Nathacha Appanah

Quand le quotidien, les désenchantements, les désillusions rattrapent un couple, quand mensonges et banalités s'immiscent dans la relation de ce couple, quand le désir s'amenuise, quand les rêves se heurtent à une réalité moins douce, comment ne pas renoncer à qui l'on est, comment ne pas perdre pied quand il ne reste plus d'espoir ? Adèle incarnera cet espoir, la renaissance du couple au travers d'un projet secret, lourd de conséquences.

Dès le début du livre, nous savons qu'un drame a eu lieu. Mais que s'est-il passé il y a quatre ans, cinq mois, et treize jours ? Natacha Appanah nous embarque dans une intrigue fascinante. Par petites touches, elle distille des instants de vies, des dialogues, des réflexions, des souvenirs et sans nous en rendre compte nous devenons témoins de l'existence des personnages, nous apprenons à les connaître, partageons leurs émotions, leurs désillusions, leurs renoncements...

Je me suis laissée happée par ce récit très dense, qui donne dans le thriller psychologique; de très belles séquences de vie, des personnages attachants confrontant leurs rêves à la dure réalité des choses. Ce livre aborde aussi le thème de l'exil, de l'intégration et de l'identité. «Il y a autre chose que l’amitié entre ces deux femmes, il y a un pays, des images qu’il ne faut pas légender, des gestes qu’il ne faut pas décortiquer, la petite mémoire des enfances, la petite mémoire des pays qu’on quitte.»

Une très belle écriture, captivante, saisissante, subtile, sensible...et extrêmement visuel, une plume affûtée qui ne me laisse pas indifférente.



Envie de poursuivre ma découverte de cette auteure avec Le Dernier Frère, écrit en 2007.
Lien : https://seriallectrice.blogs..

Que j’aime vos romans, Natacha Appanah. Un univers différent à chaque nouveau texte, je découvre vos anciens livres avec délice.



J’ai aimé ce couple qui se rencontre sur un canapé vert ; qui quitte Paris pour l’océan ; qui crée un cocon pour leur fille Laura.



J’ai aimé Anita et sa façon de pleurer son père ; ses robes et ses colliers colorés ; son envie d’écrire.



J’ai été intrigué par Adèle, son deuil, sa passion pour les enfants.



J’ai été moins sensible à l’aspect création artistique du roman. Même si la description du tableau d’Adam m’a paru magnifique.



Mais l’amour au sein de ce couple est tellement beau.



L’image que je retiendrai :



Celle de la couleur jaune omniprésente.
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Les premiers mots du roman sont la fin de l'histoire. Adam est en prison. Pourquoi ?



La première rencontre entre Anita et Adam s'est faite lors d'une soirée, sur un canapé. Cinq ans plus tard ils ont un enfant. Une petite Laura. Ils vivent dans le sud. Adam est architecte. Anita correspondante pour un journal local. Le couple semble s'étioler.

Leur vie semble s'appauvrir. Elle rêve d'écrire. Lui rêve que l'on reconnaisse ses talents de peintre. 

Puis Adèle arrive dans leur vie, s'impose par son physique, sa force, son histoire. Elle garde  Laura, s'en occupe. Elle réveille aussi la créativité artistique d'Adam et d'Anita. Adam se met à peindre et est sur le point d'exposer dans une galerie. Quant à Anita, elle réussit enfin à écrire un livre. Mais ce bonheur va-t-il perdurer ?



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Belle déception si je puis dire. Tout se tenait depuis le début. Des premières pages qui attisent ma curiosité. Comment et pourquoi cet homme était en prison ? Pourquoi sa fille était handicapée ? Qui est Adèle ? Pourquoi est-elle sous l'eau ? Puis le ton du roman et une écriture qui vont très bien à l'histoire et au suspense latent. Beaucoup de lenteur dans ce qu'exprime Natacha Appanah et l'histoire s'y prête. C'est comme si l'on regardait dans une marmite des personnages, une histoire et que l'ébullition était a minima. A quand les gros bouillons ? Eh bien jamais. Le drame arrive. Adam est en prison. Pourquoi ? Je cherche encore la réponse. Première grosse incompréhension. Si c'est pour ce qui est arrivé à Adèle, l'auteur n'est pas assez claire mais quoiqu'il en soit, à mon avis, ça ne se tient pas. Par ailleurs, la réaction d'Adèle quand elle découvre le manuscrit d'Anita me semble aussi inadaptée. 

Dommage pour la fin de ce roman qui à mon sens est loupée car peu crédible alors que le reste du roman me plaisait beaucoup.

J'ai découvert N. APPANAH à la radio.

Elle était sur France Inter.

Elle parlait de son dernier opus.



Sa voix était si paisible, si ordonnée, si calme que j'ai oublié la sortie d'autoroute.



J'étais subjuguée par cette femme.



J'ai passé ma journée de travail, et de retour le soir au calme j'ai commencé mes recherches.



Babelio est mon fidèle ami.



En lisant les synopsis et les critiques j'étais déjà infidèle à Nothomb. ...



Me voilà samedi dernier à la mediathéque .



J'ai aimé cette histoire . Elle sonne vrai

Authentique

Comment les relations humaines s'entremêlent à la haine et aux mépris



Le quotidien d'un couple ou les rêves ont pris la poussière.



L'auteur est d'une grande sensibilité.



Comment a un moment, malgré que les personnages principaux incarnent la gentillesse, la modestie, des valeurs, comment a un moment pour pouvoir brilier aux yeux de la société. ..

Comment l'humain peut écraser cet autre . Son prochain



Adèle en prend plein la face ..



Bafouée ...



L'auteur arrive à nous remettre en question a la fin du livre....... ..



Je continue ma lancée avec

Tropique de la violence. ....

« Mais des années plus tard, Adèle est toujours là. Parfois elle voudrait plonger la main en elle, fouiller comme les pêcheurs fouillent les entrailles des poissons, attraper et extirper cette petite lumière, cette toute petite lumière têtue et vivace qui la fait survivre, malgré elle. De quoi est-elle faite cette saloperie puisqu'elle n'a plus d'espoir, plus de joie, plus d'amis, plus de mari, plus d'enfant ? »



Adèle est une immigrée clandestine. Elle a fui l'île Maurice, comme dans un réflexe de sauvegarde inconscient, après la mort accidentelle de son mari et de son fils. Elle pensait pourtant pouvoir en finir plus facilement à l'étranger…



Adam est un architecte qui est aussi un ébéniste et un artiste-peintre doué. Il a épousé Anita, une journaliste, romancière en devenir, qui a elle aussi des attaches mauriciennes. Ils ont eu une fille, Laura. Adèle va croiser leur chemin dans une ville côtière du sud-ouest. Pendant un temps leur trio un peu étrange va fonctionner, apportant à chacun un peu de bonheur et de sécurité.



On comprend au début du roman qu'un drame est survenu qui a amené la mort (ou le suicide) d'Adèle (ce n'est pas son vrai prénom) et a laissé Laura gravement handicapée.



Nathacha Appanah est vraiment douée pour entretenir le mystère autour de ce qui s'est passé, sans pour autant décourager le lecteur. Son écriture, ciselée et superbe, y est pour beaucoup. La progression du récit est un peu déroutante, avec des allers et des retours fréquents dans le temps. Beaucoup d'annotations, de digressions apparentes y sont insérées, qui apportent un éclairage sans cesse renouvelé sur les personnages. Sans jamais trop de lourdeurs, elle traite de sujets comme les difficultés des couples mixtes, les préjugés envers les femmes, les deuils qui vous détruisent de l'intérieur…



Je suis admiratif du travail de cette auteure, découverte en ce qui me concerne avec «Tropique de la violence ».

Je pense que je lirai peu à peu ses autres romans.

Quelle belle prose, sensible et juste, évocatrice, que celle de Natacha Appanah, que je découvre avec En attendant demain. Dès le début, nous savons qu'un drame s'est produit, il y a quatre ans, cinq mois et treize jours. Je l'ai d'abord lu comme un thriller psychologique, dans la hâte de découvrir ce qui est arrivé à Anita et à Adam, à Laura, à Adèle, pour changer ainsi leurs vies irrémédiablement. Ne pouvant me défaire d'un sentiment persistant d'insatisfaction, et n'arrivant pas à passer à un autre roman, je l'ai repris du début. Je n'avais pas remarqué certains détails, à prime abord, qui font la beauté du texte. Le foisonnement des thèmes qui y sont abordés: les sentiments et les aspirations de la jeunesse, les choix de vie, le deuil des idéaux, la perte, le traumatisme, les préjugés de classe, de race, la création artistique, l'inspiration... La couleur jaune, omniprésente, pour contrebalancer, peut-être, la noirceur. La symétrie, dans la construction romanesque, qui relie les êtres. Je ne l'ai pas regretté.



Look at the stars / Look how they shine for you / And everything you do / Yeah they were all yellow

Coldplay, Yellow

Nathacha APPANAH. En Attendant demain.



A Paris, lorsque Adam rencontre Anita, il est employé dans un cabinet d’architecture et elle, elle effectue un stage dans un journal féminin. Ils son jeunes, vingt-quatre ans et tombent amoureux. Ils vivent ensemble, se marient. Une petite fille naît de leur passion. Mais la vie parisienne est pesante et ils quittent la capitale et s’installent dans le sud ouest, vers Biarritz, pays natal d’Adam. Anita vient de loin, elle est née sur l’île Maurice. Son rêve, vivre de sa plume. Mais une déception, e, province, elle n’obtient qu’un poste de correspondant dans un journal local : tenir en quelque sorte la chronique dite des chiens écrasés. Mais elle s’investit beaucoup et elle rédige des comptes rendus dans divers domaines, le concours de pétanque, l’installation d’un commerce, la soirée réunionnaise de maloya, musique locale des îles. ; Et ce soir là, Anita va rencontrer Adèle, qui deviendra une amie du couple et participera à la vie familiale : elle sera leur employée de maison. Cette jeune femme est une sans papier, elle travaille « au black » du lundi matin au vendredi soir, elle est employée de maison dans la famille Lesparet. Elle s’occupe des trois enfants, fait la cuisine, le ménage, la lessive, le repassage : une employée modèle, parfaite. Et le week-end, dès le vendredi 21 heures, jusqu’au dimanche soir, elle est barmaid au Bar Tropical. De plus, elle porte un énorme secret . Qu’en est-il de son passé et pourquoi a-t-elle fui son île natale et est-elle venue se perdre en France et se terrer, vivre sans cesse aux aguets, craindre l’expulsion….



Anita est dans sa cuisine, elle attend. Sa fille est clouée dans un fauteuil roulant, elle attend. Qu’attendent donc ces deux personnes. Où est donc Adam. Il attend. Il est derrière les barreaux de la prison depuis quatre ans, cinq mois et treize jours. Tous les trois attendent… Quel événement tragique a condamnée cette famille à l’attente du lendemain, de jours meilleurs. Que s’est-il donc passé pour anéantir une famille entière ?



Dans ce roman d’une réalité brutale, Nathacha Appanah nous plonge dans le deuil, l’isolement, la solitude, le déracinement. C’est un véritable roman psychologique et un roman d’amour. Cet homme et cette femme s’aiment profondément. Ils adorent aussi leur fille. Mais des circonstances extérieures vont chambouler la vie de ces personnes et les conduire au bord du précipice. Je recommande la lecture de ce roman. J’attire aussi votre attention et vous incite à vous plonger dans ‘Tropique de la violence », « Le dernier frère », « Le ciel au-dessus du toit ».


Lien : https://lucette.dutour@orang..

C’est ma deuxième lecture de Nathacha Appanah, après Tropique de la violence, et ce livre, malheureusement, n’est pas au même niveau. Ce n’est pas à dire qu’il s’agit d’un mauvais livre ; loin de ça. Il y a beaucoup de bons éléments dans En attendant demain. L’auteure a construit des personnages très intéressants, à qui on s’attache facilement, y compris les personnages secondaires (les passages sur Cecilia Lesparet et Christian Voubert sont absolument magnifique !). La description des images et émotions est aussi admirablement maîtrisée. Néanmoins, je suis un peu déçu par la fin. Elle m’a semblé forcée et peu convaincante. Malgré ce bémol, ma lecture était très agréable, car le livre est plein de belles phrases et images, et il aborde des thèmes importants et intéressants qui mérite de réflexion. Il me semble que Nathacha Appanah est une auteure à suivre.

Des protagonistes artistes. La peinture. L’écriture. Il n’en fallait pas plus pour attiser ma curiosité. Comme beaucoup de personnes dont la vie gravite autour de l’art, Adam et Anita rencontrent des difficultés à s’insérer dans la société. A Paris, lors d’un réveillon du jour de l’an, ils se rendent compte, l’un et l’autre, qu’ils vivent un peu la même chose.



A deux, on est plus forts. A deux, on ose davantage.



Le couple, qui n’est pas animé par une vie dite » classique « , quitte alors la capitale pour le sud ouest, région d’origine d’Adam. La tête pleine de projets, d’un optimisme maintenant multiplié par deux, ils sont prêts à relever tous les défis imposés par leur passion.



Persuadés que leur ambition ne connaitra maintenant plus de limites, ils se lancent. Mais, les frontières ne sont pas toujours là où on les attend. Le couple va vivre des hauts et des bas. Contrairement à ce qu’ils croyaient, la vie ne sera pas qu’un tourbillon artistique. Des embûches personnelles, professionnelles, raciales vont se multiplier. Puis un jour, Adèle surgit dans leur vie.



Un thème qui m’a beaucoup séduite tout comme la façon de l’aborder de l’autrice. J’aurais toutefois apprécié un peu plus de profondeur. J’ai parfois l’impression d’avoir survolé le couple, de ne pas être totalement entrée dans leur vie. Cette histoire, qui m’a rappelée que je n’étais que spectatrice, reste cependant un agréable moment de lecture.
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Même si ce roman ne se passe pas en île Maurice, on y trouve des thèmes qui nous y transportent. Le thème du déracinement, des origines, d'un retour à la terre et à soi, de la souffrance intérieure aussi, y sont invoqués. Anita, une jeune femme immigrée qui a su s'intégrer, fonder une petite famille dans une ville de province, dépérit dans cette vie bourgeoise. Elle rencontre Adèle, une mauricienne plus âgée, qui porte de sombres blessures. Un étrange ménage à 3 se forme, plein de non dits et d'admiration. L'écriture est belle, fluide, et je l'ai lu quasiment d'une traite. La fin m'a laissé coite, je n'en dirais pas plus mais elle était nécessaire et tout y conduisait. J'ai trouvé ce roman poétique, l'autrice n'a pas hésité à aller jusqu'au bout de son idée, aussi douloureuse soit-elle. Un beau souvenir.

Quelle claque !

C'est un roman très court, admirablement écrit, qui parle de l'appartenance, de l'identité, des histoires qu'on se raconte sur soi-même et de l'impact qu'elles ont sur ce sentiment d'appartenence et qui nous croyons être, et du coup sur notre comportement.

Anita et Adam sont un couple apparemment parfait, mais des doutes les rongent : Anita, née à Maurice, est confrontée à un racisme ordinaire qui fait qu'elle ne se sent jamais vraiment acceptée dans le pays basque d'Adam. Tous les deux se sentent artistes sans forcément arriver à concrétiser cela, elle dans l'écriture, lui dans la peinture.

Jusqu'où vont les conduire ces ruminations internes ? On sait dès le début du livre que quelque chose d'horrible s'est passé, sans savoir quoi.



Ce livre, magnifiquement écrit (quoi que certains passagent soient un peu au-dessous du reste et cassent un peu le rythme, sans empêcher que cela soit une lecture exceptionnelle), est bouleversant.

En attendant demain/Nathacha Appanah

Adam est peintre et architecte. Anita sa femme écrit. Leur petite Laura est une enfant magnifique. Ils habitent une belle maison dans la région d'Hossegor.

Leur vie parfaitement heureuse va croiser celle d'Adèle. Une amitié fusionnelle va naître entre Anita et Adèle :

« Il y a autre chose que l'amitié entre ces deux femmes, il y a un pays, des images qu'il ne faut pas légender, des gestes qu'il ne faut pas décortiquer, la petite mémoire des enfances, la petite mémoire des pays qu'on quitte… »

Et ce destin va emprunter une route totalement folle pour briser la belle harmonie, comme dans une tragédie grecque.

Ce roman de Nathacha Appanh est bien écrit, avec beau style coloré et vivant pour une prose délicate et élégante.

« Ce blues créole réveille en elles quelque chose qui vient de loin, à l'époque où elles dansaient sans gêne, quand il n'y avait pas de mensonges, pas de drame, quand il n' y avait que les jours infinis et sans inquiétude de leur enfance… »

Un très beau roman qui évoque les problèmes du couple, de la vie en province lorsque l'on est mauricienne, et du difficile équilibre entre la vie professionnelle et la vie familiale avec l'alternance des moments de grand bonheur et ceux d'incompréhension entre les êtres.

La Mémoire délavée est un petit livre du silence et de la tendresse. Qui emporte tout doucement.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..

Un récit autobiographique familial qui nous plonge dans l'histoire des grands parents de l'auteur, descendants d'"engagés" partis de l'Inde vers l'île Maurice dans l'espoir d'une vie meilleure.

Un récit touchant et intime qui est le fruit d'un long travail de recherche et de mémoire dans les souvenirs de son enfance. Un format court, avec quelques photos qui nous permettent de s'imaginer la vie de ses grands parents avant et après le déclin des cannes à sucre.

Un recit peut être un peu trop court dont on aurait aimé poursuivre et approfondir la lecture.

"La Mémoire délavée", parle d’enfance, de signes, et de ces fils invisibles qui relient les êtres au-delà des distances et des longues années.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..

Le bel ouvrage est agrémenté de photos, et on bascule dans l’apparition, la survivance, la présence capturée pour l’éternité.
Lien : https://actualitte.com/artic..

Ses aïeuls faisaient partie de ces Indiens déplacés à l’île Maurice. Ils pensaient y faire fortune et déchantèrent. Un récit poignant.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..

Nathacha Appanah cherche, fouille ses souvenirs et ceux de ses proches, des archives, signe un récit vibrant d'émotion, aussi pudique qu'intime. Elle retrace les pas de ses ancêtres, puis de ses grands-parents, le cœur battant et lumineux de ce livre (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/09/10/la-memoire-delavee-nathacha-appanah/)
Lien : https://pamolico.wordpress.c..

Prequel des rochers de poudre d'or,

même rage pour decrire le rapport des dominés avec leur dominateurs,.J'ai retrouvé un peu de Blue bay Palace. La force ,la puissance de l'ecríture nait dans un geste de son grand père. L'injustice sert d'encrier dans l œuvre de Natacha Appanah....

De ses ancêtres venus à l'île Maurice, Nathacha Appanah avait peu d'informations. Elle a décidé de fouiller les archives et les mémoires, pour retracer le parcours de ses aïeux de l'Inde à l'île Maurice.

"La mémoire délavée" fait partie de ces histoires poignantes, sur la recherche des origines et de la mémoire et c'est avec beaucoup de délicatessse et d'amour que l'autrice mauricienne rend hommage à ses aïeux dans ce récit, qui sans eux, elle ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui.
Lien : https://www.inde-en-livres.f..