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Citations de Olivier Barde-Cabuçon (455)


Il aimait l'élégance des femmes et leur raffinement. Pour lui, la femme était l’espèce la plus achevée de l’humanité.
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- Chacun doit vivre selon sa condition et son état. Dieu en a décidé ainsi ! Notre société repose sur l'ordre qui procure à tous la tranquillité. Ceci nécessite que chacun accepte de s'en tenir strictement aux droits qui lui sont accordés.
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Les médecins ne savent peut-être pas soigner mais ils parlent le latin et le grec. Certains sont même capables de philosopher en vous saignant !
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Olivier Barde-Cabuçon
" socialistes, républicains socialistes, radicaux-socialistes, gauche démocratique, gauche radicale... C'est à se demander comment il y a autant de partis pour si peux d'idées."
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"d'un coup s'imposait à lui une vision quasi jungienne de l'Inconscient collectif masculin, tout entier occupé à assurer sa domination sur la femme en l'enserrant dans un corset, en mutilant sa silhouette pour en estomper les formes trop animales et s'en conserver l'unique privilège. Ligotée et enterrée vivante sous de multiples couches de vêtements, brimée dans sa liberté de mouvement, respirant au rythme qu'on lui imposait, la femme enfin domptée ne représentait plus aucun danger pour l'homme".
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L'homme est livré à lui-même dans un monde hostile, seul et désemparé. C'est à lui de trouver quel sens donner à sa vie et quoi faire de son existence.
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Nous sommes ici dans une maison mamelouke. Mamelouk, cela signifie “celui qui appartient”. Si tu crois que l’on peut faire seul son chemin… On appartient toujours à quel­qu’un dans la vie…
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Réfléchir, c'est commencer à désobéir. (p 69 Editions Actes Sud, coll. "Actes noirs")
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L'aube effleurait Venise de ses ailes d'argent. Les premiers rayons du soleil semblaient prendre appui sur le Grand Canal avant d'illuminer la façade des palais. Brume et rêverie s'élevaient paisiblement des canaux. La féerie du moment le disputait à ce sentiment d'éphémère qui planait toujours sur la ville comme si, à chaque seconde, un rien pouvait l'engloutir à jamais.
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- Il est curieux de voir que le roi traite mieux sa ménagerie que ses sujets, remarqua impertinemment le moine.
-Il en a toujours été ainsi. Les rois prennent plus soin de ce qu'ils montrent à voir que de ce qu'ils s'appliquent à dissimuler ! (p. 152)
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Donner des riens pour des riens avait été la meilleur idée de son règne [du règne de Louis XIV].
Cela n'étant pas suffisant, il avait vendu des titres comme celui de gouverneur des carpes de Sa Majesté ou chef du gobelet de la reine. Il se trouvait toujours un couillon pour l'acheter et s'en trouver fier. (p. 121)
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Chaque détail a son importance, je note tout et pas seulement dans ma mémoire. Un meurtrier peut laisser des signes de sa présence sur une scène de crime tout comme l'escargot marque son passage de sa bave. L'observation est la source de notre travail.
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Fan inconditionnelle de cet auteur et particulièrement de cette saga il est difficile de faire un commentaire "neutre".

Je dirais simplement qu'encore une fois M. Barde-Cabuçon fait preuve de son grand talent d'auteur en nous transportant dans un univers ou rien n'est tel qu'il n'y parait. Chacun porte un masque. Chacun cache quelques chose. Chacun joue sa partition sans se soucier des fausses notes.

Que dire du décor ?

En résumé: wow !
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"(...) on ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ignore sa destination finale".
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C'est bien son coeur que l'on voit dans sa main droite. Est-ce ce qu'on appelle " avoir le coeur sur la main " ? On ne dirait pas qu'une aussi petite chose puisse nous garder en vie !
Il se tourna vers le lieutenant général de police.
N'est-ce pas ? Oh, pardon monsieur, J'avais oublié que vous n'en aviez pas !
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- Je ne réclame que l'application de mon droit inaliénable en tant qu'homme à exercer le premier des principes de la liberté.
- A savoir ?
- Se révolter contre la loi lorsqu'elle nous est imposée de force et va à l'encontre de la nature humaine.
- Et quelle est-elle, selon vous, cette nature humaine ?
- Elle est le fondement même du but de notre existence sur terre qui doit être de faire le bien d'autrui et non de soumettre l'autre.
- Vous refusez toute loi et donc tout ordre sur terre ? Mais que feriez-vous sans ordre ?
- Ah, ah ! s'exclama le moine. Je l'attendais ! La loi et l'ordre ! Elle est bien bonne celle-là ! Vous semez la peur du désordre pour nous convaincre de l'utilité de votre présence ! Sachez, monsieur, qu'il y a lois oppressives et lois émancipatrices.
Sartine s'emporta
- Vous n'êtes qu'une force libertaire, un champ confus de liberté, d'indépendance et d'autonomie ! Vous refusez de vous soumettre à nos lois car vous vous estimez au-dessus d'elles. Vous êtes porteur de forces destructrices puériles et aveugles.
- Je dirais plutôt merveilleuses et terribles !
- Des forces sans principe, sans foi ni loi !
- Certes ! Mon idéal est, comme le dirait le grand Thibault, que les hommes se régulent entre-eux sans avoir besoin de divin ou d'absolu. Un jour, ils apprendront à le faire.
(p. 325)
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Quant à sa faiblesse, allez donc voir trimer les villageoises, elles abattent autant de travail que leur homme et s’occupent en plus de leurs enfants et de leur maison
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C'est une hypothèse, tempéra Volnay, juste une hypothèse. Pour l'instant, ne plions pas les faits à notre idée mais adaptons celle-ci à nos indices.
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Comme nous sommes au théâtre, nous pourrions résumer ce qui s'est passé ainsi:
J'arrivai: ils tremblèrent
J'avançai: ils reculèrent
Je dégainai: ils décampèrent
Je les tuai: ils expirèrent
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Renoncer au monde et aux passions, centrer son esprit sur l’invisible et rencontrer Dieu ! Mieux vaut entendre cela que d’être sourd !
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