Voici une critique comparative…
J'ai commencé par lire l'Invocateur puis complètement dégoûté, immédiatement après: l'Ange du Chaos...
L’invocateur de Gail Martin (Bragelonne) versus L’ange du chaos de Michel Robert (Pocket)
L’invocateur est linéaire, le vocabulaire limité, l’intrigue insipide, quelques incohérences, aucune trace d’humour, je me suis forcé à arrêter 20 pages avant la fin pour marquer mon déplaisir.
En fait cet auteur a du potentiel et de bonnes idées mais on dirait qu’il a préféré diluer le récit par des descriptifs d’une platitude insondable…
Parler aux morts : très bien, mais si vous aimez ça, j’ai pensé à une série qui m’a semblé plus intéressante et dont les 1ers romans du cycle m’ont bien plu : le Cavalier Vert (dont l’héroïne est une cavalière…). Simple, accessible pour tous…Je ne boude pas les plaisirs simples 😊.
Revenons à nos moutons…L’invocateur…L’action est bien amenée, vibrante, bien décrite, mais… : 7 événements sur près de 500 pages !?!?
…Et une intrigue linéaire…Et des descriptifs sans intérêt pour l’histoire… ! On a le temps de s’endormir entre les passages intéressants.
J’ai eu l’impression très désagréable que le but était de pisser de la copie et de faire plusieurs tomes de ce qui en valait un et je déteste ça… !
Venons-en maintenant à L’Ange de la mort : le premier roman que je lis de cet auteur.
Un plaisir de chaque instant…l’intrigue et l’action se déroulent crescendo jusqu’au final.
Alors que la SF-Fantasy du siècle dernier était trustée par les auteurs de langue anglaise, j’ai le sentiment très agréable depuis quelques années que les auteurs de langue françaises prennent l’ascendant sur les autres…Quel plaisir à lire des auteurs français de SF (Bordage, Damasio,)...qui sont pour moi parmi les plus grands auteurs de romans de SF de tous les temps !
Michel Robert m’a tout l’air d’en faire partie 😊
Des descriptions légèrement teintées de poésie, bien équilibrées, juste ce qu’il faut pour soutenir la mise en place du décor et des personnages, quelques passages à l’érotisme piquant, de l’humour, une intrigue tortueuse entre les maîtres des plans de la Lumière, des Ténèbres et du Chaos, une vengeance comme un plat qui se mange bien froid, de l’amitié, de l’amour, des idées inédites,…
Mais surtout, un développement équilibré, rythmé qui entraîne le lecteur dans l’aventure et l’action qui va crescendo sans nous laisser le temps de souffler….(Par comparaison, il y a autant de nœuds d’action en 100 pages de l’Ange qu’en 470 de l’Invocateur…!)
Une structure « feuilletonnesque » que j’adore…qui fait que vous n’avez pas envie de le lâcher ce bouquin. Qui dit feuilleton dit Dumas dont je suis un très grand fan (une bibliographie de plus de 300 ! romans et mémoires de voyages - dont le très bon Chroniques napolitaines à mourir de rire,… à lire pour tout écrivain amateur de SF qui chercherait l’inspiration et les nœuds d’intrigue.
Bref…du tout grand art pour l’Ange du chaos ! En terme de plaisir de lecture, il me rappellerait (en mieux !!) l’excellent les 9 princes d’Ambre de Zelazny…que j’ai lu il y a quelques dizaines d’années. Il en a fait un cycle majeur de la Fantasy. C’est tout ce que je souhaite à Michel Robert. J'ai eu autant de plaisir si pas plus à lire cet ouvrage que le très bon "Gagner la Guerre" dont le héros Gesufal doit avoir développé des pulsions masochistes (personnellement peu crédible mais chacun ses goûts)... pas du tout le cas de l'Ange...personnage intéressant et complexe.
Robert: une étoile montante francophone qui mérite un regard attentif et un grand coup de pouce à l’achat.
Le genre de livre que vous n’avez pas envie de lâcher. Donc vous l’aurez compris, …tout à l’opposé de l’Invocateur 😊
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Un tome exquis qui se dévore sans pitié. Enfin les protagonistes du Chaos : Estrée et Cellendhyll se retrouvent à devoir agir de concert. Les relations qui se créaient entre les Spectres sont touchantes. La jalousie, bien heureusement, est peu présente bien que là. Comme tous les tomes -d'après mes souvenirs- ce dernier est en deux parties bien distinctes : une première de cavale et une seconde de "vacances de quelques jours". Au final, ni l'une ni l'autre est supérieure, c'est une suite logique, sans essoufflements de l'histoire.
Mais qui est Maurice ?!?
Il n'y a de personnage plus mystérieux que Maurice, jusqu'à son prénom "classique". Facilité scénaristique ? Je ne pense pas. Plutôt le Destin omniprésent. Il intrigue, certes, mais on est bien heureux à chaque apparition : allait-on connaître son rôle cette fois-ci ? Mais l'auteur vous le rend toujours plus imprenable à chaque fois qu'il le fait parler. C'est le Tom Bombadil de Michel Robert.
Le point fort de ce tome, et bien que les combats soient aussi bien décrit pour qui en est friand, ce sont les sentiments très humains qui ont débordé de ce tome ! Le désir évidemment (c'est le Chaos quand même), mais aussi la nuance entre le désir de la chaire et de l'âme. Puis l'idée du sevrage magique -loin d'être simple- et du ressenti du drogué (honte, souffrance...) vient titiller nos âmes. [spoiler]Et encore plus que tout ça, la perte d'amis et de sa famille. Une perte complexe ressentie de différentes façons :[/spoiler] colère, abandon de la vie, mutisme...
Ce que je retiendrait sans le vouloir c'est cet immense désespoir, un gouffre de tristesse.
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Comme à son habitude, Michel Robert nous offre se merveilleuse plume pour décrire les combats et la sexualité. L'écriture prend le lecteur sans plus d'opposition de ce dernier. Elle fait passer tout le texte comme un ballet dynamique et splendide. L'érotisme tout comme les combats nous rappellent des chorégraphies durement réfléchies où les uns et les autres se répondent en grâce.
Mais restons neutre, et malgré mon amour pour cette série, le scénario de ce tome était déroutant. Les complots et le retour de la Lumière étaient agréables à lire, les personnages Spectres sont sublimement détaillés de sorte que l'on s'y attache. Malgré tout, il manquait un je-ne-sais-quoi de palpitant.
Grâce aux talents de l'auteur, le lecteur dévore le tome et qu'importe un scénario long et sans intérêt. Le lecteur rentre dans le bouquin comme un Initié pénètre dans le zen. Pleinement et avec bonheur et soulagement. Soulagement d'entrer, une fois encore, dans le monde de Michel Robert le temps d'un tome.
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Ce tome est très différent du premier tome, point de vue histoire, mais reste tellement excitant ! Il appartient à ces livres que l'on dévore sans se poser plus de questions. Je ne sais pas quoi dire pour faire justice au livre... L'histoire change radicalement au cours de l'histoire, alors que je m'attendais à voir Cell' œuvrer pour sa remise en forme jusqu'au bout il n'atteint le summum de sa force en milieu de roman. L'auteur jongle entre différents personnages sur les différents plans ce qui rend le livre très vivant, complet et réel. On s'attache facilement aux personnages, même s'ils n'apparaissent pas longtemps. Je me suis surtout prise d'affection pour Gher' qui me fit rire plus d'une fois. Et pleurer aussi...
Quoiqu'il en soit, ce roman m'a tellement pris aux trips que j'ai fini par avoir peur de le finir (parce que je n'ai pas le tome 3).
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Je tente depuis avant-hier soir d'avancer sur la fin du tome 2 de la Malerune.
J'espérais que le changement d'auteur donnerait un peu de maturité à tout : autant l'intrigue que les persos.
Hélas, si j'aime le style de M. Robert, il a malheureusement repris trait pour trait l'intrigue et les caractères des personnages esquissés par Grimbert (bien qu'il ait essayé de "mûrir" un peu tout ça : un peu plus de sexualité, les combats sont meilleurs, bref, ce qu'on aime (ou pas) chez cet auteur (moi j'aime, lol)). Total, Lucia est toujours une tête à claques, les personnages sont peu profonds, l'intrigue ultra-linéaire, sans surprise, et vraiment ennuyeuse de mon point de vue, les rebondissements sont répétitifs. J'arrive quelque part, je me fais attaquer, je bats tout le monde, je trouve un bout de ce que je cherche et je repars, et ainsi de suite...
Curieusement, Ariale seule (la soeur la plus jeune mais ô combien plus mature que l'aînée) trouve grâce à mes yeux, mais c'est loin d'être le personnage principal donc ça m'agace.
C'est beaucoup trop simple pour moi, trop jeunesse.
Franchement j'aurais 14 ans j'aurais aimé, je crois, mais là, ça me gonfle. Je vais lâcher l'affaire. J'arrête là sur cette trilogie. C'est pas que c'est pas bon, c'est juste que c'est pas assez creusé pour moi, j'ai l'impression de perdre mon temps. Limite je préfère relire un bouquin que j'ai adoré, hein. C'est peut-être ce que je vais faire, d'ailleurs.
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Balafrée est une lecture divertissante, qui a pleinement répondu à mes attentes. Connaissant déjà la plume de Michel Robert pour L'ange du chaos et La Malerune, je m'attendais à tomber sur un roman de fantasy nerveux et bourré d'action. J'avoue ne pas avoir été déçue !
Le personnage principal, Malken dite Balafrée, est une femme de caractère qu'il est plutôt plaisant de suivre. Son côté guerrière renfrognée la rend particulièrement intéressante, d'autant qu'elle n'est pas exempte de défauts. Cela change agréablement du traitement des personnages féminins dans beaucoup de romans.
Dans ce récit, il n'y a que peu de temps pour tout mettre en place et se laisser aller à la contemplation. Tout bouge très vite et les actions s'enchaînent. L'univers est à la fois bien contextualisé et très riche, et il a été plaisant de retrouver de très nombreuses races, et pas uniquement des humains comme on y a souvent droit !
Je vais donc m'attaquer à la suite avec plaisir.
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Le premier mot de la quatrième de couverture résume bien mon état d'esprit suite à cette lecture : Ulcéré.Je suis ulcéré par les scènes de sexe à répétition qui n'apportent authentiquement rien à l'intrigue, surtout quand il s'agit de scènes mettant en scène des personnages secondaires et tertiaires.Je suis ulcéré par l'imbécilité profonde de ce super guerrier à deux coeurs qui n'est pas foutu de comprendre que son caractère de merde ne peut que le plonger dans des ennuis sans nom.Je suis ulcéré par cette campagne de jeux de rôles transcrite en roman par un auteur certes compétent, mais qu'il aurait sans doute fallu bien mieux encadrer pour obtenir une oeuvre digne de ce nom, plutôt que ce fatras indigeste d'intrigues d'alcoves.Enfin, je suis ulcéré (ça vient de loin, mais c'est toujours vrai) quand une intrigue est parasité par sa méta-intrigue. En l'occurence, ici, le statut "hors-destin
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Je n'irais pas par quatre chemins : j'ai trouvé ce second tome légèrement inférieur au premier.On y retrouve cette fois-ci Celendhyl initiallement aux prises avec une expérience qui l'a fortement diminué, mais reprenant rapidement du poil de la bête avant de s'engager dans une mission plutôt complexe, surtout du fait de certaines visées obscures des Ténèbres.En fait, il est inférieur pour des raisons plutôt diffuses ... Je m'explique.Dans la première partie de ce roman, Celendhyl est démuni face aux transformations de son corps, et doit reprendre un entraînement d'athlète pour retrouver la forme. Bon, on nous l'a assez râbaché, l'auteur est un ancien athlète de haut niveau, et du coup, je trovue cette première partie, où le héros retrouve la forme, très bien sentie, car elle correspond tout à fait à mes (vieux) souvenirs de sportif : lm'espèce de haine latente pour l'entraîneur/instructeur, la fatigue qui alourdit chaque membre au-delà du raisonnable, et la joie de sentir qu'enfin, le crorps répond bien. Tout ça, c'est fort bien, même si l'espèce de chape de plomb tenant au moral du héros alourdit un peu cette étape.Hélas, ensuite vient la belle, et avec elle les scènes de sexe. Scènes dans lesquelles l'intimité la plus profonde de la demoiselle est explorée à plusieurs reprises et avec force détails par le héros, mais aussi par l'auteur qui, j'en ai l'impression, a pris son pied à détailler par le menu les différents actes de pénétration. Pour être honnête, ça apporte moins au récit que les descriptions de la tension sexuelle entre les deux héros. En fait, la seule chose que ça apporte, c'est le soulagement de cette tension. J'aurais tout bonnement préféré, comme toute midinette qui se respecte, que ces scènes chaudes se cantonnent à la sexualité d'Estrée, qui est moins passionnée et pluis exubérante que celle de Celhendyl.Bon, en un sens, ça n'est pas vraiment ce sexe effréné qui m'a gêné dans ce roman, mais plutôt son absence de lien avec le récit, sauf peut-être en tant que démonstration de la puissance retrouvée de l'invincible ombre du chaos.Ce qui est au moins aussi gênant que cet intermède sexualisé, c'est le côté table de jeux de rôles que prend ce roman dans sa dernière partie, avec les différents joueurs qui se font une partie de "piège-monstre-trésor" au fin fond de tunnels (évidement). Pas forcément très bien tournée, cette visite dans les caves des ténèbres aurait peut-être gagné à être plus densifiée ...Seulement, si ça avait été le cas, ç'aurait sans doute été au profit de ce héros qui, en-dehors des combats, se montre certes avare de mots - ce qui n'est hélas pas le cas de ses camarades, qui se complaisent à manier une langue des plus châtiées sans aucune espèce de raison ni même d'intérêt - mais certainemenht pas d'états d'âmes qui le rapprochent malheureusement beaucoup de [book:l'assassin royal], mauvais jalon s'il en est un.Heureusement, face à ces différents défauts, ce roman présente aussi d'incontestables qualités : un rythme extrêment soutenu dans une action raisonnablement construite, et, surtout, surtout, surtout, de l'action !Je ne compte pas, par exemple, le nombre de roustes que ce brave Celendhylv va flanquer à un peu tout le monde - y compris parfois aux mauvaises personnes, ce qui est très distrayant. Bon, les bagarres d'auberge, c'est bien, mais il y a aussi de vrais combats à l'épée, à la hache, à la dague, des poursuites, des cascades, bref, de l'action.A tel point, d'ailleurs, que ça place cet Adhan à mi-chemin, pour moi, entre un Elric en bonne santé et un Conan bavard ... Bon, j'ai dit Conan par pur fanatisme, mais je crois que l'inspiration essentielle de l'auteur vient clairement de Melniboné la maudite, tant en termes d'apparence qu'en terme d'association diverses.Parce que comme Elric, Celendhyl est d'une paleur de bon teint. Comme Elric, il est équié d'une arme presque maudite. Et comme Elric, la soif du combat qui le rend vivant le tient clairement.Même si ça ne se voit pas ici, j'ai quand même bien apprécié cette lecture, grâce à un talent consommé de l'auteur pour injecter de la vie dans cette histoire, et évidement grâce à l'héritage d'Elric qui coule dans les veines du héros.
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Bien que lu il y a un moment, je garde un souvenir très fort de ce récit mais… dans le mauvais sens du terme.
Pour ce qui est du premier tome écrit par Grimbert et bien … c’est du Grimbert : l’univers est travaillé, le récit agréable à lire, et il y a cette espèce de petite touche jeunesse, bien que le livre ne soit pas labellisé comme tel. Peut-être est-ce dû à ses groupes de personnages archétypaux, à l’humour bon enfant, et aux péripéties somme toute assez légères.
Pour ce qui est de la suite par Michel Robert et bien … Disons le : c’est un massacre. J’ai pourtant déjà pu apprécier la plume de l’auteur à d’autres occasions, c’est au moins la preuve qu’il s’est largement amélioré depuis !
L’écriture est maladroite, les situations sont décrites plutôt que racontées, ce sont constamment les même scènes qui se répètent (Nos héros arrivent dans une nouvelle ville, les ennemis attaquent, un ou plusieurs des héros manque d’y passer mais finalement tout le monde s’en sort, mis à part quelques personnages secondaires qui trainaient dans le coin, et ça repart. En gros une construction d’épisode de Pokémon, mais où on fait mourir le dresseur du Pokémon rencontré) et le développement des personnages fait grincer des dents, surtout s’agissant de Lucia, devenue une véritable caricature de "femme forte et sexy" (comprendre par là qu’elle a juste mauvais caractère et que ce n’est rien d’autre qu’un faire valoir).
C’est assez dommage parce qu’au final on a un petit récit sympathique, qui pourrait être une sorte de porte d’entrée jeunesse (oui j’insiste) dans la fantasy mais… non, trop mal écrit, trop cliché, trop manichéen. J’encourage plutôt à lire d’autres oeuvres de ces deux auteurs, qui ne sont pas mauvais pour autant.
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Ayant lu récemment Sans foi ni loi de Marion Brunet dont j'ai un très bon souvenir, ce nouveau roman de Western prend place dans un univers totalement différent.
Nous faisons la connaissance de Largo Callahan un Hors la loi mi Irlandais mi Apaches où la conscience de l'homme est partagée entre ses valeurs indiennes et son tempérament d' Irlandais.
Chef d'un groupe de mercenaires, Largo possède un honneur et une morale malgré qu'il soit pas un samaritain, il cherche à se faire respecter et être crédible envers ses hommes mais suite à sa rencontre avec une comtesse, Largo va se retrouver dans univers mystique dans lequel il ne pourrait en ressortir.
La premier partie est une histoire de Western tout à fait classique avec son background habituel, paysage de l'ouest américain et mexicain, les saloon, et les territoires indien où quelques figures mythiques son honorées.
Nous avons aussi les personnages qui sont différents les uns des autres. Bien qu'ils soit représentés comme les héros que l'on voit habituellement, cela reste intéressant et nous restons en terrain connus.
La seconde partie malgré qu'elle se situe en fin du roman nous offre des moments de fantastique (mais je pense que comme c'est en deux tomes il y aura plus de fantasy dans le second tome). Par contre je n'ai pas aimé les protagonistes mystiques et surtout les monstres et plus particulièrement le face à face entre ces derniers et la bandes à Largo.
Au final c'est bon roman qui rend hommage au genre Western avec un ptite dose de fantasy et qui mérite que l' on s'attarde sur le second tome qui je l'espère tiendra ses promesses.
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Premier pas dans les univers de Michel Robert et je suis agréablement surpris.
Le personnage de Largo un irlandais/apache est bien travaillé. L'histoire démarre bien mais ce n'est que le premier tome d'une trilogie et je me doute qu'on est loin d'avoir tous vue.
Le style est simple mais efficace à la manière d'un Gemmell. Une touche d'humour en plus.
Vraiment une très bonne surprise. Je vais très certainement m’intéresser à son grand cycle l'agent des ombres voir ce que ça donne.
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Malken est une Nashaï, plus connue sous le nom de Balafrée. Libérée de l'esclavage de l'Empire humain, formée par les redoutables Sœurs du Regret, elle devient une redoutable guerrière. Indisciplinée, elle fourbit ses premières armes avec les Bannis, sections spéciales des Clans sauvages. Balafrée est le premier tome de La fille des Clans. Michel Robert signe un roman de fantasy enlevé et agréable, avec peu de temps morts. L'omniprésence des combats freine toutefois le développement de l'intrigue.
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