Pierre-Denis Goux

Prenez des nains, des hommes, des elfes et des dragons, rajoutez thor, loki et odin ainsi qu’un célèbre marteau, secoué le tout et vous avez cette bd. Les mythe nordique mis a la sauce héroïque fantasy. Et force est de constaté que cela fonctionne ! Le scénario est intéressant, le dessin est très sympa, très fouillé et réaliste ce qui donne une ambiance assez sombre qui complète bien le scénario. Le personnage principal est attachant de par son coté héros vieillissant et désabusé. Une bonne BD pour laquelle j’attends impatiemment le tome 2. La premier édition offre un supplément de quelques pages de crayonné très sympathique qui permet de bien apprécier le travail du dessinateur.

Lu dans la foulée du premier, me suis trouvée un peu déroûtée par le choix du changement de dessinateur, trice en l'occurrence. Mais les teintes restent les mêmes, ce qui donne une continuité dans l'univers.

Ce tome m'a un peu fait penser à Pratchett, à cause de l'enfant assassin qui me rappelle le seigneur Veterini et cette idée que le pouvoir réside dans le savoir, celui des petits secrets d'autrui. Mais la comparaison s'arrête là. Point d'humour ici, de second degré, plutôt un univers à la Dickens mâtiné d'assassin royal.

L'histoire reste cependant plaisante, même si à mon goût plus sombre que le précédent tome, avec nul espoir de rédemption. À moins que, par la suite ???

Surprenant. Je ne connais que très peu la mythologie nordique, je me suis donc laissée porter. Le troisième tome, censé expliquer les origines du combat avec les géants, est assez elliptique, et je n'ai pas tout capté. J'ai tout de même été surprise et touchée par le dénouement. Ma préférence va cependant au tout premier, pour la finesse psychologique du personnage, pour le poids du destin qui pèse sur ses épaules. Les choses se délitent un peu trop à mon goût quand il retrouve le souvenir de sa nature divine. Comme si la conscience de sa déité lui faisait perdre quasi toute la sagesse acquise au long de ses nombreuses incarnations. Paradoxalement le personnage y perd de sa cohérence. Les dessins sont fouillés, les différents belligérants se détachent de l'ensemble, leurs traits révélateurs de leurs histoires respectives. J'aime aussi beaucoup les tons de l'ensemble, fondus, qui mettent en valeur le trait de crayon plutôt que le couvrir.

Après avoir lu quelques tomes à propos des elfes, j’ai emprunté le premier tome concernant les nains. Contrairement aux histoires des elfes construites autour d’une intrigue qui fait penser à un récit mythique ou fondateur, ici, le récit s’apparente à la biographie d’un nain remarquable. Je lirai les suivants.

Second tome pour la saga Nains. Nous découvrons l’ordre du Talion et plus particulièrement sa mystérieuse loge noire. Ordo a été recruté dès son plus jeune âge pour intégrer cette redoutable organisation d’assassins faisant régner par la force cet ordre qui a la main mise sur l’économie des terres d’Arran.



Le scénario est très prenant du début à la fin avec des retournements de situation très intéressants. Le contexte et les enjeux sont parfaitement posés, ce qui permet au lecteur d’appréhender les fonctionnements des différents ordres nains. Les dessins sont moins fins que ce qu’on peut avoir sur beaucoup d’autres numéros, mais fonctionnent tout de même très bien.



Encore un très bon tome sur les nains ! Je recommande vivement cette collection.

Alors que nous pensions retrouver l’ordre du Talion, il n’en est rien puisque ce numéro est consacré à Gurdan du Malt (personnage déjà apparu dans plusieurs numéros). Après avoir été contraint de quitter la célèbre légion de fer, Gurdan retourne sur sa Terre-Natale puis cherche à reprendre la distillerie familiale. L’écriture et le caractère de ce personnage contribuent à le rendre très attachant. Au premier abord, le synopsis n’est pas révolutionnaire et pourtant, j’ai été très vite plongé dans le récit que j’ai dévoré d’une traite.



Pierre-Denis Goux est exceptionnel au dessin. (Je me demande même si ce n’est pas son meilleur album.) La colorisation chaude est parfaite et donne vraiment une ambiance de campagne qui plonge inévitablement le lecteur dans l’histoire.



Ce tome 17 a été un véritable coup de cœur et je le relierai certainement avec énormément de plaisir.

Je continue mon exploration des Terres d'Arran avec les Nains cette fois-ci.

Nous découvrons Redwin, un adolescent nain de l'ordre de la Forge.

On le découvre malmené régulièrement par un autre ado, Rom.

*

J'ai beaucoup apprécié ce premier tome qui offre une plongée dans l'univers des nains de l'ordre de la Forge. Un réel plaisir de découvrir ces planches aux couleurs très minérales. C'est assez violent et en même temps profond dans l'exploration des sentiments et des désirs de chacun selon son âge et son vécu.

Une belle première découverte qui me donne clairement envie de rester en Terres d'Arran !
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J'ai adoré sortir de ma zone de confort avec cette BD. Sans parler des superbes illustrations et des royaumes, j'ai adoré retrouver un peu l'univers du seigneur des anneaux et du hobbit.







Ces combattants, courageux, forts et loyaux n'ont peur de rien si ce n'est que de perdre leur dignité.







Redwin le forge est un personnage avec une volonté de gloire forte malgré sa jeunesse.







J'ai rarement apprécié autant me retrouver avec une bd dans les mains qu'avec celle-ci.







Une belle morale accessible pour les jeunes et les moins jeunes.







À découvrir !

Après avoir découvert une bonne partie de la série Elfes et le premier tome de Mages, je me suis plongée avec plaisir dans l'univers des Nains et.... Malheureusement ça n'a pas été très concluant.

On suit l'histoire de Redwin, fils de forgeron qui rêve de forger des armes en usant d'un art que son père refuse de lui enseigner.

Si l'idée de cette histoire est plutôt bonne, je n'ai pas réussi à retrouver le plaisir que j'ai à me plonger dans l'univers des Terres d'Arran aux côtés des Elfes, des Hommes et des Mages. J'ai été plutôt déçue.. mais peut être que je suis passée à côté alors je me recommande quand même à tous les fans de cette saga !

C’est la première fois que je rédige une critique pour un album de BD. Pourquoi pas, après tout ? C’est un genre qui demande autant d’attention qu’un roman.



Après que l’on m’ait offert le premier tome de Maîtres Assassins, j’ai découvert qu’il faisait partie du même univers que Les Maîtres Inquisiteurs. Ma curiosité a donc été piquée et je me suis lancé dans cette lecture.



Par quoi commencer ? Par ce qui attire mon regard d’abord et avant tout dans une bande dessinée : les dessins. Ils sont beaux. Le travail est propre et soigné. Je me suis immédiatement plongé dans le décor. Ça commence avec une demi-page représentant la ville d’Arès. On remarque l’architecture, bien détaillée sans être trop chargée. Le reste est de même qualité. Les visages sont expressifs et identifiables. La double page 34-35 est assez remarquable pour son dynamisme.



Les couleurs sont très jolies. Il y a souvent un bon mélange entre ombre et lumière, comme à la page 21 où l’on aperçoit les rayons du soleil traverser les branches de la forêt, tandis que le premier plan reste dans l’obscurité. J’aime le crépuscule à la page 28 sur la maison d’I’jaren. On est dans quelque chose de réaliste et d’agréable. La différence de ton entre les moments présents et les flash-back fonctionne très bien.



Quant au scénario, il est bien écrit. On découvre avec plaisir Obeyron, un Mage qui a le pouvoir de créer des doubles de lui-même. C’est un homme froid et intransigeant, n’hésitant pas à faire preuve de violence et de cruauté envers ceux qui enfreignent les lois au point de se faire des ennemis puissants dans son rang. L’histoire nous raconte les événements qui vont bouleverser l’existence d’Obeyron et de ses proches, elle nous fait découvrir son voyage, sa quête, comment tout cela va le changer, en bien ou en mal.



La suite m’attend et je ne vais pas tarder pour la découvrir.

J’avais découvert le personnage de Redwin dans la série Elfes et j’avais aimé parce qu’il correspondait l'image des nains que je m'étais forgé (ça s'impose) lorsque je les jouait à Warhammer ( comme Nicolas Jarry apparemment) . Ce premier album de la série nains me donne donc satisfaction car il éclaire le passé tumultueux du héros et explique son caractère un tant soit peu grognon. Bon album qui augure bien de la suite.

J’ai découvert ce merveilleux monde des Terres d’Arran pour la première fois grâce à la lecture de ce tome 1 : Redwin de la Forge. Depuis plusieurs années, je passais devant ces magnifiques couvertures lors de mes passages en librairie et j’ai fini par me laisser tenter. Je m’attendais à apprécier, mais je n’aurais pas imaginé trouver un récit aussi mature. Quel plaisir de lire une histoire avec une telle profondeur et un tel développement de personnage. Bravo à Nicolas Jarry et Pierre-Denis Goux qui livrent un travail exceptionnel.

Cette découverte a été la première d’une très longue série de bons moments de lecture devant les oeuvres de cette saga.

Un univers fantasy, un peu comme les sagas Elfes, Nains…, dans lequel des inquisiteurs sont les enquêteurs pour lesquels tout leur est permis pour arriver à mener la justice. Ce qui forcément dans un monde violent, fait d’un certain inquisiteur, Obeyron, un homme violent qui use de la violence et de son intelligence pour mener la justice. Mais Obeyron gêne. Ses ennemis fomentent et le laisse pour mort dans une forêt sombre. Plusieurs années après, il revient et enquête. Il va retrouver ses meurtriers.



Avec un scénario assez bien mené malgré tout, merci la magie qui permet de se sortir des impasses, le personnage est plutôt bien dépeint. Nous en arrivons même à ne pas l’aimer tellement il est obsédé par son travail.



Avec des graphismes magnifique, des personnages détaillées, et des monstres effrayants, cette série qui commence ici a de beaux jours devant elle, mais personnellement, je vais me contenter de ce premier tome. Le personnage ne m’a pas plu et je ne vais pas investir dans une série qui débute sur un personnage qui me rebute.
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Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de cette série est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=42315

J'ai mis la note de : 18/20



Mon avis sur la série complète : Le cycle 2 de Merlin, appelé Merlin, le prophète, est composé de 5 tomes, comme le cycle Merlin, la quête de l’épée, qui constituait un cycle parallèle, et est la suite directe du cycle initiatique. On retrouve un Merlin ravagé intérieurement, d’abord par la douleur, la souffrance puis par le temps et la solitude. La compréhension de cette transition nécessite d’avoir lu La quête de l’épée, pour mieux s’imprégner de ses sentiments de désespoir. Au fil des pages, il grandit spirituellement, se rappelant les enseignements de son père, Blaise, et montre les prémices de sa future condition de Conseiller du Roi, en essayant de mettre fin aux invasions saxonnes. Dans ces pages, Merlin a réellement sa place de magicien du royaume et c’est un plaisir de le suivre.



On ne s’ennuie pas une seconde dans cette nouvelle aventure et les légendes arthuriennes n’ont jamais été aussi vivaces que dans ces dessins et ces bulles. La venue au monde d’Arthur est le thème central de cette série et nous retrouvons tous les ingrédients qui nous avaient fait aimer les deux cycles précédents : les complots politiques, les scènes épiques de bataille, les histoires d’amour magiques, les paysages bretons majestueux, les créatures féeriques en leurs lieux légendaires et de nombreuses sous-intrigues qui finissent par se recouper pour n’en faire qu’une.



Le cycle est bien découpé et chaque récit a son importance. Il n’y a que le tome 5, le dernier, La voie du juste, qui est un peu moins intéressant. En effet, de nombreuses scènes de bataille s’enchaînent, emplissant presque les trois quarts des planches. Même si cela fait aboutir toutes les intrigues, que cela constituait en un passage nécessaire, et que les dessins sont magnifiques, notamment quand ils s’étendent sur les double-pages, tout le système de suspens et de pression que recelaient les 4 autres livres est rompu.



Morgane, connue pour être la demi-sœur du roi Arthur, a une très belle place dans ce cycle et n’est pas traitée de manière stéréotypée. Effectivement, elle n’est pas vraiment gentille ou très méchante et jouera, cependant, un rôle majeur dans la suite. Sa personnalité peu commune perturbe quelque peu et on ne sait jamais très bien comment la cerner. Elle reste une énigme et c’est finalement tant mieux.



D’autres personnages secondaires attirent notre attention, notre sympathie ou notre haine comme Viviane, la Dame du Lac, une belle jeune femme aux lourdes responsabilités ; Bedwyr, un jeune innocent que les saxons ont laissé orphelin et manchot ; Hengist, un chef saxon peu commode et aux approches barbares ; Vortigern, un vil manipulateur au sang chaud ou Uther, un guerrier fougueux en proie aux doutes. Attachants ou détestables, tous les personnages sont importants et ont leur mot à dire. Les dames d’Avalon sont toujours aussi majestueuses, alors que celles d’Ys paraissent souvent froides et austères.



Tout n’est pas rose dans cette série, et l’aboutissement de certains plans maléfiques ne donne pas spécialement à croire en une fin heureuse. Le suspens apporté est bénéfique et permet de revisiter le mythe que l’on connaît si bien sans que l’on s’ennuie ! Merlin, le prophète est un cycle sombre et prenant, bien différent des légendes arthuriennes que l’on a pu lire en classe, et très dissemblable par rapport aux cycles précédents. Merlin sait où il va alors que le monde se tort autour de lui. Pilier face aux ténèbres, tous se tournent vers lui pour savoir où se diriger, même si cela ne se couronnera pas toujours de succès.



Cette suite joue avec nos émotions en nous ramenant en arrière, notamment via des flash-backs de Merlin qui se rappelle les enseignements de Blaise, ou par l’intermédiaire de personnages que l’on croyait morts. Les révélations sont bien mises en scène et choquent. Le combat entre les différentes religions, bien que toujours central, prend moins de place dans ce cycle tout en restant un fond omniprésent sans être lourd. La toute fin, qui diffère des histoires arthuriennes dont on l’habitude, est un parti pris quelque peu risqué mais qui s’avérera certainement très intéressant à suivre. Les fans des légendes ne sont ainsi pas déçus et peuvent être surpris par la tournure des évènements.



Merlin, le prophète est une belle série et un pilier annonçant le cycle suivant, déjà entamé et s’intitulant le cycle Pendragon. Celui-ci ne constitue pas une série à part entière, comme les autres, étant donné qu’il commence au onzième tome de la série Merlin (les dix premiers formant le cycle initiatique). Jean-Luc Istin, toujours aux commandes du onzième tome, passe le flambeau à Nicolas Jarry pour le reste. La série Merlin, débutée il y a plus de 15 ans, n’a pas fini de nous enchanter !
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Une oeuvre magnifique, les dessins sont sublimes il n'a a pas d'autre mot et l'histoire est géniale, remplie de haine, d'amour, de regrets aussi j'ai adoré !

Un tome 2 qui semble clore l'histoire (mais que peut-il donc encore se passer dans le 3 ?!).

Un récit riche et dense, très prenant. La guerre semble inévitable, et on assiste à des scènes de batailles d'anthologie. Le peuple des elfes est effrayant, les dieux sont impitoyables... C'est rythmé, ça nous emporte et ça nous conte l'histoire du Ragnarök, tel qu'il est vu par les auteurs.

Bref, un bon moment de lecture. Les dessins restent ce qui me plait le moins, mais si le style n'est pas mon truc, je dois bien avouer qu'objectivement, ils sont plus que corrects !

Un premier tome intrigant, où un nain appelé Thor (ce qui fait bien glousser ses ennemis), se retrouve à, semble-t-il, avoir du contrôle sur la foudre (ce qui fait nettement moins glousser ses ennemis).

On est clairement dans une mise en place, où l'on sent que quelque chose nous échappe. Les personnages ne sont guère attachants, mais je n'ai pas l'impression qu'il s'agit du but de l'auteur. Ici, on nous conte une histoire - dont on commence à apercevoir la teneur en fin d'ouvrage.

Il y a quelques parti-pris vis-à-vis de la mythologie nordique qui m'ont un peu chagriné, mais j'ai été happé par l'histoire, et par ce mystère : Thor a-t-il réellement donné ses pouvoirs à ce nain ?

Petit bémol quant aux dessins : ce style de dessin n'est pas du tout ma came. J'appelle ça "Les bd de garçons" : les personnages sont franchement laids, il y a des grosses armes et de la grosse baston. Bref, pas mon truc.

Mais l'intrigue m'a suffisamment accroché pour que ça ne soit qu'un handicap mineur.

Coffret composé des tomes 6 à 10 de la deuxième saison de la série "Nains".



Les auteurs continuent d'approfondir les différents Ordres du peuple nain, en faisant appel à un descendant d'un personnage principal de la première saison, ou en s'intéressant à un nouveau venu.

Ce deuxième épisode de cette série est d’une belle qualité dès la prise en main. La couverture est belle, le graphisme est superbe. Le récit se déroule dans la société naine. Ordo est destiné à devenir un assassin secret de l’Ordre du Talion, un ordre qui possède un pouvoir immense sur toute la société naine. Mais Ordo, après des années de souffrance, qui ont nourri une haine immense décide de prendre sa revanche.

Le récit est bien construit proposant une histoire complète d’un personnage au destin atypique, mais avec un caractère bien commun finalement.

Mais l’atout de cet album ne réside pas dans son histoire, mais plutôt dans son graphisme magnifique. Le travail est ici d’une belle réalisation avec des scènes épiques très réalistes et surprenantes de détails. Les décors sont sublimes et les personnages aux expressions sévères sont beaux.

C’est un très bon album qui confirme une série qui s’annonce excellente.
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Encore une BD qui berce dans la fantasy et qui parle de nains.



Le sujet me tentait bien, j’avais envie d’essayer. C’est sympa, l’histoire se suit facilement, elle coule. Elle est intéressante, je ne peux pas dire le contraire. Mais je crois que les nains…C’est un sujet qui revient souvent, à la fin, on commence peut-être à s’en lasser. J’avoue que je m’attendais à mieux apprécier cette bande dessinée, mais en fait, je crois que je suis un peu comme tout le monde. A force, on finit par ne plus apprécier.



Niveau illustrations, par contre, j’adore ! J’aime beaucoup le coup de crayon de Pierre-Denis Goux. On est tout de suite mis dans l’ambiance fantasy, pas de souci. Les personnages sont reconnaissables même si j’avoue avoir eu un peu de mal entre le Redwin adolescent et le Redwin adulte. Il grandit tellement vite que l’espace d’une vignette ou deux, on se demande si c’est bien le même personnage !



Donc pour conclure… Mouais, c’est sympa, mais sans plus.