Citations de Phoenix B. Asher (286)
-Il y aura toujours des connards sur ton chemin.
Jer. Des types qui n'accepteront pas que tu sois gay, noi, hispanique, croyant. Mais leur accorder du crédit, c'est les laisser gagner.
Je ne peux plus imaginer une vie dont tu ne ferais pas partie.
Le « nous » de ce soir-là avait un goût d’éternité.
Dans la vie, on fait souvent ce qu’on peut avec ce qu’on a, et ce n’est déjà pas si mal.
J’ai l’impression de t’avoir attendue la première partie de ma vie et je compte bien passer la seconde partie avec toi.
Les anciens ont un dicton, ici : "On monte souvent plusieurs chevaux différents dans sa vie, mais il n'y en a qu'un qui reconnaît votre âme." Assister à cette alchimie en direct est stupéfiant.
Et quand ma bouche se pose sur la sienne, j'ai l'impression que Valentin vient de m'offrir le souffle qui me manquait.
Je ne sais pas encore comment vivre avec toi mais une chose est sûre : je sais que je ne peux pas vivre sans toi.
Je ne réfléchis même pas et sors mon portable de ma poche. Il est temps que je demande à Knox de m'empêcher de me noyer.
En fait, je crois qu'elle est tout ce que je n'ai jamais vraiment osé être.
- Tu as danse sur quelques tables, rien de méchant. Et il se pourrait aussi que tu aies encouragé deux nanas à s'étriper pour les beaux yeux de Dante.
- Encouragé comment?
- En comptant les points. En leur balançant des glaçons. Et des cacahuètes…
Je le sais, pourtant : quand je bois trop, je fais n'importe quoi. Je tire sur ma couette pour disparaitre en dessous.
Flamboyante et solaire, voilà le genre de beauté qu'est Blake.
Jamais je ne ferai ce choix pour quelqu'un: celui de l'exposer aux yeux de tous alors qu'il aurait préféré rester caché. On a tous une histoire, un passé, et j'ai vu de mes yeux les ravages causés par le fait d'être pointé du doigt pour quelque chose que l'on n'assume pas. Est-ce que j'aimerais qu'il cesse de faire semblant avec moi? Oui. Mais jamais je ne ferai ce choix pour lui.
-Sander-
Je suis peut-être un connard sans cœur mais je donnerais n’importe quoi pour ces mecs-là.
Quand le match se termine, il n’y a pas d’explosion de joie. Pas de clameur à en faire trembler les gradins. Les supporters des Thunder sont silencieux, déçus de voir leurs idoles chuter. Moi, je suis surtout inquiète pour mes potes. Ces Brutus à gros bras que j’ai appris à apprécier plus que je ne l’aurais imaginé. Sander, ce grand nounours aux mains larges comme ma tête, incapable de tirer quelque chose d’artistique d’un bloc de glaise. Knox, le taciturne, et sa perspicacité hors du commun. Même Dante le Relou a un côté attachant. Et bien sûr, Leander. Celui qui me reproche de me planquer derrière mon ironie alors qu’il préfère dissimuler le vrai lui sous une armure de Dieu inaccessible pour le commun des mortels…
-Parce que je tiens à toi. Je tiens à toi comme je ne pensais plus jamais tenir à quelqu'un. Parce quil est hors de question que je te tienne rigueur de tes erreurs.Des erreurs, tout le monde en fait. C'est comme ça qu'on apprend.
- Qu'est ce que tu aimes comme garniture ? Attention, ton choix peut avoir de vraies conséquences.
Si tu me parles d'ananas, je serai obligée de te bannir de cette chambre à vie.
- C'est quoi, le problème, avec l'ananas ?
- On ne plaisante pas avec ça. Une pizza, c'est très sérieux, Apollon.
- Prends ce que tu veux. J'aime tout... sauf l'ananas, bien sûr !
- Non. Parce que ce soir, et pour la première fois de ma vie, je me suis senti vraiment libre. Libre de me montrer avec un mec comme je le fais avec des filles. Libre de t'embrasser. De te toucher, de te serrer contre moi... Je n'aurais jamais osé avant toi.
Ce foutu Sander, avec ses yeux verts et son sourire insolent, ce foutu Sander qui embrase mes sens chaque fois que nos regards se croisent. Ce foutu Sander qui me hait depuis que je l'ai rejeté. Ce foutu Sander qui n'a aucun mal à assumer sa sexualité.
- Tu sais très bien que je ne peux pas répondre à cette question. Et je sais que tu flippes. Moi aussi, je flippe. Mais parfois, ça vaut le coup de prendre des risques. Et j’ai envie de croire que c’est notre cas. J’ai envie de croire que j’en vaux la peine. Parce que toi, tu en vaux la peine, Nyx. Et je suis prêt à me retrouver le cœur en miettes, parce qu’au moins, moi, j’aurai eu le courage de t’aimer.