Michel Grimaud

Un must du genre planète opéra ... Made in France .





Sur une planète ( qui n'est pas la terre ) l'humanité a dans un lointain passé développé une civilisation brillante à haut niveau technologique .

Tout cela est désormais et définitivement un lointain passé nimbé de légendes et d'artefacts technologiques incompréhensibles et mystérieux.

Malakansar est une très belle planète avec des paysages variés et un ciel magnifique .



Des populations et des cultures diverses avec rencontres , malentendus et des conflits résolus .

Trois personnages que tout sépare profondément ( culture et statut social et ... ) sont amenés à collaborer pour réaliser leurs aspirations personnelles .

Je dois dire que bien leur en a pris d'avoir cette très bonne idée car grâce à leurs quêtes et voyages nous réalisons une ballade envoûtante sur la planète aux deux lunes avec de l'action , du danger , des sentiments , des péripéties signifiantes .



Un style efficace , des personnages réels , de belles images serraient déjà de bonnes raisons pour découvrir ce roman , mais il y en a d'autres : notamment le difficile dialogue entre les cultures ...



Pour l'auteur ce problème se résout fastidieusement par des rencontres intimes entre individus dans un cadre intimiste , franc et authentique , qui n’exclue pas quelques rincées conflictuelle et quelques conflits d’étapes résolus de diverses manières ...



Un beau et bon livre avec une belle couverture qui lui ressemble fidèlement ( celle de Folio SF ) .

Un texte de Grimaud , pseudonymes qui cache deux auteurs très proches .

PS : Un livre assez court .

Le fantôme des Cassegrain est un roman fantastique pour la jeunesse de Michel Grimaud, autrement dit du couple Marcelle Perriod et Jean-Louis Fraysse.

Le début du roman se déroule pendant la retraite de Russie de l’armée napoléonienne, au cours de l’hiver 1812 ; le diable (pas Maître Lucifer en personne, mais un jeune diablotin de 3000 ou 4000 ans qui a choisi de s’appeler Ferdinand) élabore un plan de grande envergure : il va sauver un soldat de Napoléon, Juste Cassegrain, lui faire rencontrer une ravissante jeune fille nommée Julie et, après leur mariage, les damner « eux et leur descendance pendant vingt générations, 250 âmes d’un seul coup » !

Ferdinand va donc s’employer à réaliser son funeste projet, aidé d’ailleurs par un prétendant éconduit de Julie, le sieur Gaétan Grenouillet, qui veut se venger de Cassegrain à qui elle a donné sa préférence…

Les péripéties s’enchaînent et la fin du roman, absolument inattendue, fait intervenir un fantôme particulièrement original...

Ce roman pour la jeunesse met en scène des personnages pittoresques : le diablotin Ferdinand, qui éternue à chaque fois qu’il entend le mot Dieu (!), s’avère finalement tout à fait retors, le prétendant de Julie est un prétentieux ridicule qui a la manie de provoquer en duel touts les personnes qui lui déplaisent et Julie est une jeune fille qui ne manque ni de caractère ni de ressources...

Ajoutons pour terminer que les auteurs ne manquent pas d’humour !

Une lecture tout à fait divertissante.

J'ai retrouvé cet ouvrage complètement par hasard et, après avoir lu la quatrième de couverture, je me suis dit "Pourquoi pas ?" et j'ai bien fait. L'histoire se déroule dans un futur indéterminé dans un pays imaginaire prénommé Axilane. A sa tête, deux tyrans se font sans cesse la guerre dont le plus redoutable d'entre eux , le sarak Tikobal Barbe-d'Or est assoiffée de pouvoir et de conquête. C'est dans cet endroit ravagé par la guerre que va arriver notre troupe de baladins en quête de rien d'autre que de vivres et n'espérant rien de plus que divertir les gens et continuer leur route. Cependant, l'un d'entre eux, Sidonel, étant capable de voyager dans le temps, constitue une véritable mine d'or pour Tikobal et il n' pas l'intention, malgré toutes les promesses qu'il a pu faire à ce dernier et à sa troupe, de le laisser partir de si tôt !



Un roman mêlant aventure et héroïc-fantasy mais qui est rempli d'une bonne dose de philosophie et qui pourrait même nous amener à réfléchir sur ce qui se passe à l'aube de ce XXIe siècle...Un roman agréable à lire, qui s'adresse aux enfants...mais pas seulement ! A découvrir et à faire découvrir !

On est en 2070 et les conditions de vie ne sont pas faciles pour les nombreux chômeurs interdits de séjour dans les villes qui sont gardées par des vigiles. A l'intérieur des zones protégées, les riches travaillent, mangent à leur faim et vivent presque normalement.

Pour les chômeurs et les sans-abris, le seul moyen de survivre est de se rendre dans un chômvil, de travailler dans une centrale nucléaire ou de signer un contrat pour l'espace.

Des recruteurs de la COESPA sillonnent les routes à la recherche de ceux qui font la bonne taille et les forcent après un bon repas (bien arrosé), ou carrément en leur donnant de la drogue, à signer pour l'espace sans aucun espoir de retour.

Vivien parcourt la campagne accompagnant un groupe de chômeurs qui se rendent à Lyon pour intégrer un « chômvil ». Tous espèrent trouver du travail et avoir quelques jours de nourriture supplémentaire.

Pièro le Barde est joueur de mandoline et conteur. Il a quitté le chômvil de Marseille d'où il s'est enfui après avoir été obligé de signer pour l'espace. Laure, une jeune fille aveugle l'accompagne.

Les jeunes gens se rencontrent…mais pourront-ils pour autant devenir amis ? Dans le monde hostile où ils vivent, la lutte pour la survie est quotidienne et la solidarité entre les êtres humains n'existe plus ou presque.



Comment, dans ce cas extrême, ne pas trahir pour survivre, surtout lorsque, comme Vivien, on cache aux autres un lourd secret ?



Voilà un roman d'anticipation intéressant, tant il pourra susciter de débats autour de la société actuelle et de ses dérives, car le monde décrit par Michel Grimaud n'est pas sans rappeler le nôtre...poussé à l'extrême et au bord de la destruction. Dans ce monde déshumanisé où même la justice est rendue par des robots qui ne comprennent que ce pour quoi ils ont été programmés, la lutte pour la survie est quotidienne.

Ce roman a été publié pour la première fois en 1980 chez Duculot, sous le titre explicite "Le temps des gueux" alors que le taux de chômage en France était faible. Sa réédition en 2010 aux Editions Mijade est donc bienvenue.



Qui se cache derrière Michel Grimaud ?

En fait il s'agit d'un pseudonyme pour deux auteurs : Marcelle Perriod et Jean-Louis Fraysse. Ils ont travaillé à quatre mains de 1968 à 2011, date de leur disparition la même année à quelques mois d'écart à peine. Ensemble, ils ont écrits beaucoup de romans de science-fiction et de romans policiers très connus dans le monde de la littérature jeunesse durant les années 80 et 90...
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Les héros évoluent dans une société future dans laquelle quelques privilégiés habitent encore dans des villes qui ressemblent aux nôtres, protégées et gardées derrière des frontières. Les autres, qui n'ont pas de travail, parfois depuis plusieurs générations, sont relégués dans les Chômvils mais les recruteurs rôdent...

Les recruteurs viennent faire signer des contrats, en utilisant parfois des méthodes « persuasives » violentes, pour embaucher des hommes d'assez petite taille pour partir dans l'espace travailler dans les chantiers de l'espace. Mais tout le monde sait que les conditions de vie de ces travailleurs qui s'occupent de la maintenance de centrales énergétiques sont dangereuses.

Piéro, le barde, se laisse embobiner un soir et signe sans avoir plus conscience des enjeux. Il fuit le lendemain et cherche à se réfugier parmi un groupe errant dans la campagne, entraînant à sa suite Laure, une jeune fille aveugle, qu'il a accepté de protéger.

Leur route va croiser celle de Vivien qui ressemble pourtant plutôt à un citadin qu'à un vagabond.

Ce récit est bien construit et les personnages intéressants mais j'ai éprouvé un sentiment de malaise tout au long de la lecture de cette histoire qui a du mal à finir bien avec des aspects bien plus réalistes que futuristes. Ça fait froid dans le dos !
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Un petit roman qui a les allures d'un conte. Bien qu'y croisant du fantastique, ce dont je ne suis guère friande, le contexte du conte a fait que c'était parfaitement cohérent. C'est une histoire classique avec les bonnes actions qui sont récompensées. Il n'y a pas vraiment de méchants, c'est pourquoi il n'y a pas non plus de moments durs. Pour un éventuel travail avec les enfants, on peut noter le champ lexical de la mer bien présent.

Un livre sans prétention et pas inoubliable mais qui permettra aux enfants d'étudier et de parfaire leur culture du genre conte merveilleux.

A Cap de Chien, les pêcheurs sont stupéfaits. Sur la grève, un bébé gris argent possédant une nageoire sr le dos et des membres palmés a été abandonné sur la plage. Présumant d'un heureux coup du sort, Alnoo, le chef du village, décide de lui trouver un foyer d'accueil, espérant que la mer dont il pense que cet enfant est le fils sera reconnaissante. Mais les familles du village, peu ouvertes d'esprit, refusent toutes d'adopter l'enfant, à l'exception de la vieille Cazel, restée seule malgré les années. Mais quel sera l'avenir de Fado, l'enfant de l'océan, dans ce contexte plutôt hostile ?



Petit livre jeunesse, L'Enfant de la Mer explore à travers cette histoire fantastique la différence dans sa plus haute expression.

Le héros est ici un jeune garçon aux particularités physiques étranges, recueilli par une vieille femme qui le considère comme son fils. A mesure que l'enfant grandit, les moqueries perdurent ainsi que la méfiance vis à vis de cet étranger qui se sent toujours plus seul. Cultivant sa singularité, Fado entretient avec la mer et ses habitants une relation très privilégiée, contre nature pour tout le monde sauf pour lui.

Dans un second temps, l'histoire exploite aussi le thème de la récompense pour service rendu : tant que le village prend soin du garçon, il reçoit chaque matin sur la grève quantité de poissons et de crustacés. Les gens mènent désormais grâce à l'enfant une vie paisible et facile.

Comme dans tous contes, le problème survient lorsque la vieille femme meurt et que Fado tombe amoureux d'une des jeunes filles du village.



L'Enfant de la Mer est une très belle histoire d'amour, maternelle comme sentimentale. Un conte apprécié par les petits comme les grands qu'il vous faut découvrir au plus vite !

Sur une planète exotique, trois héros qui suivent chacun une quête différente s'entraident. Les auteurs ont créé un univers riche et intéressant avec des personnages attachants mais ce long voyage manque parfois de péripéties.

Une lecture mitigée.



Ce roman m'a intrigué, m'a capturé, puis m'a laissé dubitative. Il me manque un tome deux, ou plusieurs chapitres, afin de voir l’après.



Les personnages développés sont complexes, intéressants et bien travaillés. L'auteur dépeint habillement un monde futuriste pourtant proche du notre. Sous ses airs de science-fiction se cache une habille critique du monde.

Bémol et non des moindres, des longueurs d'écritures, et cette fin qui me laisse un gout d’inachevé.



En bref une lecture intéressante mais qui laisse trop de questions en suspends.



Bonne lecture à tous.

Ce livre jeunesse est une bonne sauvegarde de mes lectures de jeunesse, une lecture qui fait voyager, découvrir un univers médiéval à un personnage qui nous est contemporain...

En effet celui-ci à récupéré une vieille photographie d'un village qui n'existe pas, il retrouve le lieux pris en photo, mais rien, pas de village, jusqu'a ce qu'il se retrouve plongé dans la ville qu'il recherche : Drêve, une ville moyenageuse ou on le connait bien...

Roman d'héroïc fantasy, pour les 11-13 ans, assez facile.

L'histoire est pas mal...même si on peut être agacé par le temps que prend le héros pour sauver sa famille !

assez amusant et très bien écrit

Bon roman jeunesse pour humains à partir de 10 ans, avec certainement des niveaux (et capacités de compréhension) de lecture évoluant avec les connaissances-âge-expérience-vie.

On y joue avec le temps et ses paradoxes quelques années avant Retour vers le futur, on se trouve dans une atmosphère et lieu étranges, un genre de Moyen-Âge futuriste. On y trouve des personnages très marqués pour ne pas dire clichés, mais c'est évidemment le propre des livres et des oeuvres pour la jeunesse. Manichéennes.

Les auteurs (puisqu'il s'agit d'un auteur double-hermaphrodite platonicien) n'ont pas à rougir de leur écriture, tout à fait correcte.



Je commence gentiment à comprendre que la forme du dessin animé aka dessin d'animation est bien souvent la plus adaptée pour capter mon attention, le livre jeunesse n'est pas aussi capable.

A noter que je ne suis pas du tout un avaleur d'oeuvres pour la jeunesse. C'est comme de par hasard que l'une ou l'autre me tombe entre les mains.

J'ai acheté ce livre d'occasion (car il coûté pas cher). Et c'est le PIRE livre que j'ai lu. Je n'arrive même pas à lire plus de 2 pages. C'est nul et ennuyant. On y comprend rien dès le début. Si j'aurai pu mettre 0/5, je l'aurai fait sans aucune hésitation.

Je vais avoir du mal à vous en parler, je peux juste dire deux choses : il faut absolument lire ce livre et il est pas terrible.



Un peu contradictoire tout ça, mais il y a vraiment des trucs grandioses dans le style, un monde recherché, une poésie, des scènes incroyables etc. On a ici de la fantaisie mûre et intelligente.

D'un autre côté, le récit manque de rythme, se traîne vraiment au milieu, la fin n'est pas terrible et il y a globalement une certaine faiblesse de l'histoire.

Je regrette de n'avoir pas lu ca plutôt, cela enfonce Tolkien, Howard et Moorcok sur bien des points tout en étant globalement plus faible et en manquant de souffle. Un drôle de paradoxe…

Moi ça m'a plu, mais c'est sûr que ce n'est pas pour tout le monde ...

De la planète des hommes de cuir, Payen a ramené une femme dont il est tombé amoureux et qu'il a épousée. Cependant ce mariage est considéré comme nul sur Terre car "la femelle" appartient à une espèce non humaine méprisée. La jeune femme est enfermée et on pratique sur elle de nombreux tests et expérimentations. Roman de science fiction sur le thème de l'intolérance.

Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler d'un petit roman pour enfant. L'histoire est assez sympathique bien que très simpliste pour un adulte. Cependant, pour des enfants elle peut paraître compliquée du fait de l'utilisation de certains mots de vocabulaire. C'est donc un bon ouvrage pédagogique que l'enseignant peut utiliser en classe pour travailler à la fois la lecture et le vocabulaire. Cet ouvrage est destiné à des élèves de cycle 2 (CE1), le texte est écrit très gros, il y a peu de lignes environ neuf par pages et chaque page est accompagnée d'illustration qui aide à la compréhension du récit. [...]
Lien : http://dream-1-book.blogspot..

Voilà un livre que je possède depuis au moins dix ans et qui m'avait été offert entre une dizaine d'autres bouquins par mon grand-père féru de littérature fantasy. C'est d'ailleurs lui qui m'a donné goût à cette lecture tout comme à la science fiction. Bref je ne sais pourquoi ce livre agissait depuis dix ans comme un repoussoir. Je le mettais au fond de cartons pour ne plus le voir , en dessous de piles de livres. Peut être à cause de sa couverture (celle de l'édition Denoël où le prix est affiché en franc, c'est dire si ça date) que je trouve particulièrement laide, qui sait?



Il y a une semaine j'en ai eu assez et j'ai pris ce livre dans le but d'en finir avec cette partie de cache-cache sans queue ni tête.



J'étais bien mal inspirée!

Peut-être ai-je des dons de vision, peut être ce livre et moi sommes fait pour nous haïr jusqu'au bout. Toujours est-il que j'ai fait quelque chose que je ne fais que très rarement: je l'ai refermé sans l'avoir fini, au bout d'une centaine de pages.



Je n'aime pas le style d'écriture tarabiscoté, ni l'ambiance kitch . Le couleurs que j'imagine à cette lecture me font mal aux yeux, les personnages me semblent vides quand j'arrive à les voir, quand à l'intrigue j'ai à peine commencé à en voir les prémices, arrivée à la moitié du bouquin, et elle me semble pas vraiment intéressante.



J'ai pourtant fait des efforts mais rien à faire je n'y arrive pas. J'ai presque arrêté de lire à cause de ce roman et il m'a fallu me faire une raison.

Je l'ai refermé pour une valeur sûre et pour reprendre goût à une de mes activité favorites.



Plus jamais.

Un très bon avec ce policier qui m'a rappelé mes premières lectures dans ce genre et je l'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir.

Thomas n'a plus que son oncle, et pour lui rendre service il se retrouve impliqué dans le recel d'un diamant. Mais l'oncle se fait tuer et Thomas prend la fuite avec à ses trousses le clan des niçois, des marseillais et des toulounais. Tout ce monde se retrouve dans le hameau où Thomas blessé a trouvé refuge avec l'aide du vétérinaire du coin. Mais forcément tout ne va pas se passer comme prévu.

Payan, aventurier de l'espace, découvre la planète Troay et ses habitants, les hommes de cuir. Cette civilisation, considérée comme frustre, obéit en fait aux lois de la nature et le plaisir est la seule justification de l'existence. Payan y goûte lui aussi et tombe amoureux d'une femme "cuir", Yulla, qu'il ramène avec lui sur terre. Mais c'est sans compter avec les lois impitoyables de l'administration et des hommes... Un roman de science-fiction écrit avec finesse, à la manière d'une tragédie à mi-chemin entre Serge Brussolo, Isaac Asimov et Franz Kafka. C'est également une très belle histoire d'amour. A noter que "Michel Grimaud" est en fait le pseudonyme d'un couple d'écrivains.