Piers Anthony

Cette histoire commence dans un pays, le royaume de Mazonia, où les femmes ont le pouvoir et où les hommes ne sont que des esclaves. Notre héroïne, Xylina, n'y a pas sa place. Elle ne peut cependant pas s'en libérer. Si elle se montre trop faible, c'est la mort qui l'attend.

Pourtant, si, en révélant sa véritable puissance, elle gagne le respect de son peuple et un esclave qui deviendra un ami, elle se fait aussi des ennemis. Elle se retrouve ainsi forcée d'accomplir une quête jugée impossible et perdue d'avance, en somme un exil déguisé.



Au début du roman, je n'aimais pas le personnage de Xylina. Je la trouvais trop molle, trop soumise. Elle n'avait pas cette petite flamme d'indépendance qui fait de magnifiques héroïnes.

Et pourtant, je n'ai pas lâché ce livre et je ne l'ai pas regretté. Au fil des pages, Xylina révèle une force que le début du roman n'avait qu'effleuré. Elle se découvre, sort du carcan dans lequel Mazonia l'avait enfermée, et commence à vraiment être libre. Elle perd ses préjugés, réalise l'impossible et choisit de défier le destin plutôt que de s'y soumettre comme elle l'avait toujours fait.

Les autres personnages qui gravitent autour d'elle ne sont pas moins intéressants : un esclave trop fier pour être vraiment considéré comme tel, un démon aux motivations inconnus, et de nombreux autres caractères rencontrés au cours de son périple.



Ce livre est né de l'idée d'un écrivain génial et a été mis en forme par un autre, tout aussi formidable. Le résultat m'a coupé le souffle. Ce n'est peut-être pas l'oeuvre la plus connue de Piers Anthony ou Mercedes Lackey, mais elle vaut la peine d'être lue.

Alors, il s'agit d'un cycle dont le présent volume réunit trois titres "Silex ou Le messager", "Mélodie ou La Dame enchaînée", "Hérald ou la Quête Kirlian". Mille pages de science-fiction que je qualifierais d'interstellaire avec carte de la sphère Sol telle que vue de la sphère Polaris et les différents effets de régression, avec les sphères dominantes du segment galactique, la géographie politique du groupe local de galaxies (L'Amas) et les correspondances entre sphère ou segment/symbole/situation/personnages à l'appui. Il ne vous reste donc plus qu'à tomber sous le charme de Silex, un barbare pas comme les autres avant de retourner probablement à Silex and the City.

Piers Anthony nous propose, avec la saga Constellations, un space opéra prenant et parfois haletant. C’est bien construit et cette première époque est une histoire à part entière même si de grands pans nous restent assez fermés, étant très certainement développés par la suite.



Les deux premiers tomes nous mettent devant un protagoniste haut en couleur puisqu’il s’agit d’un tailleur de pierre d’une planète humaine aux confins de la galaxie. L’auteur nous justifie de manière très judicieuse la manière dont la civilisation régresse au fur et à mesure de l’éloignement des planètes depuis le centre de la galaxie, due au temps que mettent les vaisseaux à les atteindre.



L’auteur nous crée, dans cette saga, toute une quête autour de l’effet Kirlian, cette aura découverte par hasard à la fin des années trente et reprise largement par la parapsychologie qui la définie comme la manifestation de l’âme.



Dans cette première époque, nous voyons une guerre pour le contrôle de l’énergie se profiler entre notre galaxie, celle de la Voie lactée, et la galaxie d’Andromède. L’histoire est bien menée et nous vivons les aventures prenantes et immersives, sans grand temps mort, de notre héros parti gagner cette guerre.
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Brève réécriture de l'encore plus brève critique que j'avais postée à l'époque : "Constellations" est un space opera de Piers Anthony plus connu pour sa light fantasy. L'Atalante le vendait à l'époque comme un roman novateur et avait découpé chacun de ses tomes en morceaux microscopiques (c'est-à-dire encore plus qu'un certain éditeur ovin). Et effectivement, il y avait du potentiel : le voyage hyperspatial étant toujours impossible pour toutes les espèces de la galaxie, les vaisseaux infraluminiques peu sûrs et les téléportations coûteuses, nos amis aliens ont développé un système où seul l'esprit, pardon l'essence Kirlian, voyage ; or, elle a pour cela besoin de s'incarner dans un corps, et malheur à celui qui possèdera son hôte trop longtemps, se faisant peu à peu rattraper par la personnalité de ce dernier. Silex, humain d'une planète retournée à un état primitif, est ainsi choisi pour explorer la galaxie et prévenir de l'invasion andromédane...

Tout ceci est bel et bon, d'autant plus avec les systèmes de biologie et de société que l'on nous développe, bien que pas toujours très crédibles. Quand soudain, à la moitié de cette première partie : paf, un bon gros viol collectif. Et le lecteur sonné a à peine le temps de s'en remettre qu'il s'en commet DEUX AUTRES, où le héros est coupable. C'est pour sauver la galaxie, me direz-vous ; on a déjà connu des moyens plus subtils et moins répréhensibles. Le contexte, c'est que l'espèce alien dans laquelle il est incarné est obligée de violer pour survivre ; on pourrait en profiter pour développer une réflexion progressiste à la Star Trek, expliquant que ce n'est pas parce que la nature est injuste que nous devons tolérer l'injustice. Mais il ne se passe rien ; au contraire, il y aura carrément une petite phrase réactionnaire, disant qu'un viol homosexuel est encore plus contre-nature qu'un viol normal...

Les personnages ne sont pas non plus spécialement attachants : le seul qu'on suive est Silex, qui sert surtout de poisson hors de l'eau afin de découvrir l'univers. On pourrait enfin se poser des questions éthiques sur le fait de posséder des gens qui n'y sont pas toujours consentants ni même au courant ; au lieu de quoi on nous expliquera juste dans l'épilogue de la partie 2 qu'une amicale d'hôtes volontaires s'est formée... Bref, Piers Anthony n'est pas un auteur dont je me presse de recroiser le chemin.

Silex ou le messager (1977) est un roman de science-fiction de Piers Anthony. La Galaxie est divisée en sphère d'influence. Une menace de destruction pesant sur la Voie Lactée, Sol est sollicitée pour propager un message de résistance aux autres civilisations mitoyennes. C'est Silex, de Hors-le-Monde, la planète la plus éloignée de Sol et donc la plus sauvage qui est chargé de cette mission. Un roman original et prenant qui permet de découvrir des civilisations incroyables.

L'Atalante, sur ce coup-ci, n'a malheureusement pas réussi son découpage. Ce qui nous donne un tome 2 avec un début poussif, mais pas aussi mauvais qu'on pourrait s'y attendre, vu qu'il annonce la fin du récit de Silex, fin qui est d'ailleurs réussie. À bien y réfléchir, il est bien meilleur que le premier, autant dans son fond qui prend une tournure moins politiquement corrompue et plus humaniste, et en maîtrisant avec brio le suspense dans l'avant-dernier chapitre. Les extraterrestres sont moins présents mais tout aussi inventifs, néanmoins les Andromédans ont un problème de taille : comment voulez-vous créer de la matière à partir de la lumière ? Et pourtant, c'est à partir de ça qu'il se reproduisent.

"Silex ou le Messager" nous donne au final un diptyque / livre unique dépaysant, premier volet de la saga "Constellations" que je devine grande, à fuir pour le lecteur de hard-SF, mais qui reste d'une grande intelligence. À réserver tout de même aux inconditionnels du genre.

Ce roman a sans doute un peu vieilli, même si le thème de la lutte éternelle reste un bon filon.



Nous voilà projetés dans le futur. La terre est une planète mineure. Mais qui va sauver la Voie Lactée (rien de moins), c'est un barbare humain. Le contre-emploi total, qui se révèle l'unique solution. Le message est "résister".



Alors Piers Anthony balade Silex et le lecteur au gré de ses envies, d'un monde à l'autre. Au-delà de cette galerie des mondes (où l'auteur excelle), on a une épopée, alliant le space-opera et la SF moderne. De quoi ravir les lecteurs les plus difficiles.



A noter que le roman a été publié en 2 tomes chez l'Atalante.

Piers Anthony nous propose, avec la saga Constellations, un space opéra prenant et parfois haletant. C'est bien construit et cette première époque est une histoire à part entière même si de grands pans nous restent assez fermés, étant très certainement développés par la suite.



Les deux premiers tomes nous mettent devant un protagoniste haut en couleur puisqu'il s'agit d'un tailleur de pierre d'une planète humaine aux confins de la galaxie. L'auteur nous justifie de manière très judicieuse la manière dont la civilisation régresse au fur et à mesure de l'éloignement des planètes depuis le centre de la galaxie, due au temps que mettent les vaisseaux à les atteindre.



L'auteur nous crée, dans cette saga, toute une quête autour de l'effet Kirlian, cette aura découverte par hasard à la fin des années trente et reprise largement par la parapsychologie qui la définie comme la manifestation de l'âme.



Dans cette première époque, nous voyons une guerre pour le contrôle de l'énergie se profiler entre notre galaxie, celle de la Voie lactée, et la galaxie d'Andromède. L'histoire est bien menée et nous vivons les aventures prenantes et immersives, sans grand temps mort, de notre héros parti gagner cette guerre.
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Ce deuxième opus de la saga Constellations est encore plus prenant que le premier. Il y a beaucoup d’actions et l’histoire avance à toute vitesse.



La protagoniste est très attachante. Comme toujours, l’auteur arrive à très bien travailler ses personnages et à les rendre vivants. Ce qui est une prouesse puisque les individus peuvent très facilement changer de corps. Mais, on finit par arriver à s’attacher à l’essence même du personnage pour qui le corps d’accueil peut devenir un simple outil.



Encore une fois, la galaxie est menacée par sa redoutable voisine. Et c’est alors une course contre la montre pour maîtriser la science disparue des Anciens qui permettra de résoudre les problèmes de l’énergie.



Il y a aussi une partie assez mystique avec un développement original du tarot qui est devenue une religion répandue sur toutes les planètes. Et il est amusant de voir que, tout en gardant l’essence même de ce jeu, l’auteur a réussi à en détourner certaines parties pour coller aux civilisations qu’il a inventées.
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Hérald ou la quête de Kirlian, troisième époque d'une trilogie de Piers Anthony. Le thème principale de cette trilogie étant la guerre de l'énergie entre différente civilisation. L'univers futuriste présenter par Piers et un mélange déroutant de Space Opéra, Space Fantasy et de Planet Opéra.



Je connais Piers Anthony de réputation, créateur axé sur la fantaisie et les choses éclaté qu'on retrouve dans sa prolifique saga Xanth.



Il ne déroge pas des ses habitudes dans cette série, complètement péter.



Hérald le guérisseurs avec 230 de aura transporte son âme dans différente hôte (volontaire à prêter leur enveloppe corporelle). Le voyage des corps étant très coûteux, le transfert de la conscience est beaucoup plus simple. On y découvre une multitude de civilisation, amalgame de pièce mécanique et de chair, homme lézard, créature se mouvant sous terre, serpent géant se déplaçant à l'aide de roue et oui les roues sont devenu avec l'évolution le moyen de locomotion commun de la plupart des être civilisé et animal. Piers à travers Hérald nous fait découvrir les méthode communication, mode de reproduction et mœurs de chacun de c'est être avec un détail et une fantaisie captivante. Cette fameuse aura que les différents personnages possèdent avec un certain niveau, leur permette de faire des actions comme la guérisons ou l'influence mentale. On se rend bien vite compte que le niveau d'aura détermine la classe sociale.

Hérald dans cette aventure découvrira l'amour inconditionnel d'un aura supérieur au sien, fera face à un envahisseur venu d'un autre galaxie.

Emporté par le premier volume du cycle, j'avais été très dubitatif quant au deuxième tome. J'avais donc (à l'époque) abordé le troisième tome avec quelques réserves. Vite balayées.



Ici, Anthony clôt sa saga en nous proposant ce qu'il sait faire de mieux, une science-fiction débridée, mélange de space-opera, de technologie et de quête. Il ne faut pas se leurrer non plus, l'auteur aborde maintes fois des sujets plus profonds, sous le couvert de la SF, comme les luttes sociales, la différence ou le rapport à autrui.



Bien que naturalisé américain, il flotte toujours un parfum sooooo British dans la manière de Piers Anthony d'aborder les rapports humains.

J'ai beaucoup aimé cette troisième époque, même si la première partie ne m'a pas enthousiasmée. Le protagoniste est trop obnubilé par la femme qu'il aime et nous suivons l'évolution de ses états d'âme, au détriment de l'avancement de l'histoire.

Heureusement, très vite, nous sommes embarqués dans une aventure haletante où les secrets des anciens commencent à se dévoiler. J'en suis restée totalement enchantée.

Avec son imagination débordante, Piers Anthony nous développe un space opéra totalement addictif. Les personnages se multiplient, tous avec des spécificités différentes, des histoires et une évolution différentes. Pourtant, chaque protagoniste est si bien travaillé que nous finissons par bien les connaître et nous y attacher.

Et ce qui est très fort, c'est que nous nous attachons à l'essence même du personnage, et non à son apparence qui peut changer d'un monde à l'autre. Ce qui pose, comme dans les précédents tomes, la question de l'acceptation de la différence. Finalement, quelle que soit l'apparence, c'est la personnalité qui fait un individu.

Cette troisième époque clôt le cycle des guerres de l'énergie. Nous apprenons enfin qui sont ces Anciens et pourquoi ils ont disséminés ces sites à travers la galaxie. Une très bonne lecture pour une saga qui m'a enchantée.
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Ce dernier opus de la saga des Constellations est mené tambour battant dans une course haletante. L’auteur, avec une imagination sans limite, nous régale d’une histoire qu’on a du mal à lâcher.



Cette fois, nous avons affaire à un duo atypique et explosif. Ces deux protagonistes sont courageux et tenaces. Ils se sont engagés dans la course pour sauver leur vie. Il leur faut donc gagner coûte que coûte.



La course en elle-même est tout simplement incroyable. Pleine d’énigmes et de bolides en tout genres. Elle nous mène sur une planète inconnue au sein d’un système éloigné. Bien sûr, les personnages ne sont pas en reste. Bien travaillés, vivants et complexes, nous découvrons quelle a été leur vie et comment ils ont pu en arriver là.



Ce tome, pourtant, ne suit pas l’histoire des trois époques précédentes, même s’il navigue dans le même univers. C’est un tome à part, avec une histoire bien spécifique, même si nous partons encore à la recherche d’un site des Anciens. Un très bon opus donc, qui clôt merveilleusement la saga des Constellations publiée dans cette collection.
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Une de mes trilogies favorites !



De la bonne fantasy où il ne manque rien !

Je n'arrive pas à comprendre que cette trilogie soit restée si peu connue !!!



J'ai essayé de lire Xanth, du même auteur, que j'ai trouvé pénible à lire à cause des jeux de mots et de l'humour très lourd qui empêchent de se concentrer sur l'histoire.

Ici, pas du tout ! Pas de lourdeur, un univers typique de fantasy très bien décrit, une histoire qui repose sur un jeu tout à fait original... peut-être quelques clichés fantasy oui mais...rien de gênant.



Coup de coeur les amis, coup de coeur !

Moins de jeux de mots, mais toujours le succulent humour qui parcourt son cycle de Xanth.

Piers Anthony mène l'intrigue dans deux univers, dans ce livre passionnant, presque trop court. A lire pour tout fan de Fantasy légère!

Une découverte récente que cet auteur et j'ai visité son monde avec plaisir.

Piers Anthony est un des rares auteurs, avec Terry Pratchett notamment, à avoir su pérenniser une série parodique de Fantasy. Avec une bonne dose d'absurde, une exploitation cynique des clichés du genre et un humour plus que pourri, le monde de Xanth vous dépaysera sûrement, mais sans doute au détriment de votre santé mentale. La magie y est bien étrange, et répond à des lois ubuesques, à peine moins que les personnages rencontrés par les héros. Accrochez-vous

Beau et merveilleux.

Avec l'humour en plus et des traducteurs d'une efficacité redoutable car ce n'est pas évident de traduire de tels livres (les jeux de mots, par exemple...).

Piers Anthony a créé un monde, des mondes d'une richesse et d'une complexité époustouflantes.

La Light Fantasy au sommet dans ce qu'elle a de meilleur.



Il n'existe que quelques volumes en français alors que la saga comporte actuellement 47 volumes ! Frustration !

Un monde coloré, loufoque, expliqué avec des jeux de mots plutôt drôles, même si parfois un peu faciles.

Un gros lot d'aventure pour notre héros dans les premières histoires, pour son fils par la suite.

C'est sympa et pas prise de tête, un bon moment a passer

Xanth, c'est une série de 34 livres (dont seulement 9 réédités en français) issue de l'imagination de Piers Anthony.

C'est un monde de fantasy, plein de magie et de créatures aux noms poétiques (je pense à l'homme-arbre François Paumier) ou sauvages (comme la mite-railleuse). Les jeux de mots et l'humour foisonnent. On y trouve aussi des créatures telles que les centaures (mention spéciale à Chérie), les harpies, ou encore les dragons...



Tout le monde à Xanth possède un pouvoir magique. Tout le monde, ou presque... Car Bink, le héros de ce premier tome, en est dépourvu. Or, tout habitant de Xanth n'ayant pas découvert son pouvoir avant l'âge de vingt-cinq ans se retrouve banni, et exilé en Vulgarie (qui n'est autre que notre monde, terne car dépourvu de la moindre magie). Et il n'y a forcément rien de pire que la Vulgarie pour quiconque vit à Xanth.

Bink décide donc de se rendre chez le Bon Magicien Humfrey afin que celui-ci lui apprenne s'il a ou non un pouvoir, ainsi que la nature dudit pouvoir. Mais le château du magicien ne cesse de changer d'apparence, et la route est semée d'embûches... De plus, Humfrey ne donne droit qu'à une seule question, et ce en échange d'un an de services. Bink sera-t-il contraint à l'exil?

Rencontres cocasses (la belle Wynne, la sorcière Iris) ou dangereuses (le dragon de l'abîme) jalonnent le parcours de Bink. Arrivera-t-il à rencontrer le Bon Magicien? A-t-il un pouvoir? Sera-t-il exilé?

Cela, je vous laisse le découvrir par vous-même...



Personnellement, je ne lirai pas la suite de Xanth. J'ai eu beaucoup de mal à accrocher à l'histoire, je l'ai trouvée trop longue à démarrer. Pour moi, ce livre ne devient intéressant qu'une fois que l'on a dépassé la première moitié.

La critique que j'avais lue sur un autre blog m'avait pourtant donné envie, mais rien n'y a fait: je me suis ennuyée...

Il est vrai qu'il faut planter le décor de cette monumentale saga, présenter les divers personnages, mais cette lenteur a fait que j'ai failli à plusieurs reprises poser ce livre pour ne pas le reprendre.



L'aventure s'arrête donc ici pour moi, malgré des jeux de mots à foison et des personnages attachants (même Trent, si si)...
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