombez sur Meru Puri d'occasion (car il me semble que la saga n'est plus éditée), n'hésitez pas ! Vous devriez pouvoir obtenir cette petite saga mignonne et amusante à petit prix.
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Meru Puri, tome 2

...

Shojo classique où le romantisme a une part très importante dans l'histoire. Histoire d'amour digne d'un conte de fées, avec un prince aussi mignon et attachant en enfant que beau et sexy en adulte !! Beaucoup d'obstacles pour détruire le couple, pas mal d'humour et de scènes cocasses.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
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Meru Puri, tome 2

Un second tome où le ton a trouvé son équilibre entre débilité, romance et sérieux.

C'est bien fun et les personnages deviennent attachants.

Je lirais les deux derniers tomes.
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Meru Puri, tome 2

Dans ce deuxième tome nous retrouvons notre héroïne, Airi Hoshina, une jeune fille âgée de quinze ans tout juste qui rêve du grand amour. Son feuilleton préféré est « le mariage dans la prairie », c’est une éternelle romantique et son unique but dans la vie consiste à fonder une famille un bel homme et l’épouser, tout en accumulant les joies de couple avec lui, jusqu’à la fin (si si, je vous jure). Mais son quotidien paisible et ordinaire de lycéenne fleur bleue basculera quand un petit garçon — ou plutôt, un prince — prénommé Aster Ey Daimonia Eucalystia Alam (rien que ça) sortira de son miroir de poche. L’enfant vient d’un royaume magique et son demi-frère, Jeyle, lui a jeté un mauvais sort. En effet, dès qu’il se retrouve dans l’obscurité, il vieillit, devient adulte, et sa maîtrise de la magie n’est plus aussi bonne qu’avant. La situation est, évidemment, catastrophique.



Le temps de trouver une solution à son problème, il a vécu dans l’appartement de Airi et rapidement, des sentiments sont entrés en jeu. L’âge du garçon n’est pas précisé dans l’ouvrage mais si je prends en compte les quelques avis que j’ai vus sur internet, il aurait peut-être sept, neuf voire onze ans (jolie marge, dommage qu’il n’y ait rien d’indiqué dans la version française). Quoi qu’il en soit, et malgré le fait qu’il soit encore tout jeune, on voit bien qu’il est sincère quand il affirme aimer l’adolescente. Quand il dit haut et fort qu’elle est sa favorite, ça n’a rien d’un jeu. Cependant, ce que pense Airi est plus complexe. Elle trouve Alam très mignon — « choupinet » est le terme exact qu’elle emploie de temps à autre — mais quand il grandit, elle est troublée. Forcément, c’est son type (et s’il existait vraiment, ce serait aussi le mien) ! À côté de cela, elle est attirée par Nakaôji, son camarade de classe qui représente, pour elle, un idéal masculin. Tiraillée entre deux hommes un gamin et une personne de son âge, Airi passe son temps à se demander ce qu’elle fait dans cette galère (et je me pose la même question puisqu’il n’y a pas de choix à faire merci au revoir).



Bon. Comme dit précédemment dans ma chronique du premier tome (vous pouvez la retrouver en cliquant sur ce lien), j’ai beaucoup de mal avec la protagoniste féminine principale. Un enfant, et j’insiste sur ce terme, ne la laisse pas indifférente. Que diraient les gens si l’œuvre était inversée et qu’on parlait d’un adolescent charmé, séduit, tout ce que vous voulez, par une petite fille ? Voilà : ce n’est pas normal. Je comprends qu’elle puisse être attirée par la version adulte de l’enfant qu’elle héberge, et qu’elle doute parce qu’il s’agit du même bonhomme, mais quand même. Alam, par contre, reste mon favori. J’aime que son comportement ne change pas quand il grandit — ce qui est normal vu qu’il s’agit toujours de lui et que seul son corps change — même si ça reste perturbant pour le lecteur. Ou, en l’occurence, pour moi. Néanmoins, sa façon de dire et de faire étaient différentes quand il était chez lui (je ne spoile rien, il est précisé dans le résumé que Airi va malencontreusement atterrir dans son monde magique). Certes, il est de sang royal, c’est un héritier direct et il connaît très bien cet univers, pourtant, j’ai trouvé qu’il y avait comme un couac. Je peux comprendre que sa vie et tout ce que ça implique l’ait rendu plus mature que la normale, mais là, j’ai eu l’impression de faire face à un adulte. Ce qu’Alam n’est pas. En ce qui concerne les autres personnages, il y a bien sûr Nakaôji (le fameux), qui ne m’intéresse pas plus que ça ; Jeyle, qui sert de plante d’intérieur tellement on ne le voit pas ; et Lei, qui reste protecteur et distant à la fois. Nouveauté : une nouvelle personne entre dans la danse ! Je préfère vous taire son nom plutôt que d’en parler maintenant, mais croyez-moi, il aura un rôle important à jouer dans le troisième volume.



Concrètement, ce tome est dans la même lignée que le premier. L’intrigue avance d’un cran, et malgré qu’elle soit assez précipitée, on s’y accroche et on veut découvrir la suite. Le visuel (comprenez « le grand Alam ») est toujours aussi plaisant à regarder, les chapitres sont courts et l’histoire défile, il y a une touche d’humour, des rebondissements, des surprises, et bien sûr, des ennuis. À vous de voir si meru puri peut être une série intrigante ou non. Pour ma part, j’en suis à je ne sais combien de relectures et si je réfléchis bien, le doute n’est pas permis : je préférais cette saga quand j’étais plus jeune.
Lien : http://madameratou.com/meru-..
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Meru Puri, tome 2

Dans ce tome deux, Matsuri Hino continue de nous faire découvrir la vie quotidienne de Airi et Alam dans le monde des humains. C'est assez amusant car malgré son jeune âge, le petit prince fait tout pour être plus adulte, et son changement d'apparence tout le long du tome rend plus que crédible ce changement. C'est même assez perturbant car il est difficile de penser qu'Alam est vraiment un petit garçon. Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi Airi ne sait plus trop quoi penser. Elle le dit elle-même à un moment donné. Elle aime Alam mais elle ne sait pas encore de quelle façon. A sa place, je serais aussi complètement désorientée. Je me demande d'ailleurs comment la mangaka va faire pour trouver une solution à ce problème…



Ce qui est aussi difficile à appréhender, c'est que les sentiments d'Alam envers Airi sont vraiment sincères. Pour son âge, on aurait tendance à croire que c'est simplement une amourette passagère, mais il n'en est rien. On sent bien que le petit garçon est sérieux et sincère. Sa rivalité avec Nakaoji n'est d'ailleurs pas feinte et elle est loin d'être celle d'un petit frère face au prétendant de sa soeur.



Alors du coup, Airi est perturbée par tout cela. Sans compter que cette histoire est loin d'être comme celle qu'elle avait imaginée concernant son « grand amour », elle est malmenée sans arrêt entre ses sentiments pour Alam qu'elle n'arrive pas à définir et ses sentiments pour Nakaoji qui est pour elle, l'idéal masculin. Tout se complique lorsque par inadvertance, elle se retrouve dans le royaume d'Aster. On découvre alors un secret concernant Airi qui la met en danger. Alam ne tarde pas à la sauver avec une promesse qui va encore plus compliquer leurs relations. Notre héroïne qui avait déjà du mal à s'habituer à la situation... Mais franchement, cela apporte du piquant et rend aussi le manga plus adulte.



On assiste aussi à des passages qui nous offrent vraiment des moments très tendres entre nos deux héros. Ils mettent aussi bien en valeur les efforts que fait Alam pour Airi. On assiste aussi à un véritable contraste entre l'attitude du jeune prince envers sa bien-aimée et le reste de son entourage. C'est très attendrissant et cela prouve encore une fois son attachement sincère.



L'arrivée à Aster de Airi a provoqué pas mal de soucis, ce qui donne une touche plus dramatique. Sa rencontre avec le cousin d'Alam, Razu, va sûrement être une cause de problème grandissante. En espérant que notre héroïne trouve en Lei et Jeile des alliés qui pourront la soutenir. Le grand frère de notre héros malgré son attitude pourrait se révéler être une aide précieuse. Du moins, je croise les doigts.
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Meru Puri, tome 2

Deuxième volume d'une série que j'ai intégralement adoré.

Pour plus de détail, je vous renvoie à la critique du premier volume.



On retrouve Airi dont la situation se complique en même temps que ses sentiments pour Alam et le nombre de protagoniste du royaume d'Aster en "balade" sur notre bonne vieille planète terre.

L'évolution de l'histoire Airi/Alam se fait en douceur sans longueur pour autant et de manière très pur (Tant mieux, sinon mon cerveau ne pourrait pas s'empêcher de hurler contre une morale douteuse).

C'est drôle, c'est romantique, c'est agréable à lire.
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