Je vous passe la manière dont le récit est amené dans ce tome 24 intitulé "L'Âme captive" car c'est d'incroyable balourdise...
Ophale est persuadée que son mari Glunad a été transformé en bille indestructible dont son âme serait captive, et le responsable serait Ephème et son mystérieux pistolet magique (c'est forcément vrai, vu que c'est Grifoul qui le dit ! ^^). Les femmes de la contrée devant rester au foyer, elle demande à Aria d'amener de soumettre la bille au feu destructeur d'un draguédon (entre le women's liv eco+ et le fétichisme de l'auteur pour les chauve-souris mutantes je ne sais pas ce qui est le pire, ah si je le sais vu qu'il confond mammifères, oiseaux et reptiles ^^). Après diverses péripéties, elle tombe sur crypte secrète où un alchimiste se lance dans un long monologue sur finitude de toute civilisation : on retrouve la science-fantasy post-apo des premiers tomes de la série... Mais Ephème, car il s'agit de lui, est rongé par la culpabilité et la radioactivité donc il décide de se suicider en scellant la crypte maudite et ses savoirs interdits. Aria s'en sort miraculeusement, on a droit à un deus ex machina onirique, et tout est bien qui finit bien d'autant plu que que l'auteur a rempli son cahier des charges avec son héroïne qui fait la fiesta attifée comme une prostipute, son héroïne qui manque de se faire violer par des mâles machistes et la traditionnelle scène de bain qui ne sert à rien ^^
Je vous passe la manière dont le récit est amené dans ce tome 24 intitulé L'Âme captive car c'est d'incroyable balourdise...
Ophale est persuadée que son mari Glunad a été transformé en bille indestructible dont son âme serait captive, et le responsable serait Ephème et son mystérieux pistolet magique (c'est forcément vrai, vu que c'est Grifoul qui le dit ! ^^). Les femmes de la contrée devant rester au foyer, elle demande à Aria d'amener de soumettre la bille au feu destructeur d'un draguédon (entre le women's liv eco+ et le fétichisme de l'auteur pour les chauve-souris mutantes je ne sais pas ce qui est le pire, ah si je le sais vu qu'il confond mammifères, oiseaux et reptiles ^^). Après diverses péripéties, elle tombe sur crypte secrète où un alchimiste se lance dans un long monologue sur finitude de toute civilisation : on retrouve la science-fantasy post-apo des premiers tomes de la série... Mais Ephème, car il s'agit de lui, est rongé par la culpabilité et la radioactivité donc il décide de se suicider en scellant la crypte maudite et ses savoirs interdits. Aria s'en sort miraculeusement, on a droit à un deus ex machina onirique, et tout est bien qui finit bien d'autant plus que que l'auteur a rempli son cahier des charges avec son héroïne qui fait la fiesta attifée comme une prostipute, son héroïne qui manque de se faire violer par des mâles machistes et la traditionnelle scène de bain qui ne sert à rien ^^
Les dessins et les couleurs sont agréables, mise à part cette détestable manie récurrente depuis pas mal de tome de résumer les yeux à des tâches blanches et des points noirs dès qu'un personnage passe en plan américain... ça enlaidit l'ensemble de manière autant inutile qu'horripilante !
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Un scénario entièrement tourné vers le fantastique. Un fantastique qui trouve ses racines dans les vestiges d'une ancienne civilisation comme pour les chevaliers d'Aquarius (tomes 4 et 5).
Un tome où l'on retrouve également une morale écologique et humaine et qui réfère à l'utilisation du nucléaire dans notre monde. Un tome où Aria va de nouveau prendre la défense des animaux : dans le tome 11 c'étaient les Tauroks, maintenant ce sont les Dragons.
Un tome qui va donc chercher des ingrédients de tomes antérieurs, mais qui est maintenant servi par un dessin de meilleure qualité que dans ce passé de plus en plus lointain (vingt ans pour le premier tome).
Il y a d'abord les scènes de nuits et d'obscurité qui ne se limitent plus à une succession d'images imprécises sur un fond grisâtre assez laid. Ensuite, il y a le découpage plus dynamique qu'à l'aube de cette série.
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- Ainsi, il existait une civilisation plus évoluée que la nôtre à cette époque ?!
- La grotte voisine regorge de ses vestiges. Je passe mon temps à les étudier.
- Elle a disparu dans un cataclysme ?
- Même pas ! Le progrès a sa part d'ombre... et la société ses détraqués.
NE JOUE PAS AVEC TON PÈRE! [...]
Je sais, à tes yeux, ce n'est qu'une bille, mais j'ai des raisons de croire qu'elle est bien plus que cela! Elle ne doit pas quitter son écrin, d'accord?
- Qu'était-ce ?
- La flamme d'un draguédon.
- La flamme d'un... dragué...don ?
- D'un draguédon oui.
- ?
- Il vole et il crache le feu pendant la période des amours... Sa manière à lui de séduire la draguédonne.
- Qui tient l'auberge ?
- Ma sœur. Elle se débrouille très bien. On peut lui faire confiance. Cela dit ma réputation de mère indigne est faite ! Chez nous, les femmes restent au foyer.
ACTU-tv reportage effectué dans sa demeure de Faimes, près de Huy, sur Michel Weyland, dessinateur belge de l'héroïne de bédé ARIA