Pierre-Denis Goux

Nains est un spin-off de la série Elfes.

C'est super intéressant de découvrir comment les auteurs ont interprété l'univers des nains. Ils ne tombent pas dans les clichés habituels tout en reprenant les ''codes'' liés à cet univers.

Le scénario est très intéressant, bien ficelé et on a hâte d'atteindre la fin ! Pas une fausse note à mon sens.

Les dessins sont superbes et fluides. Un vrai coup de coeur.

Un univers toujours très complet et des dessins réussis, sombres comme l'histoire de Redwin qui cherche sa place dans son monde.

On ne sait pas vraiment où les auteurs veulent nous emmener, je n'ai pas trouvé le fil conducteur. Le tome ne raconte même pas toute l'histoire de Redwin. On commence dans le présent et il nous raocnte son passé sans que les deux ne se rejoigne. Déstabilisant. On dirait le tout début d'une histoire. Sans vraiment savoir si le tome 2 sera la suite directe.

Par contre les personnages sont attachants. On a de la peine pour le père de Redwin et Enïme. On déteste Rom. On soutient Redwin.

On attend le tome 2 pour savoir où tout ça va nous emmener.

Le tome 1 de cette nouvelle série consacré aux Nains est génial, on a une très bonne histoire. Un historique pour ce peuple qui se met en place, on garde quelque classique mais en rajoutant de la nouveauté, je le conseille pour tous fans de Fantasy ou de Nains.

Hâte de lire les prochains tomes.

Nous rentrons dans une partie connue des légendes arthuriennes. Celle précédant la venue d'Arthur. Celle Hengist le chef saxon s'installant en Grande Bretagne. Celle de Vortigern complotant pour devenir le Haut Roi. Celle de Viviane et de Merlin. Celle de Morgane. Celle d'Uther Pendragon.

Ce qui fait que ce cycle manque cruellement d'originalité et de surprise. Néanmoins il reste plaisant à lire.

Voilà une histoire forte et poignante qui prend aux tripes autant que le héros les arrache de ses ennemis. Nous est contée ici l'histoire de Redwin, jeune nain qui renie son père : en effet, celui-ci ne forge que des outils et refuse de créer armes ou armures. Une honte pour un forgeron nain. Ne supportant plus la lâcheté de son père et souhaitant se venger de Rom, un nain le harcelant depuis sa plus tendre enfance, il décide de tout faire pour devancer son rival et devenir Seigneur des runes. Mais le chemin est loin d'être fleuri... Démontrant une formidable volonté, Redwin ne recule devant rien pour parvenir à son but ! Cependant... Était-ce vraiment là ce qu'il voulait ? La vengeance nourrit rarement l'âme. Un récit sombre, violent, rempli de haine et pourtant ! J'ai décidé de lire cette BD après qu'on m'en aie parlé, m'expliquant que chaque tome raconte l'histoire d'un nain. Il ne s'agit pas là de ma race favorite, mais j'ai toujours admiré cette détermination farouche (et butée) que les récits à leur égard dépeignent. Je fus servie ! Jusqu'où un nain peut-il aller, uniquement poussé par ses propres convictions ? En tout cas, je n'ai plus qu'une seule hâte : plonger à nouveau dans cet univers de court sur patte et découvrir de nouvelles aventures. J'ai également adoré le cahier graphique à la fin du volume qui nous dépeint en quelques mots les différentes factions naines, le tout accompagné de croquis et de dessins qui ne sont pas en restes.

Jusqu'où peut mener l'orgueil ? C'est l'histoire d'une quête, qui devient une initiation aux subtilités de la vie.

Le père de Redwin est un éminent membre de l'ordre de la forge capable de tout créer avec son marteau et son enclume. Pourtant il refuse d'apprendre à son fils à fabriquer des armes. Et celui-ci part, avec la complicité de son oncle, pour apprendre cet art et l'utiliser pour se battre contre ceux qui se moquent de lui et de son père.

Cette BD se lit d'une traite, et nous emmène dans un monde où la violence se confronte à l'amour et à la capacité de suivre son propre chemin. Nous y trouvons l'énergie et la fougue des adolescents qui se transforment en adultes responsables.

Mon deuxième album de la série "Nains " (en fait c'est le numéro11) et c'est à nouvau une histoire de vocation contrariée .Torun ,veut devenir Forgeron , comme Papa et Grand papa mais suite à diverses vicissitudes ,il ne trouve pas de maître et on lui propose la prêtrise. C'est une structure de roman d'apprentissage qui oblige Torun à passer des épreuves ( des méchants humains , d'affreux gobelins ..) qui lui permettront de trouver un maître ( et quel maître!!!) et sa place comme forgeron dans une société militaire . De belles scènes de combat dans des décors pluvieux du plus bel effet.

Comme pour le premier volume de cette série, j'ai absolument adoré suivre l'histoire d'Ordo du Talion. Une ambiance très sombre pour cette BD adulte qui en peu de pages réussi l'exploit d'avoir une histoire fouillée et des personnages profonds. Chaque volume semble présenter une "biographie" d'un personnage vivant sur les terres d'Arran, et j'ai hâte d'en découvrir un nouveau personnage dans le suivant. Un régal pour les yeux et l'esprit.

Torun est un jeune nain heureux de vivre, son meilleur ami est un humain et il aime vagabonder avec lui. Certes son grand père le presse de suivre l'apprentissage pour devenir prêtre mais il a encore le temps de décider. Pour le moment il cherche à savoir qui est le vieux fou qui se cache dans une cabane au fon de de la forêt et qui lui "pique" ses lapins pris au piege!

Hélas le seigneur du coin veut récupérer les terres du père de son ami, et pour cela il emploiera les moyens les plus extrèmes. Ce qui va boulverser leur vie.

Histoire d'un jeune garçon né pour être maitre de forge et qui croisera la marche d'un nain célébre, Redwin le fameux. Histoire prenante, qui parle de famille et d'apprentissage comme souvent dans les tomes composants les mondes d'Arran. Un bon cru.

Un premier tome qui commence sur les chapeaux de roues. Le scénario est rondement bien mené avec un dessin à la hauteur de nos attentes. Il faut dire qu'Olivier Peru m'a rarement déçu. Son talent est manifeste. Idem pour le dessinateur.



C'est de l'héroïc fantasy qui se situe dans la collection dirigée par Jean-Luc Istin avec les nains, les elfes et les hommes qui se partagent la destinée d'un monde. En l'occurrence, on va se placer du côté des nains avec la mythologie liée au Dieu Thor et son fameux marteau qui appelle la foudre. Attention, en l'espèce, on sera aux antipodes du super-héros du fameux comics repris récemment en adaptation cinéma.



C'est encore bien dommage que cette nouvelle série ne soit pas connue du grand public car elle est magnifique surtout pour les amateurs de fantasy. En bonus, il y aura 6 pages de making of. Les crayonnés sont tout bonnement impressionnants de beauté. Bref, une série à découvrir.



Le second tome ne fait que confirmer mon impression première en ce qui concerne le graphisme. Le soin apporté à la composition est parfait. Sur le fond, je serai sans doute moins catégorique car un peu déçu par la tournure de ce récit. Certes, l'action conserve son rythme et les révélations demeurent intéressantes. Cela reste une très bonne série sur la mythologie scandinave.

2 € dans le cadre de l'opération 48 h BD, c'était l'occasion ou jamais de me frotter à ce fameux monde de fantasy développé par les éditions Soleil depuis quelques années avec les séries Elfes, Nains, Orcs et gobelins, Inquisiteurs, et plus dernièrement Mages. Séries dans lesquelles les albums défilent à un rythme assez hallucinant (aux dernières nouvelles on en est à 25 pour Elfes...), ce qui je dois le dire a tendance à éveiller en moi méfiance et circonspection, malgré l'indéniable beauté des dessins et des couvertures. Mais j'ai tendance à croire que malgré tous les auteurs bossant sur le projet, rapidité et qualité vont rarement de pair.

Nous voici donc en présence d'un justicier qui ne fait pas dans la dentelle en la personne de l'inquisiteur Obayron, sorte de flic, juge et bourreau badass à souhait, au faciès néanderthalien assez raccord avec ses habitudes de brute épaisse, malgré le fantôme de son elfe qui représente sa conscience et qui lui souffle sans arrêt de se calmer, ce qui constitue la principale originalité de cet opus.

C'est bien dessiné, sans aucun doute. Mais je reste tout de même assez mitigé. Beaucoup de pages sont très chargées, avec énormément de cases, et non moins de phylactères qui peuvent se multiplier dans une seule et même case et dont on finit par douter de la provenance. Les scènes d'action, qui sont assez nombreuses puisque le gazier mutile, étripe et démembre tout ce qui se dresse sur son chemin, manquent de fluidité. Il m'a parfois fallu reparcourir la scène 3, 4, et même 5 fois avant de comprendre ce qui s'était vraiment passé.

Pour une BD comme pour un roman, je pars du principe qu'une œuvre vraiment réussie doit être comprise du premier coup, sans obstacle et sans anicroche, et que si l'on s'attarde sur une case ou si l'on y revient, ce doit être par plaisir et non par nécessité de comprendre ce qu'on n'a pas compris la première fois.

Ce manque de fluidité se retrouve souvent sur des BD faites par des dessinateurs très talentueux, ce qui est le cas ici. L'un n'empêche pas l'autre.

En fin de volume, on trouve une présentation assez complète du "monde" développé pour ces séries, et je dois dire que j'ai été assez frappé par le manque évident d'originalité. Quelques exemples : au nord, les terres d'Ecorce... Les Inné qui vivent sans modernité, de la pêche et de la chasse, suivant les troupeaux de yakas, espèces de bovins laineux qui sillonnent la région... Les Mokhans, des nomades qui vivent dans des yourtes, expansionnistes, craints pour leurs attaques furtives sur les territoires limitrophes... j'en passe et des meilleures.

À la seule lecture de ce volume, j'ai donc tendance à prêter foi aux accusations de "série marketing" que j'ai lues ici ou là.

Je ne dis pas que je ne m'essaierai pas à d'autres volumes de ces séries, mais ce sera en prêt médiathèque, car je n'ai pas trop envie de nourrir cette bête-là, qui d'ailleurs coûterait fort cher, et qui me rappelle un épisode douloureux avec "l'histoire secrète" de Pécau, et aussi d'autres épisodes douloureux avec certaines séries télévisées.

L’album a été lu dans le cadre de l’opération annuelle 48h BD proposant une sélection d’albums à 2€. L’occasion de découvrir cette série incluse dans la collection créé par Jean-Luc Istin (les séries Elfes, Orcs, Nains, etc.). Je dois dire que si ma première tentative sur Elfes n’a pas été très concluante, j’ai essayé cette série notamment pour sa très jolie couverture qui respire la ride et l’âpreté… Les Inquisiteurs sont un ordre d’enquêteurs, à la fois juge et bourreau, envoyés en compagnie d’un sage elfe par le haut conseil des Juges pour résoudre les crimes commis sur le monde d’Oscitan, divisé en deux empires, au nord et au sud. Le concept de la série, par cycles de cinq tomes autonomes conclus par un album commun, propose donc des enquêtes avec un personnage différent chaque fois. Ici Obeyron qui assouvit sa vengeance après avoir été envoyé dans un piège mortel il y a des années et dont il est revenu doté d’une rage et de pouvoirs imprévisibles… Graphiquement on est dans du très correcte, notamment pour les personnages (moins sur les arrières-plans). L’univers de fantasy n’est pas très original mais intéressant néanmoins avec cette ancienne guerre globale dont le monde panse encore les plaies. Si le thème de l’enquête dans un monde de fantasy est sympa, on n’avance pas beaucoup, du fait sans doute d’une intrigue à étaler sur cinq albums. Du coup on lit surtout une succession d’actions violentes de cet ex-inquisiteur qui a un peu oublié qu’il ne devait pas se faire justice lui-même. L’originalité de l’album réside surtout dans ce fantôme d’elfe qui parle à l’oreille du anti-héros sans que l’on sache tout le long si le personnage est fou ou doté de facultés spéciales. Une demi-réussite, comme très souvent malheureusement dans ces séries concept dont est friand l’éditeur Soleil, dotées de belles couvertures, de dessins correctes et de scénarios qui se tiennent… mais peinent à justifier leur existence hors de l’intérêt commercial.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..

Saga dans la saga, ce onzième tome et la suite du premier et du sixième. L'intrigue de Nicolas Jarry est bien maîtrisée, parfaitement servi par le dessin sombre de Pierre-Denis Goux. Une pierre de plus dans la mythologie des maîtres forgerons.

Le second opus de Nains se concentre cette fois sur Ordo, un agent de la Loge Noire, le bras armé du Talion, ordre tout puissant tenant le peuple nain sous sa coupe.



Pris par la Loge à l'âge de 6 ans, Ordo devient un maître assassin redouté.

Son dernier contrat étant l'assassinat d'une ancienne camarade, ira-t-il jusqu'au bout ou a-t-il autre chose en tête ?



Les dessins sont chouettes et ça se laisse lire mais ce n'est pas aussi prenant que l'album précédent, les personnages sont moins bien développés et moins charismatiques.



Divertissant mais un bon cran en dessous de Redwin.

très bon tome de bande dessinée pour continuer la sage des terres d'Arran en enrichissant cet univers d'un nouveau peuple bien connu de fantasy : les nains. On commence bien en représentant ici leur orgueil. A titre personnel, j'ai découvert Redwin avec le siège de Kastennroc de la saga Elfes. On remarque quand même une grande évolution du personnage en vieillissant. Car dans ce tome il est très orgueilleux. Même si les ennemis qu'il combat me semble faible, oui même ceux de l'arène.

Je remercie tout d'abord Babelio et les éditions Soleil pour ce service-presse.



Ce passant dans le même univers, j'avais lu le premier tome de la saga "Mages" dont vous pouvez retrouver mon avis ICI, du coup, j'étais assez curieuse de découvrir la saga "Nains".



Nous sommes dans le Village de Boronn. Ulrog est l'un des nains les plus doués de l'ordre de la Forge et il enseigne à son fils, Redwin, l'art de forger des outils. Mais forts de ses convictions pacifistes, il refuse d'apprendre à son fils à forger des armes. Redwin est du coup considéré comme le fils d'un lâche et il est la risée des autres nains. Redwin, souhaitant forger des armes et devenir Seigneur des runes, se construit une forge, avec l'aide d'Enïme et en secret, il tente de forger une arme puissante, mais c'est un échec.

Un soir, il reçoit dans sa forge la visite de son oncle Jarsen. Ce dernier se propose de lui apprendre le combat et à forger...

Mais dans les arènes, il va ressentir la haine, la violence et se perdre lui-même...



Ce premier tome peut tout à fait se lire comme un one-shot, ce qui est vraiment agréable vu le nombre de tomes qu'il y en a.

Personnellement, j'ai préféré le premier tome de "Mages". L'intrigue est intéressante et très facile à suivre. Ce tome est par contre assez sombre, violent et sanglant.



Je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à Redwin tant, il a de la colère en lui qui se transforme au fil des pages en haine. Je l'ai trouvé détestable, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'espérer qu'il se réveille enfin. Heureusement qu'il y a Enïme qui apporte un peu de douceur à cette histoire.



Niveau illustrations, elles sont superbes et très bien coloriser. Il y a plein de détails, on arrive bien à suivre l'action et le sang rougit certaines cases. J'ai également apprécié le carnet graphique à la fin de l'histoire qui nous fait découvrir les autres ordres.





En bref, un bon premier tome qui peut se lire comme un one-shot. Un tome assez violent et sanglant, mais avec une intrigue intéressante.
Lien : https://les-livres-de-nancy...

Merci à Babelio et aux éditions Soleil pour cette opération Masse critique spéciale.



Redwin entraîne le lecteur dans un monde de violence gratuite déstabilisant. Aussi, les scènes de combats et de mise à mort s'enchaînent sans raison profonde si ce n'est l'amusement des nains et le besoin de reconnaissance du personnage central. Le tout est porté par un texte ponctué de mots particuliers (glossaire en fin d'ouvrage) et de grossièreté. Le récit de cette bande dessinée ne vise ni le raffinement ni la belle prose. Cependant, certaines citations se dégagent et la remise en question de Redwin est profonde, sincère et très intéressante. Cet aspect réhausse l'intérêt du liseur pour l'histoire contée, même s'il trouve le pardon facile de la part des protagonistes au vu des agissements du nain.

Deux caractéristiques appréciables se dégagent des illustrations. Premièrement, l'intensité du regard de certains personnages lorsqu'ils sont démunis, désarmés. Ensuite, l'utilisation d'une teinte sépia pour distinguer des souvenirs anciens. Au-delà de cela, les dessins peuvent ne pas plaire à tout un chacun car il s'agit d'un style particulier.

Négatif et positif se confrontent pour offrir au lecteur une belle histoire de rédemption.
Lien : https://livresratures.wordpr..

Chez les Nabots ,le départ à la retraite se fait les pieds devant …ou se passe mal . C’est le cas pour Gurdan viré de la légion de Fer pour cause d’âge et de maladie .De retour sur les terres de ses ancêtres , il se trouve dans un imbroglio familial et devant un patrimoine (une distillerie) en déshérence qu’il décide de relever . Et surprise cela nous donne un album bucolique avec initiation à l’artisanat de la bière (mais tout de même aussi quelques bastons et quelques monstres) .Original et agréable et ça finit sur une image breughélienne avec un nain…crevable Gurdan.

Après avoir découvert les albums de la série « Elfes » j’ai voulu tâter du Nain ( mon peuple préféré dans les sagas , jeux de rôle ou de plateau) : cet album consacré à Ordo de l’ordre du Talion est une histoire de vengeance . Ordo n’est pas du tout d’accord avec le choix de son conseil d’orientation familial qui le destine à devenir un assassin mais il est bien obligé d’y passer , avec une formation à la dure . Mais il garde en lui le désir de vengeance et , devenu assassin patenté , décide de détruire son maître et l’ordre noir avec l’aide d’une collègue et d’un pilote de dragon assez timbré. C’est mouvementé , agréable à lire mais je suis tout de même frappé par la similitude avec l’histoire de Gaw’yin l’Elfe bleu voué au noir dans la série « Elfes ».

Une BD, d'une bonne qualité graphique, Pierre-Denis GOUX réussi à faire de ce monde une quasi réalité.

Le scénario est bien ficelé, et Olivier PERU nous emmène dans Ares (Cité-Etat d'Ocsitan) dans laquelle nous nous embourbons avec le héros (si on peut l'appeler ainsi...)



Une univers d'Héroïc Fantasy où la guerre est telle qu'elle est : sale, moche, et les "guerriers" sont loin d'être des êtres de lumières irréprochables qui apportent joie et sérénité sur leur passage.



Je vais acheter de ce pas les autres pour voir comment évolue l'aventure, mais je suis plutôt bien surpris.