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Critiques de Nellie Bly (152)
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10 jours dans un asile

J’ai beaucoup aimé le témoignage de Nellie Bly et ce, pour une raison principale : en plus d’être fascinante et courageuse, cette femme avait visiblement un sacré humour! Même si elle sait disparaître derrière les faits qu’elle raconte, j’ai aimé sa personnalité, son autodérision, son honnêteté. Elle a une manière de raconter les choses qui est si prenante, si immersive ! Et surtout, elle a fait preuve d’une force de caractère étonnante à à peine 23 ou 24 ans en restant 10 jours dans un asile, ne mangeant et ne dormant presque pas tout en gardant la tête froide pour tout noter, tout remarquer…



En ouvrant ce livre, je ne sais pas ce à quoi je m’attendais. J’avoue que j’attendais peut-être quelque chose de plus poussé sur la condition de vie des patientes dans l’asile, plus de détails sur les protocoles suivis par le corps médical, le sens des traitements administrés… mais en fait, c’était bête d’attendre de tels détails : Nellie Bly ne s’est pas penchée par dessus l’épaule des médecins en leur demandant quels étaient leurs buts, non : elle était du côté des patientes et en toute logique, n’était pas au courant du pourquoi du comment.



Si certains et certains d’entre vous ont peur de lire ce témoignage par peur de trouver des passages trop sordides : n’ayez crainte. Bien sûr, ce dont Nellie Bly parle est flippant mais les différents témoignages qu’elle a récolté et qu’elle nous livre à son tour ne sont pas traumatisants dans le sens où ils n’ont pas été tournés de manière à nous arracher de hauts cris. C’est là toute la dimension journalistique des faits : Nellie Bly te rapporte les traitements, les histoires de ces femmes et si elle ne manque pas de sensibilité et de compassion, elle ne fait pas dans la sensiblerie pour autant.
Lien : http://cellardoor.fr/critiqu..
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10 jours dans un asile

Témoignage édifiant d'un univers bien particuliers aux USA à une époque donnée : 1887.

Courageuse journaliste en immersion dans un monde tumultueux.
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10 jours dans un asile

Le nom de Nellie Bly ne vous dit rien? Cela ne saurait tarder car les Éditions du sous-sol ont eu la très bonne idée à la fin de l’année 2015, de nous la faire découvrir à travers l’un de ses reportages, 10 jours dans un asile. Si vous ne le connaissez pas encore, précipitez-vous sur ce court texte. Ne serait-ce que pour cette simple raison que Nellie Bly a été qualifiée de « meilleure journaliste d’Amérique » lors de son décès en 1922. Rien que ça, et pour cause! Nellie Bly, de son vrai nom, Elizabeth Jane Cochrane, a été la pionnière du journalisme dit d’investigation. Et tout ce que l’on peut dire est qu’elle n’a pas fait les choses à moitié.



En 1887, lorsqu’elle est embauchée au journal New York World, racheté pas le très célèbre Joseph Pulitzer en 1883, on lui demande d’enquêter sur l’asile de Blackwell’s Island. Cet asile, dont les pensionnaires ne sont que des femmes, est bien gardé. Seule condition pour y entrer: être folle. Qu’à cela ne tienne. Nellie Bly accepte le défi et le relève haut la main, après seulement une nuit passée à répéter son rôle. Mais ne fallait-il pas être soi-même un peu fou pour tenter une telle expérience? Sans doute un peu, mais c’était sans compter qu’à la fin du XIXe siècle, il fallait bien peu d’éléments pour prononcer l’internement d’une femme…



Hors des murs de l’enceinte, tout un chacun se poserait probablement la même question. À l’intérieur, Nellie Bly va faire l’expérience de l’horreur. L’asile de Blackwell’s Island a tout de la prison: violences, tortures, et humiliations sont le quotidien de ces malades qui ne connaissent que le froid et la faim. Le personnel soignant? De véritables tortionnaires aux méthodes criminelles. Nellie Bly constate avec effroi que n’importe qui entrera dans cet asile l’esprit sain, car malheureusement il y en avait, ne peut en ressortir que fou.



Nellie Bly, du haut de ses 23 ans, a révélé au grand jour les conditions de ces malades et par là, a marqué un tournant dans la lutte pour l’émancipation des femmes. Lire ce reportage c’est ne plus ignorer le sort réservé à celles qui étaient déclarées folles et internées, et qui subissaient les pires atrocités. Ce texte m’a rappelé l’excellent roman de Gaëlle Nohant, La Part des flammes, qui offre également un regard très intéressant sur les femmes et la psychiatrie de la fin XIXe. L’un et l’autre sont à mon avis complémentaires et peuvent se lire en parallèle si vous souhaitez aller plus loin.



Nellie Bly, d’une bravoure incontestable, nous fait découvrir à travers ses reportages, le journalisme de terrain et c’est exaltant. À noter la parution le 28 avril d’une nouvelle aventure, Le tour du monde en 72 jours.
Lien : http://enmargedesmots.com/in..
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10 jours dans un asile

Petite lecture rapide de cette journaliste qui se fait passer pour folle pour pouvoir être interner et voir les conditions de vie dans un asile. On s'attend au résultat avec notre regard d'aujourd'hui, mais ça me choque quand même de voir le traitement qu'on offrait à ces femmes et la facilité avec laquelle on les classe comme folle. Autrement, j'ai découvert l'Autrice qui semble avoir eu une vie captivante! Je vais essayer de trouver un biographie et/ou lire d'autres livres d'elle
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10 jours dans un asile

Fin XIXème siècle, une jeune journaliste se fait interner volontairement dans un asile new-yorkais afin de mettre en avant les conditions déplorables dans lesquelles les femmes étaient internées au sein de l'établissement. Des femmes jugées folles alors qu'elles étaient_ pour nombreuses d'entre elles_ saines d'esprit et simplement victimes de la vie, pauvres, malades, seules..



Un texte qui m'a captivée, qui se lit comme un roman et pourtant, même en connaissant une part de ces faits, qu'il est difficile de lire ce qui a été réalité.

Les mots de la militante m'ont marqué ; la manière, si facile..dont elle a intégré l'hôpital psychiatrique m'a même surprise.

Je n'en dévoile pas davantage, à vous de découvrir ce livre.



Suite à ce reportage, on peut lire également deux autres expériences de Nellie Bly alors qu'elle travaillait pour le journal de Joseph Pulitzer.



Un témoignage très intéressant dont je vous recommande la lecture :)

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10 jours dans un asile

Découverte dans les Culottées (T1 de P. Bagieu), Nellie Bly est une grande reporter qui mérite d'être connue car son travail d'investigation est à la hauteur de la lecture qui suit, époustouflant. Ici,il est question de la vie dans un asile (suivi de 2 enquêtes bonus) où elle donne de sa personne pour décrire la réalité de l'internement et des conditions de vie dans cet endroit. Une lecture forte.
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Les fabuleuses aventures de Nellie Bly

Nellie Bly (1864-1922) est une journaliste américaine connue pour avoir repris le voyage de Phileas Fogg, mais elle savait aussi travailler sous couverture!



Dix jours dans un asile:



Par exemple, en 1887, son journal le World lui donne pour mission de se faire interner dans un asile de fous. Elle réussit sans encombres (ce qui est bien effrayant) à être envoyée à l'asile d'aliénées de Blackwell. Médecins incompétents ou inattentifs, infirmières et aides soignantes maltraitantes, nourriture rare et de piètre qualité, peu de chauffage et de vêtements chauds, voilà le quotidien des internées, dont une bonne partie n'est pas plus dérangée que Nelly Bly, au départ en tout cas, car ce séjour a de quoi faire craquer la personne la plus saine d'esprit.



Son séjour durera peu, et une conséquence sera que la ville de New York octroiera un million de dollars supplémentaires aux hôpitaux psychiatriques.



Un texte très fort, quasi insupportable, où l'on sent bien l'empathie de l'auteure pour ces femmes maltraitées.



Dans la peau d'une domestique, Une étrange expérience dans deux bureaux de placement:



La voila, sans talents particuliers dans le domaine, s'inscrire à une agence de placement, et lier connaissance avec des femmes vivant peu ou prou de ces métiers de domestique, et abandonner rapidement toute ambition dans ce domaine.



En revanche, dans Nellie Bly, esclave moderne ,Une immersion dans une fabrique de boites, elle sera embauchée comme ouvrière, et rendra compte des conditions de vie (salaire, logement) des ouvrières.



Passons sur 6 mois au Mexique , un séjour avec sa mère, qui m'a positivement ennuyée, d'où abandon, et sur Goodreads mon désintérêt pour cette partie est partagé; dommage, le Mexique en 1886, c'était attirant de lire cela.



En revanche, Nellie Bly sur le champ de bataille, compilations d'articles écrits sur les fronts russes et serbes, côté austro-hongrois, où elle découvre l'horreur des combats et des tranchées n'ayant rien à envier à celles françaises demeure un témoignage très fort, qui mérite lecture!
Lien : https://enlisantenvoyageant...
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Le tour du monde en 72 jours

Lecture rafraichissante et moderne !

le récit atypique d’une journaliste Nellie Blye, pionnière du journalisme d’infiltration qui en 1890 va boucler le tour du monde de Phileas Fogg en 72 jours Vs 80 jours pour ce dernier. Et le tout armé de son seul sac à main !

Je me suis targuée en Chine, il y a déjà quelques années de cela de partir en we prolongé avec ce seul petit sac Kipling en photo.

Mais j’étais vraiment une petite joueuse comparée à Nelly Bly. Au 19ème siècle, partir faire un tel voyage, certes en accéléré, pour une femme avec aussi peu d’équipements, cela force l’admiration. On appréciera sa plume acérée, son esprit d’aventure et toutes les réflexions au gré des escales qui préfigurent déjà les écueils du tourisme de masse et autres arnaques, les précautions à prendre en tant que femme sur les routes, finalement rien ne change si ce n’est les accessoires et l’époque.

Cela donne aussi des idées de logistique dépouillée pour les prochains voyages. Il y a un sentiment de liberté à s’affranchir ainsi de nombreux accessoires superflus ou dont on s’aperçoit justement de leur inutilité trop tard tel que son enclume de voyage en pleine balade dans la prairie.





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10 jours dans un asile

Après avoir lu la BD « Nelly Bly dans l’antre de la folie » de V. Ollagnier & C.Maurel j’ai eu envie de lire l’œuvre originale.



Comme dans « le tour du monde en 72 jours » de la même autrice j’ai été stupéfaite de la contemporanéité de l’écriture de N.Bly. Le style est très fluide et l’on pourrait douter qu’il a été écrit il y a plus de 130 ans !



Dans ce reportage N.Bly  se fait volontairement enfermée dans un asile pour pouvoir décrire et dénoncer les conditions de vies inhumaines dans cette institution, mais aussi pour rendre compte du nombre de femmes saines d’esprit qui y sont enfermées sous un prétexte ou un autre, le plus souvent la pauvreté et/ou la maladie.



Grâce à ma double lecture j’ai pu comparer la BD à l'œuvre originale. Je l’ai trouvé assez fidèle, même si peut-être la cruauté des infirmières n’est pas si bien rendue dans la BD. J’en ai en tout cas été plus horrifiée lors de la lecture du reportage.  A la lecture de ce reportage, il apparait clair que la personne la plus saine d’esprit risquerait de devenir folle après quelques jours d’enfermement et de mauvais traitement dans l’asile Blackwell’s Island. C’est d’ailleurs ce qu’elle craint pour elle-même !



Petit bonus, l'édition de ma médiathèque contient 2 autres courts reportages de N. Bly. L’un sur un « bureau de placement » des domestiques, l’autre dans une fabrique de boîtes.  A travers ces 3 reportage on se rend bien compte de l’engagement de cette femme pour l’amélioration du sort des femmes pauvres et populaires.



En bref, j’ai apprécié ma lecture et je suis toujours plus admirative du travail mené par cette pionnière du journalisme d’investigation !
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Le tour du monde en 72 jours

L'exploit est admirable, le récit beaucoup moins. J'ai trouvé l'auteure très critique sur tout ce qu'elle découvre et qui l'entoure. J'imagine que pour vivre une telle aventure (une telle vie) en tant que femme du XIXème siècle, il fallait un caractère bien trempé et que le but premier de son voyage n'était pas l'émerveillement devant ces peuples, traditions et contrées qu'elle découvrait pour la première fois. Néanmoins, les nombreux jugements dont est parsemé le récit ont rendu ma lecture fastidieuse, me rendant parfois la journaliste plutôt antipathique. Une lecture que je ne conseillerais pas.
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10 jours dans un asile

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10 jours dans un asile

Quand Nellie Bly vole au-dessus d’un nid de coucou



🏨 Difficile d’imaginer qu’une journaliste de 23 ans est entrée de son plein gré à l’asile en 1887. Une époque où les femmes étaient internées pour des motifs insensés : masturbation, lecture, intérêt pour la politique, asthme…



🩸Et pourtant, Nellie Bly l’a fait. Elle ne savait d’ailleurs pas si elle pourrait en ressortir un jour, et ne se doutait pas une seconde de ce qu’elle allait y découvrir : lieux insalubres, privation de nourriture, froid permanent, tortures et humiliations en tout genre.



💊105 pages d’une investigation révélatrice de la lutte des classes exprimée par l’hospitalisation psychiatrique de masse, où celles qui n’ont pas le privilège d’avoir recours à des thérapies de luxe finissent emmurées.



💡Un constat inquiétant lorsque l’on sait que les traitements réservés aux patients n’ont que légèrement évolué depuis, comme le raconte Marius Jauffret dans « Le Fumoir ». Et cette évolution, nous la devons à des journalistes au courage remarquable comme Nellie, dont l’enquête a permis de débloquer un fond d’1millions de dollars pour améliorer les conditions de détention des patientes.
Lien : https://www.instagram.com/el..
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10 jours dans un asile

Nellie Bly, journaliste au New York World en 1887, se fait passer pour folle pour se faire interner dans un asile, le Blackwell’s Island Hospital afin de témoigner de l’intérieur des conditions de vie et de soins des pensionnaires. Avec un sens certain du récit et de la mise en scène, la journaliste raconte son expérience et rencontre des infirmières cruelles et sadiques, des médecins peu concernés voire incompétents. La courageuse infiltrée rend compte des conditions de vie précaires et dangereuses pour la santé (froid, nourriture indigente, couches spartiates…) et remarque que des internées disparaissent mystérieusement… Ses articles eurent un énorme retentissement et permettront de lancer une réforme des instituts américains de santé mentale.
Lien : https://puchkinalit.tumblr.c..
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Le tour du monde en 72 jours

Le postulat de base m'a tout de suite attiré mais malheureusement la construction du récit était moins palpitante que le voyage en lui même. On a juste une succession de faits sans cette touche qui aurait rendu extraordinaire cette traversée inédite.
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10 jours dans un asile

Ce livre n'a pas rencontré mes attentes. Il n'informe que très peu le lecteur. Trop peu de contenu, de détails et d'informations. Ce reportage me laisse une énorme goût de trop peu dans la bouche. C'est dommage parce que je m'attendais à plus. Toutefois, il reste intéressant pour l'impact qu'il a eu dans le passé. Il fallait être doté d'un sacré courage à l'époque pour oser faire cela !
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Le tour du monde en 72 jours

J'ai bien aimé ce roman, je suis étonnée que le style soit si facile à lire et fluide pour un livre écrit en 1890. On suit Nelly Bly, une jeune journaliste américaine, dans son tour du monde. Elle y raconte le voyage, les trains, les bateaux, les calèches, les chaises à porteurs et aussi sa vision des villes et pays traversées, sa vision de femme blanche américaine sur des peuples qui lui sont étrangers. Je conseille, c'est une bonne lecture !
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Les fabuleuses aventures de Nellie Bly

Ce bouquin regroupe des textes publiés dans des journaux américains. Ils sont le reflet de la société de l'époque, le regard que porte une jeune femme sur ses contemporains. Si "Le tour du monde en 72 jours" est plutôt distrayant et léger, "10 jours dans un asile" est un texte fort, qui met en lumière le traitement inhumain réservé aux femmes internées. Bien loin du rose bonbon de la couverture donc...



Cet ouvrage se picore. On lit un texte, on le repose. On se replonge dans une époque, on découvre le regard que portait à l'époque cette femme qui détonne dans son milieu sur le monde. Un regard parfois naïf, ethnocentré, mais plutôt intéressant.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Le tour du monde en 72 jours

L’audacieuse Nellie Bly nous embarque dans son idée folle de battre le record de Phileas Fogg.

Le personnage de Jules Verne boucle son tour du monde en 80 jours, têtue, elle avance qu’elle le terminera en seulement 75 jours.

Entamer un tel périple quand on est une femme en 1890 est remarquable. Et le récit de cette épopée l'est tout autant.



Le but étant de battre un record, Nellie Bly se concentre plus sur le timing de son voyage que sur les découvertes faites au contact d’autres cultures. Elle nous offre quelques instants de poésie et d’ébahissement comme quand elle découvre la "Vallée heureuse" à Hong Kong mais trop peu à mon goût. Dommage.

Malgré tout, les détails sur les coutumes des pays concernés et le fonctionnement des modes de transport à cette époque sont très intéressants.



Concernant les autres cultures, c’est une femme qui appartient bel et bien à son siècle. Ses remarques et son comportement peuvent paraître totalement déplacés par moment. Par exemple quand elle refuse de se déchausser à l'entrée des temples.



J'ai apprécié cette lecture. Le passage de sa rencontre avec Jules Verne m'a enchantée. Nellie Bly est culottée et c'est pour cela qu'on l'aime !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le tour du monde en 72 jours

Entre Jules Verne et Sylvain Tesson,voilà un petit bout de femme extraordinaire, un récit court précis , qui vous entraîne dans un tour du monde à en perdre son latin...tout en restant très féminine, Nellie Bly est plus proche de Mike Horn que de coco chanel par moment...filez voyager avec ce merveilleux livre et cette adorable Madame Nellie Bly
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Le tour du monde en 72 jours

Nellie Bly nous entraîne dans son tour du monde avec son journal de bord. Première femme a faire le tour du monde seule dans une société où le machisme est à son paroxysme.

Nellie est une femme inspirante à bien des égards.
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