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2.99/5 (sur 166 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Jean-de-la-Ruelle , le 21/04/1949
Mort(e) à : Paris , le 16/05/2010
Biographie :

Philippe Bertrand est un dessinateur et écrivain français.

Après avoir suivi des études de lettres, il fait ses débuts de graphiste dans des revues engagées comme "Partisans" et "L'Idiot international" au-début des années soixante-dix. Il conçoit en 1979 dans "Charlie Mensuel" (lrc série) sa première bande dessinée profondément originale et personnelle : "A cet instant aux antipodes" (un album chez Albin Michel en 1981). Il travaille pour diverses revues : Politique hebdo, Hara-Kiri, Zinc, Pilote.

Il mène plusieurs carrières parallèles : auteur-dessinateur de bande dessinée, comme avec la série érotique "Linda aime l'art" qu'il crée en 1983 dans Pilote (trois albums chez Dargaud et un aux Humanoïdes Associés de 1985 à 1992), écrivain et dessinateur pour enfants, illustrateur, avec des auteurs comme Tonino Benacquista et Frédéric Beigbeder, et auteur de contes érotiques.

Philippe Bertrand crée aussi "Les Bugmonsters", jeu d'aventures en réseau pour enfants de huit à douze ans (sur CD-Rom) publié en 2001, il réalise des décors de théâtre et dessine pour le quotidien Le Monde.

En septembre 2002 Philippe Bertrand compose avec Frédéric Beigbeder un ouvrage très "in" sur la jet set de l'Hexagone : "Rester normal" (Dargaud). Un second volume paraît en 2004, il s'agit cette fois de "Rester normal à St Tropez".

Il illustre de nombreux albums jeunesse, dont plus d'une quinzaine sur des textes d'Élisabeth Brami, dont les plus connus sont Les Petits Riens ou Les Petits Délices.

En février 2010 sort sa dernière œuvre, "Le Montespan", adaptation en bande dessinée du livre de Jean Teulé sur le marquis de Montespan.

Philippe Bertrand meurt le 16 mai 2010 d'un cancer foudroyant.
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Vidéo de

POÉSIE AFRICAINE – Les poètes algériens (France Inter, 2003) L’émission « Dépaysage », par Philippe Bertrand, diffusée le 7 juillet 2003 sur France Inter. Invité : Rachid Karaichi.


Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
J'avais trois-cent-mille livres de dettes, le roi les règle toutes, simplement parce que je suis le père de sa nouvelle maîtresse. Il m'offre aussi le titre de gouverneur de Paris ! Alors vous, le mari, imaginez le bénéfice que vous pouvez espérer. [...] Louis-Henri, être cocu, c'est la chance de votre vie.
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ça fait quand même chier de devoir tout payer avec des pièces à l'effigie de l'amant de sa femme !
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-Père, je n'aime pas les pauvres.
-Louis-Antoine, tu parles fort bien pour ton âge, mais je me demande si tu ne serais pas un petit individu révoltant.
-Père, je préférerais que dorénavant vous me vouvoyiez puisque je suis marquis. 
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-L'autre nuit,j'ai rêvé que je devenais une huitre.Je me suis réveillé curieusement... sec.
-Monsieur de Montespan, croyez-vous que je sois un animal marin?
-Mais non Prince
-Dans le sombre salon officiel, Louis-Henri se demande si le dauphin d'Espagne (le futur Charles II) a de l'humour,se fout de sa gueule ou s'il est complètement con.....
Il est complètement con.
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Elle était aussi ravissante que jetée. Potelée, lascive, avec de beaux seins ronds, fermes et soyeux qu’elle adorait se faire peloter. Son petit con rebondi était doux comme un agneau de lait. La Sardine le lui bouffa toute la soirée, pendant que Mouloud l’enculait. L’enculade la rendait ordurière ; la friponne déclarait en faire son plat de résistance, à la seule condition que la pine soit à la hauteur. Bref, c’était une philosophe.
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C’est moi ! Françoise, j’ai trouvé la solution pour nous deux ! J’ai passé un mois à attraper des maladies honteuses… Je vais te prendre, te contaminer et quand le roi l’apprendra, il ne voudra plus de toi. N’est-ce pas une bonne idée, ma chérie ?
Françoise ! Françoise, reviens ou j’encule la vieille !
Bon, ben puisque c’est ainsi…
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J'ai souvent été invité à des enterrements, mais jamais encore je n'avais été convié à assister aux obsèques d'un amour.
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Honnête et poli, c’est le meilleur marquis que l’on puisse voir sur Terre. Il n’a qu’un seul défaut : l’amour tenace
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J'ai passé des mois à attraper des maladies honteuses. Je vais te prendre, te contaminer et quand le Roi l'apprendra, il ne voudra plus de toi. N'est-ce pas une bonne idée, ma chérie? Françoise! Françoise, reviens ou j'encule la vieille!
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J'ai faim (...). Je ne vais prendre que des plats qui m'étaient défendus lorsque j'étais au couvent. Huîtres et asperges, interdites aux jeunes filles.
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