Citations de Michel Weyland (191)
Ce n'est pas la première fois que tu anéantis l'empire que je bâtis ! Pire : tu te mêles même de briser ma vie privée.
Hé bien, oui, le diable a un frère jumeau ! Si ! et j'espère que sa famille va s'arrêter là !
On ne le répétera jamais assez : il est suicidaire de s'aventurer dans le jardin de Satan ! Cette forêt pue la mort.
… Une statuaire qui a atteint la perfection… Du marbre incrusté d’or, d’émeraude, de rubis, de… Des jardins savamment agencés, des canaux d’irrigations… Elle est belle leur réputation de sauvages, demeurés, coupeurs de têtes !...
- Condamner la plantation engendrerait une catastrophe économique ! Orquerolles deviendrait une cité fantôme ! Des centaines de travailleurs vivent du Nak comprends-tu ?... Et puis un peu de Nak de temps en temps n’est pas mortel ! Il ne le devient qu’avec l’habitude ! Tant pis si certains ne peuvent pas résister à l’attrait de ce nectar. Ce sont des faibles… Des misérables !
- Une coupe de Nak en appelle un autre et ainsi de suite ! J’ai éprouvé cela moi-même et je ne suis pas particulièrement faible !
- Je ne suis plus digne de garder ce trésor ! L’immortalité t’appartient !
- L’immortalité ?
- Ce trésor n’est autre que l’immortalité tant désirée par les humains !
- Quoi !? C’est ça ton trésor ?! Si j’avais su !... Au revoir ! […] Il peut la garder son immortalité ! Très peu pour moi ça ! Ce dont j’ai besoin, c’est d’affronter la mort en face ! C’est vrai, un combat loyal quoi !
- Euh… Ne… Ne me dites pas que vous agirez seule !?
- Ben pourquoi pas ?! C’est mon physique de poupée qui vous incite à faire cette remarque, humm ? Toujours la même rengaine ! Marre… Une aventurière fonçant dans des entreprises audacieuses, ça choque les mentalités. Je devrais ressembler à un vieux bouc, alors j’aurais la tête de l’emploi et on m’applaudirait !... Désolée de bousculer vos poussiéreuses idées préconçues mais les dieux m’ont faite ainsi !!!
- Du… Du calme !!! Je ne voulais pas titiller votre susceptibilité !
- SUSCEPTIBLE ? MOI ???!
- Les médiocres doivent te considérer comme une marionnette tout juste bonne à affronter les forces démoniaques comme un être superficiel… Sans doute t’envient-ils ce qu’ils te reprochent : ta disponibilité, ton effronterie, ton épée… Mais moi je le sais : ta vie évolue sur un registre bien plus riche et…
- Arrête, tu vas me faire rougir !
- Que faire de tous ces sorciers maintenant ? Ils sont capables de tout !
- De faire fructifier des récoltes, de guérir des malades, non ? Ils pourraient travailler à votre service !?
- Vrai ?
- Ben… Pourquoi pas ?
- Ça nous changera de semer la terreur !
- Au revoir, gouverneur. Soyez tout de même prudent ! Pas d'excès ! Un claquage est si vite arrivé avec la gent féminine !
- Tu as juste le temps de te mettre en ordre avec ta conscience... Pour autant que tu en aies une.
- ça vous plaît ?
- Qu'est-ce ?
- De la mousse de queue de sirène. hi hi
- Disons du chien, les sirènes , ça n'existe pas.
- En tout cas, ce chien est à croquer.
- Nous ferons l'impossible pour vous rendre le séjour agréable, à commencer par la cuisine... Notre chef l'a composé à votre image : très variée.
- Qui tient l'auberge ?
- Ma sœur. Elle se débrouille très bien. On peut lui faire confiance. Cela dit ma réputation de mère indigne est faite ! Chez nous, les femmes restent au foyer.
- Qu'était-ce ?
- La flamme d'un draguédon.
- La flamme d'un... dragué...don ?
- D'un draguédon oui.
- ?
- Il vole et il crache le feu pendant la période des amours... Sa manière à lui de séduire la draguédonne.
Si jolie, et si dure avec les hommes... Le monde est mal fait !
- Tu es libre, si je comprends bien ? Chouette, avec un peu de chance, je vais pouvoir découvrir ton beau jardin et, pourquoi pas y planter mon rhododendron !
- Va donc le planter ailleurs, mes ronces risques de déchirer tes salles petites pattes !
- Tu insultes ma religion, celle qui va sauver le monde de sa misère, de la turpitude et de la décadence ?
- Nos vues divergent. J'ai aussi un religion, figure-toi. Entre elle et moi, c'est une histoire d'amour. Elle fait partie de mon intimité. Et mon intimité, je ne la brandis pas comme un étendard ou une arme de conquête.
- Mais il faut se bouger ; la population doit se soulever !
- Inutile, elle se laisse influence par le flot d'informations officielles, lesquelles sont contrôlées par des « adeptes éclairés hyperactifs ». Un bourrage de crâne permanent.
On se réfugie au plus profond de son être, dans le berceau de son âme.