Nadine Monfils

Je pense que c'est une lecture à double tranchant, soit on aime, soit on déteste.



L'histoire se déroule à Pandore, un endroit où il se passe de drôle de chose et où l'on peut y croiser une jeune fille qui a des visions affreuses après avoir craquée une allumette, un inspecteur aux curieuses manies, son collègue flic le jour, travelo la nuit et une vieille dame qui n'a peur de rien. Vous pouvez y ajouter une enquête policière et beaucoup d'humour et vous avez la recette de cette histoire.



Big up à Mémé Cornemuse, mon personnage préféré de cette histoire loufoque.



J'ai passé un super moment à Pandore. J'ai ri du début à la fin. Je recommande si vous aimez les histoires décalées, déjantées, farfelues.

Un ovni surréaliste en guise de cosy mystery. Ce n'est pas banal. L'auteur est fan absolue de Magritte et du coup il y a abondance (voire oversose dans mon cas) de références au peintre à des écrivains etc.... ce qui m'a tout de même génée, en revanche l'histoire est bien ficelée. N'étant pas connaisseuse de surréalisme ni de la culture belge j'ai eu du mal...

Cher•e ami•e,



Je viens de finir un drôle de livre, il s'agit de Les folles enquête de

Magritte et Georgette, le tome 4 qui s'appelle Liège en eaux

troubles. C'est le premier livre de Nadine Monfils que je lis (une mini

honte pour une lectrice belge). Ce livres est pour mon examen de

littérature belge, sans ça je ne l'aurais sans doute jamais lu

J'ai été agréablement surprise, c'était une lecture fluide et remplie

de référence culturel. Je viens de Namur mais j'ai étudié à Liège en

plus d'avoir de la famille là-bas. C'était comme m'y promener mais

avec des meurtres, René et Georgette Magritte (et leur chienne

Loulou) en plus.

Je sais que le hique de beaucoup de lecteurs sur ce genre de texte

est le wallons et belgicismes très présent, ce qui ne m'a pas

dépaysé (je te conseille un dictionnaire de belgicismes pour

découvrir notre littérature si tu as du mal, qui porte le nom de

"dictionnaire des belgicismes" des éditions " De Boeck Supérieur")

Ce petit roman de cozy crime m'a plu, ce nest pas un coup de cœur

mais une bonne lecture quand même. Je te le conseille si tu

souhaites découvrir un patrimoine avec humour et vécu par des

personnages emblématique.

Je pense t'avoir raconter ce qu'il faut, si tu l'as lu dis le moi comme

ça on pourra en parler!!

Avec toute mon amitié, Manon,

Une agréable surprise !



Je ne m'attendais pas à grand chose en ouvrant le livre, j'avais à peine lu le résumé, et j'ai pourtant directement été embarqué.



Mémé Cornemuse, concierge d'un immeuble entre deux braquages, est un personnage assez vulgaire, une femme qui pense encore qu'elle a vingt ans, encore séduisante et distinguée alors qu'il n'en est rien. Elle m'a beaucoup faite rire !



On suit également Ginette, qui habite l'immeuble en question, qu'on peut qualifier de "pauvre fille", mariée à un homme menteur et bon à rien. Elle aurait pu m'agacer mais j'ai trouvé son personnage attachant.



Tous les voisins sont très atypiques. Je ne sais pas si j'étais dans une bonne humeur pour apprécier ce livre (parce que je sais que j'aurais pu l'abandonner très vite si je n'avais pas mis mon cerveau de côté) mais je le conseille tout de même si vous voulez une lecture de plage.

Si l'intrigue est bien tordue, j'ai trouvé le commissaire un peu trop absent a mon gout.



Mais en dehors de ça, j'ai passé un bon moment. L'écriture de Nadine Monfils est truculente, très fleurie et accessoirement drôle.



Lire un Monfils c'est avoir un livre détente entre les mains, avec quelques piques bien disséminées.



Pas le meilleur de l'auteure, mais un roman qui vaut le détour.



Après j'avoue que j'ai pinailler pour me trouver un bouquin intéressant à lire... C'est en général compliqué de passer après un coup de coeur.

J'ai reçu ce livre en cadeau d'anniversaire. Celui-ci est le tome 6 donc je n'ai pas lu les autres. Je n'ai pas du tout accroché dans l'histoire. J'ai rigolé à certains moments mais ce cosy mystery ne restera clairement pas gravé dans ma mémoire.

Alfonse Destrooper est le roi de la boulette de viande. Après une année de dur labeur, il s'octroie un séjour au bord de la mer du Nord. Les premiers kilomètres auront été suffisants pour perdre la grand-mère et croiser la route d'un serial killer tout droit évadé de prison. L'autrice est bien trop généreuse pour s'arrêter là et elle les fait atterrir dans un palace qui a tout du taudis tenu par le père Fouettard. Pas de demi-mesure ici. Le Patron est Roi. Les Destrooper sont loin d'avoir tout vu et c'est sans compter les retrouvailles avec les pires canailles avec lesquelles ils se sont pris le bec sur la route. La plage sera-t-elle assez vaste pour enterrer les "souvenirs de vacances" qu'ils ne souhaitent pas rapporter avec eux ?



Vous l'aurez compris, l'humour est roi en ces pages. Ce royaume littéraire est celui de la Belgique, de la blague potache et du lâcher-prise. Le thriller n'y est qu'à portion congrue mais les rebondissements y sont légions, le rire et la bonne humeur prenant tout le reste de la place. Cet étrange univers avance à vive allure au rythme endiablé de courts chapitres appelant systématiquement le suivant. Ces personnages sont loufoques et j'espère ne jamais croiser leur route car la mauvaise passe (dans de nombreux sens du terme) n'est jamais très loin. Alors oui, il faut sauter dans le vide en ouvrant ce roman de @monfilsnadine mais rassurez-vous car elle vous accueille bras grand ouverts. Je vous en souhaite donc une bonne lecture un tantinet jubilatoire si vous appréciez le second degré.

J'adore l'humour de Nadine Monfils et j'ai lu plusieurs de ses romans, mais le premier tome "Nom d'une pipe !" de la série "Les folles enquêtes de Magritte et Georgette : une série d’enquêtes menées par le peintre René Magritte et sa femme, Georgette, ne m'a pas convaincue complètement. D'où que 3 étoiles.



Dans ce cosy mystery, Nadine Monfils met en scène le peintre belge René Magritte et sa femme Georgette. A coté de son travail de peinture, Magritte est également détective, assisté par sa femme Georgette. Le couple est très efficace dans leurs enquêtes et avec Jefke, le commissaire de police, ils forment un trio clairvoyant.



Deux femmes, recoivent une lettre d'un amoureux anonyme. D'abord Madeleine, elle se rend sur le lieu du rendez-vous donné par son prétendant, le lendemain elle est retrouvé morte avec une lettre d'amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe.

Ensuite il y a Rosa, elle aussi se rend au lieu de son rendez-vous, le lendemain elle est retrouvé morte aussi.



J'ai apprécié les références aux tableaux de René Magritte et les chansons de Jacques Brel. J'ai apprécié aussi l'humour déjanté de Nadine Monfils, qui cette fois-ci ne m'a pas fait rire qu'autrefois.

J'ai aussi aimé l'ambiance bruxellois qu'elle fait resortir dans ce roman, mais dans l'ensemble cela partait un peu dans tous les sens à mon avis.



Je ne sais pas si je vais continuer à suivre les aventures de Magritte et Georgette.



Challenge Multi-défis

Challenge ABC

Challenge Plumes Femines

Une femme meurt à deux reprises : la première fois dans un incendie lorsqu’elle était adolescente et la seconde, renversée par une voiture, de nombreuses années plus tard. Le mari, pâtissier de métier, trouve alors une vieille caisse de photos au grenier et c’est là qu’il découvre que sa défunte épouse, dont il ne sait rien en fin de compte, a déjà trouvé la mort quand elle était enfant. Ou il y a du surnaturel là-dedans ou il y a eu usurpation d’identité. Mais pourquoi ? Le pâtissier fait appel à Magritte et Georgette (et leur petit Loulou) pour obtenir réponse à ses nombreuses questions qui l’empêche de dormir et lui ôte le coeur à l’ouvrage.

Et nous accompagnons les détectives amateurs à Charleroi.

Toujours cet hommage aux « petites gens » de la région (qui ont réellement existé), dont l’originalité ou le métier ont fait qu’ils étaient connus de tous et dont la présence donnait un cacher particulier à la ville minière.



J’ai moins apprécié tous ces petits chapitres allant d’un personnage à l’autre, vous savez comme certaines séries TV des années 90. Les autres tomes étaient plus linéaires et ressemblaient plus à un roman policier. Cette construction a fait aussi que je suis passée à côté des références faites aux œuvres du peintre.

Mais, avec l’humour de Nadine Monfils, j’ai quand même, une fois de plus, bien rigolé.

Placer le peintre René Magritte au centre d’une série littéraire policière est plutôt osé. Grande amatrice de l’œuvre de l’artiste, on sent que l’auteure s’est informée et livre des pensées et anecdotes au sujet du peintre. Je ne sais pas dans quelle mesure le personnage de René Magritte reflète ce qu’il était mais je découvre un homme particulièrement joueur, farceur et taquin, ce qui le rend sympathique. Sous ses airs bourgeois, René bouillonnait d’un esprit créateur. La complicité qui l’unit à son épouse, et qui se matérialise par l’utilisation de petits sobriquets, est aussi attendrissante.



Finalement, je n’ai pas été ultra emballée par cette lecture. L’enquête policière manque de vraisemblance pour qu’on y croie vraiment et que l’on se sente impliqué et l’écriture alambiquée m’a éloignée de l’essentiel. Je ne suis donc pas impatiente de lire les autres tomes de cette série…



Chronique complète sur le blog
Lien : https://carnetdelecture.be/2..

Coucou les Lieblings 🖤



👓 47/2023

📖 La vieille qui voulait tuer le bon dieu.

🖋 Nadine Monfils.



👄 Mémé Cornemuse est unique, j'avais déjà fait sa connaissance dans un autre livre de l'auteure.

Intenable, pragmatique, sans scrupules, elle idolâtre J.C (Jean-Claude) et n'a rien d'une sainte.

J'ai beaucoup ri des frasques de la vieille dame indigne qui craint que son projet criminel tombe à l'eau.

Des situations cocasses, des personnages étranges, c’est une lecture facile et divertissante. Il n'y a qu'à suivre le guide, en l'occurrence, la concierge.



⭐️⭐️⭐️🌙/5

Du cosy mystery à la sauce belge.

C’est donc un rien surréaliste et complètement décalé.

J’ai retrouvé avec bonheur la plume de Nadine Monfils, une autrice que j’apprécie particulièrement avec son personnage de mémé Cornemuse.

Ici, on rencontre Magritte et sa femme Georgette qui mène l’enquête après plusieurs assassinats qui ont lieu autour d’eux.

J’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire mais dès qu’on a fait des liens avec les oeuvres du peintre j’ai adoré.

Voilà donc une série que je vais suivre avec attention.

Tendresse évidemment pour toutes ces belgitudes! J'ai adoré les mots de patois, nos plats et nos habitudes parsemées ici et là, nos grandes figures invitées (Jacques, Georges...).

Pour l'histoire, c'était un peu moins satisfaisant. J'ai aimé l'écriture, c'est plus au niveau de l'intrigue que j'ai un sentiment de pas assez. Je serai curieuse de lire un autre tome, pour voir comment cela évolue!



(Et non, je n'ai pas fait de faute à "nos plats et nos habitudes parsemées", j'ai appliqué la règle d'accord de proximité du participe passé, en vigueur avant que l'académie française (exclusivement masculine à l'époque) ne passe par là et décide que le masculin l'emportait)

Un livre, une enquête assez spéciale mais qui au final est très prenante.

L'univers de Magritte se partage entre la peinture et les enquêtes avec l'aide de sa femme.



J'ai beaucoup aimé l'enquête même l'évolution est parfois retardée par de longues descriptions de tableaux, de peinture. Ça donne de la consistance au livre on va dire.



Au final, dénouement assez surprenant que l'on voit se décanter que sur la fin du livre.



On a tous les éléments de l'enquête en même temps que Magritte donc on avance en même temps que lui.



Je recommande

J'aime beaucoup ce tome, parce qu'on retrouve le Magritte déjanté, mais aussi pour l'ambiance festive de Liège. Toutes les références aux spécialités et aux bars donnent envie. En plus, l'enquête se situe sur les pas de Simenon, et cela fait double référence, entre les oeuvres de Magritte et les romans de Simenon. Une lecture agréable.

J'aime bien le style d'auteur. L'humour est du genre moqueur et piquant et parfois le vocabulaire est assez cru mais je ne m'en lasse pas. Les aventures de Mémé Cornemuse me font rire. Un livre qui se lit facilement, l'auteur nous emmène dans son univers. J'ai passé un bon moment lecture avec le sourire aux lèvres. Un bon moment sans prises de tête.

J'avais lu de bons échos de cette autrice de fictions, de polars, et belge... Elle avait tout pour me plaire,



mais finalement c'est cela qui me dérange le plus en fait, qu'on la catégorise à ce point comme autrice belge.



Je l'ai trouvée bien trop déjantée et vulgaire, surréaliste ... hum, pour moi le surréalisme est bien plus subtil que simplement une accumulation de situations improbables telles que celles proposées dans cet ouvrage.



Depuis lors elle a écrit quelques récits dans lesquels elle convoque Magritte. On dirait qu'elle a décidément un filon à exploiter. J'ai eu l'occasion d'en entendre un extrait proposé dans le cadre d'un atelier d'écriture, il me semble que ces textes là sont moins vulgaires mais un extrait de quelques pages n'est peut être pas représentatif de l'ensemble du livre.

En tout cas, je n'ai pas été tentée de renouveler l'expérience et de la lire à nouveau. Peut-être à tort?

Ce livre est déroutant dans beaucoup d'aspects.



Ce n'est pas un policiers mais vous avez de nombreux morts et plusieurs meurtriers et parfois malgré eux.



Les personnages sont loufoques surtout mémé Cornemuse.

Les situations sont parfois tirer par les cheveux mais on ce laisse porter dans cette histoire ubuesque avec plaisir.

Les dialogues sont souvent situés au dessous de la ceinture il faut le savoir.

J'ai passé un bon moment avec ce livre qui m'a souvent fait rire et qui ce lis en un rien de temps.



Je vais suivre cette autrice qui a écrit beaucoup d'autres livres dans des genres très différents dont des policiers et Cosy Mystery.

Nadine Monfils , chez Robert Laffont , nous guide avec talent dans une aventure littéraire où l'humour belge règne en maître. Ce récit nous plonge au coeur d'une enquête à l'abbaye de Leffe, offrant ainsi une magnifique toile de fond pour explorer la personnalité singulière de Magritte.

🍺

L'intrigue s'ouvre sur la disparition de Justine Rouet, amie de Georgette, partie enquêter à l'abbaye de Leffe sur des incunables et des grimoires. Magritte et Georgette se retrouvent rapidement mêlés à une série de meurtres, créant un suspense habilement entrelacé avec l'humour omniprésent. L'auteure utilise cette enquête pour révéler les facettes étranges et drôles de Magritte, un personnage cynique, politiquement incorrect, mais éminemment attachant.

🍺

Le rythme du récit est indéniablement soutenu, avec des dialogues exquis et des situations délicieusement délirantes. La patte distinctive de l'auteure se fait clairement sentir. Les personnages, du clergé à la femme de ménage, sont décalés et savoureux. Nadine Monfils les a façonnés avec soin pour créer un résultat loufoque, équilibrant parfaitement suspense et divertissement.

🍺

Le point fort de l'auteur réside dans la dimension carte postale du récit. le décor pittoresque de l'abbaye de Leffe et de la ville de Dinant ajoute une dimension visuelle et charmante à l'histoire. L'auteure réussit à créer une atmosphère palpitante tout en dévoilant des aspects inexplorés de la vie de Magritte, transformant cette lecture en bien plus qu'un simple polar.

🍺

Bien que le dénouement puisse sembler un peu rapide à certains, le roman parvient à captiver le lecteur du début à la fin. Cette collection, que je n'ai pas encore eu l'occasion de vous présenter, dévoile un talent unique. En somme, cette intrigue palpitante, teintée d'humour, offre une plongée réussie, empreinte de belgitude dont l'auteure a le secret, dans l'univers captivant de Magritte et Georgette. Un régal pour les amateurs d'humour, d'enquêtes délirantes et de cosy mystery.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Voici le tome 4 des Folles enquêtes de Magritte et Georgette. Cette fois-ci, leur aventure se passe à Liège. Venu pour des vacances, comme d'habitude ils se retrouvent à résoudre une enquête, cette fois-ci dans l'univers du cirque tout en visitant la ville de Liège, pour aider la police. Dans ce roman, tout en suivant ce couple amoureux inséparable et de leur chienne Loulou, on en apprend encore un peu plus sur la vie de Magritte et ses peintures ainsi que sur la vie de Simenon.

Ce tome n'est pas mon préféré, j'ai trouvé que l'enquête était plus lente que dans les trois premiers tomes et la lecture de celui-ci m'a paru plus longue que les trois autres que j'ai dévorés à chaque fois rapidement.

Mais c'est quand même une sorte de cosy mystery agréable et instructif sur la vie de ce peintre surréaliste belge. Comme une autre façon de découvrir la vie de Magritte.