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Critiques de Olivia Jones (128)
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Le feu sous la peau

"Quand une mère cache un lourd secret. Pour sa fille Christal elle ne veut rien laisser paraître.

Olivia Jones, par d'habiles retours en arrière, n'a pas son pareil pour explorer les failles des ses héros.

Des secrets trop longtemps gardés, Marialys va finalement devoir prendre une grande décision.

Olivia Jones entraine le lecteur dans un parcours haletant, tout en émotion. Un thriller de haute volé !

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ sans problème ! mais le ❤️ n'est pas loin !
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Un parfum de lavande et de sang

Je dois bien avouer que j'avais d'abord craqué sur la couverture avant d'être intriguée par le résumé...

Tout se passe à S., dans le sud de la France, où Liz, cherchant à se reconstruire après un traumatisme, a choisi de s'installer. Peintre en mal d'inspiration, elle part se balader dans les bois et tombe sur un couple en plein ébat. Fascinée par cette scène, elle ne peut résister à l'envie de les photographier. Quelques jours plus tard, elle apprend la disparition suspecte des deux amants...

Une lecture très agréable mêlant suspense, intrigue policière et romance.

J'ai beaucoup aimé le côté artiste meurtri de l'héroïne, mais aussi j'ai adoré détester Etienne, le méprisable mari de la victime.

Seul petit bémol : je n'ai pas trop accroché avec le côté médium de Juliette, j'ai un peu de mal avec tout ce qui touche au paranormal...
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Un parfum de lavande et de sang

un tueur en série sévit dans un petit village du sud de la France. Il enlève, bats et tue les femmes infidèles. Un tueur vengeur ou un détraqué mental ?



LIz va êtres malgrès elle un témoin majeur dans cette enquête. Oui elle a pris en photo les ébats sexuels d'un couple illégitime. Non par voyeurisme mais pour son œil d'artiste. Elle voit un magnifique tableau de ses 2 amants.



Cette intrigue fait naître, de l'angoisse, le doute, la rage.

ce qu'il fait subir à ces femmes est insupportable.



Bonne lecture

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Un parfum de lavande et de sang

Dans ce roman on fera la rencontre d'un tueur vengeur. Oui il venge les hommes trompés par leurs femmes, en les battant, violant, et tuant.

Une enquête qui piétine car il ne laisse pas de trace.

Mais l'enqueteur ne baisse pas les bras aidé par Liz johnson, une jeune artiste peintre qui a pris une photo d'un des amants.



L'enquête va tourné au tour de cette photo particuliere.... la photo a l'aire vivante prise au parfait moment ....



lisez ce livre
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Le feu sous la peau

Un brasier dont ne subsiste que des vies éteintes, des espors ardents réduits en cendre et une quête enflammée vers la vérité. Olivia Jones nous livre dans ce court roman une intrigue adictive dont la vérité ultime n'est dévoilée qu'à la fin du livre. Des personnages intéressants et des retours dans le passé font de ce livre une très agréable lecture.
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Le feu sous la peau

Le commentaire de Carole : COUP DE COEUR!

Ce livre est écrit sous forme de narration, chacun des personnages principaux nous parle de leur moment présent ou passé et décrivent leurs sentiments face à la situation que nous sommes en train de lire. L’auteur a bien su diriger le texte pour que tout s’imbrique et nous crée un suspense très intéressant. Impossible d’arrêter de lire, le seul reproche que j’aurais à faire à l’auteur, c’est que je la tiens responsable d’une nuit blanche pour terminer ce superbe roman addictif.

Marialys, jeune adolescente heureuse, rêve d’être une chanteuse, mais pour le moment elle travaille à la clinique du docteur Fabien Neuville. Une journée qui semble bien ordinaire, elle est assise sur un banc de parc, caché par un buisson. Celle-ci est témoin d’une discussion entre deux personnes, dont le docteur Neuville, qui demande un service bien spécial à un jeune homme. Malheureusement, le docteur découvre que Marialys a tout entendu. Dès le lendemain, elle donne sa démission et le docteur Neuville lui remet une grosse somme d’argent pour acheter son silence. Nous nous retrouvons 25 ans plus tard et le secret n’a toujours pas été dévoilé. Marialys a une vie tranquille sans fanfare ni trompette, elle souri toujours et se contente d’un travail peu rémunéré. Par chance, elle a sa fille, Cristal qui a 18 ans. Cristal, une jeune adolescente sans problème, aimerait que sa mère prenne plus soin d’elle. Cristal se demande pourquoi sa mère, malgré son sourire, a toujours un fond de tristesse dans les yeux. Un jour Marialys reçoit un appel téléphonique, dont Cristal est témoin en secret. Dès ce jour, elle décide de suivre sa mère pour en savoir un peu plus. Nous allons découvrir une vie basée sur des mensonges, des personnages coupables et d’autres non-coupables, mais assaillis par la culpabilité. Qui parmi eux va réussir à sortir de ce secret trop longtemps gardé. Je vous recommande sans aucune hésitation ce livre et je me promets de lire d’autre livre de cet auteur que je viens de découvrir.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Le feu sous la peau

Lorsque je lis un bouquin avec pour objectif final l’élaboration d’une chronique, je cherche le « truc» qui va suivant les cas : Me plaire, me surprendre, m’amuser, m’agacer, me bluffer, m’émouvoir, me sauter aux yeux, m’intéresser… Bref, une longue liste de verbes à l’infinitif que je vous invite à traquer dans le Bescherelle. Donc dégoter un aspect de l’ouvrage que je pourrais mettre en lumière et développer joyeusement, telle est ma quête.

Dans « Le feu sous la peau » d’Olivia Jones, il y a plusieurs de ces petits « trucs ». Donc je me dois choisir, j’écris une chronique, je ne soutiens pas une thèse.

Après tri aussi sélectif que réfléchi, les trucs qui m’ont le plus… inspirés, sont :

- La richesse et la crédibilité des personnages, avec leurs failles, leurs forces, leurs démons, leurs faiblesses, leurs espoirs, leurs peurs et leur doute. Ils ne sont ni tout blanc ni tout noir. Ils présentent tous une couleur d’âme d’un gris diffèrent, de ce gris qui fait de chaque être humain un individu complexe et imparfait capable tout à la fois de grandeur, de laideur, de beauté, de lâcheté, de courage et d’Oh combien de bêtise parfois.



- La convergence de ces personnages. Ça, c’est du tricoté sur mesure ! Tous se déplacent sur un réseau compliqué de rails qui parfois se croisent sans jamais se rejoindre tout à fait, excepté à la fin de l’ouvrage quand, enfin aiguillés par un maître d’aiguillage digne de ce nom, ils rejoindront tous la même gare celle de leur destin commun. Alors, enfin libres de quitter un parcours ferroviaire imposé, ils trouveront leur propre voie





Ce roman met en place tout un univers de vies complexes. Univers modeste parce que réaliste. Univers touchant, pour exactement le même motif.

Comme dans toute tranche de vie édifiée sur un passé douloureux, on découvre toute cette habituelle pléthore de valeurs tantôt positives tantôt négatives. Tant et si bien qu’en plus d’une intrigue divertissante et agréable à lire, cet ouvrage véhicule une sorte de « vision du monde et des humains ». Cette vision, Olivia la transmet à travers ses personnages, par le regard tendre mais sans concession qu’elle porte sur eux et aussi par ses rapports avec eux : sympathie ou antipathie, éloge ou blâme.

Mais bien sûr, pour nous lecteurs, cette vision se révèle également à travers les relations que l’auteure établit entre ses personnages. Marialys, Cristale et les autres ne sont pas des individus isolés qui se limitent à incarner chacun une valeur, un vice ou une détresse. Tous interagissent avec les autres (nombreux) personnages. Dans ce livre, pas de petits rôles, mais parfois de courtes apparitions importantes.

Et le voilà ce fameux « truc » sur lequel je voulais mettre un coup de projecteur. Olivia Jones, dans ce livre mais aussi dans les autres, excelle dans l’art de créer des liens de connivence et de convergence entre ses personnages. C’est par le biais de ces conflits et contrastes qu’elle met en œuvre qu’elle parvient à construire sa vision personnelle de notre société.




Lien : http://mesbouquins.jeanbjout..
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Le feu sous la peau

Bonjour à tous

J'ai lu Le Feu sous la peau d'Olivia Jones Romancière et c'est un régal !

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

C'est le 2 ème roman que je lis d'Olivia et encore une fois BRAVO ! Olivia a le don de nous emporter, on commence la lecture et on ne peut plus lâcher le livre. J'ai beaucoup aimé. Olivia nous livre cette histoire au travers de ses personnages et de leur point de vue personnel, mais aussi en nous faisant voyager du présent au passé et vice versa pour distiller au compte-gouttes cette intrigue. À lire absolument !

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Un parfum de lavande et de sang

Je remercie l'auteure Olivia Jones de m'avoir proposé son livre.





Le titre me plaît déjà beaucoup tout autant que la couverture et le résumé finit de me mettre l'eau à la bouche. Mais est-il aussi intéressant que je le suppose? Allons-y pour la découverte...





Nous avons ici une pléiade de personnages qui jouent un rôle important dans l'histoire. Il ne faut pas croire que les personnages que l'on "aperçoit" ça et là ne sont que secondaires. Ils ont parfois un rôle bien plus important que ce que l'on pense (il est évident que je ne peux pas citer les noms pour ne pas vous donner d'indices sur leur rôle). Liz est un personnage central tout comme Juliette et l'inspecteur Raymond Godart mais nous avons aussi un personnage phare mais chut son nom restera secret jusqu'à ce que vous lisiez le roman. Les personnages sont éclectiques et pourtant ils s'intègrent parfaitement dans l'histoire et donne une grande cohésion dans ce roman car c'est la différence qui donne de l'intérêt à celui-ci. Liz est une artiste avec un passé difficile, Juliette est une jeune fille qui a vécut un événement traumatisant et qui donner naissance à "une différence" qui lui donnera une aura particulière. Le commandant Godard ne fait pas parti de ses flics sexys. Olivia Jones lui a donné du charme, du charisme. J'ai pû remarquer que chaque héros ou héroïne a une description détaillée, pointilleuse afin que l'on puisse se les représenter. Il y aussi des personnes qui pourraient au premier abord vous paraître insignifiantes mais si vous prêtez un peu d'attention au fil de votre lecture, vous constaterez qu'elles sont bien plus "présentes" que l'on ne pense. Il y a un très beau jeu d'interaction entre chaque personnage sans que cela ne s'emmêle les pinceaux.





Le récit se tient de bout en bout et même si on a des prémices de la solution vers le milieu du livre, ça n'enlève en rien à cette envie d'en savoir plus. L'intrigue est bien présente et titille notre esprit d'enquête. Ce qui m'a donné un peu froid dans le dos, c'est le fait qu'en lisant ce roman, je me rends compte que des sociopathes et psychopathes ne sont jamais bien loin... Ils sont plus proches que l'on ne croit mais qu'il n'est pas facile de les détecter. C'est flippant. Mais malgré une tension tout au long de la lecture, il y a une place pour l'amour, l'amitié, la confiance et la reconstruction. Vous mettez tout dans un shaker et vous obtenez un thriller bien ficellé avec ce doux parfum de lavande (j'avoue j'aime cette odeur sur mes vêtements). Que vient faire le parfum de lavande, me direz vous? Hé bien il faudra lire ce roman écrit de main de maître mais quand vous aurez ce parfum dans le nez, ça ne vous fera plus le même effet qu'avant.



Je remercie l'auteure Olivia Jones de m'avoir proposé son livre.





Le titre me plaît déjà beaucoup tout autant que la couverture et le résumé finit de me mettre l'eau à la bouche. Mais est-il aussi intéressant que je le suppose? Allons-y pour la découverte...





Nous avons ici une pléiade de personnages qui jouent un rôle important dans l'histoire. Il ne faut pas croire que les personnages que l'on "aperçoit" ça et là ne sont que secondaires. Ils ont parfois un rôle bien plus important que ce que l'on pense (il est évident que je ne peux pas citer les noms pour ne pas vous donner d'indices sur leur rôle). Liz est un personnage central tout comme Juliette et l'inspecteur Raymond Godart mais nous avons aussi un personnage phare mais chut son nom restera secret jusqu'à ce que vous lisiez le roman. Les personnages sont éclectiques et pourtant ils s'intègrent parfaitement dans l'histoire et donne une grande cohésion dans ce roman car c'est la différence qui donne de l'intérêt à celui-ci. Liz est une artiste avec un passé difficile, Juliette est une jeune fille qui a vécut un événement traumatisant et qui donner naissance à "une différence" qui lui donnera une aura particulière. Le commandant Godard ne fait pas parti de ses flics sexys. Olivia Jones lui a donné du charme, du charisme. J'ai pû remarquer que chaque héros ou héroïne a une description détaillée, pointilleuse afin que l'on puisse se les représenter. Il y aussi des personnes qui pourraient au premier abord vous paraître insignifiantes mais si vous prêtez un peu d'attention au fil de votre lecture, vous constaterez qu'elles sont bien plus "présentes" que l'on ne pense. Il y a un très beau jeu d'interaction entre chaque personnage sans que cela ne s'emmêle les pinceaux.





Le récit se tient de bout en bout et même si on a des prémices de la solution vers le milieu du livre, ça n'enlève en rien à cette envie d'en savoir plus. L'intrigue est bien présente et titille notre esprit d'enquête. Ce qui m'a donné un peu froid dans le dos, c'est le fait qu'en lisant ce roman, je me rends compte que des sociopathes et psychopathes ne sont jamais bien loin... Ils sont plus proches que l'on ne croit mais qu'il n'est pas facile de les détecter. C'est flippant. Mais malgré une tension tout au long de la lecture, il y a une place pour l'amour, l'amitié, la confiance et la reconstruction. Vous mettez tout dans un shaker et vous obtenez un thriller bien ficellé avec ce doux parfum de lavande (j'avoue j'aime cette odeur sur mes vêtements). Que vient faire le parfum de lavande, me direz vous? Hé bien il faudra lire ce roman écrit de main de maître mais quand vous aurez ce parfum dans le nez, ça ne vous fera plus le même effet qu'avant.







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La tête dans les nuages

La vieille dame racontait.

Dans ses yeux azur pétillants de malice, l’on pouvait deviner les nombreux voyages qu’elle avait faits, les paysages sauvages qu’elle avait admirés, les légendes qu’elle avait entendues, les personnes étranges qu’elle avait rencontrées, les animaux exotiques qu’elle avait tendrement caressés, les tempêtes qu’elle avait traversées. C’était une routarde, une voyageuse des temps d’avant.

La vieille dame racontait.

Cet univers qu’elle partageait si bien de ses mots était chargé de légendes, d’odyssées, de mystères, de fées, de déesses, de revenants, de magie et de quêtes aussi lointaines qu’incertaines.

La « Mary Céleste » était son navire. Elle tutoyait les goguelins, ils étaient ses amis, lui soufflant souvent de belles tragédies marines qu'elle brodait.

La vieille dame racontait… Et moi, je l’écoutais.

J’avais cinq ans, dix ans, quinze ans, qu’importe ! Jusqu’à son départ sans ailes, pour un paradis qu’elle émerveille aujourd’hui, j’en suis convaincu, de ses récits, la vieille dame raconta pour moi.

Cette vieille dame était ma grand-mère. Elle était bien plus qu’une conteuse, elle était une faiseuse de légendes envoûtantes, affectueuses et même, de temps à autre, horrifiques.

Parfois, je posais la naïve question : « Ma Mone, elles sont vraies tes histoires ? » Elle prenait alors un air mystérieux, puis avec un sourire de connivence frisant cette ironie qui la caractérisait, elle répondait :

« Si tu veux demeurer un enfant toute ta vie, Il est une chose à ne jamais oublier, il suffit de croire aux légendes pour qu’elles deviennent vraies ».

J’ai grandi et même vieilli, mais avec « La tête dans les nuages », avec les mots de son auteure Olivia Jones, l’enfant barbu que je suis à retrouver les longs et tendres moments de complicités que je passais avec « Ma Mone »

C’est vrai, je suis féru de vieux gréements, gourmand de légendes maritimes, une partie de mon sang d’origine bretonne me rappelle constamment à l’océan… Je ne suis donc pas objectif lorsque je prétends qu’avec ce bouquin, j’ai quitté les pages de ma liseuse pour voyager au gré des marées bretonnes et des créatures merveilleuses qu’elles abritent.

J'ai retrouvé ma si chère "Ma Mone"

C’est doux, mystérieux, parfois triste, parfois naïf ou tendrement maladroit… Comme un rêve d’enfant poursuivant sans relâche les nuits d’un adulte.

Jean, le héros malgré lui, croit en la légende de sa vie, grâce à cette belle ouverture d’esprit il aura l’exceptionnelle opportunité de la vivre… Sans doute que lui aussi, dans ses songes, il a entendu les si extravagantes, mais passionnantes chimères que ma grand-mère pourchassait sans cesse.

Nous avons besoin d’auteures comme Olivia, nous avons besoin de faiseuses de rêves fantasmés comme « Ma Mone » pour que nous, simples enfants au corps d’adulte, puissions encore nous égarer dans un monde qu’il est si bon et important de rêver.
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Blue Kashmir, tome 2 : L'homme de cristal

Ayant lu le premier tome il y a quelques mois, j'ai retrouvé avec grand plaisir Valentina, Marc, Caroline et les autres. De nouveaux personnages viennent se greffer dans cette histoire et certains apporteront l'intrigue qui tiendra en haleine jusqu'au bout.

Des évènements heureux de préparent, mais malgré tout le mal veille et tout ne se passera pas toujours comme prévu. Chaque personnage voit son histoire évoluer et Blue Kashmir donne parfois un petit coup de pouce. D'ailleurs, celui-ci subira aussi quelques transformations..

J'ai beaucoup aimé ce tome 2 qui distille au compte gouttes les éléments jusqu'au dénouement final. Roman très bien écrit, rythmé, avec une part de fantastique que je vous recommande.

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Un parfum de lavande et de sang

L'auteur, Olivia Jones, nous présente Liz le personnage principal et on imagine sans mal que l'histoire va graviter autour de cette personne. À chaque page on en apprend un peu plus sur elle, son passé, sa vie, tout ce qui l'a amenée jusqu'ici et qui a fait d'elle cette femme frêle et apeurée.



Au niveau de l'intrigue, l'auteur nous balade savamment par le bout du nez. On s'interroge et on est à l'affût du moindre indice à analyser.



J'ai apprécié l'enquête policière que l'on peut suivre au plus près grâce au commandant Godard. Ce dernier est un personnage fort, à la fois sensible et terre-à-terre. J'ai pris plaisir à faire sa connaissance et à le voir mener cette enquête.



L'écriture est simple, et donc accessible à tous. Olivia Jones nous invites dans la tête de ses personnages. C'est intéressant de connaître leurs pensées les plus intimes et de créer un lien avec eux mais pour ma part, ça n'a pas été aisé de me retrouver dans la tête de l'assassin. C'est une expérience un peu déroutante à vrai dire.



Seul bémol ici, les dialogues. Ils sont très présents et je les ai trouvés parfois trop formels. Certains manquent même un peu de naturel.



En tout cas le livre se lit très facilement, les pages défilent rapidement et on dévore les chapitres dans l'attente de la révélation ultime.



Je m'attendais à trouver une pointe de fantastique comme dans ses autres romans, mais ce n'est pas le cas. Un parfum de lavande et de sang est un thriller avec des crimes, des psychopathes et toutes ces choses qui vont avec. Certains passages m'ont valu quelques sueurs froides et j'ai eu du mal avec quelques détails un peu trop hard également.



Un petit conseil toutefois, ne vous fiez pas à la couverture et lisez le résumé. Je sais que l'auteur a eu pas mal de retour par rapport à cette couverture qui semblait décalée, mais je tiens à préciser quelle n'a pas été choisie au hasard, elle a une forte valeur symbolique.



J'ai découvert l'auteur avec La tête dans les nuages, un savant mélange de légendes et de fantastique qui a réussi à me faire rire aux larmes. J'avais adoré tout comme Trop belle pour mourir, un drame assez poignant d'ailleurs. Enfin bref, tout ça pour vous dire de ne pas hésiter à partir à la rencontre d'Olivia Jones, il n'y a que l'embarras du choix.















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Blue Kashmir, tome 1 : Valentina

Bonjour, je reviens sur le livre Blue Kashmir tome 1 Valentina d'Olivia Jones pour vous avouer que je l'ai vraiment beaucoup aimé. Il s'agit des péripéties qui tournent autour d'un diamant exceptionnel dont la possession conforte ou détruit ses propriétaires successifs, selon leur grandeur d'âme et la pureté de leurs sentiments. Les méchants sont punis et les bons sont récompensés, une sorte de justice immanente. L'aventure nous entraîne dans les montagnes du Cachemire, à Londres, à Paris dans les salons feutrés de la joaillerie Beauchamp. Les personnages, terriblement attachants de Valentina et Marc Beauchamp, côtoient toute une galerie de portraits qui animent parfaitement l'intrigue. Le lecteur est subjugué et ainsi j'ai hâte de lire le tome 2 qui prolonge cette jolie histoire saupoudrée de touches merveilleuses. Et voici le lien :







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Blue Kashmir: Valentina



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La tête dans les nuages

J'ai lu "La tête dans les Nuages" avec beaucoup de plaisir et je l'ai lu vite, pressée de connaître la suite. L'histoire est un conte fantastique, comme on les aime, une intrusion merveilleuse dans une existence terne, rêveuse, pas réellement vivante. Le récit est rapide et tient en haleine, on fait des suppositions et on tient à les vérifier rapidement. L'écriture est agréable et entraînante. Alors, le héros Jean, Marie-Louise la Reine des Mers et Lucy la petite-fille adorée nous invitent joyeusement à entrer dans leur univers. Le merveilleux est à notre porte, n'hésitons pas.
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Un parfum de lavande et de sang

« Un parfum de lavande et de sang » mêle avec adresse polar, romance et une pointe de fantastique.

Le ton policier domine le récit avec les crimes d’un tueur sadique dévoré par des manies à travers lesquelles la police, comme le lecteur, tente de percer le mystère de son identité. Les suspects sont nombreux : il faut dire que bien des protagonistes cachent de lourds secrets ou des passés ténébreux. Les indices sont savamment distillés au fil de l’histoire et le lecteur averti pourra peut-être deviner l’identité du tueur avant les révélations finales, mais il lui restera à comprendre ses motivations. Jusqu’au dénouement, les rebondissements nous tiennent en haleine.

Contrebalançant la noirceur des crimes, la sensualité et l’art s’entremêlent sous la plume d’Olivia Jones et apportent une note d’espoir pour les nombreux personnages féminins brisés (pour des raisons diverses) qui cherchent un nouveau souffle. La reconstruction est un thème que l’on retrouve en filigrane tout au long du roman.

Un mélange très réussi à mon sens, porté par un style fluide et addictif.
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Il y a toujours un piano quelque part

Ce bouquin se déguste à la façon d’une recette habilement poivrée sucrée qui mariant différents ingrédients certes individuellement peu originaux mais savamment combinés par le malicieux talent culinaire de l’auteure, dresse un plat plutôt agréable à savourer, peu commun et surtout diablement positif.

La gentillesse et la simplicité d’une histoire tendre, ça peut donner un bon coup de couleurs à la grisaille ambiante. Et bigre que ça fait du bien de se laisser aller à sourire candidement sans redouter l’horreur d’un nouveau drame (ou d’un nouveau meurtre selon les cas) à chaque nouvelle page.

À vos tabliers, cuisiniers en herbes, voici les ingrédients !

Vous prenez un aimable petit revenant débutant, genre Prosper le gentil petit fantôme, qui une fois devenu entité invisible aux yeux des vivants, n’a qu’une idée fixe pour occuper son éternité, aider ses ex-semblables à connaître ce qu’il a sans doute toujours ignoré de son vivant : Le bonheur.

La tâche n’est pas simple et il est plutôt maladroit l’apprenti ectoplasme. Taquin aussi. Il ne loupe jamais une bonne blague bien potache. Le Seigneur doit l’avoir à la bonne, il lui laisse pas mal de liberté… Et l’autre, éternel gamin qu’il est, va en profiter sans vergogne.

Cependant pour lier la sauce, il est primordial de rajouter au spectre, une pincée de « Joséphine ange gardien », ce qui relèvera l’humour, les pouvoirs peu maîtrisés du personnage et surtout sa mission d’entre deux : Venir en aide aux mortels qui en ont bien besoin !

À cette base fantasmagorique et bien peu effrayante, vous incorporez une solide proportion de « Chers voisins ». Vous savez la série TF1. Les relations de voisinage des habitants d’un immeuble plutôt vétuste qui se croisent sur les paliers décatis, donneront le fumet nécessaire à l’ensemble de la préparation. Tous ces gens enrichiront de leurs vies et de leurs personnalités complexes la saveur du plat.

Avant cuisson, et afin de pimenter comme il se doit le mélange des saveurs, vous saupoudrez d’une généreuse pincée d’un extrait insupportable de vieille bonne femme aigrie et acariâtre, propriétaire de l’immeuble qui en fait voir de toutes les couleurs à ses locataires. Choisissez la spécialité « Tati Danielle » mais version prolétaire sans éducation, dépositaire d’un terrible secret.

Hé oui ! La méchanceté n’est jamais gratuite. La laideur, celle de l’âme, non plus. D’ailleurs, une âme n’est jamais noire de naissance. Si sombre est son apparence, elle ne peut qu’avoir été repeinte par un drame passé. Reste à savoir lequel.

Jetez sur la sauce en ébullition, en désordre anarchique et au rythme de vos envies soudaines, un mélange savant de beaux gosses talentueux mais bien sûr sans un rond, de maris volages, de bourgeoises névrosées et allumées, de femmes trompées ou abandonnées, de couples sans amour, de SDF en goguette, d’écrivaines torturées et esseulées, de flics retraités désabusés et bedonnants.

Bref, tout un panel de loosers de vie comme il en existe tant dans nos immeubles parisiens ou provinciaux et qui rempliraient l’escarcelle d’un psy en mal de patients, si tous se donnaient la peine de consulter.

Dans un pot scellé, qu’il ne faudra surtout pas oublier de soigneusement refermer, puisez une bonne grosse portion de solitudes non partagées, de malheurs en dépôts longue durée, de regrets, d’erreurs, de désespoirs.

Ha ! Un détail ! Ne soyez pas surpris, si parfois, comme poussé par le vent, une sorte de trou normand théâtral, triste et bien écrit, qui se lit comme un dialogue de scène, vient se poser malgré vous, en plein cœur de la préparation.

Je vous conseille de déguster l’italique interlude, puis de reprendre la préparation en enfournant à four de plus en plus chaud. La fraicheur de l’écriture bienveillante s’occupera du reste.

Notre fantôme est maladroit. Nos locataires trainent des casseroles si pleines de douleurs, si lourdes à porter ! La cuisine n’est pas chose aisée lorsque l’on veut qu’elle soit bonne et partagée. Il faut insister !

Mais petit à petit, l’oiseau fait son nid. Grâce à qui ? Grâce à quoi ? Au contenu de cet imposant bocal d’espoir, genre pot de miel sucré. Mélange de tendresse, d’humour, de positivité. Une pâte possédant la saveur d’un rêve fou, celui qui tente de nous faire croire que les gens, même les plus torturés, peuvent changer avec l’aide des autres, ces autres qui aussi ont besoin d’eux pour pouvoir espérer à leur tour se transformer.

On est chez les bisounours me direz-vous ? C’est possible, Tant pis ! Ces marrantes petites bestioles à croquer sont bien plus mignons que les hideuses poupées Chucky et surtout bien plus cool.

Ce livre a le grand mérite et la modeste ambition de vouloir donner l’exemple. De nous dire, finalement, ce gentil petit fantôme qui vient se mêler de ce qui ne le regarde pas, nous le cachons tous en nous. Si bien enfermé dans notre fierté, solitude, orgueil, confort désœuvré ou simple habitude, (cochez la case correspondante) qu’il ne peut plus s’exprimer. Alors bien sûr, on ne l’entend plus le Prosper. On laisse faire nos bas instincts.

C’est peut-être naïf cet étalage d’humanisme et de bonté, c’est sans doute aussi improbable, mais on se prend à espérer que c’est parfois possible, trop rarement certainement.

Il arrive que l’écriture devienne chaotique, comme la vie de ces personnages. Il faut, de temps à autre revenir en arrière. L’auteure semble tellement savoir ce qu’elle veut nous dire, qu’il lui arrive parfois d’oublier que nous, pauvres lecteurs-témoins muets, nous ne savons pas où elle nous entraîne. Alors on se perd dans le dédale des histoires qui se croisent et des prénoms qui se ressemblent. Puis on se retrouve, avec son aide.

La fin est prévisible, tellement prévisible qu’elle est attendue, guettée, presque espérée. On en refuserait une autre !

Pourtant, on craint un drame. Il est là, omniprésent, toujours possible. Ce genre de petit drame sans importance pour le monde, mais si grave pour ces anonymes qui au fil des pages sont devenus nos amis. Comme le fantôme, on a joué les voyeurs, on les connait par cœur.

C’est vrai, on a peur d’en perdre un, ou plusieurs.

Je ne dirai pas si ce drame intervient, il vous faudra lire l’ouvrage pour le savoir. Et ce ne sera pas un effort, le livre se consomme facilement.

Enfin, pour conclure, quel genre vais-je attribuer à ce livre ? Franchement, je n’en sais rien. Il est évident que nous ne sommes pas dans un polar, nous ne sommes pas dans l’humour non plus, nous ne sommes pas dans la romance, nous ne sommes pas…

Bref !

Nous lisons de simples chroniques, contées par un petit bonhomme de 17 ans qui trop tôt, quitta notre monde des vivants si imparfaits et pourtant si pleins d’espoirs quand on prend le temps… D’espérer. Lui, le héros malgré lui, a toute l’éternité pour comprendre ça… Et pour nous aider à comprendre à notre tour, un jour que le simple bonheur se cueille comme une fleur, il faut savoir pour cela faire un pas de côté pour quitter un chemin mal tracé.

Quoi qu’il en soit, quand on le rejoindra, il sera trop tard. Nous hanterons alors les gens que nous aimons, pour continuer à les aimer.






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Blue Kashmir, tome 2 : L'homme de cristal

Un roman qui va crescendo et qui tient en haleine du début à la fin : c’est ce que je retiens avant tout de cet opus d’Olivia Jones. Après avoir lu Valentina ( le tome 1 de Blue Kasmir) je ne pouvais que me retrouver avec plaisir dans cette aventure mi réelle mi fantastique.

L’auteur mène le récit avec brio, tenant le lecteur en haleine et en dévoilant qu’avec parcimonie les mystères de Blue Kasmir ;

Un très beau livre tant par son histoire à rebondissement, ses personnages bien dépeints et surtout...son final !

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Un parfum de lavande et de sang

Je démarre cette chronique par un avertissement: NON, Non et renon! Ne vous fiez pas à la couverture de ce roman qui est en totale inadéquation avec le contenu. En effet, quiconque pourrait croire qu'il s'agit d'une romance bon "thym" bon genre avec de l'eau de rose en prime qui dégouline de mélo de tous les côtés. Pour moi c'est le gros "comédon" de ce livre parce que forcément des lecteurs font se priver d'un bon bouquin. (bon calme toi bonobocolère, c'est mauvais pour ton cœur.)



Pourtant, croyez-moi, il s'agit bien à l'intérieur d'un policier-thriller avec certes une petite pointe feelgood, mais juste un nuage. Le tout s'équilibre parfaitement sous la plume d'Olivia Jones qui fait la démonstration qu'elle peut s'essayer à tous les genres. Ça fonctionne comme la mécanique d'une horlogerie Suisse. Ça monte crescendo, personnages bien campés, lecture fluide qui caresse les mirettes et l'intrigue qui ne trouvera son dénouement qu'à la fin. Mise sur orbite de son premier thriller avec succès, la Nasa applaudit et dans un appartement du 6e arrondissement de Marseille, un bonobo se retrouve au régime sec ayant décerné à Miss Jones les dernières 5 bananes qui restaient dans son frigo.



Bref, voilà un bouquin pour tous ceux qui aiment le suspens et les intrigues bien ficelées.



Alors? c'est qui le ou la psychopathe?



Celui qui trouve avant la fin reçoit un exemplaire dédicacé par l'auteure avec une couverture remaniée et unique. Cadeau d'été.



Bananascore: 5/5
Lien : https://www.bertrandpeillard..
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Trop belle pour mourir

Laura, jeune femme veuve à 29 ans. Elle a une mère froide et distante et un père adorable dont elle est proche. Sa vie a déjà été bouleversée par la maladie de son mari, et elle hérite de la maison d'une tante qu'elle n'a pas connu. En Bretagne. Elle vit à Paris, en deuil, elle décide de partir dans cette maison inconnue, dans cette région dont elle ne sait rien, pour une vie qu'elle ne maîtrise plus.

Elle tombera amoureuse de la région, de la maison, etc. Elle y découvrira également une histoire dont on se passerait bien.

J'ai découvert une Laura qui partait à l'aventure pour se sortir de 2 ans de maladie, d'hôpitaux et de traitements. Elle va faire la connaissance de Bretons qui vont très vite faire partie de cette nouvelle vie qu'elle a choisie. Malgré l'avis de sa mère. Cette femme froide, distante et insondable. Un bon cas pour une thèse de psy... chiatrie ou psychologie, parce que le tout ressurgit sur sa fille Laura.

Pour en savoir plus sur la Jeanne, Laura et cette maison, il faut lire le livre.

Un bon moment passé avec ces personnages et Morgane dont vous saurez tout.



A recommander à ceux qui aiment les histoires de famille et les mystères
Lien : http://gracieuserobert.over-..
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Un parfum de lavande et de sang

Mon avis



Je remercie Olivia JONES de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Un Parfum de lavande et de sang ». J'ai découvert la plume légère et fluide de cette auteure lors de la lecture de « Trop Belle pour mourir » puis de « Blue Kashmir – Valentina et « L'Homme de Cristal », que j'ai adorés.



Bien que peu attirée par les « thrillers », je me suis laissée tenter par ce roman dont la très jolie couverture m'a de suite interpellée et du fait que j'aime beaucoup l'écriture d'Olivia..



Olivia JONES nous embarque dans une région du sud de la France et nous présente Liz, jeune peintre qui photographie un couple d'amants dans une forêt afin de réaliser ensuite une peinture d'après ses photos. Elle ne se doute pas que ces amoureux, Mathilde et Alex vont disparaître ainsi que d'autres jeunes femmes du village. Mais qui est ce tueur en série ? Le seul indice qu'il laisse près de ses victimes étant un bouquet de lavande...





Certains personnages tels que Liz, Mathilde Raymond sont vraiment attachants, d'autres totalement détestables mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes !



L'histoire est captivante, mystérieuse, addictive. L'intrigue est bien ficelée et le suspense très bien mené. L'auteure nous dirige habilement vers de fausses pistes et nous pensons avoir découvert le nom du tueur... mais il n'en est rien.



J'ai dévoré ce sublime roman pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement ô combien fort surprenant.



J'ai ADORE ce premier thriller de l'auteure, agrémenté d'une histoire d'amour, extrêmement bien écrit, passionnant et dont les multiples rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine et je vous le recommande donc vivement.



Un grand BRAVO Olivia ! Une petite question toutefois : une suite est-elle prévue à cette histoire ?



Excellent moment de lecture.

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