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Critiques de Michael Grant (437)
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Gone, tome 1 : Gone

En lisant Gone, je ne savais pas trop à quoi m'attendre... Beaucoup d'avis que j'avais lu étaient en sa défaveur, mais j'avais quand même rencontré quelqu'un qui m'avait assuré l'adorer. Donc, je me suis lancée, un peu comme ça, sans trop lire même le résumé...Je dois dire que j'ai moi aussi adoré Gone ! si ce roman ne peut pas plaire à tout le monde, pour moi, c'était un sacré livre Science-fiction dans le genre, mais pas que...



Gone est un roman jeunesse, mais il peut tout à fait convenir aux plus grands, il plaira sans doute aux adeptes de la science fiction, peut-être de la fantasy, poussons le vice jusqu'à la Dystopie. Personnellement, cette chronique ne contiendra pas vraiment de points faibles, plutôt tout ce que j’ai pu noter, mais principalement, ça dépend des gouts des lecteurs, car les genres se différencient et ne plaisent pas tous forcément, surtout la ''Science-fiction'' parce que Gone s'y rapporte vraiment, mais pourtant c'est un très bon livre.



Tout d'abord Michael Grant est un très bon auteur, il a une bonne écriture, qui varie entre le texte et les dialogues sans en avantager ou en dénigrer un, ce qui permet d'avoir un bon équilibre quand on lit le roman. Le point de vue omniscient nous permet de survoler le récit, d'observer chacun des personnages, d'en garder certains mystérieux, et de plonger dans les pensées d'autres, dans leurs âmes... C'est intéressant. L'auteure sait aussi mener un récit, si parfois il y a des endroits qui paraissent vides ou lents, ils sont vites rattrapés par une révélation qui nous pousse à continuer, et tourner les pages, sans cesse. J'ai été happé par le récit, ne voulant plus le lâcher, et des fois je me forçait à lire, perdant un peu le fil. Cependant j'ai adoré ce roman.



Le monde imaginé par Michael Grant est le notre comme un monde différent. tout un tas de mystères tourne autour de l’apparition de cette fameuse zone, la ville, le désert, la mer, mais enfermés dans une bulle, infranchissable... cependant je n'irais pas plus loin, car je spoilirais le roman, mais les révélations sur la zone, sont vraiment intéressantes, moi, je ne l'avais pas deviner, et j'ai été étonnée de voir comment elle à pu apparaitre, car c'est une des grandes question de ce roman, Comment la zone est apparut? mais aussi pourquoi n'y a-t-il plus d'adultes ? Pourquoi 15 ans est la limite ? Comment, ou ? tant de question, toutes ne trouvent pas de réponses, ce sont des vrais mystères qui s'imbriquent l'un dans l'autre, quand un parait se résoudre, il en découd un autre. A la fin du roman, notre soif de réponse n'est pas apaisé, loin de là, et ce qui nous pousserait sans doute vers le tome deux !



On a l'habitude des romans jeunesses où les héros, les personnages principaux sont des enfants, des ados, mais il y a toujours un adulte, ici ou là, quelque chose pour régir le monde, et bien ici, non, il n'y a que des enfants. Plus de loi, si ce n'est celle du plus fort. L'idée de laisser le monde - en plus dans la zone- au mains d'enfants est intéressante, ça développe ainsi certaines choses, certaine morales, et nombres de sentiments, en observent l'humain. Car finalement, il faut toujours un adultes, des lois, pour régir un espace. Faire que les choses soient sous contrôle, les enfants sont encore naïfs, et manipulables pour certains,et d'autres se font des joies de jouer les manipulateurs, un schéma du monde réel, certes, mais avec des enfants, tout devient plus frappant, choquant que si cela avait été des adultes, car des enfants sont des enfants, ils ne sont pas censés avoir des rôles à proprement parler d'adultes, ne pas être responsables, gérer toute une organisation, pas comme ça. Ils développent des caractères qui font réfléchir à voir, jusqu’où peut aller l'humain?



Ces mini-adultes livrés à eux même vont bien devoir endosser le rôles de leurs parents, ces parents disparut dont le manque est cruel. Faire comme des grands, tout enfants en rêve, mais quand ça lui tombe dessus ? et bien il voudrait juste retourner dans les bras de sa mère, tout simplement.





Ces côtés ci du récit sont soutenues par l'attrait fantastique du roman, car la zone grouille de pouvoir... des enfants qui ont des spécialités bien à eux - courir plus vite que le vent, lancer des flammes, téléporter des objet, etc- plus des coyotes qui parlent, portées par une source de pouvoir noir... Voilà ce en quoi le récit d'un point de vue science-fiction se révèle vraiment bon, dans une certaine règle de l'art, c'est un roman pas mauvais du tout, d'où peuvent bien venir ces pouvoirs ? ceux-ci s'affrontent, ils sont la sources de quelque chose dans la zone, quelques choses en rapports avec la centrale ? un peu comme Tchernobyl, c'est un aspect qui vaut le coup d’œil.



Ce que j’ai pu noter, est la cruauté. Les enfants sont connu pour être tendres, innocents, mais aussi cruels. La cruauté d'un enfant, peux parfois dépasser bien celles des adultes, car certain ne se rendent pas compte. Drake lui est conscient et c'est ce qui rend la situation un peu plus terrible, je cherchais une raison de le plaindre... de justifier ses actes, mais je n'en trouvais pas, et finalement, ce n'est que de l'horreur bien humaine, dont il est question. Celle que reflètent les adultes.

Donc, dans les personnages, nous avons vu Drake, nombreux diffères et ont tous leur part d'attrait, comme Mary est son histoire, mais les plus importants sont Caine, le ''méchant'' mais plus le cerveau, il reflète un peu ce que peut être un garçon riche dans un pensionnat, et pourtant, à l'intérieur, il est déchiré. Seulement, rien n'est plus fort que la haine. Accompagné de Drake et Diana, cette fille qui est blanche et noire à la fois, on ne sait jamais, il forme un parfait opposé de Sam et ses amis, Sam l'épaule sur qui on s'appuie celui sur qui tout repose. Ce n'est certes pas facile, mais il faut le faire, Sam est droit et vaillant , un personnage facile à aimer, tout comme Edilo, Astrid est plus dure à apprécier, un peu froide, mais en apparence... Quinn a sa part de démons, mais dans un monde comme le leur qui ne serait pas tenté de chercher sa place dans un autre camp? Je ne parlerais pas du petit Pete, car il est découvrir, ce bout de mystère bien plus important à l'histoire qu'il n'y parait...



Gone est une aventure dans un espace ou seuls des enfants s'affronte, un espace qui tient bon rongé par les pouvoirs qui affluent, pas toujours bons... mêlé entre les sentiments décuplé des enfants, emporté par l'absence d'adulte et les valeurs qui restent, Gone est un bon roman fantastique comme une pause parfaite dans le genre, à mi chemin entre plusieurs il en ravira plus d'un, comme il peut décevoir, mais un livre qui vaut le coup d’œil !
Lien : http://afallofbook.blogspot...
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Gone, tome 1 : Gone

Je ressors mitigé de cette lecture.

Le livre a indéniablement des qualités. Le dôme, bien que peu original (on se rappelle bien évidemment le roman de King), est un concept qui me plait. De plus, l'apparition de pouvoirs chez les ados met un peu de piment et permet de régler un grand nombre des difficultés résultant de la disparition des adultes (par ex, absence de médecin = pouvoir de guérison...).

Toutefois, certains défauts sont extrêmement pénibles. Tout d'abord, c'est un roman YA et ça se sent fortement... Difficile d'accrocher en tant qu'adulte. De plus, les personnages sont très stéréotypés et n'ont aucune profondeur. Tout cela sans mentionner le style... Est-ce un problème de traduction ou la VO est-elle semblable ?

Bref, un récit à réserver à un public jeune (mais pas trop non plus au vu de la violence du récit).
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Gone, tome 1 : Gone

G.O.N.E

Cela faisait un moment que je voyais ces quatre lettres sur les rayons des grandes surfaces et des librairies....

Cela faisait un moment que cette saga était sur ma liste "dystopie à lire absolument' et puis en enchaînant les Hunger Games, Divergente, Partials, Insaisissable et autres, me voilà bien en retard sur ce best-seller....

Je ne connaissais ni l'intrigue ni le synopsis, je n'avais lu aucun commentaire ni aucune critique sur ces romans... j'étais donc neutre et vierge de tout préjugé avant de commencer ma lecture.



J'ai enchaîné les deux premiers tomes et je suis , disons, (très) mitigée.

J'ai été autant emballée que déçue, autant absorbée qu'agacée.

Quelque chose, dans l'écriture, dans l'action en elle-même, m'a gênée, dérangée.

Alors bien sûr, je salue l'imagination de l'auteur - 6 tomes quand même ! - la construction recherchée et la force des personnages inventés; l'idée de mélanger le scénario de Sa Majesté des mouches et des X-Men était vraiment intéressante et ce point-là m'a plu : tradition et modernité, classique et science-fiction.



Pourquoi alors n'ai-je pas adhéré à 100 % , moi qui suis une forcenée des dystopies ?

Déjà , la multiplication des points de vue et des intrigues secondaires au sein d'un seul et même chapitre est assez déroutant. Sans avoir le temps d'être prévenu, hop ! on passe à d'autres personnages, d'autres pans de l'action. Cette fragmentation coupe la linéarité de l'histoire et empêche la plongée totale dans l'univers des adolescents. Alors bien sûr, tous ces fragments se réunissent pour former un unique puzzle, mais il faut avoir fini un tome pour avoir cette vision d'ensemble.



De plus, le nombre important de personnages aussi bien dans le 1er que dans le 2e tome et la multiplication des histoires parallèles à la générale m'a donné une sorte d'indigestion d'informations, ça fait beaucoup quand même !!



Par ailleurs, certains aspects de l'histoire m'ont paru superflus ou carrément dérangeants - je ne peux expliquer pourquoi : un monde sans adultes avec des ados livrés à eux-mêmes, combattre la faim, survivre, empêcher l'anarchie, la guerre, la violence entre Normaux et Mutants étaient des ingrédients bien assez suffisants pour créer de la tension.



Etait-il réellement utile de rajouter ce Gaïaphage, ce monstre qui se nourrit d'uranium et qui habite le cerveau de ceux qui s'en approchent ? je n'ai pas compris ce choix; pareil pour l'immonde tentacule de Drake ou la transformation d'Orc en homme-pierre, ou encore ces vers carnivores du tome 2, qui m'ont franchement donné la nausée.

J'ai trouvé qu'on basculait dans une autre science-fiction, qui, pour moi, est peu compatible, avec les dystopies au sens propre du terme. Il s'y mêle une sorte de fantastique qui était de trop à mon avis.



La cruauté folle de Drake, l'intelligence machiavélique de Caine, la fourberie de Diana, la réflexion d'Astrid ... bref, le charisme des personnages nourrissait suffisamment l'histoire, l'alimentait en émotions fortes.

Ces dérives surnaturelles ne font qu'alourdir une intrigue déja hyper dense et touffue.



Un sentiment de répétition d'un chapitre à l'autre , du tome 1 au tome 2 - Sam qui se sent submergé par ses responsabilités, Mary débordée par les couches et qui se fait vomir, les combats, la centrale.... - a créé une lassitude en moi qui grandissait petit à petit et puis - et surtout - un manque de poésie dans l'écriture, un manque de souplesse, de rondeur, de cette petite touche magique qui fait que l'écriture touche notre coeur autant que nos yeux.

Je n'ai pas relevé une seule citation - chose rare puisque j'en sélectionne au moins une trentaine à chacune de mes lectures ! Beaucoup d'action, de rudesse, d'efficacité, d'intensité au détriment de petits moments poétiques.



Ayant commencé, je me sens obligée de finir cette saga - je n'aime pas l'inachevé - mais j'ouvrirai les tomes avec moins d'enthousiasme que certaines séries où les pages me brûlaient dans les doigts.



J'ai, par contre, une certitude, que GONE ferait d'excellents films de science-fiction. Tous les ingrédients sont réunis pour que visuellement, l'univers de Michael Grant soit une totale réussite.

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Gone, tome 2 : La faim

Aaaaaaaaaaaaaaah !!! Le tome deux est encore meilleur que le un ! Alors, je vous laisse imaginer dans quel état je suis ...



Dans ce deuxième tome la famine commence à régner et les enfants ne peuvent pas récolté les légumes et les fruits car les champs sont infestés de créatures monstrueuse: des vers géants, capable d'engloutir un être humain en quelques minutes. Mais aussi, une sérieuse dispute est entrain d'éclater entre les "normaux" et les "dégénérés".

Et pour couronner le tout, l'Ombre, une horrible créature capable de manipuler les esprits cherche à se nourrir. Elle a faim, elle aussi ...



Sam est complètement débordé dans ce tome deux. Il commence à être à bout.

De plus, il ne cesse de se disputer avec Astrid.

Justement, celle-ci a commencé à m’énerver, je la trouve un peu prétentieuse. Mais c'est aussi le genre de personnage qui ne m'interpelle pas vraiment ...

Le petit Pete, le petit-frère d'Astrid, commence vraiment à m'intriguer, j'ai hâte d'en savoir plus à son sujet.

J'aime beaucoup Edilio et je commence à plus apprécier Quinn que dans le premier tome.

J'adore Brianna ! J'admire sa force de caractère et son pouvoir que j'envie énormémément !

J'adore toujours autant Lana, qui a été un de mes personnages préférés dès le début. Mais elle subit des choses vraiment horrible, elle est courageuse.

Mary me rend vraiment triste, au début de ce tome elle était devenue anorexique-boulimique et elle est devenue petit à petit anorexique. Elle a l'impression d'être obèse et se prive de nourriture. Ça fait vraiment bizarre de passer d'un point de vue à un autre car on a une vision différente de Mary. Lorsqu'on l'histoire est de son point de vue elle se décrit grosse et lorsque c'est le point de vue d'un autre personnage, celui-ci la voit très maigre.

Duck est un personnage que j'aime beaucoup mais son pouvoir doit être vraiment stressant. Il est aussi très, très courageux et c'est ce que j'aime tout particulièrement chez lui.

Il est vraiment très courageux pour s'enterrer vivant avec le Gaïaphage (l'Ombre) ! Sa mort m'a quelques peux perturbé ... C'est horrible !

J'aime toujours autant Caine et au début (dans le premier tome et le second) je ne comprenais pas ses sentiments envers Diana. Un coup il lui dit qu'il l'aime, un autre il la menace ou la frappe. On ne comprend qu'a la fin ce qu'il éprouve réellement pour elle.

Mon personnage préféré est toujours Diana, j'admire sa force de caractère et sa capacité de tenir tête à Caine et même à Drake !

D’ailleurs, j'aime toujours autant ce psychopathe. x)

Orc est très touchant, lui qui semblait être une brute dans le premier tome et maintenant profondément malheureux d'avoir tuer Betty.

Bien sûr il y a d'autre personnage que j'apprécie beaucoup, comme Taylor, Dekka, Hunter ... Mais ça serais vraiment trop long de parler de chacun d'eux.



Dans cette suite on a un nouveau compte à rebours qui n'annonce encore une fois rien de bon et qui est peu être même pire que celui du premier tome !

J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture simple mais très plaisante de Michael Grant. En effet je trouve qu'il a une écriture légère mais qui a beaucoup de charme, bien qu'elle ne m'est pas particulièrement marqué.

Après une suite encore meilleur que le premier tome, je n'ais qu'une hâte: voir ce que le tome trois va donner. Et je pense que je ne vais pas trop attendre car Lana, Caine, Drake, Brianna mais surtout Diana me manque déjà.

De plus, la fin est vraiment ... Mystérieuse !

Oui, je pense que c'est le bon mot ...
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Gone, tome 1 : Gone

Un coup, c'est toi qui prend la vague, un coup, c'est elle qui te prend.
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Gone, tome 1 : Gone

A Perdido Beach, tous les adultes et les enfants de quinze ans et plus ont disparu. Ceux qui restent : des enfants coincés avec un mur empêchant tout contact avec le reste du monde…

Je ne sais pas pourquoi j’avais envie de découvrir cette série, peut-être parce que je la voyais partout. La couverture n’est pas particulièrement attirante avec les visages de ces adolescents (arrogants ?), le tome 1 de la version poche fait plus de 650 pages... Je pense que je cherchais un roman qui me fasse frissonner, des sensations… Alors oui, Michael Grant réussit à faire un premier tome plein de suspens, de questionnements, d’actions. Les questions commencent dès les premiers lignes, on découvre les adolescents hébétés qui finalement acceptent la situation et cherchent à s’organiser.

J’ai trouvé quelques maladresses dans l’écriture, que de l’action, décrite souvent assez sommairement. Les « méchants » sont très méchants, j’ai trouvé un peu dur pour des enfants de quatorze ans. Quatorze ans, trop jeune aussi pour avoir de telles responsabilités ! Bon, j’ai essayé de mettre mes considérations de côté pour apprécier l’histoire et le suspens monter. Un peu dommage que les durs utilisent toujours les mêmes méthodes pour avoir les « gentils » et ça marche souvent. J’ai été un peu dégoutée, étonnée par certaines scènes, Michael Grant ne fait pas dans la dentelle !

Bon, j’ai été prise par ce premier tome, l’histoire ressemble à d’autres (comme La majesté des mouches) mais elle a ces propres particularités et on se pose des questions (quel est le lien entre le mur, les pouvoirs, l’Ombre, la centrale nucléaire… ?) et il faut évidemment lire la suite !

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Gone, tome 2 : La faim

J'ai été encore plus intéressée par ce deuxième tome. Les personnages ont mûri, en bien comme en mal d'ailleurs. Comme le titre l'indique, dans ce tome, leur principale préoccupation est la faim, car une fois consommés tous les chips et sucreries à disposition( ce que tout enfant ferait en l'absence d'adulte pour le sermonner), ils se retrouvent avec les aliments de base qui sont devenus avariés donc immangeables.



Les dissensions s'intensifient, la lutte pour le pouvoir n'est plus spécialement d'actualité, mais d'autres éléments viennent s'en mêler.

La violence est de plus en plus présente, aggravée par la faim constante.



En résumé une histoire qui continue à tenir la route et qui ne m'a à aucun moment déçue.
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Gone, tome 1 : Gone

Ce livre est très prenant et accrochant car dès le début on entre dans l'histoire, dès la première ligne. C'est original car on a pas l'habitude de lire des livres où il n'y a pas de parents.

De plus c'est un livre autant pour les adolescents que pour les personnes plus âgées, plus matures. Il y a même quelques scènes où c'est assez violant, et ça fait plaisir.

Bref : c'est un très bon livre.
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Gone, tome 1 : Gone

C’est un très bon livre mais il manque de suspense et d’éléments c’est dommage parce qu’il me ferait envie depuis longtemps le faite que tout les parents disparaissent ok le faites qu’il ont des super pouvoirs ok mais pas le faite qu’il mêle la magie à tout sa le problème avec ce livre c’est que l’auteur a ajouté des éléments qui n’avais rien avoir avec l’histoire résultat sa donne un méli-mélo c’est vraiment dommage parce que sa aurait put être un très bon livre
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Gone, tome 6 : La lumière

Super livre très émouvant 😍🤩
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Gone, tome 6 : La lumière

J'ai pris du temps pour commencer à lire ce livre car cela voulait dire terminer ma série préférée et dire au revoir à des personnages auxquels je me suis beaucoup attachée depuis que j'ai commencé la saga en 2009.



Par quoi commencer...



Déjà, je ne le dirai jamais assez, c'est une saga très dure, plus adulte que jeunesse et ce dernier tome a atteint des sommets dans le gore. A ne pas laisser entre les mains des plus jeunes, donc.



Cet ultime tome m'a bouleversée, tiré quelques larmes.



Le destin hors du commun de ces pauvres gosses est abominable, les morts sont si nombreux qu'on ne peut qu'être touché, les tortures m'ont remuée jusqu'aux tripes.



Je ne veux rien dire qui pourrait spoiler mais la morale de cette histoire est quand même qu'on ne peut pas être tout blanc ou tout noir, qu'on commet tous des erreurs, des actes dont on pourrait avoir honte, même la meilleure des personnes et que le pardon, la rédemption sont toujours possibles.



Une série à couper le souffle, que je relirai sans aucun doute et que je conseille si vous aimez le fantastique, la science-fiction, les dystopies, les mondes post-apocalyptiques, la survie, les pouvoirs magiques, les univers sombres.
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Gone, tome 6 : La lumière

Wouaw, wouaw, wouaw. J'ai pris tout mon temps pour lire le dernier tome de cette fabuleuse saga, et c'est complètement chamboulée que j'en ressors.



On retrouve (pour la dernière fois) les habitants de la Zone, en train de tenter de se préparer à "la fin de la partie", qui s'annonce plus dure que prévue. Gaia se prépare dans l'ombre, se cachant des humains, avec sa mère, Diana, et son fidèle Drake. Dans l'attente et la peur, les enfants sont toujours répartis entre le lac et la ville. Chacun tente de gérer à sa façon : Sam part à la recherche de Gaia avec son frère, Albert revient à Perdido Beach, Astrid s'allie avec une certaine personne qu'elle appelait avant son ennemie, tout cela jusqu'à l'attaque que Gaia va faire au lac. Cette scène m'a d'ailleurs bouleversée, elle est vraiment horrible.



Concrètement, ce dernier tome est simplement le meilleur des six. Michael Grant a fait un travail magnifique avec les sentiments de chacun des personnages. On ressent étonnamment bien le désespoir et la peur de ces humains, qui, ne l'oublions pas, ne sont que des enfants. Au fur et à mesure que le nombre de morts augmente (plutôt vite, dans ce livre-ci...), l'angoisse monte dans le ventre de chacun des habitants de la Zone. La fin de la partie se rapproche, certes, mais ils doivent avant tout affronter (et battre) Gaia, ce monstre présent dans le corps d'une si jolie petite fille.



Les personnages sont tellement profonds dans ce tome-ci ! Chacun fait preuve de courage, là où la peur et l'angoisse règnent en maître. Certains iront même jusqu'à mourir pour protéger les autres, alors que jusque là ils avaient fait preuve de couardise et de méchanceté.



Bon, parlons de la fin (sans spoilers, promis). Sûrement la meilleure fin de saga que je n'ai jamais lue. J'ai dû pleuré pendant 100 pages sans pouvoir m'arrêter, ni de pleurer, ni de lire. Grant a réalisé une apothéose avec ce magnifique final. C'est vraiment bouleversée que j'ai tourné la dernière page de ce dernier tome de cette saga qui a fait parti de ma vie depuis mon année de 5ème (en 2009). Cette saga a décidément marqué ma vie, et ce n'est pas facilement que je l'oublierai.



En conclusion, ce tome a été un énorme coup de foudre, et je conseille cette saga à absolument tout le monde.
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Gone, tome 6 : La lumière

Ce dernier tome constitue une fin vraiment digne de cette saga ! Encore une fois, j'ai adoré !!! Un gros coup de cœur !!!

On retrouve cette fois tous nos personnages favoris (ou pas !) dans la Zone avec une parois transparente ! De nouveau, le gaïaphage fait rage et d'anciens ennemis devront s'allier pour leur ultime bataille.

J'ai toujours aimé et je l'ai encore retrouvé dans ce dernier tome, cette ambiance sombre et oppressante caractéristique de cette sage. On tourne les pages avec la peur au ventre, les malheurs s'accumulent et les morts aussi ! (attention spoïler si vous cliquez →)

Michael Grant n'a rien changé à son style, on comprend enfin ce qui s'est passé et des révélations sont faites. On apprend à aimer des personnages qu'on détestait auparavant, aucun doute, la Zone les a tous changés !



Voilà une série achevée et j'ai adoré, je ne peux que la recommander !!! A lire !!!
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Gone, tome 6 : La lumière

Je suis loin d'être déçue par ce tome ! Il est même mieux que le précédent ! Il regorge d'action, de longues batailles, d'amitié, d'amour, de traître et de trahis, de pouvoirs, de monstres....

Gaïa, fille de Diana et Caine, devient le corps du Gaïaphage qui grandit de jour en jour si bien qu'au bout de trois journées, la voilà adolescente ! Elle est redoutable, plus forte que Sam et à de l'emprise sur Caine ( qui ne sert donc plus à grand chose ). Son but ultime ? Tuer tous les enfants pour empêcher Némésis de se réincarner comme elle l'a fait. Malheureusement pour elle, son corps d'humain est vulnérable aux blessures et à la douleur. Sa seule faille, qui n'en est pas vraiment une au début comme elle a le pouvoir de guérir, suffira-t-elle à Sam et aux autres mutants pour la vaincre ?

Je vous laisse le découvrir.
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Gone, tome 1 : Gone

Après en avoir entendu parler durant des années, je me décide enfin à sortir le premier tome de Gone de ma Pile À Lire, pour enfin découvrir ce qui a tant plût !



Un beau jour, subitement, dans une petite ville californienne nommée Perdido Beach, l’ensemble des adultes et des jeunes adolescents de plus de quinze ans disparaissent. Ceux qui restent sont alors livrés à eux-mêmes, terrorisés par cet événement extraordinaire et inexplicable. D’autant que certains se découvrent des pouvoirs surnaturels, comme Sam, qui arrive à faire jaillir de la lumière de ses mains. Très vite, le chaos s’installe à Perdido Beach. Sam, son meilleur ami Quinn, leur amie Astrid et son petit frère autiste Pete, tentent de calmer les enfants paniqués. Mais Caine, Drake, Panda, ainsi que d’autres enfants venus du pensionnat Coates, ne sont pas du même avis. Ils veulent élire un chef, qui décidera de l’ordre à suivre à Perdido Beach. Le chaos s’installe, et avec lui, les rivalités.



J’avais tellement entendu parler de cette saga jeunesse, que j’attendais l’auteur au tournant. Et franchement, peut-être que je misais trop d’espoirs dans ce livre, mais la majeure partie de l’histoire m’a déçue. D’abord le commencement : les adultes disparaissent d’un seul coup, dans les quelques premières pages, sans préambule. On est tout droit immergés dans le récit, certes, mais ça aurait mérité quand même un peu plus de finesse. Tout s’enchaîne alors dans un rythme effréné, mais malheureusement, comme je suis rentrée dans le brut directement, je n’ai pas forcément été très réceptive à la première partie de l’histoire. Je suis restée un peu en retrait, survolant légèrement toutes les actions qui s’y déroulaient, m’ennuyant, même, quelques fois.



Mais heureusement, les pages défilant, j’ai réussi, au fur et à mesure, à me plonger davantage dans l’histoire, pour finalement commencer à bien l’aimer vers la fin. Il vaut mieux tard que jamais, me diriez-vous, mais quand même…



L’histoire en elle-même est intéressante, quoiqu’elle détient quand même des références à divers récits antérieurs, tels que Dôme de Stephen King, par exemple. Dans les deux cas, un dôme transparent s’abat sur une ville, rendant toute la population s’y trouvant, prisonnière. Il faut s’organiser, essayer de survivre, et chercher une solution pour en sortir, d’autant que les ressources s’amenuisent progressivement. La cible n’est pas la même, puisque dans Gone, ce sont de très jeunes enfants qui gouvernent l’histoire. Certains se montrent matures et consciencieux pour leurs jeunes âge, s’occupant des plus petits, soignant les blessés, préparant des repas ; tandis que d’autres ne pensent qu’à gouverner et à faire régner la terreur dans la Zone. Deux clans vont rapidement s’affronter.



Comme si ce premier tome n’était pas assez rempli d’actions, Michael Grant ajoute une dose de science-fiction supplémentaire, qui devrait donner une autre dimension à l’histoire : certains enfants sont dotés de pouvoirs magiques. Des pouvoirs plus ou moins puissants en fonction des jeunes, mais que beaucoup ne savent pas utiliser. J’avoue que je ne m’attendais pas à cette virée brutale vers la science-fiction, mais je trouve qu’elle s’adapte parfaitement au récit.



Des très jeunes enfants, livrés à eux-mêmes, dans un espace délimité par un dôme invisible. Une lecture en demi-teinte : malgré un début abrupt et ennuyant, je me suis finalement laissée emporter par l'histoire. J'aimerais bien découvrir le second tome si j'arrive à le dégotter en grand format !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Gone, tome 1 : Gone

Gone, saga de Michael Grant, c’est vivre dans un monde sans adultes. Dans la petite ville californienne de Perdido, toutes les personnes de plus de quinze ans disparaissent en un clin d’œil sans laisser de traces. Les enfants se retrouvent enfermés dans une espèce de dôme qu’ils appellent la zone.

Les chats sont partis, les souris dansent… Sans adultes, les enfants font la loi, décident de faire tout ce qui leur est interdit. Ils gaspillent la nourriture, boivent, fument, maltraitent les plus jeunes et font les quatre cents coups.

Passé la première euphorie, confrontés à la réalité, les enfants s'organisent pour survivre. Sam, 14 ans, est le leader désigné, avec son intervention dans le premier incendie de la ville. Mais Sam n'a pas vraiment l'âme d'un chef, il est courageux mais effrayé mais Astrid, Edilio, Quinn comptent sur lui et il devient malgré lui l'un des responsables de l'organisation de Perdido Beach. Ensemble, ils vont tenter de faire tout ce qui est possible pour économiser la nourriture, soigner les malades, s'occuper des bébés et protéger la ville.

Bien vite, Sam va devoir affronter le charismatique Caine, qui a le même âge et qui est le chef de clan dictatorial du pensionnat Coates, là où sont les enfants à problèmes.

Ils n'ont pas les mêmes idées car celles de Caine sont beaucoup plus conflictuelles ..

Chose étrange, certains enfants possèdent des pouvoirs surnaturels comme la télékinésie, le pouvoir de se déplacer à la vitesse de la lumière, de faire sortir de leurs mains des faisceaux lumineux meurtriers...Des pouvoirs qu’ils ne parviennent pas encore à maîtriser. Ils sont surnommés les "mutants" Même les animaux semblent avoir développé des mutations. Que se passe-t-il vraiment ? Les conversations tournent souvent en rond, pour revenir sans cesse sur le fait que tout a changé et qu'on ne sait pas pourquoi.

Un compte à rebours est lancé à chaque début de chapitre parce que Sam approche des 15 ans fatidiques qui annoncent sa prochaine disparition.

L’histoire se répète comme dans « Sa majesté des Mouches » de William Golding. Agrémentée de fantastique. Le récit est bien plus moderne, ancré dans nos habitudes de vie. Il n’y a pas de véritable héros, ils ont tous des bons et des mauvais côtés que l’on comprend car l’auteur donne à chaque enfant la parole régulièrement. La situation à affronter fait ressortir ce qu'il y a de pire ou de meilleur en eux. Si on ne cautionne pas tous les comportements, on peut mieux en comprendre certains. Ce n’est pourtant pas un récit édulcoré, il y a de la violence et de la cruauté.



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Gone, tome 1 : Gone

Je découvre la série "Gone" avec ce premier tome. Moi qui aime les récits fantastiques je suis servi. En effet ce livre commence avec Sam, 14 ans, qui est en cours d'histoire, quand tout à coup son prof disparait. Il découvrira ensuite que tous les enfants de plus de 15 ans ont disparu et que lui et les autres sont enfermés dans ce qu'ils appellent la Zone. Ce livre m'a beaucoup plus car les personnages sont attachants sauf les méchants qui sont vraiment déjantés ! Ce livre vous accroche absolument jusqu'au dernier mot. Action, suspense et amour sont au rendez-vous dans ce livre qui me fait penser au récit du "Labyrinthe". I like !
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Gone, tome 1 : Gone

Étant donné que j'aime les livres de science-fiction, j'ai lu Gone. C'est un livre que j'ai beaucoup aimé car je le trouve très différent des autres livres.

En effet, le thème abordé est la disparition de tous les adultes, les enfants doivent donc se débrouiller seuls pour survivre. Nous pouvons suivre l'évolution de leur réaction face à la situation. De plus, les enfants acquièrent des pouvoirs, et ces deux éléments n'ont jamais été utilisés dans le même livre.

J'ai bien aimé le changement fréquent de point de vue qui nous permet d’avoir plus de détails sur l'histoire ainsi que de comprendre les idéologies et les réactions des différents personnages.

Malgré tout, ce changement de point de vue nous fait lire plusieurs fois les mêmes choses puisque le narrateur ne nous l'a pas encore expliqué.

En conclusion, je peux dire qu'en dépit de quelques défauts, ce livre est passionnant et à lire.

Antoine
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Gone, tome 1 : Gone

Si l'idée de base est géniale -toutes les personnes de plus de 15 ans qui disparaissent et chaque adolescent qui approche de sa date anniversaire fatidique qui vit une terrible angoisse, ne sachant pas ce qui va lui arriver .... Un monde post-apocalyptique où les plus âgés des jeunes restants vont devoir s'organiser comme des adultes (y arrivant un peu trop vite à mon goût mais passons) ... Des bandes qui se réunissent, des objectifs différents ... Et un dome qui délimite une zone ... Tous les ingrédients sont plantés pour une histoire palpitante ... Mais quand j'ai vu en fin de volume, qu'il y avait déjà trois autres volumes et en me renseignant, j'ai appris que ce n'était pas fini ... Cela m'a découragée. L'histoire ne va pas assez vite et je crains que les réponses à nos questions ne viennent que tard, je n'ai donc pas eu le courage d'aller plus loin. Je mets donc la moyenne car l'idée de base m'a paru excellente, mais pas plus car je ne saurai jamais comment cela se termine, ni les explications à cette situation ! Dommage !
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Gone, tome 1 : Gone

Ce subtil melange entre la serie Heroes et le roman sa majesté des mouches a tout simplement gâché ma journee du 19 octobre!

Oh! Pas parce qu'il etait nul, au contraire! Mais parce que je n'ai juste jamais reussi a m'arreter de le lire avant d'etre arrivé a la derniere page.

Le roman commence sur les chapeaux de roue, pas de blabla inutiles, on est de suite dans le vif du sujet 'POUF'.

Certes, les personnages sont quelque peu stereotypés mais ca ne m'a pas posé probleme. J'ai lu ce roman au bon moment avec l'humeur adéquate.

J'ai vraiment aimé!

Je lirai a coup sur le tome suivant sans vraiment savoir si je vais tout de meme continuer car, meme s'il m'a beaucoup plu, ce n'est pas mon genre de roman et j'ai peur de me lasser. Car ce qui m'a plu ce sont les situations plus que le scenario en lui meme et j'ai peur que celui ci ne me plaise pas d'avantage au dela de quelques tomes. Toutefois, en dehors de mes gouts personnels, ce roman a su me faire lire un genre que je n'apprecie pas particulierement ce qui me laisse a penser que son succes est merité et qu'il ne manque pas de qualités. Certes, ce n'est pas de la grande litterature, Mais le style est simple et efficace, c'est ce dont j'avais besoin a ce moment.

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