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Citations de Michel Marc Bouchard (26)


CATHERINE: Vingt-sept ans pis pas capable de fermer une porte. T'attends-tu que la savane rentre en entier dans maison avant de te décider à fermer ta porte? J'te dis que je l'ai eu le bel héritage! Dix âcres de sable avec une maison sus l'boutte d'une colline que meman avait donc raison d'appeler le calvaire. Dix âcres de sable avec du vent, du frette pis une fille de vingt-sept ans qu'y est pas encore capable de fermer une porte.

ISABELLE: J'ai acheté ton jambon.
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CATHERINE : Faut-tu dire la vérité à une femme de vingt-sept ans qui agit comme une enfant de onze ans qui pique des crises qu'on peut pas contrôler? Y faut-tu s'excuser de s'être dévouée pendant vingt ans à y laisser croire que sa mère était morte en Espagne? Y faut-tu y avouer qu'est encore vivante pis qu'a nous a tout simplement abandonnés? [...] Ben le jour oùsque je comprendrai pourquoi une mère abandonne ses enfants, j'y expliquerai.
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C'est de valeur que les pauvres savent pas lire, y pourraient s'défendre.
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Y dit que même si les filles sont belles, même si elles sont bien faites, elles font tout pour le gâcher. « Elles s’habillent comme des chauffe-eau avec des motifs de cartes de fête. » Les gars, c’est pire : « Des sacs de coton ouaté, du prêt-à-dévorer pour laveuse frontale !
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Le soleil se lève, Vallier. Réveille-toé. J'veux que tu vois comment c'est beau. J'veux pas que tu manques le soleil se lever. Y'a rien de plus beau au monde. C'est comme si c'était toujours le premier jour pis, le dernier. Ses couleurs, ben, c'est comme si c'était toutes les couleurs des émotions qu'on peut avoir en dedans de nous autres.
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Je savais pas quoi faire… Je savais pas. Ça fait que j’ai rien fait. Non, c’est pas vrai. J’ai fait une grosse crise de psoriasis.
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Nous étions au Royal, en train de siroter un cocktail de liqueur de framboise, chartreuse et bulles espagnoles, et nous regrettions que nos amis ne soient pas avec nous pour célébrer la vie, la gourmandise, la passion et notre amour de ces mots sensuels qui savent dire tout ceci. Dès lors, nous avons rêvé à une grande table qui réunirait les goûts et les talents de chaque convive. Le chiffre 13 ne nous effraie pas, car ce repas est destiné à être partagé avec vous. Nous vous conseillons de prévoir un délicieux nectar et quelques bouchées à savourer avant de déguster ces nouvelles.Que la fête commence! Chrystine et Geneviève
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Je te déteste au point de te laisser vivre.
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Maintenant que mon destin s'accomplisse ; que des mains d'hommes me tuent (Les autres acteurs le menacent également d'un poignard. Il déboutonne sa soutane) Tue-moi ! Tue-moi !
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Je voulais que tu penses à moi. De n'importe quelle manière, je voulais que tu penses à moi et je savais qu'en prison, tu ne cesserais de penser à moi. Et j'ai réussi. (Temps) Je t'ai aimé au point de détruire jusqu'à ton âme.
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Pourquoi tu m'as pas laissé mourir avec lui ?
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Regarde-les s'aimer, Bilodeau. Regarde-les ! Regarde ce qui t'a rendu malade dans le grenier du collège !
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Que Dieu me pardonne, qu'il me pardonne les sacrements que mes mains ont pu bénir. Qu'il me pardonne. (Temps) Je ne comprenais pas la force qu'il y avait entre vous. Cette force qui vous avait fait surmonter le fouet, le reniement d'un père, les humiliations publiques, la mort d'une mère, l'abandon d'une vie meilleure ailleurs, d'une richesse ailleurs... Cette force qui vous menait jusqu'à la mort. Je croyais pouvoir posséder cette force en fuyant avec vous mais… tu m'as refusé jusqu'à la dernière seconde pour le Feluette. (Il monte sur la scène) J'ai réussi à ouvrir la porte du grenier. Tout était en flamme. Vallier et toi, vous étiez enlacés, agonisants. Je me suis approché de toi… Je t'ai séparé des bras de Vallier et je t'ai traîné à l'abri du feu. Je suis retourné pour chercher Vallier… mais tout près de lui… les "jamais", que tu avais prononcés, se répétèrent avec violence. "Jamais Bilodeau ! Jamais ! Jamais !". J'ai fait demi-tour... Je l'ai laissé là... J'ai refermé la porte. C'était Sodome qui brûlait et j'étais Dieu qui vous punissait en te laissant vivre, en laissant mourir Vallier.
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T'as peut-être oublié mais moi, c'est inscrit dans ma tête, ma chair, mes tripes, dans mon cœur, dans mon âme… Toutes les cochonneries que t'as dites sur mon compte...
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J'ai moisi en dedans pendant des années pour quelque chose que j'ai pas faite ! Y'a rien qu'une personne au monde qui sait c'qui s'est réellement passé un matin du mois de septembre de 1912.
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BILODEAU : Ta maladie Simon, c'est que tu fais à faire des affaires avec Vallier comme si y était une fille? Pis le plus grave, c'est que lui, y est tellement malade qu'y appelle ça de l'amour. (Il rit.)
SIMON : Tu penses pas que t'en inventes, Bilodeau?
BILODEAU : Demandes-y, au Feluette, c'qu'y m'a dit quand t'es sorti du grenier.
SIMON : Y'a une maudite grande différence entre c'qu'on peut faire dans l'grenier pis…
BILODEAU : Demande-le au Feluette.
VALLIER : Je vais te frapper, Bilodeau. Je vais te frapper!
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Le soir, ma mère me chantait que j’étais enfant,
L’histoire d’un bateau perdu et d’un oiseau blanc.
Un jour le bateau s’en va droit vers l’océan,
Et seule, le cœur plein d’amour, une fille attend…
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ISABELLE : J’aime assez ça parler des histoires de fesses. Ca m’fait tellement de bien. C’est ça « parler en adulte », hein ?
MARTINE : Ça dépend des adultes.
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ISABELLE : Que c’est que ça veut dire « repentir » ?
MARTINE : Ca veut dire quelqu’un qui revient à quatre pattes en lichant le plancher pour se faire excuser ! Non on ne se tapera pas l’apothéose du pardon ! « Apothéose », ça veut dire la cerise sur l’sundae ! Prends ton dictionnaire !
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LUC : …pis a’les a crachées dans face à meman en y disant que ça prenait rien qu’une femme de mauvaise vie qui couchait avec des importés pour aller crier OLE quand un cultivateur tuait son beu.
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