Patrick Isabelle

A force de faire plusieurs suites, on dirait que l'on se tanne de l'intrigue. Un peu moins bons que les trois premiers tomes. Walker est toujours la proie et en danger. Et Marianne on l'as déteste de plus en plus. J'ignore si il va y avoir un tomes 5. Mais j'espère que ça va bientôt arrêter

Mon fils, qui est en secondaire 3, m'a recommandé ce livre qu'il doit lire pour l'école. Sa suggestion était surprenante, car il n'est généralement pas un grand lecteur, mais son enthousiasme était contagieux.



Bien que clairement destiné à un public adolescent et que l'intrigue ne brille pas par son originalité, j'ai été captivée par l'histoire et ses personnages charmants. Les discussions avec mon fils sur nos hypothèses respectives ont renforcé notre intérêt commun.



C'est un roman qui, tout en étant divertissant, m'a donné l'envie de découvrir la suite, et j'espère le faire en compagnie de mon fils.

Anna Caritas, le nom du collège où étudient William, Anthony, Gabrielle, Sabrina, Maddox, Sarah et Laurie. Le retour après 3 ans de Marianne, une jeune fille hors norme pour cette petite ville qu’est Saint-Hector (surtout après le drame survenu ayant causé son départ), n’augure rien de bon et c’est après un séance de spiritisme amateur que nos amis vont devoir faire appel à cette dernière pour tenter de stopper ce qu’ils ont réveillé.



Je suis sous le charme ! Pour faire simple j’ai ouvert le livre vers 20h du soir et je ne l’ai fermé qu’à 1h du matin, terminant les dernières pages à la lumière d’une petite pour ne pas réveiller mon petit monstre.



L’histoire est prenante, les temps de pauses sont courts et le surnaturel reprend vite le dessus. J’ai flippé ? Oui, ce n’est pas effrayant et en même temps, j’étais tant prise dans ma lecture que j’ai ressenti en même temps que ces ados leurs terreurs, leurs peurs, leurs angoisses et ayant un plan de vu plus large qu’eux, je peux également commencer à m’inquiéter de la suite, car suite il y aura vu que cette série comporte 5 tomes.



Le bémol, l’introduction ne m’a pas vraiment plus, la description de la ville et de son ‘’histoire’’ m’a un peu assommée, même si je comprends maintenant pourquoi elle était présente de cette façon, c’est un moyen de dire eh oh c’est parfait ? Non y’a une grosse anguille sous la roche prête à se réveiller et vous bouffer tout cru, maintenant la nature de cette anguille reste encore un mystère que j’ai hâte d’éclaircir dans les prochains tomes.



Bon par contre, j’avoue que le prix pique. Autant ce premier tome, l’ayant pris en offre découverte reste plus que raisonnable pour un beau broché comportant quelques illustrations, autant les prochains bah le numérique surtout je trouve que 10,99€ pour un numérique c’est beaucoup ! Néanmoins, le prix raisonnable de 14,90€ pour le broché va me convaincre de m’offrir les suites.
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Une excellente lecture !

C’est une lecture loin de mes genres de prédilections et une bonne initiation au genre horrifique. J’ai été agréablement surprise. Elle se rapproche du coup de cœur, même s’il m’a manqué un petit quelque chose. J’ai été happée dès les premières pages, elles ont défilé. Prise par l’histoire, j’ai même repoussé l’heure du coucher. Mon petit cœur s’est serré d’angoisse. L’action et les rebondissements sont également du voyage, pas le temps de s’ennuyer.

William est en plus de ça très attachant, il est touchant, sensible et gentil. J’ai tout de suite accroché. Les autres personnages sont un peu pâle en comparaison sans que ce soit gênant.





Le possible point manquant !



Les descriptions sont peut-être un peu trop courte, elles auraient gagnées à être étoffées. Seulement, cela peut s’expliquer par le public visé entre 12 et 16 ans. La mise en page est agréable et assez caractéristique du public visé. L’écriture est une police en gros caractère, les paragraphes sont courts, les marges plutôt larges et les interlignes plutôt espacés. C’est une mise en page caractéristique et très appréciable (notamment pour les dyslexiques comme moi). Je pense d’ailleurs que si je l’avais lu à cet âge là, ce livre aurait été un coup de cœur.

De plus, il m’a manqué des éléments explicatifs sur la fin. Elle était un peu rapide.



Si vous avez aimé…



Ce livre m’a un peu fait pensé à Supernatural dans la manière d’enquêter et peut-être un peu de l’Exorciste.



La plume de l’auteur !



Elle est efficace. Les phrases courtes ont contribué à souligner le rythme angoissant, à me rendre addicte… La plume de l’auteur est rythmée sans qu’elle soit abrupte bien que certaines phrases soient composées d’un groupe nominal seulement.



Patrick Isabelle emploie aussi des éléments visuels comme des bulles pour les SMS, des coupures de papier de journal… Ce sont des détails que j’ai vraiment beaucoup aimé.



En résumé : C’est une excellente lecture angoissante et prenante avec des personnages attachants, mystérieux et parfois même un peu terrifiant… J’ai hâte de lire la suite.
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J'aime beaucoup Patrick Isabelle. Camille, tout comme la trilogie Eux/Lui/Nous, est percutant. Ça vient nous chercher en dedans. Ses livres portent beaucoup à réflexion. Il est quasi impossible de ne pas aimer cet auteur. Il peut être facile pour le public cible de se reconnaître parmi les personnages des romans. Les sujets abordés font probablement / sûrement partis du quotidien de plusieurs d’entre eux. Dans ce roman-ci, l'auteur aborde la question de la violence familiale.



Les livres de Patrick Isabelle sont tellement accrocheurs que nous passons facilement au travers en peu de temps. Ils ne sont pas très gros et plusieurs sont minces, ce qui peut donner le goût à nos ados de se plonger dedans.



Patrick Isabelle écrit des romans pour la jeunesse mais ils conviennent tout aussi bien aux adultes. Si vous n'avez pas encore lu ses romans, je vous invite à vous y plonger !
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Une couverture plus qu'attirante quand on est passionnée de suspense et thriller, on sait tout de suite dans quelle ambiance, on va être.



Marianne Roberts réapparaît dans la petite ville de Saint Hector où le meurtre de son père et sa belle-mère a eu lieu, suite à une série d'événements bizarre.



Un groupe d'amis décide de passer la soirée ensemble chez Sabrina afin de faire la fête.



Mais au cours de cette soirée un peu trop alcoolisée, un jeu particulier va être mis en avant par Sabrina, faire une séance de Ouija.



Lors de cette soirée, ils réveilleront quelque chose, une force surnaturelle qui s'en prendra à Sabrina.



Suspense assuré !



l'auteur sait nous faire monter le suspense dans ce fabuleux roman, sa plume est addictive, tout est bien détaillé et décrit, on imagine très bien les scènes.



Des personnages intriguant à tout point de vue, certains seront attachants, et d'autres énervants.



J'ai adoré cette lecture et j'ai vraiment hâte de découvrir le Tome 2!!!

Tout d’abord, ce livre inclut plusieurs personnages principaux comme William Walker et Marianne Roberts. Entre eux, l’amour est impossible, car Marianne se décrit elle-même comme dangereuse pour son entourage. On peut en plus se reconnaître dans les personnages et certains évènements qui se passent dans ce roman. L’amitié est très présente dans cette œuvre, ils doivent tous s’entraider pour résoudre des problèmes et cela crée des liens forts. Pendant l’histoire, plusieurs imprévus se produisent, ils sont tous importants à leur façon et peuvent nous donner l’envie de lire les prochains chapitres sans s’arrêter. La peur et les frissons qu’Anna Caritas nous donne peut aussi nous rendre accro en une seule fois, L'apparition du jeu Ouija vous fera vous évader tout en vous donnant la chair de poule. Bref, cette œuvre avec plusieurs personnages différents sera à craquer.

J'ai vu cette petite série jeunesse passer entre les mains des professeurs plusieurs fois, alors , forcément, un libraire jeunesse doit savoir de quoi il retourne! C'est donc le premier tome d'une série de quatre sur un personnage de presque 12 ans, Henri Côté.



On ne peut pas le deviner, mais avec ses yeux légèrement bridés verts et sa tignasse noire et raide, le jeune Henri est le second enfant adopté de sa famille, après son aînée Marika, qu'on devine d'origine orientale. L'ennui, pour Henri, c'est que ses parents refusent de lui dire quoique ce soit sur son passé avant ses 16 ans! Même chose pour sa sœur. Alors quand on lui demande une rédaction sur son "histoire", Henri décide de l'inventer à défaut d'avoir la vérité. Bien sur, le récit hollywoodien de sa mère en espionne de la guerre froide offrant son unique enfant à son amant pour lui sauver la vie a quelque peu exaspéré son professeur. Henri aimerait bien être moins "ordinaire". Et bien, monsieur sera servi! Entre l'arrivé de la belle Béatrice pour laquelle il expérimente de nouveaux sentiments et l'arrivé de lettres étranges au contenu amoureux à la limite du grandiose, Henri nous partage le quotidien de sa famille assez hors normes et de ses amis hauts en couleur.



J'ai trouvé ce premier tome assez sympathique pour une fiction. On pense à tort que l'ordinaire est ennuyeux et que le "normal" est indigne d'attention, mais pourtant quoi de plus normal que les premiers sentiments amoureux et les angoisses qu'ils suscitent? Aussi, on a tendance à se croire soi-même sans intérêt et pourtant Henri est tout sauf ennuyeux. Fan de vieux films, un peu anxieux sur les bords, Henri a une personnalité intrigante qui se constate surtout à travers la narration. Il se raconte et il le fait d'une manière originale. Sa mère et ses fautes d'anglais ou d'expression m'auront vraiment fait rire - "Sky is the lemon!, "Ernest et Ming Way, ils étaient deux?" HAHA! Henri a aussi de bons amis, une chose que j'apprécie, car parfois les amitiés jeunesse sont surfaites ou peu profondes.



J'ai également apprécié le thème de l'amitié entre garçons et filles, qui est une sorte d’ambiguïté sociale. Le flou que peut prendre ces relations, les préjugés de genre, les changements qui arrivent à l'adolescence entre les membres du groupe d'amis, tout ça est abordé doucement. Les garçons évoquent à plusieurs reprises le fait qu'Élodie est devenue "une vraie fille", que veulent-ils dire? Pourquoi parler de "Garçon manqué" quand on ne parle jamais de "fille manqué"? On peut ouvrir des débats avec ce roman, avis aux profs!



C'est un roman de 150 pages qui se lit facilement d'une traite pour un lecteur rapide, mais qui offre aussi une belle lecture aux moins expérimentés. C'est drôle, actuel et on y trouve des thèmes assez généraux qui peuvent tous nous toucher à au moins un degré. J'aime également la plume de Patrick Isabelle.



Une lecture fort plaisante, pour un lectorat du troisième cycle primaire environ.



P.S L'auteur/rice des lettres d'amour est un(e) sacré(e) romantique!

Ayoye.



Je savais que ça allait être dur, mais je n’étais pas prête quand même.



L’écriture est concise et efficace. Les moments choisis sont tous ceux qui ont mené à la dérive du personnage principal. Lire tous les moments difficiles de sa vie de manière intensive c’est tout simplement invivable, tout comme ce que le personnage principal a vécu.



On ressent la peur, l’impuissance, la solitude, le désespoir que le personnage principal subit. On est enragé que personne ne lui tende la main, ni les profs ni ses parents et on comprend pourquoi il devient de plus en plus renfermé.



C’est brutal parce que c’est fatalement crédible.
Lien : https://youtu.be/hpAP85rop94

Suite à ma lecture de Eux, le premier livre de cette trilogie, je me suis empressée de lire Nous, qui est la suite. Je devais absolument savoir ce qui arrivait à notre adolescent maltraité. Mais j'avais également le goût de me replonger dans l'univers de Patrick Isabelle.



Dans Nous, c'est l'histoire de cet adolescent, qui est incarcéré pour un crime. Poussé à bout par ses tortionnaires, il a commis l'irréparable. Il doit donc purger sa peine dans un centre jeunesse. Au fil des pages, nous vivons avec lui sa réhabilitation. Ayant toujours été seul, il doit apprendre à cotoyer d'autres garçons, à faire sa place parmi eux.



Ce deuxième roman fait prendre conscience au lecteur du prix à payer quand on pose un geste aux répercussions graves. Ce n'est pas seulement l'accusé qui doit vivre avec les conséquences mais la famille au grand complet.

Encore une fois, j'ai été conquise par cette histoire. Il est toujours agréable de lire un roman où l'écriture est fluide. Cela rends l'histoire encore plus intéressante. Les chapitres étant courts, ça évite le babillage inutile. L'auteur maîtrise à merveille son sujet et c'est peut-être ce qui fait que nous avons l'impression d'être devant un fait vécu.

Je vous recommande chaudement de découvrir Patrick Isabelle. Vous ne le regretterez pas!
Lien : http://letempsdlire.blogspot..

Saint-Hector, une petite ville sans prétention, ou se trouve Anna Caritas, un prestigieux collège, ce voit être le théatre de mystérieux évènements depuis le retour d'une jeune fille nommée Marianne. Les phénomènes bizarres vont finirent par intriguer un groupe de jeune gens, dont notre héros William Walker et son groupe d'amis. Animés par la curiosité, ils utiliseront un objet bien connu du monde des esprits pour communiquer avec l'au-delà .. mais aucun dentre eux n'étaient prêt à ce qui s'en suivit .. Quelque chose s'est réveillée .. et leur seule issue semble être liée à cette jeune fille, Marianne, qu'ils avaient pourtant tenter de fuir depuis son mystérieux départ du collège d'Anna Caritas, quelques années plus tôt.



Ce roman nous plonge rapidement dans le vif du sujet, quelque chose s'est réveillée et ne compte pas les lâcher .. et encore moins leur faciliter .. voir bien pire. Pourquoi ? Quel est donc cette entitée qui s'en prend au groupe avec tant de violence, sans leur laisser une seule seconde pour respirer ? Comment nos protagonistes pourront-il calmer cet esprit et le renvoyer d'où il est venu ? Combien de temps encore pourront-il survivre sans l'aide de cette mystérieuse jeune fille, Marianne ?

L'histoire nous tient alerte au fur et à mesure que les pages se tournent. Bien ficellée, elle ne cesse de nous faire nous poser des questions sur ce qu'ils ont bien pu réveiller, et quel est le but de cet esprit mauvais. Au fil des chapitres, les personnages dévoileront progressivement leur véritable personnalitées, leurs secrets, leur détresse .. certains seront attachants, d'autres énervants, mais dans l'ensemble, il est facile de s'identifier à l'un deux.

Ce livre regorge de nombreux mystères qui plairont aux fans du genre. Entitée, possession .. magie noire .. tout est en place pour nous faire vivre une aventure des plus intriguante !

Anna Caritas le sacrilège de Patrick Isabelle est un roman destiné aux 13 ans et + malgré le fait que l’intrigue et les scènes décrites dans ce roman sont assez effrayantes … mais pas au point de nous empêcher de dormir. Cependant, pour ma part ce roman jeunesse tient toute ses promesses !



Il est vrai que les sciences occultes ou la démonologie ne sont pas des thèmes qui sont souvent exploités dans la littérature jeunesse, ou en tout cas de cette manière. Ainsi avec ce roman l’auteur a su nous imposer un univers plutôt noir, avec une ambiance assez pesante tout le long du récit, en s’emparant des codes de la sorcellerie et des sciences occultes qui sont très en vogue en ce moment.



Dès les premières pages, l’auteur nous happe dans son univers et au final il est difficile de s’en échapper. Tous les moindres détails ont été étudiés pour ne rien laisser au hasard : un lieu isolé où la religion prédomine, un personnage (Marianne) en marge de la société et un groupe d’amis aux caractères différents mais complémentaires. J’ai particulièrement aimé le personnage de Marianne qui est intriguant à tout point de vue et il serait intéressant de connaître sa véritable histoire.



Au final le lecteur se prend au jeu et s’intéresse au sort de chacun des protagonistes, sans savoir sur qui le mauvais oeil va s’abattre. Ainsi tout au long du roman, règne une certaine appréhension et un suspence sans faille qui laisse tout un tas de possibilités pour la suite des aventures.
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une méchante claque
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Je ne présente plus Patrick Isabelle, ceux qui me suivent savent qu’il fait partie de mes auteurs chouchou. Chacun de ses ouvrages met en scène un jeune et une problématique (harcèlement, violence familiale, vengeance…) avec beaucoup de lucidité. On ne se sent pas toujours bien dans ses romans mais c’est voulu. Le but est de dénoncer et de faire réagir, que ce soit les adultes qui parfois sont trop investis dans leurs propres préoccupations ou les jeunes, qu’ils soient victimes, témoins ou acteurs.



Le personnage principal n’est pas toujours cent pour cent sympathique. Il a aussi ses failles et ses défauts et cela le rend particulièrement attachant. C’est le cas ici. Victor est un gamin sans histoire, un enfant comblé, bien qu’il ne s’en rende pas compte. Sa vie va changer suite à la promotion professionnelle de son père qui entraine un déménagement et un éloignement de ce dernier. Victor se retrouve seul des semaines entières avec sa mère qui vit mal cette situation. Comme beaucoup de préados, il n’a aucune empathie pour elle, aucune compréhension pour ses émotions. Il ne voit que son propre mal-être.



Quand la rentrée arrive et qu’il se fait agresser la première semaine par le caïd de la classe, Victor commence à perdre pied. Mais Alice, l’incroyable Alice, intelligente, sûre d’elle, obstinée, imperméable aux jugements des autres… va lui servir de bouée de sauvetage et devenir sa meilleure amie. Avec elle, il se sentira mieux, vivra ses premières fois et prendra en maturité. Mais cette fille qu’il trouve si forte vit-elle un conte de fées ?



Publié en 2010, « Bouée de sauvetage » est le premier roman de l’auteur. Quatre ans avant « Eux » il aborde, en partie, la même problématique, le harcèlement. Ce qui diffère, outre l’âge des protagonistes, c’est le fait que Victor n’est pas seul face à Dandurand et qu’à deux, on est plus fort. Ce que j’aime aussi chez Patrick Isabelle c’est que le bourreau n’est pas seulement bête et méchant. Il reste humain et a aussi ses failles qui expliquent, à défaut d’excuser, son comportement.



J’ai apprécié ce récit plus proche des élèves de 12-13 ans que le récit de « Eux » qui s’adresse, selon moi, aux plus âgés. Même s’il est moins brutal, il est tout aussi percutant. Un bon roman, une plongée habile dans l’univers des presqu’adolescents, tout en sensibilité et pudeur.

Très bon! Complète 'Eux', 'Nous'! La fin par contre est un peu étrange!

Excellent!

Bouées de sauvetage, un livre à nous faire sortir de l’eau !

Ce livre écrit par Patrick Isabelle et publié en 2010 raconte l’histoire d’un jeune garçon qui déménage de sa ville natale et qui se retrouve finalement seul, il a donc besoin d’aide pour s’adapter à sa nouvelle école. Il fait donc la rencontre d’Alice, une fille très généreuse et gentille. Grâce à Alice, Victor réussit à vivre une vie plus tranquille malgré Dandurant qui se trouve sur son chemin.

Ce qui m’a fait apprécier le livre est principalement le déroulement de l’histoire, car les événements qui se suivaient étaient très bien interprétés, car grâce à cela, j’ai bien pu suivre le roman. Dans d’autres romans que j’ai lus, les événements étaient difficiles à suivre. Deuxièmement, les personnages aussi m’ont fait apprécier davantage le livre, car j’ai pu sentir les sentiments des personnages, exemple, la solitude de Victor lors de son déménagement.

J’en conclus donc en annotant ce livre avec quatre étoiles sur cinq.

Alexpro03

jai ADORÉ ton livre il étais jénial et jai vraiment aimer notre rancontre a mon école la paserelle

Je recommande ce livre parce que ça parle du vrai secondaire. Je pense que ceux qui vont lire ce livre vont vraiment l`aimer.

Le troisième tome est pour fermer la boucle avec les Damnés. Un peu moins plaisant que les deux premiers. Beaucoup de fantômes. William Walker s'en prend à lui même. Nouvelle école et nouveaux amis pour celui-ci mais toujours entrain de jouer avec les forces du mal.