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Critiques de Paul Kenny (66)
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Coplan, tome 83 : Casse-tête pour Coplan

Coplan se rend à New Delhi afin de récupérer des documents "secret défense" auprès du correspondant local.

Celui-ci présente des signes de maladie. Soupçonnant qu'il a été exposé dangereusement à une source radioactive, il est urgent de l'envoyer se faire soigner à Paris.

Pendant son absence, Coplan prendra sa place pour faire le job et découvrir la source de contamination. Il va s'apercevoir qu'une secte locale manipulée par l'URSS se prépare à lancer une attaque nucléaire sur la capitale sous bannière chinoise. Casse-tête pour Coplan !

Il va découvrir un sacré sac de nœuds qui risque fort d'entraîner des réactions en chaîne que les diplomates auront bien du mal à stopper.

Coplan va devoir sortir le grand jeu pour déjouer le complot.

Écrit en 1965 ce livre montre combien les informations sur le nucléaire étaient minces. Le lecteur ne peut que sourire devant la naïveté du récit.

Il faut se laisser porter par l'action sans trop se poser de questions.

Oublions les Pourquoi ?, les Comment ? et laissons couler.

Un petit cru qui ne fera pas date mais qui offre au lecteur un dépaysement au pays des maharajahs.
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Raison d'état

Jack Murray n'est autre que le tandem du plat pays : Jean Libert - Gaston Van den Panhuyse plus connu sous le pseudonyme de Paul Kenny que l'on trouvait aussi dans cette Collection espionnage des Éditions Fleuve noir.

Contrairement aux habitudes ce roman daté de 1961 ne met pas en scène une lutte entre le bloc de l'Est et le monde libre, ici ce sont les services secrets anglais qui agissent en Allemagne de l'Ouest.

Ronald Mackay, simple citoyen britannique en se rendant à Hambourg pour retrouver la trace de son amie qui ne donne plus de nouvelles, va être plongé malgré lui au cœur d'une lutte où tous les coups sont permis au nom de la raison d'État.

Agréablement surpris par la consistance de ce scénario qui ne tombe jamais dans la facilité en recourant à des invraisemblances, des raccourcis ou du tape à l’œil. Je note aussi l'absence d'erreur de psychologie pour dépeindre les personnages.

Hélas ce n'est pas une lecture qui va vous mobiliser de nombreux jours, les 218 pages vont vous paraître un repas pris sur le pouce.

C'est le seul défaut de ce roman, mais à l'époque c'était la règle du jeu.

Me plonger dans ce genre d'ouvrage, c'est l'occasion de faire un break entre deux livres plus consistants. Une sorte de relaxation pour digérer la lecture précédente, associée à une mise en condition pour aborder le chef-d'oeuvre à venir....

Ce livre est un petit bonbon acidulé pour l'esprit.

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Coplan, tome 24 : Attention radar

Attention Radar raconte une affaire d'espionnage autour du système de protection radar qui protège le canal de Panama. Ça démarre par la noyade d'un ingénieur américain à Nice. Coplan est vite mis sur l'affaire qui va l'entraîner de Nice à Majorque, puis au Panama. Bien ficelée, bien rythmée, bien menée, l'intrigue est plutôt efficace, assez solide pour passer un bon moment, on sent qu'il y a de la recherche par soucis de crédibilité. Mais cela ne suffit pas, ce Coplan est un peu trop lisse, malin et courageux, mais assez insipide, il manque quelques dérapages et tergiversations, il manque la lourdeur colonialiste d'un OSS 117 (non volontaire mais drôle avec le recul), la gouaille d'un San Antonio (celle-ci volontaire), la dérive pornographique d'un SAS, il manque la surprise, l'extravagance, la folie, les dérapages ou même les failles qui peuvent m'attirer dans un roman d'espionnage. C'est lu sans émotions.

Bien fait, ça se laisse lire, mais sans reliefs.
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Coplan, tome 97 : Contacts est-ouest

Inquiétude à Moscou comme à Washington quand "Scipion", un astéroïde, semble se rapprocher anormalement de la terre. Chaque camp soupçonne l'autre de cette anomalie et met tout en oeuvre pour connaître la situation sur ce caillou jamais exploré. De Cap Kennedy, les Américains envoient deux astronautes, aussitôt suivi des Soviétiques en partance de Baïkonour. Chose exceptionnelle, Coplan (au pied levé !!!) s'envole avec eux pour résoudre l'énigme. Est-ce un hasard qu'en cette année 1966, date de rédaction de ce livre, Charles de Gaulle voyageait à Moscou ?

Par leur déclaration commune du 30 juin, la France et l'Union soviétique inauguraient une « politique de détente, d'entente et de coopération". Paul Kenny est allé au-delà de cette politique en y incluant les États-Unis. Politique "Peace and love" dans ce livre d'espionnage atypique, souvent technique, mais sympathique.





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Coplan, tome 138 : Coplan a le dernier mot

Ce livre m'a intrigué par sa couverture inhabituelle. Une image sans intérêt qui sert davantage de fond d'écran pour mettre en valeur ce nom en grosses lettres noires : Kenny.

Sans doute un nouveau concept pour cette ultime collection qui souhaitait mettre au rancart toutes ces filles légères et court vêtues.

Un indice peut être pour préparer le lecteur à un voyage dans les pays scandinaves...

Un espion soviétique doit rapporter des prises de vues d'une installation militaire Suédoise. À peine a-t-il mis les images dans la boîte que la police le coince.

Ce qu'il ignore, c'est la partie d'échecs qui se joue à Moscou au sein du pouvoir pour lequel un pion comme lui ne sert qu'à être sacrifié.

Afin de ne pas subir de représailles de la part de Moscou les pays se refilent la patate chaude (l'espion) jusqu'au moment où celui-ci termine son périple sur le sol français (faut bien que Coplan rentre dans la danse).

Si ce premier tiers du récit était des plus honnêtes, j'ai ressenti subitement un changement de style et un raccord pas très naturel.

En effet c'est le moment où l'action va se dérouler au Centre Hélio Marin de Montalivet (un camp de nudiste) qui à l'époque de la parution du livre, vivait son âge d'or.

Cela m'a paru un texte publicitaire à la gloire de cette destination de vacances que l'on avait tenté d'insérer en force dans le récit.

Dès cet instant je n'ai plus "marché" et ce n'est pas la conversion de Coplan en bon samaritain qui tend la main à la brebis égarée (l'espion soviétique) qui pouvait arranger la situation.

J'ai refermé ce livre dépité (même pas un bout de sein sur la couverture pour me consoler).
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Coplan, tome 185 : L'ange et le serpent

Julia Krooner est un beau brin de fille de vingt cinq ans. Mais ce n'est pas ses charmes qui attirent l'attention des services anti-terroristes allemand. Son nom a été retrouvé plusieurs fois dans les papiers de suspects arrêtés et on la soupçonne de travailler pour le KGB.

Elle vient de quitter brusquement son emploi de secrétaire à Francfort pour reparaitre à Paris dans une société qui elle aussi a des contacts commerciaux avec l'URSS.

Il n'en faut pas plus pour que la Direction Générale de la Sécurité Extérieure à Paris s'intéresse aux activités de la jeune femme.

Afin de la surveiller au plus près, le meilleur agent va être infiltré dans la même entreprise que la suspecte.

Quoi de plus naturel que de tisser des liens entre collègues de travail autour de la machine à café ? Mais parfois cela mène à une idylle qui complique grandement la situation.

J'avais choisi ce livre pour renouer avec des histoires d'espionnage, de guerre froide entre l'Est et l'Ouest avant la chute du mur de Berlin.

Époque où il y avait deux Allemagne. D'un côté le bien et de l'autre le mal qui s'affrontaient dans une lutte acharnée de laquelle Coplan sortait toujours vainqueur. Récits des plus manichéens qui avaient un charme grâce à l'atmosphère que plus aucun livre policier aujourd'hui n'oserait recréer. Trop ringard !

Des rues sombres et inquiétantes. Des immeubles aux façades lépreuses où se logent des habitants craintifs et résignés. Des espions russes aux gueules patibulaires, porteurs de tous les vices.

Face à eux Coplan le séducteur (toujours très correct), plein de malice.

Mais tout cela c'était avant. Avant l'arrivée de Gérard de Villiers, de SAS et tous ses clones.

Terminé le glauque ! il faut de l'exotisme (direction Cuba, Rio de Janeiro) ou du chic (partons à Paris) pour les nouveaux terrains de jeux de nos espions.

Changement de dialogue aussi : "le sang lui était monté aux joues et ses seins soulevaient son corsage à un rythme accéléré".

Plus vendeur du tout. Has-been total. À proscrire !

Il faut maintenant écrire : "Julia sentit qu'elle perdait le contrôle d'elle-même. Elle percevait au plus secret de sa chair une volupté qui la déchirait, qui la liquéfiait, qui la ravageait et qui allait finir par la rendre folle. La bouche entrouverte, les yeux fermés, elle chercha d'une main énervée ce sexe viril qui la persécutait et elle le força presque méchamment à s'enfoncer dans ce nid torride qui l'attendait ".

Avec cette recette l'auteur saupoudre son récit de scènes torrides de façon systématique, qui bien souvent arrivent là de façon incongrue, comme un cheveu sur la soupe.

J'avais le souvenir d'avoir lu quelques livres de Paul Kenny bien meilleur que celui-là.

J'ai peut-être vu la mariée trop belle...

Je vais devoir tenter une seconde nuit de noce, cette fois-ci du côté de Moscou ou Belgrade.
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Coplan, tome 8 : Poursuite à l'aube

comment un crime d, Un couple revenant d, Argentine, Connie à Paris. peut nemacé la paix du monde.c, est ce que Françis Coplan FX 18 des services secrets français, sous l, identité d, Ulrich Klein ressortissant allemand négociation en machines agricoles. va devoir découvrir.

infiltré dans la communauté allemande de Buenos aires, il s, aperçoit qu'il y a deux clans,

et que adherez à l, un c, est ce brouillé avec les autres.ce qui me ferait pas ses affaires. quand un meurtre commis dans le jardin, va mettre Coplan sur une piste,ou avec son courage pour seule arme, il va démêler l, affaire.

un bon livre 💷 pour se détendre a l, ombre des parasols 🏖️.👍
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Circuit sans protection

la guerre froide, fait craindre au américains une escalade nucléaire.pour y faire face, les américains, mette au point un nouveau dispositif stratégique.constitue' par des wagons plates formes, qui transporte des rampes de lancement, avec fusées.qui se déplace constamment d'un bout à l'autre des états unis.

mais voilà que deux ingénieurs, sont retrouvés morts, dans des circonstances insolites.aussi les services secrets américains, vont faire appel au service secret français, pour leur envoyé un homme, parlant l, américains sans accent,le chinois,l, espagnol, et si possible le russe. capable de résister au tentations de l, argent.

le service va faire appel à Alfred saurel,

une bonne histoire sans temps mort, pour toute la famille 👍.
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Coplan, tome 41 : Arme absolue

alors qu'il est en vacances Coplan, et abordé par Martine une jeune femme qui sous prétexte de visité une île déserte, la met en présence de deux professeurs d, université. Le premier Laborde et prof à la faculté de sciences a Paris, le deuxième James marden,enseigne à cambridge.les deux hommes vont lui dire que depuis cinq ou six mois, en Angleterre comme en France, et dans autres facultés.les étudiants usent de drogues qui exacerbent leurs instincts sexuels.la police enquête, mais n, obtient pas de résultats.coplan, leur dis de se fier à la compétence des services spécialisés dans le trafic de stupéfiants.mais le professeur Laborde, lui parle aussi du fait que dans les facultés, il y a indubitablement des sources d, informations qu'un espion aurait mauvaise grâce de dédaigner.

Coplan, accepte l, affaire, qui va le meme' de Paris,a Londres, et New-York.

une bonne histoire, avec de l, action pour passer un bon moment de détente sans prise de tête.💕.

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Coplan, tome 155 : L'atome sur la gorge

le gouvernement australien, voudrais faire construire une centrale nucléaire.a laquelle s, oppose les militants pour la protection de la nature.la France qui voudrait construire une centrale a hydrogène a la place, envoie Francis Coplan, sous le pseudo de Paul Delcroix pour les aider.se qui devait être une mission de tout repos, va l, amené à s, opposé au chef de gang local.une histoire qui met en lumière les colutions entre les politiques et les gangsters.

sa se lit tranquille, pour passer un bon moment sa prise de tête.👍.
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Coplan, tome 115 : Les rendez-vous de coplan

youri tatosov un ingénieur

soviétique envoyé au canada a bord du cargo Djambul. en profite pour déserté. il va prendre contact avec l,ambassade de France. il aurait des révélations a faire, et demande a entrer en rapport avec coplan.

coplan va être envoyé au canada, après un rendez vous. coplan décide de le ramener en France.

mais il va devoir échappe au russes qui veulent abattre le transfuge, au américains qui voudraient le récupérer, a la police monté,

et a tout les chasseurs de prime qui voudraient touché la prime offerte par les russes.

les péripéties s, enchaînent,

avec d,excellentes scènes

d,action. efficace et divertissante, mais ne vous

attendez pas au scénario du

siècle.👍
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Coplan, tome 66 : Trahison aux enchères

copland et en mission en suisse,quand un télégramme de Paris, lui ordonne de ce rentre en corse. en effet la police vient de découvrir le cadavre de serge roudin,

un agent avec qui il avait

collaboré trois ans plus tôt.

une fois sur place qu'elle est pas sa surprise d, apprendre que la police a

prévenu la veuve en premier. grâce à la découverte dans le calepin

du mort, de son nom et de

son adresse. copland,

ne comprend pas comment serge roudin,

qui opéré sous couverture

a pu laisser son adresse et son vrai nom.négligence

ou un début de piste pour

retrouvé son assassin.

une intrigue au rythme

soutenu.copland apparaît

a la fois tendre et violent.

il y a de l, action, de l, humour, et du réalisme.👍
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Coplan, tome 143 : Au nom des victimes

La vengeance est un plat qui se mange froid. Vieil adage que James Stratford a parfaitement mis en pratique puisque c'est au bout de trois ans qu'il a tué les trois Japonais responsables de la mort de sa femme et de son enfant.

À leur arrivée à L'aéroport d'Orly, il les a exécuté froidement, un par un, avant de retourner l'arme contre lui, emportant son secret.

Comment a-t-il fait pour retrouver ces trois pirates de l'air qui avaient disparu trois années plus tôt après leur attaque sur l'aéroport de Zurich ?

Ce mystère intéresse fortement les services secrets français et japonais qui eux n'ont rien vu venir. Ils peuvent légitimement penser que ces trois terroristes ne sont pas des cas isolés. Que d'autres dans l'ombre se préparent pour les remplacer.

Cette réflexion va conduire Coplan et son homologue nippon jusqu'à Dubaï où se trouve la réponse à toutes leurs interrogations.

Le seul intérêt de ce livre est de rappeler cette époque où des terroristes utilisaient le détournement d'avion pour faire pression sur un gouvernement, avec souvent des conséquences tragiques pour les passagers innocents.

Petite littérature de gare ou pour la plage...
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Coplan, tome 84 : Coplan bouscule le vieux

le cadavre de Roger natello

des services secrets français et retrouver au fond d'un lac en suisse.

Francis coplan agent secret

f x 18 et envoyé sur place pour aider la police helvétique.il va remonter la piste jusqu'à faschinger

un ancien espion allemand

pendant la deuxième guerre, et récupérer par les américains.

une bonne histoire efficace et captivante.👍
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Coplan, tome 92 : Coplan paie le cercueil

Coplan paie le cercueil de Paul Kenny ( Fleuve Noir -N°560 - 250 pages )



Quel régal de se plonger dans un vieux polar des années 60.

Il dormait dans la bibliothèque parmi les vieux livres de mon père.

Une espionne, Jacqueline est tuée en Belgique. Elle était partie donner de l'argent à un espion de la CIA qui trahissait son pays.

Des documents importants qui peuvent provoquer une catastrophe doivent à tout prix être récupérés.

Coplan est chargé de les trouver et les donner au Vieux. Mais où Jacqueline les a cachés ?

En enquêtant Coplan sera surpris de découvrir la vie bien compliquée de la belle espionne.

Evidemment comment ne pas sourire en voyant la façon de travailler à l'époque nos services d'espionnage.

Cela me donne envie de partir vivre dans ces années ( Les 30 glorieuses ) ... La baguette de pain coûtait 0,39 Cts et l'essence 1 franc 04 Cts.

Comment font aujourd'hui les espions pour vivre incognito ?

Pour conclure je vous conseille un roman policier des années 50 ou 60 pour vous dépayser.

Mireine
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Coplan, tome 60 : Coplan se méfie

Juste avant l'aube d'une journée maussade de juillet, trois gamins en expédition découvrent, caché dans les roseaux du lac Mouriscot, le corps sans vie d'une quinquagénaire. Le commissaire Reynal est chargé de l'enquête. Rapidement il identifie le cadavre comme étant celui de Maria Segura, recherché par les services secrets français. Elle était en villégiature à Biarritz en compagnie d'un dénommé Manuel Camero, domicilié comme elle à San Sebastian et qui, depuis, a disparu. Francis Coplan l'agent FX 18 du SDECE est dépêché sur la côte basque pour élucider l'affaire et surtout démanteler le réseau d'espionnage au profit de l'Est que Maria Segura a mis sur pied. Entre San Sebastian où il se confronte à ses homologues de la CIA, Saint Jean de Luz où il découvre une agence de tourisme pour le moins étrange, la Belgique et la Suisse où il surveille les allées et venues de quelques touristes allemands surtout intéressés par les infrastructures de communication, de santé ou administratives, les zones de recherche atomiques et les centres d'entrainement militaire, Coplan tisse sa toile pour y faire tomber le meurtrier de Maria Segura qui a agit sur l'ordre du Kremlin.



Paul Kenny est le pseudonyme sous lequel se cachent Gaston Vandenpanhuyse et Jean Libert. Les pères de Coplan ont fait la fortune des Editions Fleuve Noir qui ont vendu des dizaines de millions d'exemplaires des aventures de l'agent secret. Entre 1953 et 1981 les deux auteurs belges ont produit 177 romans. Au décès de Vandenpanhuyse en 1981, Jean Libert poursuit seul l'aventure et écrit une dizaine de volumes jusqu'en 1987 date à laquelle il est remplacé par Serge Jacquemard, un autre pilier du Fleuve Noir. Jusqu'en 1996, Francis Coplan aura défendu le monde libre aux quatre coins du monde en accomplissant avec succès 237 missions. "Coplan se méfie" est le 60ème volume de la collection. Ecrite en pleine guerre froide en 1961, dans un style simple, direct et efficace, l'intrigue, comme souvent, est bien menée et la documentation qui lui sert de base, approfondie. Bref un roman d'espionnage qui, s'il n'est pas du niveau littéraire d'un John le Carré ou d'un Graham Greene, se lit avec plaisir et rapidement. Idéal pour un long voyage en train ou en avion.
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Coplan, tome 154 : Le Grec de Dakar

coplan est envoyé en Afrique pour mettre fin à un trafic d, arme .

distrayant.
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Coplan, tome 71 : Le Temps des vendus

Francis Coplan l,agent secret numéro un du contre espionnage français,, est infiltré comme foctionnai dans les bureaux de l, agence d, assistance technique aux pays africains.

car des documents secrets sur les investissements français, pour l, obtention de marché industriels,se serait retrouvé au mains d, agents du K.G.B.et provoqué la mort de 7 agents .au bout de six mois d, enquête Coplan, repéré trois suspects possible. Dalle au,chef de service, sa secrétaire mademoiselle barsy, et le responsable du répertoire un nommé Gérard laurisse.au court d'un pique-nique il va faire la connaissance de Janine, la femme de laurisse.qui va le trouvé a son goût.et après une nuit d, amour, elle va lui dire que c'est son mari qui vend les informations a un ami.un certains James witkins, qui serait artiste peintre.

et Janine lui dit que son mari fait ça pour le rapprochement franco. américain.

et Coplan qui cherchais le salopard qui s, était infiltré a l,a.t.p.a tombe sur des coupables de la pire espèce. des gens honnêtes, qui sont totalement inconscient du mal qu'il font.

une histoire qui va donné un cafard monstre a notre héros.🎉.
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Coplan, tome 162 : Coplan connaît la musique

Francis coplan des services secrets français, va livrer une guerre personnelle

contre l, ex général isaac

heimer, qui sous couvert

d,affaire immobilières,

dirige une organisation

criminelle , et qui en Turquie a fait abattre Maurice vansel et Lucien

gallais. deux agents français et c'est amis.

on sort des intrigues d,

espionnage, pour plongé

dans le monde des affaires

et surtout sur le business

des pots de vin. le rythme est rapide, et mouvementé.

avec une pointe d, humour.

distrayant avec un coplan

qui va se transformer en

justicier, par amitié.👍
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Coplan, tome 148 : Diplomatie de la terreur

Tout comme les SAS où les San Antonio, cette histoire est rythmée par la violence et les scènes érotiques.



Pour autant, la narration de Paul Kenny est agréable, son style est fluide. De plus, j'ai trouvé son roman plus travaillé que ceux du même genre notamment les SAS. Ce sont des aspects qui remontent un peu l'opinion que je me suis faîte de cette lecture mais ça ne suffit pas à me faire aimer ce livre. Ce genre littéraire me rebute un peu.



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