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Critiques de R. A. Salvatore (402)
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Terre promise

Après une longue pause je me suis replongée dans le monde de Drizzt qui découvre la surface dans ce tome.



Après avoir parcouru et compris le monde et la société des elfes noirs cette découverte naïve du monde des humains fait sens. Par comparaison avec son référentiel culturel, Drizzt est littéralement ébloui par ce nouveau monde et sa beauté.



Cette exploration donne lieu à ses premiers contacts avec des humains et c'est de là que part l'intrigue de ce tome, rien ne va se passer comme l'elfe noir l'espérait...

En même temps au bout de 3 tomes on s'en doutait un peu, c'est une mécanique huilée : Drizzt n'est à sa place nulle part.

Pour autant sa solitude lui pèse et sa vraie quête est là, au-delà de sa fidèle panthère, créer un lien avec d'autres êtres.



Et on s'en approche par moment. Déjà dans le tome 2 avec son ami gobelin et dans celui-ci des amitiés plus au moins brèves laissent entrevoir l'espoir que Drizzt se sorte de sa condition d'être isolé et solitaire (pour ne pas dire carrément rejeté parfois).



Le premier tiers du tome est assez contemplatif, et même si on comprend Drizzt, ce qui crée de vraies lenteurs. J'ai mis pas mal de temps à la lire pour le coup, pas vraiment motivée... Puis les choses s'accélèrent, dérapent et on se prend plus à la lecture jusqu'aux dernières pages.

C'est un vrai plaisir de retrouver Guenhwyvar, animal fantastique mais véritablement personnage. Je l'apprécie beaucoup :)



Salvatore a l'air de savoir où il va et nous emmène sans empressement, il faut dire que son héros à plusieurs siècles d'espérance de vie devant lui !

Je n'ai pas encore la suite en main et je ne me précipiterai pas. J'ai le sentiment que cette saga va m'accompagner longtemps, sûrement sur plusieurs années et ce n'est pas pour me déplaire ; je préfère prendre mon temps et savourer plutôt que de me lasser !
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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Star Wars, tome 49 : Episode II, L'Attaque ..

J’ai plutôt bien apprécié cette adaptation de l’Episode II qui permet de découvrir quelques scènes en plus - pas forcément prépondérantes pour l’histoire - mais qui apporte une nouvelle lecture à la saga.

Évidemment la scène où Anakin tue les Tuskens de rage et sombre dans le Côté Obscur est bien plus révélatrice que le film. L’auteur rend bien mieux compte toutes les émotions qui s’affrontent dans la tête d’Anakin et son basculement dans la haine envers ceux qui ont tués sa mère.

D’ailleurs, on se rend compte que c’est Padmé qui est peut-être l’élément qui permet à Anakin de se reprendre et revenir vers la lumière.

Il y a encore d’autres enseignements dans ce roman ; sans entrer dans les détails : Yoda qui entend la voix de Qui-Gon, Mace Windu croit bien plus au destin exceptionnel d’Anakin que son Maître Obi-Wan (encore une preuve que Obi-Wan n’était pas le plus à même d’entraîner l’impétueux Anakin), la souffrance de Shmi Skywalker est décrite de façon plus importante pour accroître la tragédie de la scène des Tuskens…

Cet Episode révèle une intrigue prenante et profonde où Palpatine tire toutes les ficelles d’un complot que personne - même ses alliés - ne soupçonnent.

Malgré une histoire excellente, il reste des facilités scénaristiques et en tout premier lieu la scène où les Jedi tentent d’arrêter le Compte Dooku ; une scène vraiment trop grosse - comment les Jedi ont-il pu le laisser s’échapper si facilement !?!

Bref, une adaptation en roman de l’Episode II bien plus intéressant que celui sur « la menace fantôme » ; bien mieux écrit aussi et qui apporte bien plus au récit filmé (même si ce n’est pas transcendant non plus).
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Terre natale

Remarque sur ma faible note : je connais peu D&D (même en ayant lu la trilogie Dragonlance de Weis&Hickman et celle de la guerre des avatars) et mal les drows. Les amateurs de ceux-ci apprécieront peut-être ce roman.



J'entends parler de cette série de romans et de son héros depuis longtemps. Lire des séries basées sur des JdR prépare à la déception mais aussi à l'indulgence. Je ne connais rien de l'auteur et je suppose qu'il s'agit d'un travail de commande avec un cahier des charges et son lot de règles qui brident l'inspiration.



Première déception : Drizzt ne devient le protagoniste qu'au chapitre 12 (sur une trentaine). Il faut jusque-là supporter les "méchants" (pathétiques) de l'histoire. Malheureusement, Drizzt n'a rien d'intéressant. Il est plus un concept qu'un personnage. En terme de JdR, c'est le perso d'un joueur grobill (ou grosbill, je ne sais plus).

Deuxième déception : ce n'est pas bien écrit (là encore, je n'ai rien contre l'auteur, il a sûrement écrit avec des contraintes de temps), mais surtout, un bon tiers du livre est du pur remplissage. C'est flagrant aux nombreuses répétitions d'informations paraphrasées ou parfois mot pour mot.

Troisième déception : l'histoire est sans intérêt et elle est artificiellement étirée avec de nombreux combats d'entraînement décrits avec précision (là où des combats avec enjeu seront parfois plus courts).

Quatrième déception : on est dans le cas typique du "ferme ta gueule, c'est magique" pour excuser les incohérences du monde, de la société drow, du non-respect de règles pourtant établies par l'auteur.



En conclusion, ce roman est considéré comme un des meilleurs jamais écrits dans un univers D&D. Or, il n'arrive pas au talon de la botte de Félix souillée des viscères gobelines répandues par le tranchant de la hache de Gotrek. Terre Natale est mauvais et il faut la passion d'un joueur de D&D pour voir du beau là où il n'y en a pas. Mais j'ai été un joueur de Warhammer.
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Les Royaumes oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Un tome nettement meilleur que le précédent!



On retrouve Drizzt et ses amis, six ans plus tard après la guerre contre les elfes noirs. Ce saut dans le temps à permis à l'auteur de faire évoluer positivement le cours des événements.



Avec ce nouveau chapitre, certains problèmes passés seront enfin réglés. On sent que c'est la conclusion d'un cycle. Ce tome est plein d'actions du début à la fin. Cependant, la fin m'a un peu déçue. Je l'ai trouvé un peu trop précipité, un peu trop facile et magique.



Il y a heureusement une petite surprise qui vient rattraper le tout, mais je ne vous dit pas quoi!
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Terre natale

Il y a longtemps que j'ai lu ce premier tome mais j'en garde un très bon souvenir. Je l'avais lu rapidement et j'étais complètement tombée sous le charme du personnage de Drizzt. A ce jour, il reste encore dans mes personnages de littératures préférés (bien qu'il provienne du jeu d&d).



J'avais eu beaucoup de plaisir à découvrir cette société drow, où les femmes règnent ou plutôt dominent les hommes. On y découvrait la jeunesse du personnage, les événements qui ont fait de lui l'elfe noir mythique que l'on connait. Un classique de la Fantasy.
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Terre natale

Avant tout il faut savoir que j’ai entendu parler de cette saga ainsi que de cet univers grâce au père de Manon, fanatique de jeux de rôle. Cette dernière m’avait d’ailleurs offert lors d’un noël les trois premiers volets de La Légende de Drizzt mais c’est grâce à la collection dédiée à cet univers que je me suis enfin décidé de partir à l’aventure. Cependant et quand bien même j’ai fortement apprécié cette première approche, je dois dire que j’émets quelques reverses et que je ressors assez mitigé de cette lecture.



Il est vrai que les codes de la fantasy sont parfaitement utilisés et maîtrisés mais il m’a manqué un réel fil conducteur quant à l’intrigue présentée dans ce premier volet. En effet, j’ai ressenti une absence totale de développement et une trop large superficialité dans l’acheminement et la présentation de cette œuvre. Par conséquent, j’ai eu quelques difficultés à entrer pleinement dans cette lecture et à être totalement happé par celle-ci. Pour autant, R. A. Salvatore n’omet aucun détail et nous présente un univers sombre et enchanteur à la fois et nous berce d’incroyables complots en tous genres. Cependant, ce dernier reste beaucoup trop en surface et offre un récit vu et revu et, par conséquent, bien trop usuel pour être totalement pertinent. Néanmoins et maintenant que les bases sont posées, je laisse volontiers sa chance à l’auteur et je lirai avec plaisir le second volet afin de décider si oui ou non, cette collection vaut son investissement. Pour autant et malgré ce léger sentiment de déception, il est indéniable que la plume de l’auteur se lit avec facilité et que son style se révèle a minima accrochant et percurtant. De plus et en divisant ce premier volet en différentes parties, R. A. Salvatore parvient à donner un certain rythme à son aventure. C’est pourquoi il m’aura fallu que quelques heures seulement pour venir à bout de ce tome qui est avant tout parvenu à me surprendre grâce à son personnage principal, Drizzt l’elfe noir.



C’est vraiment l’élément qui m’a le plus rendu curieux et qui a maintenu jusqu’à la dernière page mon éveil. En effet, nous suivons une longue période dans Terre Natale, celle des premières années d’existences de Drizzt. Finalement et même s’il ne se passe pas énormément de choses et que l’action n’est pas tant au rendez-vous, ce premier volet permet au lecteur d’apercevoir l’origine de la future quête de notre personnage principal. J’aime assez ce travail de construction qui me permet d’appréhender au mieux le caractère et la psychologie de l’elfe qui se dévoilent bien plus complexes qu’ils n’y paraissent. De plus, cela permet aussi une certaine proximité intéressante et pertinente même si j’aurais apprécié m’attacher davantage à ce dernier. Malgré ce manque d’affect en ce qui le concerne, j’ai fortement apprécié toute la complexité et la construction de ce personnage et bien que quelques clichés du genre viennent par moments entacher cette dernière, j’admets avoir beaucoup aimé la nuance dont fait preuve R. A. Salvatore à son égard. Je suis sincèrement curieux de découvrir son évolution suite à sa formation parfaitement atypique et étonnante.



Comme je le disais, ce premier volet me laisse vraiment perplexe et, sans pour autant ne pas avoir apprécié cette lecture, je ne peux affirmer l’avoir adorée pour autant. Terre Natale comporte de très bonnes idées et un riche univers malheureusement amputés par la présence d’une trop large superficialité et d’une absence de réel fil conducteur. Ainsi et pour le moment, seule la complexité de Drizzt me pousse à continuer cette aventure.
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Les Royaumes oubliés - La Trilogie du retour ..

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 10/10

Style de l'écriture : 10/10

Rendu de l'histoire : 10/10

Total 39/40 Babelio 5/5



Pour moi sans doute la trilogie sur Drizzt la meilleure et la plus consistante, mais surtout la plus sombre. Alors je sais que beaucoup considèrent l'auteur comme pas très bon et que son style laisse franchement à désirer, avec des histoires pas très originales.



Et comme j'aime souvent le faire dans mes critiques je vais remettre tout de suite l'auberge au centre du village, et répétant une fois de plus que l'univers de Drizzt vient direct de l'univers des rôlistes sur table et aussi des rôliste grandeur nature dont je fais partie (un peu galère ces temps si, hein !).



Ce que j'aime bien chez cet auteur ce n'est pas sa belle plume où les histoires qu'il raconte mais le développement psychique entre ses personnage. Pour moi rare sont les auteurs qui mettent aussi bien à jour notre société au travers de ses héros aussi faillible que nous le sommes.



Ce premier tome de cette trilogie du Retour aux sources, met en avant le lien très fort qui unissent les différents personnages. Le mal est de retour sous les traits de la la sœur de Drizzt. Vierna tout comme lui est issue du même père.



On voit aussi le retour d'Artémis qui s'était ramassé une fameuse déculotté dans la précédente trilogie. Apparemment il aime bien ça et il va encore y avoir droit. Même allié aux elfes noirs, le tueur ne fera guère le poids fasse à un Drizzt libéré de toutes ses chaines.



Les combats s'intensifient à chacune des pages nous emportant dans un tourbillons d'aventures et d'amertume lorsque l'on voit le barbare se sacrifier pour ses compagnons.



Le combat contre Vierna est l'apogée du livre puisque Drizzt la voit partir en paix vers l'autre monde. Les armes en adamantite de ses ennemis n'auront pas eu raison de Drizzt. Tout du moins pour cette fois.



Comme on peut s'y attendre les combats vont s'intensifier dans les deux tomes suivant de cette trilogie édité par Fleuve Noir en 1996.
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Terre natale

Je carbure en ce moment côté lecture, et j’ai enchaîné deux romans Milady. Si le premier tome de Prince Captif m’a laissée mitigée mais pas non plus fermée à la lecture du second tome qui pourrait rattraper le tir, j’ai beaucoup apprécié cette lecture, celle du premier tome de La Légende de Drizzt, Terre Natale, écrit par R.A. Salvatore, sûrement parce que je préfère la Dark Fantasy de ce style.



Drizzt est un elfe noir né dans la cité souterraine de Menzoberranzan (j’espère ne pas m’être trompée ^^’), société matriarcale où les hommes ne sont pas seulement inférieurs mais maltraités par les hautes prêtresses et les matrones qui ne vivent que pour glorifier la déesse Lolth, la Reine Araignée. Destiné à un sacrifice dès sa naissance, Drizzt est sauvé de justesse par la perfidie de son frère aîné et est éduqué par l’une de ses sœurs aînées. Seulement, il semble dénué de la cruauté naturelle de son peuple et ne comprend pas la violence qui règne dans ce monde de ténèbres.



Ce premier tome était une bonne découverte de l’univers Donjons et Dragons que je ne connaissais pas du tout, j’en ai juste entendu parler dans une vidéo de JDG qui m’a marquée par son humour. 😆



Ici, l’ambiance est plus sombre et Drizzt apporte une lueur d’espoir de par sa candeur et son côté plus bienveillante. Je me suis beaucoup attachée à ce personnage et je l’ai plaint d’avoir reçu une éducation si cruelle, tant de mépris de la part de sa mère et ses sœurs, et de ne pas se sentir à sa place parmi les siens. J’ai aussi beaucoup aimé Zaknafein, le puissant maître d’armes qui entraîne Drizzt et qui partage sa vision des choses. Leur relation est d’ailleurs très touchante.



J’ai vu que ce n’était que le début d’une longue saga que j’ai bien envie de continuer : je suis curieuse de voir ce qui attend Drizzt et comment il va évoluer au fil des tomes.
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Demon Wars, tome 1 : L'Éveil du démon

L’art de poser un univers (ou pas?)



Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un R.A. Salvatore. C’est bien vrai. Qui plus est, toutes mes lectures avaient eu un lien adans les Royaumes Oubliés alors pourquoi se priver d’une découverte avec la saga Demons War qui ne parle ni d’elfe noir, ni de Drizzt et des joyeux compagnons? Je vous avoue que sur le coup, cela me paraissait être une super idée. Et apparemment, l’auteur aussi puisqu’il s »‘est dit que j’allais beaucoup aimer son monde donc qu’il fallait me le décrire. Genre longtemps. Sauf qu’un monde qui fait 5 tomes et un monde qui fait 30 tomes, ça ne se décrit pas pareil : on est d’accord.



Bref, entre la genèse des personnages, leurs rencontres, apprendre à la connaître et voir leur parcours initiatique, on a bouclé les trois quarts du roman. Quand on sait que j’adore les aventures de cet auteur pour ses scènes d’action et ses punchlines, je vous laisse imaginer ma tête avant le quart final. Et qui plus est, cela fait aussi quelques tomes un peu moyen que je me lis depuis quelques temps. Cela dit, je vous rassure de suite, quand l’auteur est lancé, on ne le tient plus : il se lâche dans les combats finaux, dans les associations force/magie et c’est là qu’on voit que c’est un bon éditeur d’histoires de jeux vidéos.



Des personnages qui vont former un groupe de combattants



Je n’ai jamais dit que ce roman allait vous apporter des suprises, on surfe en pleine zone de confort. Ne pensez même pas que la composition d’un groupe de combattants va différers de nos jeux préférés. On a le rodeur qui sait se battre discrètement : Elbryan, le beau gosse qui est orphelin et dont tous les membres de la famille ont l’habitude de se faire élever par des elfes. C’est un peu notre Drizzt couplé à Cattie Brie. Il combat pour la veuve et l’orphelin mais à tendance à pas se sentir chez lui nulle part. En face et en couple parce qu’ils s’aiment depuis toujours, notre paladine (comprenez la bourrine en armure qui soigne) : Pony qui a subi des trucs pas cool mais qui l’ont rendu très forte.



Pony a rencontré le magicien du groupe qui est un peu notre Regis : Avelyn. Un ancien moine qui a trouvé des pierres magiques et qui a été trahi par son ordre. Notre triova se faire des amis et tous ils vont combattre le démon du tome qui veut, tenez vous bien : anéantir le monde. (et oui encore un) et qui n’a pas encore compris qu’il ne peut rien contre la force de l’amitié (même quand ce n’est pas les sœurs sorcières, attention je m’égare).



Vous l’aurez compris,un début de trilogie classique



Tellement que j’aurai reconnu l’auteur rien qu’en lisant le descriptif des personnages. Nous sommes ici à la limite de la parodie de saga. On sent bien que R.A. Salvatore essaie de faire plus violent et plus … plus…. (je ne sais pas en fait mais il essaie) Alors oui, arrivé au trois quarts de ma lecture, j’ai levé le nez en disant : Tiens ! j’aime bien. Mais c’est parce que j’aime Drizzt que j’aime cette saga. Ne vous aventurez pas ici si vous voulez être surpris. Lisez là si vous êtes fans et encore, vous ne trouverez pas ce tome parfait.



En bref : J’ai le tome 2. Donc oui je vais en profiter pour le lire afin de voir si cela démarre plus vite et surtout si la saga a une identité propre. Il est fort possible que ce soit aussi dans un soucis de classification. Clairement, ce tome ce suffit à lui même donc ne vous infligez pas cette lecture si vous voulez un truc de folie. C’est une lecture de vacances bien bateau et même, j’en ai de plus actuelles à vous proposer si vous voulez un roman de fantasy à lire à la plage sans se prendre la tête.
Lien : https://labibliodekoko.com/2..
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Terre promise

Un troisième tome aussi bien écrit et captivant que les tomes précédents, malgré un scénario parfois prévisibles....

Mais cela ne m'a pas empêché de passer un excellent moment de lecture et d'avoir hâte de lire la suite des aventures de Drizzt !!!
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Les Royaumes Oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Drizzt doit affronter les réminiscences de son passé et reconsidérer un serment de jeunesse; il s'était engagé à ne jamais tuer de ses semblables, mais est-ce encore réaliste? Même si le retour des elfes noirs dans la saga nous ramène aux premiers tomes de la série, j'ai trouvé que les deux premiers tiers de cet opus apportaient peu et que les batailles prenaient beaucoup, trop même, de place. Le dernier tiers par contre est assez fascinant et annonce une suite à grand potentiel. Et en connaître de plus en plus sur les nains ne nuit pas non plus!
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Terre d'exil

La solitude est un lourd tribu à payer lorsqu'on quitte sa patrie, même pour de bonnes raisons. Et si au moins la chasse acharnée que lui livre son ancien peuple pouvait laisser quelques instant de répit à Drizzt! Mais ce ne sera pas le cas. Ses longues pérégrinations dans les couloirs d'OutreTerre en feront un chasseur hors-pair, au détriment toutefois d'une certaine intégrité de son moi profond. Heureusement sa compagne magique et l'amitié d'un ancien ennemi le sortiront de sa torpeur. Au-delà de l'action qui ne manque jamais, cet épisode traite d'amitié, de rectitude morale et pose des limites à la manipulation, si magique soit-elle. Cette saga s'avère en cela moins innocente qu'elle parait au premier abord. C'est une des raisons qui font que j'ai hâte d'en découvrir encore plus.
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L'éclat de cristal

Salut les Babelionautes

N'ayant jamais jouer a aucun jeu de rôles je ne peux pas contredire Alfaric sur l'impression que lui donne les Aventures de Drizzt et qui entend rouler des dés pendant sa lecture.

Moi ce que j'en retiens c'est une Héroic fantasy comme je les aime, bien sur il n'y a pas de messages cachés derrière la prose de R. A. Salvatore, c'est binaire, sans prise de tète.

D'un côtés les bons de l'autre les méchants, avec une présence féminine qui détonne au milieu de toute cette testostérone.

Je suis un bisounours et je ne peux qu'apprécier les valeurs que recherche notre Héros, l’amitié, l'entraide, l'implication envers les autres quels que soient leur provenance.

Il me tarde de me plonger dans la suite, même si il m'a fallut mettre en pause plusieurs lectures programmées.

Je remercie encore une fois Milady pour les avoirs réédités et Fanélie Cointot pour sa traduction.
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Terre natale

Ah ce bon vieux Drizzt. Qui n'a jamais entendu parler de ses aventures?

J'ai lu cette trilogie de romans fantasy quand j'étais ado et j'en garde un excellent souvenir. L'histoire très prenante d'un elfe noire qui quitte son monde natale accompagné de sa fidèle panthère pour aller vivre dans le monde des hommes, des elfes, des nains etc..

Le problème. Les elfes noires sont détesté de tous et notre héros torturé va en faire les frais même s'il croisera sur sa route des amies qui lui resteront fidèle.



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L'éclat de cristal

Là où j'avais vraiment aimé les 3 premiers tomes, j'ai eu plus de mal avec celui-ci. Je lui ai trouvé des longueurs et j'ai eu du mal à accrocher avec l'intrigue principale.



Par contre, j'ai beaucoup aimé retrouver Drizzt et sa panthère, ainsi que découvrir plus en avant les autres personnages, qui vont être récurrents par la suite j'imagine. Ils sont tous très bien travaillés et j'ai vraiment pris plaisir à suivre leurs aventures et leur évolution dans ce tome.



La deuxième moitié du livre est plus rythmée que le début, ce qui fait que j'ai plus accroché sur la fin. Globalement, j'ai passé un moment sympa, malgré quelques longueurs au début.



Je lirai la suite avec plaisir, d'autant plus que je les ai quasiment déjà tous dans ma PAL !

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Terre natale

Un excellent moment à passer.



Ce n'est certes as le coup de cœur de l'été, mais je dois avouer avoir pris grand plaisir à lire ce premier tome.

Le combat de Drizzt pour accepter petit à petit la réalité de la perversion de son peuple et pour conserver sa pureté est passionnante, l'intrigue est bien construite et le personnage creusé. Et l'univers quand à lui est complexe et intéressant, bien développé.



Bref cette ouverture faite, je n'ai pu que me jeter sur la suite.

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Terre d'exil

Deuxième tome aussi plaisant que le premier.



Après une longue période de solitude dans l'Outreterre, dont on nous offre un aperçu, et qui nous permet de prendre connaissance de sa faune et de sa flore, Drizzt apprend à s'accepter lui-même par l'acceptation d'un de ses premiers amis. (je n'en dirais pas plus).



Sa décision finale semble assez logique, et c'est avec impatience qu'on attend de découvrir l'endroit ou le mèneront ses pas.

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Terre promise

Comme promis Drizzt regagne la surface, et c'est là un nouveau combat qu'il doit faire... après avoir réussi (plus ou moins) à s’accepter, il doit à présent faire face au rejet des autres. Une nouvelle phase de son apprentissage commence.



J'ai bien aimé le personnage de Colombe, qui est le premier personnage feminim sympathique qui croise notre route, et j'aurais aimé plus de contact entre elle et Drizzt.
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Les Royaumes Oubliés - Le Codex des Compagnon..

Salvatore a toutes les cartes en main pour réussir à redonner une seconde jeunesse à sa série.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Les Royaumes Oubliés - La pentalogie du clerc..

R.A. Salvatore nous avait habitué à beaucoup plus intéressant comme qualité d'histoire et personnage. Cette pentalogie du clerc est bonne mais sans plus.
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