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Citations de Mily Black (107)


Mily Black
Pourquoi fallait-il qu’il soit si… lui ?
Mince alors, on passait pourtant une bonne soirée ! On parlait de notre mission dans cet établissement d’une grande chaîne à Séville quand, brusquement, il avait décidé de jouer à « rendons folle Louise ». Évidemment, il gagnait toujours.
Notre missions était tout ce qu’il y avait de plus sérieux : nous devions nous faire passer pour deux clients célibataires lambda pendant quelques jours. Ce qui consistait, entre autres, à participer aux activités proposées par l’hôtel et à les évaluer pour faire remonter les problèmes constatés au service qualité chargé des audits.
En général, la veille du départ, nous nous retrouvions dans une chambre pour dîner et discuter librement de nos impressions. Mais ce soir, il m’avait convaincue d’aller profiter une dernière fois de l’excellent menu du restaurant de l’hôtel. Au dessert, j’avais évoqué l’attitude autoritaire d’une gouvernante désagréable - à qui j’avais osé réclamer un rouleau de papier-toilette d’avance !

- C’est vrai que je l’imagine bien avec une tenue en cuir et un fouet, avait-il renchéri.

Incroyable. Il avait beau être le meilleur du service, il dépassait les bornes ! Et avec moi. "
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Pourquoi n'avais-je pas le courage de me recoucher près de lui et d'attendre ?
Parce que je craignais d'être rejetée. Je devais donc partir avant que ce la ne se produise.
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Moi qui avais tout fait pour qu'on ne puisse Jamais me blesser, j'allais être seule responsable de ma douleur
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Ce qu’il faut savoir sur mon meilleur ami, Yanis, c’est qu’il est l’homme le plus fidèle au monde, que ce soit en amitié ou en amour. Et j’ai la grande chance de faire partie de sa vie et de compter pour lui. Il est donc une partie de mon existence, de mon cœur… Et, il faut bien le dire, mon complice de crimes depuis l’école primaire.
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Je profitai donc des quelques minutes qui précédaient sa venue pour faire un bilan de ma vie. Inutile de dire que ma lecture avait été vite finie et mise de côté.
Il n’était pas prévu qu’il vienne, mais il trouverait sûrement l’argument pour s’imposer chez moi : « Tu es dans un bon jour ? J’arrive, qu’on en profite ! », « Tu as le moral dans les chaussettes ? J’apporte la glace ! ». À le voir débarquer pour un rien, ma mère avait cru pendant un moment qu’il se passait des choses pas très catholiques dans ma chambre, une fois la porte fermée.
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"... Le dernier baiser avait été un peu plus profond, plus intime, et pourtant, je me sentais aussi excitée qu'un escargot qui doit traversé le Sahara ..."
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– Voilà, commença-t-il en s’asseyant sur la table basse face à son fils. Avec Léna, nous sommes très amis. Très amis ? C’est ainsi qu’il présentait la chose ? Je haussai un sourcil moqueur et décidai d’aller m’asseoir à côté de lui.
– Et par « très amis », j’entends : bisous, câlins… OK, là, ça devenait vraiment gênant ! J’inspirai un grand coup et observai Basil, dont le visage se fronçait à mesure que l’information lui parvenait.
– Des bisous comment ? finit-il par demander.
– Sur la bouche.
– Beurk ! Rappel pour plus tard : les bisous, c’est « beurk ».
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– Trois fois ! hurla Henri. Il me manque trois préservatifs ! Mes joues menacèrent soudain de prendre feu. – Je comprends pourquoi tu voulais les remplacer, lança Marc en me poussant vers la porte, et donc vers le salon où les trois autres se trouvaient.
– Seulement trois fois, grand frère ? Tu me déçois, nous taquina Lucas.
– Tu en as combien dans ton portefeuille, toi ? demanda Marc innocemment. – Et puis, y a pas forcément besoin d’un préservatif, glissa Alexie avec un sourire qui démontrait bien qu’il y avait du vécu là-dessous.
– Trop d’informations ! criai-je en même temps que mon petit ami.
– Une chose est sûre, vous vous êtes bien trouvés ! dit Henri avant de se jeter au cou de son frère aîné. Après cette accolade, elle se tourna vers moi, désireuse de faire de même, mais se rappelant que je vivais très mal les contacts physiques.
– Un jour, promis, lui soufflai-je
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– J’ai besoin de m’asseoir, plaisanta ce dernier en allant au salon.
– À ta place, j’éviterais le canapé ! lançai-je.
– Léna ! me gronda gentiment Alexie.
– C’est un juste retour des choses ! plaidai-je en voyant Marc revenir, un sourire aux lèvres.
– C’est bon, elles ont compris qu’on ne voulait pas que Basil soit mis tout de suite au courant, dit-il en me prenant de nouveau dans ses bras. Tu es invitée à déjeuner dimanche prochain avec le reste de la famille. Il ponctua sa phrase par un baiser chaste qui fut suivi d’un grognement de la part de mon amie. Nous nous retournâmes vers elle.
– Mon patron, ma meilleure amie et un canapé, expliqua-t-elle avant de nous quitter, certainement pour rejoindre son petit ami.
– Tu lui as dit…, commença Marc en écarquillant les yeux.
– Je me suis vengée de ces deux-là, soufflai-je en montrant d’un mouvement de tête la porte de la cuisine. La première fois que j’ai rencontré ton frère, il s’est amusé à me rappeler que le canapé qui me servait de lit d’appoint chez Alexie avait été… utilisé, finis-je.
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Que pourrais-je faire d'autre ? Devenir vieille fille ? Retourner vivre avec Megan ? Ma famille ne le tolérerait jamais et me ferait enfermer sur-le-champ à Bedlam. C'est ainsi que les nobles se débarrassent des femmes gênantes, et mon père n'hésiterait pas à avoir recours à de telles extrémités pour s'assure mon obéissance.
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Dans le fond, qu'est-ce qui importe le plus : la simplicité d'un vrai bonheur ou le grandiose d'une union tronquée ?
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D'après mon humble expérience en la matière, la communication est le ciment d'un couple. Si celui-ci est solide, la réussite a davantage de chance d'être au rendez-vous. Dans le cas contraire, l'effet parfois corrosif du temps grandit les fissures et se charge de réduire les rêves de château en tas de gravats.
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Mily Black
- Et si je te disais que ce que tu as entre les jambes est « mignon », ton ego apprécierait ?
- Ne parle pas de ce que tu n’as pas vu, femme ! s’exclama-t-il. S’il y a bien un qualificatif qui ne convient pas à mon sexe, c’est mignon !
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De plus en plus nerveuse, je composai le numéro sur le digicode et me figeai. Devant l’ascenseur, deux hommes discutaient avec animation. De dos, je ne pouvais voir leurs visages, mais ils dégageaient une aura magnétique.

— J’ai froid, man !

— On est au mois de janvier, quelle idée de te déguiser en naufragé.

Le plus discrètement possible, je me postai derrière eux, sachant pertinemment que nous allions au même endroit, à moins qu’un voisin de Lilie ait aussi organisé une soirée déguisée ce soir-là.

— En pirate ! Putain, Raph', tu sais pas faire la différence entre un pirate et un naufragé ou quoi ?
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— Tu crois qu’il te laissera la conduire ? demande Pap’s, les yeux brillants.
— Même pas dans mes rêves ! Mais, promis, je vais m’asseoir derrière le volant et mon petit cul va profiter à fond de ce bijou !
— Joséphine, je te prie de surveiller ton langage ! s’énerve Amalia.
— Mam’s… Avant que je n’aie le temps de me défendre, elle rétorque :
— Oui, je sais ! Tu passes toute ta journée entourée d’hommes, tu ne peux pas avoir un vocabulaire décent.
— J’aurais dit snob. Enfin, soutenu, si tu préfères.
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-Je suppose qu’il est hors de question que tu avoues un semblant d’affection pour ta maman chérie?
-Tu supposes bien… Mais, à la maison, ce point sera négociable.
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Sans échanger le moindre mot, je m’assois à sa droite. Axel fait de même à sa gauche.
-Si on te le demande, dis-je sur le ton de la confiance, je suis là pour vérifier que ton père a toujours de belles fesses.
-Maman! grogne Axel. L’écoute pas! ajoute-t-il. Elle n’aime pas l’idée de te laisser seul ici. Franchement, dans un conte de fées, elle serait le plus redoutable des dragons.
-Et pourquoi pas la princesse? répliqué-je.
-Parce que aucun prince n’aurait assez de courage pour te supporter. Et qu’aucun dragon et sort ne réussirait à te maintenir prisonnière.
-Ça me va.
Heureuse qu’il ne me voie pas comme une pauvre fille…
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-Ce qu’il y a de formidable, avec toi, c’est que tu réussis toujours l’exploit de me surprendre.
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La morale de notre histoire, c’est que j’ai beau lui avoir dit que je n’étais pas préparé à la rencontrer, lorsqu’elle m’a invité à lui reluquer les fesses pour qu’on soit quittes, je suis à présent convaincu que les forces cosmiques ne se sont pas trompées en me conduisant dans cette file d’attente, pour ce stage de foot.
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On s’associe pour contrer les forces cosmiques et les cons du village ?
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