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Critiques de Milo Manara (396)
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Borgia, Tome 1 : Du Sang pour le Pape

2 illustres noms pour cette série des Borgia, version Alejandro Jodorowsky et Milo Manara. Ça présage du bon. Autant, je sais vers quoi je vais avec Manara, je me souviens avoir lu du Jodo… il y a fort longtemps avec les premiers tomes de La Caste de Métabarons et je suis surpris de le retrouver avec une BD historique alors que son confrère, quant à lui, à démontrer sa passion pour le passé (Un été indien et El Gaucho avec Hugo Pratt).



Ce tome 1, Du Sang pour le Pape donne le ton. Ça sent le souffre, le vice, la luxure, la dépravation. Les bons côté de l’humanité. Borgia, un nom déjà synonyme de pas grand chose de positif. Manipulations, meurtres, chantages et autres joyeuseté sont au rendez-vous pour garder le pouvoir pontifical.



L’histoire s’articule autour des méthodes peu orthodoxe pour avoir le pouvoir tandis que les dessins de Milo Manara me donne l’effet d’être un plus lécher que les autres que j’ai lu. À la dimension du Venise de l’époque. La couleur peut-être ? Il y a des planches foisonnantes de personnages pour des scènes orgiaques à la mesure de l’époque ou des fantasmes qu’on en a. Les femmes y sont mis à l’honneur pour la constance avec laquelle Milo Manara les dessine, toujours magnifiques, iconiques et le regard équivoque.
Lien : http://livrepoche.fr/borgia-..
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Rêver, peut-être - Les aventures indiennes de G..

voila le dessinateur qui fait les filles les plus bandante de la bd, les histoires sont bizarre le dessin tout autant, mais les filles de manara sont de loin les plus érotique que j ai rencontrer avec le declic cette histoire est devenue un classique . une b d a lire uniquement les mains attachées
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Le Caravage, Tome 1 : La palette et l'épée

Michelangelo da Caravaggio, appelé sous le sobriquet du Caravage, débarque en 1592 aux portes de Rome. Pinceaux à la main, il se fait vite admirer par ses pairs. Son ascension est fulgurante. À tel point qu'il se voit rapidement engagé pour peindre des sujets religieux. Ses fréquentations et les modèles choisis vont lui poser de gros problèmes. Peindre une prostituée pour représenter la Vierge a forcément un prix. De plus, ses nombreuses incartades vont se retourner contre lui.

Milo Manara livre un excellent diptyque d'une qualité graphique impressionnante tant pour la précision des décors que pour la sensualité des femmes qu'il dessine. Une biographie d'un peintre au tempérament de feu, à découvrir absolument . Le seul regret c'est qu'il n'y ait pas un dossier en fin d'histoire avec quelques photos des œuvres en question. Objectif réussi donc car le récit donne envie d'en apprendre plus.



Chronique extraite de l'univers que j'ai créé pour Iznéo sur le thème de Rome :

https://www.izneo.com/fr/universe/week-end-rome-en-bd-51
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HP et Giuseppe Bergman

ma première rencontre avec Manara, une rencontre heureuse. Attention, il ne faut pas perdre le fil. J'adore cette atmosphère qui tient vraiment du rêve, où tout est possible, où les distances n'existent pas. On est plongé dans une histoire qui peut paraître sans suite, tout à la fois philosophique, politique et érotique et qui est cependant continue. Le dessin de Manara est vraiment très beau. L'ensemble donne une atmosphère surréaliste.

Ne dîtes pas d'emblée, ça ne veut rien dire, c'est un vrai fouillis. Pensez à vos rêves parfois. Il n'est pas facile de les raconter. Ici, c'est une réussite.

Bravo.
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Un été indien

Magnifique collaboration entre Hugo Pratt et Milo Manara. L'esthétisme du scénario fusionne parfaitement avec la beauté du dessin. Les couleurs sont douces et rendent parfaitement cette saison. On est pas dans un western type, avec les stéréotypes du genre, chevauchées, opposition, violence ordinaire, incompréhension entre deux cultures, c'est plutôt un malentendu. La plume lyrique et moins bavarde qu'à l'accoutumée de l'un mêlé au dessin hyper précis et figuratif sans oublier la puissance érotique propre à l'autre donne une oeuvre très poétique à mon sens.

Super5
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Voyage à Tulum sur un projet de Federico Fell..

Peut-être faut-il connaître les films de Fellini bien plus afin de mieux apprécier cette BD?



Pourtant j’avais déjà lu Manara avec Un été indien, et j’avais adoré…



C'est pas parce que c'est Manara que c'est nécessairement bon, faut croire.



« La trame, l’intrigue, les aléas n’ont qu’une importance relative chez Fellini. Ce qui compte, c’est la révélation merveilleuse, l’émouvante mise à jour d’essences secrètes, l’ineffable transfiguration universelle qui unit tout : hommes, animaux, plantes, choses en une glorieuse parade, animisme plein de douceur, adoration réciproque et panique ». (p.49)



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Giuseppe Bergman : Aventures vénitiennes

Milo Manara s'est fait un nom dans la bd érotique. Il n'en demeure pas moins qu'il s'était essayé dans le roman graphique tendance absurde. Ainsi, on suit le jeune Giuseppe Bergmann dont le destin est d'aller vers l'aventure sous toutes ses formes. Mais qu'est ce que l'aventure ?



On explore ainsi un univers un peu baroque qui alterne le fantastique avec une touche d'érotisme. Cependant, l'ensemble plonge également dans le grotesque et le terrifiant.



Le jeune homme est guidé par un maître d'aventure : le fameux HP. Certains y ont vu Manara qui suit les traces de son vieil ami Hugo Pratt (les mêmes initiales !). Il est comme un chef d'orchestre qui déroule la succession d'obstacles et de rebondissements devant Giuseppe pour lui permettre de devenir le héros de sa propre aventure.



Je n'ai pas été convaincu par l'ensemble trop absurde pour moi. Je reconnais cependant un excellent crayonné qui lui a permit d'être très certainement le meilleur dessinateur italien.
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Le Parfum de l'invisible, tome 1

C'est quand même une lecture un peu fade. Non pas qu'il ne se passe pas grand chose, mais surtout qu'on ne retient rien de vraiment intéressant.



Manara joue en l'espèce avec le fantasme de l'homme invisible. Que feriez-vous si vous aviez la possibilité d'être totalement invisible ? Braquer une banque ni vu ni connu ? Non, bien sûr. On préfère mâter une danseuse ringarde dans un grand hôtel : c'est plus passionnant !



J'ai lu l'intégrale. Le second tome n'a pratiquement plus rien à voir avec le premier. On ne reconnaît même pas les traits de ce professeur de physique ayant mis au point la pommade de l'invisibilité.



A mettre au crédit de l'auteur : on ne tombe jamais dans la vulgarité et la pornographie. Cela reste de l'art avec toujours un excellent crayonné surtout pour dessiner les femmes. Cependant, je dois bien avouer que c'est un bien piètre scénariste.
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Le Piège

Il est vrai que je suis un peu déçu par ce récit de Milo Manara qui sait si bien dessinée les femmes avec leur côté exotique. Il est vrai qu'elles sont superbes. L'auteur arrive à les magnifier car il les aime avec un vrai regard d'artiste. On ne pourra guère le lui reprocher.



C'est surtout le récit que j'ai trouvé un peu plat alors qu'il y avait de qui faire sur le thème du voyeurisme et des nouvelles technologies comme la web cam. Certes, cela demeure assez subversif.



En conclusion binaire, oui pour le dessin mais non pour le scénario.

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Le Caravage, tome 2 : La Grâce

Les trois tableaux de Le Caravage exposés au Louvre m’avaient fortement impressionnée il y a une vingtaine d’années.

J’étais restée scotchée à ces graduations de lumière dans une ambiance clair-obscur vraiment très particulière et reconnaissable.



Cette BD retrace avec force et sincérité l’œuvre de celui qui s’imposera comme l’un de plus grands peintres de l’histoire de l’Art.

Son œuvre a été contestée et a été source de critiques et polémiques mais Caravage a su imposer le naturalisme et le réalisme brutal dans ses contrastes de lumière et d’ombre très marqués.



Milo Manara est un virtuose du dessin, de la reconstitution et de la mise en scène et nous livre une œuvre d’une grande élégance.

Son travail d’orfèvre restitue les grands tableaux du peintre mais aussi sa personnalité hors du commun, sa réputation sulfureuse et les déboires qui ont parfois entravé sa carrière.

Il peint le portrait du génie rebelle, le génie des bas-fonds, profondément humaniste et capable de s’émerveiller de tout, rendant le personnage vrai et émouvant.



Dans ces deux tomes d’une grande beauté, où les villes deviennent de vrais personnages et le souci des détails est une grande affaire, Milo Manara capte avec brio la puissance du regard du peintre italien qui recourait à des mises en scène de groupe dans son atelier, faisant prendre la pose simultanément aux différents personnages qui composaient la scène.



Un très bel hommage à Le Caravage !!

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Le Caravage, Tome 1 : La palette et l'épée

Les trois tableaux de Le Caravage exposés au Louvre m’avaient fortement impressionnée il y a une vingtaine d’années.

J’étais restée scotchée à ces graduations de lumière dans une ambiance clair-obscur vraiment très particulière et reconnaissable.



Cette BD retrace avec force et sincérité l’œuvre de celui qui s’imposera comme l’un de plus grands peintres de l’histoire de l’Art.

Son œuvre a été contestée et a été source de critiques et polémiques mais Caravage a su imposer le naturalisme et le réalisme brutal dans ses contrastes de lumière et d’ombre très marqués.



Milo Manara est un virtuose du dessin, de la reconstitution et de la mise en scène et nous livre une œuvre d’une grande élégance.

Son travail d’orfèvre restitue les grands tableaux du peintre mais aussi sa personnalité hors du commun, sa réputation sulfureuse et les déboires qui ont parfois entravé sa carrière.

Il peint le portrait du génie rebelle, le génie des bas-fonds, profondément humaniste et capable de s’émerveiller de tout, rendant le personnage vrai et émouvant.



Dans ces deux tomes d’une grande beauté, où les villes deviennent de vrais personnages et le souci des détails est une grande affaire, Milo Manara capte avec brio la puissance du regard du peintre italien qui recourait à des mises en scène de groupe dans son atelier, faisant prendre la pose simultanément aux différents personnages qui composaient la scène.



Un très bel hommage à Le Caravage !!

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Le Caravage, tome 2 : La Grâce

Passionné par la vie et l’œuvre du Caravage, j’ai lu beaucoup de livres sur le sujet et ai même consacré une part non négligeable de mon dernier roman au Maître du tenebroso et à l’un de ses modèles. Je ne pouvais donc pas passer à côté de cette bande-dessinée signée Milo Manara. Le thème peut surprendre quand on connaît le domaine de prédilection artistique de l’auteur, mais pour celles et ceux qui apprécient Manara dans ses obsessions sensuelles, sachez que cette adaptation de la vie du Caravage contient son lot de donzelles callipyges.



La vie du Caravage depuis son arrivée à Rome est habilement résumée en deux tomes, respectivement intitulés « La palette et l’épée » et « La grâce ». La biographie du génie terrible est bien respectée malgré les ellipses. On y retrouve toutes les grandes étapes de son ascension et de sa chute dans la Rome cruelle et lumineuse de la Renaissance, jusqu’à son exil dans la longue attente du pardon papal. Beaucoup des personnages clefs de la vie du Caravage sont croqués avec justesse : amis artistes et généreux mécènes, dangereux ennemis et commanditaires respectés. Même si la narration s’accommode d’une trame romancée, la justesse des faits demeure, et surtout l’emphase est portée sur l’inspiration de Michelangelo Merisi et sur les grands tableaux qui en naissent, reconnaissables au premier coup d’œil. Le trait délicat de Manara saisit à merveille l’expression des visages et la tenue des corps, l’architecture des monuments, des ruelles et des osterias, jusqu’aux geôles de Tor di Nona qui s’inspirent des Prisons imaginaires du Piranèse. La mise en couleurs par Milo et sa fille Simona est sobre et élégante, dominantes sépia et sableuses, mais réhaussée par endroits d’éclats chatoyants comme avec la robe rouge portée par la célèbre noyée du Tibre.



Ce diptyque brosse un portrait convaincant et profondément humain du Caravage, de sa recherche éperdue de vérité dans ses représentations crues et sans concession du monde et de la religion.
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Le Caravage, Tome 1 : La palette et l'épée

Passionné par la vie et l’œuvre du Caravage, j’ai lu beaucoup de livres sur le sujet et ai même consacré une part non négligeable de mon dernier roman au Maître du tenebroso et à l’un de ses modèles. Je ne pouvais donc pas passer à côté de cette bande-dessinée signée Milo Manara. Le thème peut surprendre quand on connaît le domaine de prédilection artistique de l’auteur, mais pour celles et ceux qui apprécient Manara dans ses obsessions sensuelles, sachez que cette adaptation de la vie du Caravage contient son lot de donzelles callipyges.



La vie du Caravage depuis son arrivée à Rome est habilement résumée en deux tomes, respectivement intitulés « La palette et l’épée » et « La grâce ». La biographie du génie terrible est bien respectée malgré les ellipses. On y retrouve toutes les grandes étapes de son ascension et de sa chute dans la Rome cruelle et lumineuse de la Renaissance, jusqu’à son exil dans la longue attente du pardon papal. Beaucoup des personnages clefs de la vie du Caravage sont croqués avec justesse : amis artistes et généreux mécènes, dangereux ennemis et commanditaires respectés. Même si la narration s’accommode d’une trame romancée, la justesse des faits demeure, et surtout l’emphase est portée sur l’inspiration de Michelangelo Merisi et sur les grands tableaux qui en naissent, reconnaissables au premier coup d’œil. Le trait délicat de Manara saisit à merveille l’expression des visages et la tenue des corps, l’architecture des monuments, des ruelles et des osterias, jusqu’aux geôles de Tor di Nona qui s’inspirent des Prisons imaginaires du Piranèse. La mise en couleurs par Milo et sa fille Simona est sobre et élégante, dominantes sépia et sableuses, mais réhaussée par endroits d’éclats chatoyants comme avec la robe rouge portée par la célèbre noyée du Tibre.



Ce diptyque brosse un portrait convaincant et profondément humain du Caravage, de sa recherche éperdue de vérité dans ses représentations crues et sans concession du monde et de la religion.
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Borgia, Tome 2 : Le Pouvoir et l'Inceste

Je ne dis pas que l'Eglise catholique et la papauté n'ont rien à se reprocher.

Je ne dis pas qu'il n'y a pas eu d'énormes excès.

Je ne dis pas que les Borgias étaient des saints (loin, très très loin de là).

Je dis juste que la vision qu'en donne Jodorowki n'est pas historique et est très étriquée ; que la dynamique et la psychologie des personnages, uniquement mus pas des pulsions sexuelles, sont peu réalistes et me semblent surtout être le reflet des propres obsessions de l'auteur qui a, visiblement, quelques comptes à régler avec l'Eglise de Rome.

Ce déluge de stupre et de sang m'a donc laissée de marbre dans sa narration, d'autant que le scénario est mince et s'étend surtout sur ces scènes de sexe et de violence.

Le dessin de Manara, provoquant et sensuel, est impeccable et sert bien le propos...il faut le reconnaitre.
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Le Caravage, tome 2 : La Grâce

Le Caravage est un peintre reconnu et recherché, mais recherché à la fois pour son talent et par les gardes après le meurtre d’un aristocrate romain. Il fuit de ville en ville, puis d’île en île. Le salut peut venir de son admission à l’ordre de Malte, mais là encore il se fait un ennemi qui causera sa perte.

Le Caravage nous touche par son empathie avec les personnes opprimées, il nous montre sa belle âme. Les tableaux prennent vie, ils nous sont montrés avec leurs modèles, pris parmi le peuple. On le voit travailler sous la menace perpétuelle, mais génial, très rapide, sans préparations ni esquisses. Un sentiment d’urgence domine. Il est fauché avant 40 ans. C’est ce qui rend cette seconde partie de la vie du maître plus dramatique que la première, plus intense, moins grivoise.
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Le Caravage, Tome 1 : La palette et l'épée

Le Caravage est un personnage historique idéal pour Manara : bel homme, fougueux, bretteur, idéaliste, artiste talentueux, entouré de beaux modèles qui se dénudent. Une bande dessinée assez classique et simple dans son récit, avec un héros charismatique, des bons, des belles et des méchants, des batailles et des scènes grivoises. Mention spéciale à l’architecture, dans une Rome mi réelle mi fantasmée, entre gravures piranésiennes du 18e siècle et ruines romantiques du 19e siècle.

On s’instruit tout en se divertissant.
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Borgia, Tome 1 : Du Sang pour le Pape

Manara a quand même un talent dingue. Quelle puissance dans ses personnages, quelle magnificence dans les rendus des corps et des gestes.

Je suis toujours très impressionnée par son talent même si je suis souvent déçue qu'il ne puisse pas représenter une femme autrement que l'oeil alangui, la bouche ouverte et la fesse à l'air.

Je suis généralement moins convaincue par ses choix scénaristiques quoique c'est peut-être l'inverse qui se produit, Manara serait capable de rendre érotique la vie de n'importe quel ascète...

Certes, le talent de Manara se marie bien avec le règne sulfureux de Alexandre VI mais ce qu'en fait Jodorowski est quasi burlesque, la plupart des évènements relatés dans cette BD tenant de la plus parfaire fantaisie. Les noms des personnages mis à part, cette BD n'a pas grand chose d'historique..

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Le Caravage, tome 2 : La Grâce

Deuxième tome de l'histoire du Caravage. Comme une super production cinématographique, style les grandes reconstitutions à la Cecil B DeMille. Du grand spectacle, de l'action, du sexe, de la violence, des paysages époustouflants, des tableaux somptueux. On frémit, on crie mais on apprend aussi. Un voyage dans le temps et l'espace italien bien réussi.
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Borgia, Tome 4 : Tout est vanité

L'album de la d'échéance des Borgia. Après des années d'un pouvoir arraché par les armes et le sang, la mort s'installe sur cette famille qui restera comme la plus célèbre smala mafieuse de l'histoire.

L'album s'est un peu égaré avec De Vinci.

L'ensemble de cette saga reste l'œuvre de l'un des plus grands dessinateurs de l'érotisme italien associé à un non moins illustré scénariste.
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Borgia, Tome 3 : Les Flammes du Bûcher

La mafia sicilienne des deux derniers siècles n'a décidément rien inventé. Eux, au moins, n'appartenant aux sphères de la religion.

Pour Alexandre VI, le pape, rien ne peut s'obtenir autrement que par la force, par le sang, le sexe ou la trahison.

Rien ne peut simple pour annuler une promesse de mariage que de crever les yeux du prétendant ce qui rend impossible l'union promise.

C'est sexuel ? C'est gore, oui ? Cela s'est passé ainsi dans l'Histoire avec un grand H : à n'en point douter.

Dans le même genre l'inquisition n'était pas mal non plus.
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Milo Manara est un auteur de bande dessinée :

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