Le crottin de cheval dispensait une autre sorte d’odeur qui, elle, n’était pas déplaisante en certaines circonstances, lorsqu’elle n’était pas trop forte. Les rues en étaient souillées d’un bout à l’autre de la ville. Quand il ne pleuvait pas, les roues des attelages soulevaient des nuages de terre, de poussière de charbon et de crottin desséché. Il fallait aussi compter avec ces grosses mouches malfaisantes qui accompagnent les chevaux. On croyait à l’époque que leur présence familière ferait toujours partie intégrante du monde civilisé.