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Critiques de Paula Anacaona (52)
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Tatou





Le livre ne pas trop plus car au début elle nous parle de sa vie d’avant mais au fur et à mesure de l’histoire elle nous parle de son ressentis sur tout types de choses et cela charge l’histoire . J’ai été déçue de l’histoire.
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Tatou

Déçue



Livre intéressant au début, seulement, arrivée à la moitié, la lecture devient une corvée. Lors de ma lecture j’avais la forte impression que l’histoire n’avait pas de but, pas de fin. Je n’ai pas réussi à achever la lecture du livre.
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Tatou

TATOU







de Paula Anacaona est un livre assez burlesque et humoristique au début, mais au fur et à mesure du livre ce sont les mêmes choses qui reviennent. L’histoire devient lourde et donne moins envie de lire.. livre inachevé
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Tatou

Critique de" Tatou "de Paula Anacaona



Tatou est le roman de Paula Anacaona, il se passe entre ses deux pays de cœur la France et le Brésil. Elle reprend les thèmes qui lui sont chers notamment les problématiques de race de sexe et de classe.



Victoria, métisse franco-brésilienne élevée en France par sa mère fait de brillantes études et gagne très bien sa vie. Elle habite maintenant à Sao Paulo avec ses enfants et son deuxième mari. Elle est fière d'avoir réussi et trouve sa vie meilleure que son enfance a deux gros détails prêt : le manque de considération dont souffrent les Noirs ce qui la chagrine et le fait qu'elle ne connaisse pas son père. Sous sa carapace de tatou son cœur et ses certitudes vacillent alors qu'elle se confronte à l’écriture et aux textes scandés lors des saraus (réunions littéraires populaires). Victoria la superwoman parle avec un franc-parler de la société brésilienne matérialiste et obsédée par l'enrichissement. Égocentrique assumée elle désigne les autres par des surnoms divers. A la recherche de son identité, elle passe par la littérature, s'invente des doubles fictions qui se débattent comme elle avec leur couleur de peau et l'absence d'un père.



J'ai beaucoup aimé ce livre et je le conseille c'est une réflexion originale rigoureuse et optimiste avec un humour cinglant mais bienveillant sur les conditions de vie des femmes noires aujourd'hui au Brésil et ailleurs.
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Tatou

Tatou, le premier roman de Paula Anacaona



Ce livre c'est l'histoire de Victoria, une métisse noire, franco-brésilienne au fort caractère la menant jusqu'à la place de présidente d'une des plus grosses multinationales du Brésil. Un personnage brillant et fort au sommet de la société dont la vie semble être parfaite. Elle se met en tête d'écrire pour les femmes noires qui ont réussi là où personne ne les attendait tout comme elle.Mais malgré son implication, c'est un échec la remettant fortement en question jusqu'à faire resurgir de sa carapace de tatou (ce petit animal se protégeant sous une solide carapace) la blessure très lourde de l'abandon de son père.



A travers ce récit puissant et plein de sens, l'auteur nous ouvre les yeux dans un style contemporain, ironique et tout aussi direct que plaisant. Elle y aborde les inégalités sociales en France et au Brésil, deux sociétés complètement différentes en passant par un personnage singulier, tourmenté et en guerre contre le monde entier à la recherche de son identité.



Une bonne lecture qui nous touche avec sa petite dose d'humour pour faire remonter des questions actuelles encore trop peu traitées dans la littérature. Je la recommande à toute les personnes voulant découvrir ce thème sous un nouvel angle.
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Tatou

Ce livre raconte l'histoire touchante d'une jeune femme et de son questionnement sur sa vie. Métisse, abandonnée par son père et riche, elle va tenter d'écrire un livre sur sa vie. L'auteur a su se mettre à la place du personnage, et par sa vision de la vie dénonce le sexisme dans le monde du travail, le racisme et l'abandon (famille, amis, mariage ...).



Titre : Critique Littéraire du livre Tatou de Paula Anacaona.
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Tatou

Récemment j’ai commencé à lire un livre de Paula Anacaona qui s’appelle Tatou , j’ai tout de suite accroché au résumé de la 4ème de couverture . L’idée de lire un livre qui parle des côtés peste des filles et d’événements actuels tels que le racisme m’a beaucoup plu . Mais j‘ai vite été déçue du livre car l’histoire tourne vite en rond , le début est plutôt accrocheur mais dès le milieu du roman celui-ci commence à stagner et l’histoire n’avance pas , le roman devient ennuyant et nous ne comprenons pas où la narratrice veut en venir . Je n’ai d’ailleurs pas fini de lire ce roman car je ne prenais plus le même plaisir qu’ au début.
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Maria Bonita, une femme parmi les bandits

Très bref, illustré de gravures saisissantes, le texte pourrait rester anecdotique si l’auteur ne se voulait aussi abondamment explicatif.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Je suis Rio

Un des plus grands rêves de ma vie, c'est de me rendre un jour au Brésil et plus précisément à Rio de Janeiro. J'ai l'image d'une ville colorée, toujours en fête où les enfants jouent au foot et où l'ont peu se dorer la pilule sur les plages de Copacabana et Ipanema. Voilà la vision que moi, européenne j'avais de cette ville. Grâce à ce recueil de nouvelles, j'ai vite appris que la réalité est tout autre. Même si, bien sûr, je savais que la pauvreté était là, grandissante dans les favelas où l'espérance de vie de ces habitants est réduite à cause d'une criminalité toujours aussi présente.



Dans ce recueil, nous pouvons découvrir 23 nouvelles, 2 bandes dessinées et un mini guide de la ville. Vingt auteurs brésiliens se sont réunis ici pour nous dépeindre leur ville, Rio, d'une manière touchante, voire bouleversante et brutale, loin des strasses et des paillettes qu'on aurait pu attendre. J'ai beaucoup aimé découvrir les auteurs, leurs styles d'écritures différents et surtout leurs histoires qui montrent la dure réalité de la vie à Rio, surtout dans les favelas. Les auteurs abordent des thèmes très durs tels que l'alcoolisme, la violence, le meurtre, la corruption, la pauvreté, la ségrégation sociale... Tous ces thèmes rendent les textes encore plus réels, plus vrais. On ne peut qu'être touché par la vie qu'ont certains personnages, qui doivent faire face à des situations qu'on ose à peine imaginer.



Je ne vais pas vous parler ici de toutes les nouvelles parce que ça serait trop long et ça vous enlèverait la découverte de ces petites histoires. Mais, je vais tout de même vous parler des nouvelles que j'ai plus appréciées, qui m'ont marqué et touché. La nouvelle qui m'a le plus touchée et marquée est sans aucun doute Maria de Conceição Evaristo. C'est sans doute la nouvelle la plus dure de ce recueil. La fin m'a vraiment perturbée et montre les conséquences de la pauvreté à Rio à travers le personnage de Maria, une femme de ménage qui se démène pour survivre. J'ai bien aimé également Bananes de Ferrez qui montre la violence dont peut faire preuve la police envers les innocents tout ça parce qu'ils n'ont pas la même couleur de peau ou parce qu'ils habitent dans un quartier chaud. J'ai été touchée par Uniforme de Raquel de Oliveira où l'on suit Ella qui, à 44 ans décide de reprendre le chemin de l'école pour devenir institutrice alors qu'elle est jusqu'alors femme de ménage. Ella décide de s'en sortir et pour cela, elle doit affronter le regard des autres et surtout celui des hommes. Je vais m'arrêter ici pour cette revue des nouvelles parce que sinon, je pourrais encore écrire des pages et des pages. Mais sachez que toutes les nouvelles sont géniales et à découvrir.



Les éditions Anacaona, sont des éditions indépendantes et engagées, elles décrivent la vraie vie des brésiliens de manière juste et vrai grâce aux auteurs engagés. En effet, tous les auteurs de ce recueil sont brésiliens et certains ont vécu toute leur vie dans des favelas et vivent au quotidien les histoires qu'ils racontent. Ils écrivent pour dénoncer ce qu'ils peuvent vivre et pour montrer au monde que tout n'est pas tout rose pour les cariocas. Ils veulent nous montrer leur Rio.



Pour finir, je vais vous parler de l'objet livre qui est juste sublime. Un travail considérable a été fait pour réaliser ce livre. Au début de chaque nouvelle, il y a une carte de localisation pour situer l'histoire dans la ville. La géographe que je suis a beaucoup aimé. J'ai également aimé les dessins d'Alexandre de Maio et d'André Diniz pour les BD.



Un grand merci à Babelio et aux éditions Anacaona pour m'avoir permis de découvrir ce livre touchant, poignant et souvent bouleversant qui m'a mené à la rencontre des vrais cariocas. Je ressors plus que ravie de cette lecture qui fut une très bonne surprise.


Lien : http://twogirlsandbooks.blog..
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Je suis Rio

23 nouvelles et 2 bandes-dessinées écrites par 20 auteurs brésiliens contemporains sont réunies dans ce recueil, et ce 25 histoires sont toutes aussi différentes les unes que les autres : tandis que certaines rendent hommage à la ville de Rio de Janeiro, d’autres dénoncent ses inégalités, sa corruption et son injustice, racontent les espoirs et les difficultés de ses habitants ou dérivent une scène qui pourrait se dérouler pendant le carnaval. Ces nouvelles sont pleines de vie, colorées, révoltantes ou amusantes. Elles nous racontent des quotidiens difficiles ou pleins d’espoirs, où la pauvreté ou les saraus rythment la vie des cariocas et où la plage d’Ipanema est le décor de beaucoup des scènes de ces nouvelles.
Lien : http://ulostcontrol.com/je-s..
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Je suis Rio

Pourquoi recommander de lire "Je suis Rio" ?

Parce qu'en vingt-trois courtes nouvelles et deux bandes-dessinée d'auteurs confirmés ou en devenir, ce recueil donne à voir, avec humour, bien souvent, et un talent percutant, mille facettes du Rio de Janeiro qui se dissimule à l'envers de la carte postale touristique à strass, plumes et paillettes qu'il incarne d'ordinaire.

Pas de misérabilisme non plus, mais au travers d'historiettes drôles, mordantes et parfois amères, la peinture de rapports sociaux souvent complexes où les préjugés de classe en dépit de la familiarité et la bonhomie de façade entre riches et pauvres, patrons et employés de maison, resurgissent encore plus cruellement qu'ils ont été hypocritement niés.

On retrouvera donc ici côtoyant des textes de Ferréz, le pape de la nouvelle littérature brésilienne, des petits bijoux tels que, pour n'en citer que quelques-uns, "De l'autre côté de la flaque" de Rodrigo Santos — qui nous narre les affres d'un amoureux transi qui n'a de cesse de démythifier Rio aux yeux de sa belle sans percevoir la fascination de cette dernière pour celle-ci—, "Presque de la famille" de Joana Ribeiro, où la froideur et la cruauté des rapports ancillaires éclatent dès que le vernis craque, "Rio de Janeiro/New York", récit bien balancé des mésaventures d'un danseur de passinho en partance pour la Grosse Pomme, "La casserole, c'est chic !", texte d'une ironie bien trempée de Claudia Tajes, "Uniforme" de Raquel de Oliveira qui relate le chemin de croix d'une femme de ménage quadragénaire et replète qui afin de devenir institutrice reprend ses études et se voit imposer le même uniforme que ses condisciples adolescentes, à savoir chemisier blanc, jupette, chaussettes blanches et mocassins noirs, "Le Rio de Janeiro que j'ai appris à détester", petite bande-dessinée drolatique où André Diniz s'évertue à faire tomber de son piédestal le Rio que les Européens fantasment, ou bien encore "Super-Carioca" de Paula Anacaona, nouvelle à la lecture de laquelle on cerne mieux les angoisses existentielles de la gent féminine de Rio.

En clair, "Je suis Rio" offre un condensé savoureux de situations et de moments de vie, en un mot, d'humanité. Pourquoi s'en priver ?

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Charbon animal

livre court mais percutant

des vies sombres comme la suie, le charbon, la cendre: tout est poussière...

à lire
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Charbon animal

La force énorme du livre vient bien de la façon de faire d’Ana Paula Maia, ce contraste entre la froideur des mots et des phrases (une froideur qui s’applique, paradoxalement, au feu et à ses conséquences) et la réalité des hommes, de leur corps et de leur esprit. En effet, si tout ce qui est dit a un rapport direct avec le corps, ses blessures, son avenir, après la mort, l’auteure ne parle en réalité que de l’esprit (de l’âme ?). Ce qu’elle dit ne peut donc que nous atteindre directement, nous laisser ébahis devant tant de talent.
Lien : http://www.espaces-latinos.o..
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1492 : Anacaona, l'insurgée des Caraïbes

Il s'agit d'un récit qui remet au centre l'Histoire vécue par les peuples opprimés. La voix d'Anacaona est à la fois chaleureuse et déchirante... Les illustrations (au passage, magnifiques !), les polices, apportent un côté ludique à ce témoignage qui déconstruit la propagande colonialiste. Pour les peuples autochtones des Antilles, il n'y a effectivement jamais eu de bienfaits découlant de la colonisation et ce livre le rappelle avec beaucoup d'humanité et de pédagogie.
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Solitude la flamboyante

Ce roman somptueux, relate l'histoire d'un personnage important de l'histoire guadeloupéenne et dont je n'avais jamais entendu parler. Ce livre est d'abord un objet très beau, illustré, mettant en avant l'aspect légendaire de cette histoire. L'histoire d'une jeune esclavagisée qui va de par sa personnalité, son parcours favoriser, organiser, entretenir la refus de se soumettre jusqu'à la liberté en payant le prix qu'il faut payer.

Le récit de la vie de Solitude est intercalé d'intervention de Anacaona, cacique d'une île proche, celle d'Ayiti. C'est en quelque sorte elle qui nous conte cette histoire laissant entre deux intervention, la figure emblématique de Solitude prendre toute la place.

A découvrir absolument !

La professeuse documentalite de cdicollegeguisthau
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Solitude la flamboyante

Fluide à lire, ce roman nous plonge dans le quotidien de Solitude, ses états d’âme et ses combats - que nous vivons avec elle.



D’une style littéraire plutôt simple, le livre s’illustre plutôt par son intérêt historique et humaniste.



À lire !



Pour info : l𠆚utrice est PAULA ANACAONA, et non Claudia Amaral qui a elle, fait les illustrations
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Je suis Rio

« Je suis Rio » est un recueil passionnant d’une incroyable vitalité et créativité.

Prenant le parti d’une approche moderniste et réaliste de Rio loin des clichés touristiques, « Je suis Rio » tape souvent juste lorsqu’il évoque cette ville à deux vitesses entre les riches des quartiers sud de la ville et leurs employés des favelas devant souvent prendre deux bus+un métro pour arriver jusqu’à eux.

Ce sont assurément ces récits de situations de la vie de tous les jours, celles des employés galérant dans des transports publics déficients pour survivre qui m’ont le plus intéressés.

Mais il semble que malgré la « pacification » de certaines favelas du centre ville à l’approche des grands évènements touristiques (Coupe du monde, Jeux Olympiques), la violence fasse partie intégrale de la capitale carioca, aussi les récits de gamins des rues, de personnages misérables ou de petits voyous abondent, évoquant l’aspect le plus dure de la réalité brésilienne.

Enfin, j’ai été je l’avoue assez peu sensible au coté « rap/slam/revendicatif » de l’ouvrage comme je le suis du reste assez peu à cet aspect en France…

Reste un ouvrage très intéressant, souvent émouvant ou passionnant, à mon sens essentiel pour comprendre le Rio de Janeiro d’aujourd’hui.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Tatou

Un premier coloré et fort comme le Brésil, autour de la difficulté d’être une femme, noire abandonnée par un père haï.

Au delà de l'intrigue plutôt banale, on appréciera (ou on détestera ?) le style rageur de l'auteure, la conclusion se jouant à pile ou face.




Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Tatou

“Je vais me construire un putain de gilet pare-balles, et même un lance-roquettes ne me détruira pas”

Acharnement, ascension sociale, discrimination. On assiste dans ce roman à la violence que s’inflige une femme de l’élite, une femme noire qui ne supporte plus l’image que la société lui impose, une femme qui s’est hissée au sommet et compte bien y rester. D’un caractère exécrable, Victoria porte pourtant bien son nom : tout ce qu’elle fait, elle le réussit. Impossible pour cette femme si arrogante de se satisfaire de moins que le meilleur. La désillusion de Victoria, qui se brise de plus en plus au fur et à mesure de l’histoire, sera brutale.

La Superwoman qu’elle prétend être, la femme parfaite, laisse enfin transparaître ses faiblesses. Elle est seule et on a presque envie de dire : « bien fait pour elle ! » Malgré tout, cette femme aigrie, qui réagit disproportionnellement à tout incident, prétentieuse dans tout ce qu’elle fait, souffre d’un mal auquel on peut tous s’identifier : la solitude. Le mal-être. L’exclusion.

Il est parfois difficile d’avoir de l’empathie pour e personnage si antipathique, mais l’universalité de ses sentiments nous embarque tous, lecteurs, dans cette recherche d’identité aux côtés de Victoria.

Léo et Fay
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Tatou

Tatou c'est l'histoire d'une femme battante qui ne recule devant rien pour prouver à tous et à elle même qu'être une femme à moitié noire n'est pas un désavantage. Elle est présidente d'une multinationale et vit au Brésil, va à des soirées mondaines, a deux enfants et normalement tout pour être heureuse mais il lui manque une chose très importante à ses yeux : un père.

On se rend compte à quel point cela lui cause un manque tout au long du roman, de son enfance jusqu'à son âge adulte, même si de l'extérieur elle paraît avoir une très grande confiance elle, indestructible. Pourtant comme le tatou ce n'est qu'une carapace Elle a une faiblesse : son "côté noir" qui l'a fait souffrir car elle n'a pas connue cette part d'elle même.

J'ai beaucoup aimé le fait qu'on sache toute ses pensées, tout ses doutes, ses peines, ses joies, qu'elle défende son métissage ou au contraire qu'elle le critique.

Je vous laisse découvrir Tatou.
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