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Citations de Patrick White (73)


J'ai perdu tellement de temps à lire Saint-Simon, dit-elle. Je m'aperçois que je n'y prends plus plaisir. Parfois, je me demande ce qu'il restera pour finir, combien de temps positif à inscrire en face du temps gâché. Est-ce qu'on regrette le gâchis, ou est-ce simplement une chose indifférente?
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Le thé comblait les silences, adoucissait les reproches. Si on pouvait verser les mots avec la facilité et la chaleur des tasses de thé.
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- Pourquoi est-ce que les gens parlent? Le plus souvent pour combler les silences.
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- Parfait. Sentimental et stoïque. Le passé est désirable la plupart du temps car il ne formule aucune exigence et c'est le présent qui est condamné à paraitre rude et dénué de charité. Mais quant à l'avenir, ne pensez-vous pas que les chances soient égales?
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Elle avait mangé tout son rouge à lèvres et sa bouche avait un air terne. L’espace d’un instant, Harold Fazackerley aurait préféré n’avoir jamais épousé sa femme.
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L'espoir, dit Eden, est une des maladies incurables de notre temps.
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- L'homme est monstrueux et injuste.
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Les Australiens ne naissent que pour vivre. Finir au ci fière ou au crématorium est une pensée insupportable. Alors on n'y pense pas.
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"Oh, les gens peuvent être terribles! affirma Miss Scrimshaw sur un ton assez terne, mais d'une voix étonnamment forte. Je crois qu'on ne verra jamais le bout de l'atrocité humaine."
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- Je ne vais pas mourir, si ce n'est par les docteurs, avocats et politiciens.
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Être célèbre est une occupation si solennelle, si prenante... Il faut vraiment en rire de temps en temps.
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À Sydney, semble-t-il, les ponts ne relient pas, ils séparent.
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- Mais l'Histoire n'est pas acceptable, tant qu'on ne la passe pas au crible pour en extraire la vérité. Parfois on n'y parvient pas du tout.
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La nuit est peut-être la meilleure partie de la vie, si t'es toute seule et possèdes une voiture. (p.93)
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Je suis sortie pour prendre l'air et faire quelques pas. La lune était à son premier quartier ; la rivière, au loin, un vague ruban d'argent. Souvent, par une nuit pareille, à Z., un pays auquel j'appartenais (plus qu'à mes parents ou à ma famille), je souhaitais d'être unie à ce qui m'entourait, pas comme les morts, mais bien vivante. Ici aussi, malgré ma reconnaissance et mon amour pour un mari qui dépend autant de moi que je dépends de lui, je commence à me sentir plus proche du pays que d'aucun être humain. La raison, et le peu que j'ai appris dans les livres qu'on m'a donnés trop tard pour que je fasse plus que les parcourir, tout cela me dit que j'ai tort de penser ainsi, mais mon instinct désire quelque chose de plus profond, que je ne connaîtrai peut-être pas avant d'être morte.
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"Je vais vous dire une seule chose, lui accorda Miss Scrimshaw. Chaque femme a des profondeurs secrètes dont même elle peut être inconsciente, et qui seront bouleversées tôt ou tard."
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Ce soir, je suis le jeu de construction que personne n'assemblera même si aucune pièce ne manque. (p.103)
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Mon mari était grec, un patriote grec. Et moi australienne avant de l'épouser. Je ne me considère pas comme britannique. (p.4)
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Le parfum de sa mère était fait d'une vague mélancolie, un composé d'actes notariés et de verveine citronnelle.
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- Cela reste à voir. Chaque homme possède son génie propre, mais on ne peut toujours le découvrir. Surtout lorsqu'il est étouffé par les banalités de l'existence. [...]
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