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Critiques de Peter May (1940)
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Le quatrième sacrifice

Premier livre que je lis de cet auteur et franchement pas déçue. Dès le prologue, le livre nous met en haleine sur tout ce qu’il va y suivre. Au fil du livre je me suis fait plusieurs théories avec différentes personnes étant potentiellement les coupables et la manière de procédés. J’ai beaucoup aimée le fait d’en apprendre sur la Révolution Culturelle qui a eu lieu en Chine et toutes les atrocités qui en découlent, je me sens un peu bête de n’en avoir jamais entendu parler mais grâce à ce livre j’ai pu découvrir, un point plus que positif ! Jusqu’au bout on reste dans le suspens de savoir qui manigance tout cela. On ne s’ennuie pas en lisant car il y a souvent de nouvelles preuves, des rebondissements, des nouvelles personnes même si, personnellement, j’ai trouvé quelques longueurs. J’ai aussi bien apprécié la touche de romance. Un mélange de romance, drame, suspens, apprentissage d’une autre culture, crime que j’ai adoré ! Je recommande !
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Cadavres chinois à Houston

Je ne suis jamais déçue par les livres de Peter May. Au delà de l'intrigue et du thriller, cet écrivain nous dévoile toujours une dimension géo-politique et sociologique très intéressante et instructive. Par ailleurs, que ce soit dans la série écossaise ou dans la série chinoise, les personnages sont réaliste et attachants de par leurs fêlures et leur doutes. Je recommande vivement
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L'Homme de Lewis

Une histoire de l'Ecosse peu connue (en tout cas en France) des paysages âpres et sauvages des personnages attachants une intrigue qui tient en haleine jusqu'au bout....

Un seul reproche quelques notes permettraient de savoir ce que sont des termes écossais : black house, lady beds...
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Tempête sur Kinlochleven

Ce roman de Peter May est spécial, après la trilogie (magnifique), ses digressions vers le futur (ici), ou dans l'irréel (Je te protégerai), sont, à mon humble avis, pas à la hauteur ! Cette enquête ne vaut que par les relations familiales que Peter May maîtrise à la perfection.
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Un chemin sans pardon

Roman d'aventures exotiques se déroulant essentiellement en Asie; Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Malaisie fin des années 70.

Des mercenaires, des tueurs professionnels il faut bien l'admettre, sont les héros de cette histoire de sauvetage d'une femme et de deux enfants détenus dans un camp de travail des Khmers rouges.

L'auteur arrive à rendre ces flingueurs presque sympathiques. Ce n'est pas de la grande littérature mais ça se laisse lire malgré quelques longueurs. Il aurait sans doute pu se passer du voyage à Bangkok de la fille du chef de l'expédition mais les scènes de sexe semblaient indispensables pour être publié en 1993.

Edulcoré et légèrement retravaillé pour une nouvelle publication en 2023, on est quand même loin de la qualité de la trilogie écossaise.
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L'Homme de Lewis

Au fond, c’est quoi un bon roman policier pour moi ?



D’abord, c’est une intrigue bien ficelée et bien écrite. Avec Peter May, je sais que je ne serai pas déçue. Juste un exemple: je ne savais pas que cette histoire s’inscrivait dans une trilogie, encore moins que c’était le deuxième. Les personnages sont « installés », comme si on les découvrait. Hâte de lire les autres romans.



Ensuite, j’adore ce qui se passe en lieu clos ou éloigné. Une histoire sur une île, ça ne pouvait que me plaire. Cela oblige les personnages à plonger dans le passé.



Enfin, ce qui me plait le plus, c’est les « retour vers le passé ». Jouant avec le fait qu’un personnage devient sénile, l’auteur en profite pour le faire plonger dans son passé. Si la petite histoire ne se mêle pas à la grande comme ça peut être le cas dans « La Gardienne de Mona Lisa », on « sent » le passé comme on imagine facilement les contours de l’île de Lewis.



Je le conseille fortement, même si vous n’avez pas lu les autres romans.
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Trois étoiles et un meurtre

J'ai trouvé cet auteur par hasard chez nous à la Médiathèque et je me suis lancé...

Et j'ai découvert un autre avec une plume captivante et j'étais tenu en haleine de savoir le fin mot de l'histoire, qui m'a effectivement surpris, ce qui est tout à fait ce que j'adore !!!
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L'Homme de Lewis

Le tome 2 des aventure de Fin,qui retourne sur son île et où on va aller de surprise en surprise a travers ces paysages sauvages des Hébrides! Encore une belle enquête qui nous tient éveiller le soir pour continuer de lire! Et une fin à couper le souffle!
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Le mort aux quatre tombeaux

Un Peter May bourré d’énigmes, qui ravira les nostalgiques des aventures du "Club des Cinq", ces détectives en culottes courtes qui firent découvrir la lecture aux vétérans d’aujourd’hui, si l’on excepte toutefois le côté macabre pas vraiment adapté à la jeunesse. Cette enquête d’Enzo Macleod, héros récurrent de la série des "Assassins sans visage", nous emmène à la recherche des restes démembrés de Jacques Gaillard, chaque découverte d’une partie de son corps étant accompagnée d’objets censés orienter l’enquête vers la récolte suivante, dans une logique implacable mais mettant en surchauffe les neurones. L’auteur s’en prend délibérément à la méritocratie à la française, en la personne de l’École Nationale d’Administration (ENA), pépinière de politiciens et hauts fonctionnaires, brillants et formatés mais à la morale parfois terriblement élastique. On y croit, ou pas, mais ça fait froid dans le dos. Frissons garantis…

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Le braconnier du lac perdu

L'enquête, une fois encore, reste un prétexte à replonger dans le passé des personnages et de l'île, qui est en fait le personnage principal de cette trilogie.



Ses descriptions et son climat sont extrêmement présents dans les 3 récits.



L'autre leitmotiv est le personnage de Fin Mc Leod et son histoire.



On sait aussi que maintenant il a enfin la certitude de vouloir rester sur l'île, où il retape la maison de ses parents.



Son histoire d'amour avec Marsaili reste chaotique, mais il y a Fionnlagh, leur fils, devenu papa à son tour, et Marsaili et lui vont devoir aider, afin qu'il puisse, tout comme Donna, la fille du pasteur, continuer ses études.



C'est donc le dernier tome de cette excellente trilogie, pleine d'émotions, de ce cri d'amour à l'Ecosse.

Chaque volume est construit de la même façon avec les explications tout à la fin.
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L'Homme de Lewis

Les romans de Peter May sont classés en polars mais le meurtre initial dans celui-ci a eu lieu il y a plus de 50 ans, et est un prétexte à découvrir la vie et la passé des personnages, leurs liens et la société écossaise.



On y voit notamment la chasse aux yugas, les petits des fous de Bassan, sur ce rocher où 12 hommes et adolescents, pendant 2 semaines, vont tuer environ 2000 oiseaux, les plumer, les découper et les mettre en salaison, avant de reprendre le bateau pour revenir sur leur île.



C'est un moment d'entre soi, où ce qui s'est passé reste le secret de ces 12 hommes, c'est une sorte de rite de passage vers l'âge adulte pour les quelques jeunes qui y vont.



Le yuga est en outre un met très recherché par la population.



On voit aussi dans ce roman les conditions d'existence de ces orphelins ou enfants abandonnés et confiés à des orphelinats catholiques et à des familles sur les îles Hébrides, comme employés, pour ne pas dire esclaves, avec une nouvelle identité et des conditions de vie parfois atroces, selon les familles dans lesquelles ils se retrouvent.



On les appelle les Homers, et ils sont prisonniers sur une île, à la merci des gens qui les accueillent.



Certains arrivent à s'évader et à vivre leur vie d'adultes, mais non sans séquelles.



Un roman noir, sur malheureusement des situations réelles.
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Tempête sur Kinlochleven

L'originalité de ce livre réside dans le fait qu'il a lieu dans les années 2050 (avec quelques flashbacks), avec une technologie avancée inventée par l'auteur qui donne du peps à l'intrigue policière. Peter May nous décrit une Écosse futuriste assez glauque, mais qui soutient finalement assez bien l'histoire.

Pour ce qui est de l'intrigue même, elle est assez bien ficelée . J'aurais pu mettre 4 étoiles mais certains éléments peuvent être devinés trop vite dans l'histoire, et la faible quantité de personnages réduit les possibilités en termes de coupables. J'ai apprécié le rythme enlevé, notamment dans la 2e partie, .
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Tempête sur Kinlochleven



Un polar soft, sans grandes surprises mais d'une belle écriture fluide, qui en fait une lecture agréable. L' action se déroule en 2051 avec des retours dans le passé du héros, né en 1996. Il s'agit d'une enquête policière et d'une histoire familiale dramatique. Les conséquences du réchauffement climatique sont abordées dans l'enquête et lors des descriptions météorologiques et géographiques de l'Ecosse.

On y apprend ainsi, qu'en 2050, la totalité ou presque des Pays-Bas, y compris Amsterdam et Rotterdam, avait été submergée. Une bonne partie de la Belgique, les ports allemands de Hambourg et Brême, ainsi que de vastes étendues côtières du Danemark avaient succombé à l'élévation du niveau de la mer. Et c'était souvent pire, bien pire, ailleurs dans le monde !





Cameron Brodie est flic à Glasgow. Il est veuf et n'a plus aucun contacts avec sa fille depuis le décès de sa femme, il y a une dizaine d'années. Lorsqu'il apprend qu'il est atteint d'un cancer et que ses jours sont comptés, il se porte volontaire pour une mission dans les Highlands transformés en terre quasi polaire. Le cadavre d'un journaliste d'investigation, disparu depuis plusieurs mois, vient d'y être retrouvé dans la glace. Mais sa décision est surtout motivée par le lieu car c'est là qu'habite Abbie, sa fille. Il y voit la dernière occasion de reprendre contact et de s'expliquer...



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Quarantaine

C'est toujours un plaisir de retrouver Peter May, j'adore son style et je dévore, à chaque fois, ses romans.

J'ai aimé apprendre à connaître ces nouveaux protagonistes et j'ai suivi avec impatience le déroulement de l'enquête.

J'ai lu dans un commentaire Babelio qu'il était dommage que ce roman sorti en 2020 ne fasse pas référence à la crise COVID mais à une pandémie imaginaire. Eh bien moi c'est tout le contraire, cela m'a vraiment plu. Je n'ai pas envie de lire des romans sur cette période COVID et le fait que ce roman ait été écrit très longtemps avant la pandémie que l'on a connue est extraordinaire !

Pour conclure, ce roman m'a plu, même s'il ne peut égaler la trilogie écossaise ! On passe un bon moment, même si les dernières lignes du roman sont un peu décevantes. Je n'aime pas vraiment les fins qui nous laissent sur notre faim...
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Terreur dans les vignes

Je partage l’avis de nombreux lecteurs.

Et pourtant j’ai adoré de nombreux livres de Peter May.



Le côté séducteur d’enzo macleod est en effet assez poussif et inutile pour l’histoire.



Quant à l’intrigue elle n’avance pas jusqu’aux 10 dernières pages avec un meurtrier et un mobile sortis du chapeau

Décevant

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Le mort aux quatre tombeaux

En 2009, 2011 et 2012 sont parus en version française les trois tomes de la 'Trilogie écossaise' de Peter May (L'Île des chasseurs d'oiseaux, L'Homme de Lewis, le Braconnier du lac perdu). J'avais adoré cette série, ses personnages, son ambiance so scotish.

Sur Wikipédia, on a l'impression qu'ils ont été publiés en français avant les textes anglophones.

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Tout ça pour dire que ce polar, 'Le Mort aux quatre tombeaux' date lui de 2006, ce qui pourrait expliquer qu'il soit à ce point en-deça de ce que je connaissais jusqu'alors de cet auteur.

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Ici, Enzo MacLeod, un ancien légiste de la police écossaise, relève un défi idiot (élucider le mystère de la disparition d'un people, dix années plus tôt). Une étudiante arrive à point nommé pour lui servir de petite main. Elle est décrite sans complaisance comme pataude, rustaude, mais elle a une grosse paire de seins qu'Enzo a beaucoup de mal à ne pas regarder trop longuement. J'ai oublié de dire que la jeune fille, née dans les années 80, porte le prénom de Nicole (au cas où on n'aurait pas visualisé sa rusticité) et en pince visiblement pour le vieux prof.

Le père de la gamine est encore "pire" (selon les critères d'Enzo), lui qui n'a jamais mis les pieds en ville - même pas à Cahors - et fait décidément de drôles de cadeaux !

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L'enquête avance grâce aux recherches fébriles de Nicole & Enzo sur Internet (merci l'Adsl). Ce sont de fins limiers, ces deux-là : des ossements, quelques objets dans une malle (des pin's, par exemple) et les voilà en pleine chasse au trésor, de Paris à Paris via plein d'autres villes... Ils recherchent les morceaux suivants puisque, comme le titre l'indique, il y a quatre sépultures pour un cadavre.

Dès la 2e découverte, on se dit que ça va être très long, car c'est tiré par les cheveux, cousu de fil blanc, téléphoné, et très enfantin (me rappelant mes Fantômette, Alice, Club des Cinq...).

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A part ça, le prof boit beaucoup trop, il séduit & emballe pas mal aussi, bien qu'il ait l'air assez cracra.

Est-ce pour ces raisons qu'il "oublie" sa fille et Nicole dans un endroit connu de ceux qui essaient de l'éliminer ?

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Je découvre en terminant cette lecture que Peter May et son personnage Enzo sont allés au bout du challenge puisque la série 'Assassins sans visage' compte sept opus.

Je suis à bout de souffle, moi ! le dernier décor a mis à rude épreuve ma claustrophobie et mes petits problèmes respiratoires passagers.
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Le braconnier du lac perdu

Au début du livre j'ai eu le sentiment d'un "déjà lu" : quand on découvre l'avion dans le lac asséché... et pourtant je me plonge dans l'histoire sans que d'autres souvenirs se raniment .... Je réalise à la fin du livre que c'est le dernier tome de la trilogie que j'ai lue en entier il y a quelques années, mince alors ... décrépitude du cerveau beurkkkk

Je ne sais décrire ce qui me fascine tant chez Peter May, le plaisir de le lire est si grand que je voudrais que cette trilogie ne cesse jamais; les personnages je les "pleure" s'ils disparaissent, les échanges je voudrais les dire à la place des personnages, je vais chercher les images des lieux de l'action sur internet pour mieux visualiser le cadre ... je crois bien que je vais relire les 2 premiers tomes pour retrouver Fin et cie ... Ce troisième tome se lit même si on n'a pas lu les 2 premiers ce qui en soit peut être satisfaisant mais je recommande les 3 bien sur ....

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L'Homme de Lewis

J'ai lu ce polar en ignorant qu'il s'agit du 2ème tome d'une trilogie. Cela ne m'a nullement empêchée de comprendre ou d'apprécier ce roman. Le personnage principal s'avère être l'archipel des Hébrides. A plusieurs moments j'ai interrompu ma lecture pour consulter internet à la recherche de photos de paysage des différentes îles citées. L'auteur évoque avec brio l'identité des insulaires et l'attachement particulier à une terre qu'on pourrait considérer comme hostile. Par ailleurs il nous fait connaître un aspect de l'histoire de ces territoires par son intrigue. J'ai moins accroché avec l'enquête au coeur du récit. Cela dit je ne suis pas une amatrice du genre. Une lecture dépaysante qui invite au voyage.
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L'île des chasseurs d'oiseaux

Un livre qui nous fait vivre l'ambiance de ces îles du nord de l'écosse! Une belle intrigue, partagée entre deux époques. De belles descriptions pour être complètement enveloppé par l'ambiance de la grisaille écossaise, de la tourbe et de la mer. Hate de lire le tome 2!
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La petite fille qui en savait trop





MALVERSATION





Peter May republie avec quelques remaniements son troisième roman plus de 40 ans après sa sortie.



Ce qui est frappant c'est avant tout que le sujet et le cadre du roman sont toujours d'actualité dans le contexte du monde contemporain.





L'histoire se déroule en 1979, à Bruxelles, avec en toile de fond les élections générales britanniques et le débat politique sur l'entrée du royaume uni dans l'Union Européenne.



Une petite fille autiste assiste malgré elle à un crime qui implique son père. Ce meutre commandité aurait pu être parfait sans la présence de ce témoin fâcheux et gênant.





Un polar à suspens, haletant et trépidant.



La plume de l'auteur est efficace, bien construite et très visuelle et la construction des personnages est bien aboutie.



J'ai aimé replonger dans le décor des années 70 avec ses téléphones fixes, ses machines à écrire...





Un polar politique qui m'a fait découvrir cet auteur écossais dont je ne manquerai pas de lire d'autres de ses romans.





Je vous le conseille grandement !











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