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Critiques de R. A. Salvatore (402)
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Terre natale

Holà on comprend pourquoi R.A. Salvatore est devenu un des plus grands auteurs à succès de T.S.R. et de la Fantasy. Comme je l'ai mentionné dans une critique antérieur Fleuve Noir à massacrer l'œuvre Forgotten Realm pour le rentrer à grand coup de pied dans un format 250 pages. Malgré cela j'ai été subjugué par cette trilogie du début à la fin sans laissé aucune miette ou sauté quelque paragraphe. J'ai même en tête de lire éventuellement ce que la maison d'édition Milady en a fait car elle semble plus volumineuse.



Drizzt un mouton noir parmi les elf noir, il a hérité d’un cœur, né dans une race où ça n'a pas sa place d'en avoir un. Bref ou se rendra-t-il pour ce faire accepter tel qu’il est et non tel qu’il doit être. Je ne vous résumerai pas cette histoire, car mon commentaire est lisait là tout simplement amateur ou non de la Fantasy. Bien écrit, personnages attachant, on veut savoir où cette quête va le mener, la barre est haute pour les prochaines trilogies.





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Les Royaumes Oubliés - La Séquence des Avatars,..

Le Créateur de Toutes Choses, Ao, n'est pas content du tout : un des dieux lui a dérobé les Tablettes du destin, garantes de l'équilibre entre le bien et le mal, et définissant les attributions de chacun des dieux du Panthéon. En punition, tous les dieux sont bannis et condamnés à s'incarner dans un avatar humain, privés d'une bonne partie de leur pouvoir. Ils ne retrouveront leur place que quand les Tablettes seront rendues.



Les stratégies des dieux sont diverses : si certains supportent leur sort avec résignation et se font vénérer par leurs fidèles, d'autres préparent activement leur retour dans le Plan des Dieux. Baine, dieu de la Tyrannie, et Myrkul, dieu des Morts, ont volé les Tablettes et espèrent ardemment retrouver assez de puissance pour renverser Ao. Mystra, déesse de la magie, a eu le temps d'envoyer une parcelle de son pouvoir sur terre avant la punition, et tente de remettre la main dessus. Elle se fera aider dans sa quête par Minuit, une magicienne, Cyric, un voleur, Kelemvor, un mercenaire maudit et Adon, un prêtre de Sunie, déesse de la Beauté.



À la base univers du jeu de rôle « Donjons et dragons », les Royaumes Oubliés ont été adoptés en roman quelques années plus tard. On y retrouve tous les ingrédients habituels de la fantasy : dieux, magie, héros, quête, puissants artefacts, le tout dans une trame tout de même originale. L'écriture est assez simple, mais ne gâche pas le plaisir de la lecture. À conseiller aux amateurs du genre !
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Les Royaumes oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Amateur de Drizzt et de ses amis ? C'est avec plaisir que vous les retrouverez dans de nouvelles aventures toujours aussi épiques ! S'y mêleront amitié, courage et loyauté, mais aussi la fourberie, la trahison et les machinations des elfes noirs.



Le lecteur pourra aussi retrouver, en parallèle de l'histoire de Drizzt, celle d'Artémis Entreri, de retour à Portcalim et de son association avec la guilde de mercenaires de Jarlaxle.



Le lecteur amateur d'action retrouvera dans Lame furtive des combats de haute volée tous bien décrits, des dilemmes moraux et des enjeux gigantesques pour l'avenir des Royaumes. Je regrette seulement que l'aventure du drow ne soit pas davantage développée.



Mais c'est bien la seule chose que l'on puisse reprocher à ce livre. Les descriptions plongeront le lecteur dans les paysages rudes de l’Épine dorsale du monde et dans les ruelles les plus sombres des villes des Royaumes.



L'évolution psychologique du Drow est toujours très intéressante à lire, surtout si s'y intéresse depuis le tout premier tome, soit la jeunesse de Drizzt. Cela nous donne une vision intéressante de ce que pourrait être une vie immortelle et ses implications sur la façon de voir le monde et les êtres qui passent dans cette existence.



Un plus enfin pour le dessin de la couverture de Todd Lockwood qui, comme pour les précédents tomes, a réalisé un magnifique travail.
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Les Torrents d'argent

Ainsi Bruenor, Wulfgar, Drizzt et Régis partent à la recherche de Castelmithral, patrie de Bruenor, qu'il a du quitter lorsqu'il était enfant. A présent, épaulé par ses plus proches amis, il ne doute pas de la retrouver. Mais leur quête sera des plus périlleuse, car de nombreux ennemis sont à leur poursuite, et la présence de Drizzt perturbe toujours les habitants de la surface.

Un nouveau tome merveilleux, on ne se lasse pas des aventures de Drizzt et de ses compagnons. Une fin incroyablement forte en émotions, et qui donne terriblement envie de lire le sixième tome ! A lire absolument !
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L'éclat de cristal

Un superbe début pour la seconde trilogie de la légende de Drizzt, où ce dernier, même s'il vit à présent à la surface, n'y est pas encore accepté par tous. Il ressent quand même un devoir envers la cité et lui fait parvenir une information capitale qui sauvera nombre de vies : Les barbares ont prévus d'attaquer. Ces derniers qui pensaient attaquer par surprise se font décimer, et Bruenor décide d'épargner un jeune homme en échange de cinq années de servitude. Ainsi le jeune barbare Wulgar travaille dans les mines, et apprends l'art du combat au coté de Drizzt. Mais aussi l'humilité et la tolérance. Et ce nouvel ami ne sera pas de trop compte tenu de la menace que l'Éclat de Cristal, puissant artéfact magique, fait planer sur les Dix-Cités...

A nouveau pas une seule seconde de répit, et on attend avec impatience de savoir comment se déroulera la quête annoncée à la fin du tome... Une merveille !
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Terre promise

Drizzt décide de quitter l'Outreterre et de rejoindre le monde de la surface, où il espère trouver un endroit où vivre, où il se sente enfin à sa place. Mais les préjugés sont tenaces, et aucun Drow avant lui n'a cherché à rejoindre la surface... Il doit affronter un racisme constant et il devra faire ses preuves même quand tout est contre lui, et c'est souvent le cas. Courageusement, il n'abandonne pas et nous sommes ravis de le suivre dans sa nouvelle aventure, et ravis de voir que tout n'est pas perdu, que la tolérance existe, même envers les Drows. Ce tome conclut merveilleusement bien la première trilogie de la légende de Drizzt, et donne terriblement envie de continuer à suivre ses aventures.
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Terre promise

Idée de départ / Accroche du début de livre : 8/10

Développement des personnages : 10/10

Style de l'écriture : 10/10

Rendu de l'histoire : 10/10

Total 38/40 Babelio 5/5



Suite des aventures de Drizzt, cette fois j'ai décidé de poursuivre l'aventure sur ma version papier de fleuve noir, vu la trop mauvaise conception rédactionnel de Bragelonne qui ont dénaturé l’œuvre en changeant les noms à tout bout de champ.



Ha que c'est bon de revenir sur cette version papier. Même si le numérique reste agréable, rien de tel que de tenir un bon vieux bouquin sentant les années entres les doigts.



Ce tome est, il est vrai en dent de scie, car il repose sur la phase de changement de milieu de Drizzt. Il est clair que le début n'a plus rien avoir avec les deux précédents tomes. Mais ce livre à d'autres qualités et la première est de parler du racisme. Car il est bien question de cela dans ce bouquin, être jugé sur sa couleur de peau et sa place dans la société. Même si nous sommes dans un roman fantastique c'est amené d'une manière si intelligente par l'auteur que l'on ne peut que applaudir.



Comme je l'ai dit dans Terre natale, j'avais lu en 1995 en tout premier L'éclat de cristal. Je découvrais donc ensuite la trilogie de l'elfe noire comme l'épisode I, II, III de Star Wars (en mieux, pas dur on va dire). Donc le Terre promise est apparu pour moi comme le final du parcoure du Drizzt rôdeur et comment son lien d'amitié se crée entre lui et Bruenor.



L'éclat de cristal (toujours chez Fleuve noir, autant lire ma meilleur version) suit derrière et il ne promet que du bon. Ha nostalgie quand tu nous prends...
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Terre d'exil

Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10

Développement des personnages : 10/10

Style de l'écriture : 10/10

Rendu de l'histoire : 8/10

Total 37/40 Babelio 5/5



Suite des aventures de Drizzt Do'Urden. Je me souviens qu'a l'époque où les livres sont sorti (donc pas la réédition de Bragelonne) , chaque sortie était attendue comme une sorte d'événements pour mon groupe de JRGN. On parlait pendants des mois de ce qui allait arriver dans le prochain tome voir le prochain cycle de l'elfe noir. A la base ces premiers volume s’appelaient la Trilogie de L'elfe noir et non pas la légende de Drizzt. L'elfe noir aux yeux lavandes est devenu en quelques temps plus célèbre et reconnu que Dark Vador parmi notre groupe de rôliste. La carte Magic de Drizzt était d'ailleurs vendu plus chère que celle du Jedi noir.



Ce second tome est la suite parfaite au premier, même si dix années se sont écoulées. Les temps forts de ce roman, toujours aussi intelligemment écrit, sont l'affrontement avec Dinin et Briza ainsi que le retour de Zanakein. Mais il y a aussi sa relation d'amitié avec Belwar le gnome. Le roman n'est pas seulement une histoire de fantasy, il y a aussi beaucoup de réflexion sur notre société à travers Drizzt.



Le seul bémol dans cette version réédité, c'est le travail bâclé du traducteur. Déjà le mot Adamantine (l'acier des elfe noir) est remplacé par adamantium. Euh pardon mais l'adamantium c'est pas dans Wolverine ? Si, si mais de toute évidence le traducteur c'est fou comme l'an 40. Il va même jusqu’à remplacer Ombre-terre par Outreterre ce qu dénature complètement l'univers établi à l'origine. Car Outre voulant dire dans le sens (littéraire entendu) autre, on sort complètement du contexte de l'auteur, puisque ça n'est pas une autre terre mais bien un monde de ténèbres d'où la logique de Ombre-terre. Mais comme Bragelonne aime dénaturer tout ce qu'ils touchent allons-y ! Après tout qui a lu la première version? Autre faute remarqué dans leur traduction à deux balles Mithril devient Mitrhal, pourquoi pas mistral tant qu'on y est ! Il est clair que les traducteusr de chez Bragelonne sont loin très loin du niveau de Michèle Zachayus. On dirait plus qu'ils sont parti de la version française en changeant deux trois mots plutôt que de partir de la version anglaise (pourquoi se fatiguer après tout). J'en ai tellement eu mal aux yeux je je suis revenu à ma bonne vieille version papier de Fleuve noir plutôt que de poursuivre cette version numérique de piètre qualité. Mais comme le soucis vient du travail de fond de la maison d'édition et non de l'auteur je ne lui en tient pas rigueur dans ma note.



La fin avec le maître de Drizzt est d'ailleurs un pure bijou de beauté. L'elfe noir reste pour moi un des personnages les plus humain et le plus complet de toute la littérature fantastique. Je conseil toutefois aux néophytes de lire plutôt la version de Fleuve noir qui reste pus fidèle à la vison de l'auteur.
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Les Torrents d'argent

Bruenor le nain part avec ses amis à la recherche de son foyer natal. Évidemment les aventures seront du voyage, les pièges nombreux, les ennemis imprévisibles et les alliés trop rares. Qu'à cela ne tienne, notre héros, en puisant au plus profond des ses ressources, fera face à la musique. Au-delà des combats épiques, c'est la psychologie des personnages, bons comme méchants, qui a retenu mon attention; l'adversité confronte les préjugés et fait maturer, souvent à la dure. On ne s'ennuie pas un seul instant dans cet épisode de la saga et l'auteur nous appâte drôlement bien pour la suite des choses. Une surprise de taille nous attend lors de la finale pétaradante et laisse présager un tournant majeur dans les tomes à venir. J'ai bien hâte d'y être!
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Terre natale

En ce premier tome de la saga “La légende de Drizzt”, l'auteur pose les premières pierres d'un univers étonnant où les elfes noirs n'ont qu'ambition en tête, les maisons, sorte de clans familiaux, se méfient les unes des autres et s'attaquent de temps à autre pour grimper dans l'échelle du pouvoir. Cette étrange société, dominée par les femmes dévouées à la reine araignée, divinité cruelle et interventionniste, heurte les convictions profondes de Drizzt, jeune noble dont les talents de combattant surpassent de beaucoup ceux de ses pairs. On suit les dilemmes moraux du héros tout au long de son éducation, ce qu permet également de connaître peu à peu l'Outreterre et ses habitants. Bien que ce soit en quelque sorte une introduction à cette à la série, cet épisode est déjà rempli d'intrigues et d'action. L'univers est bien construit, les personnages intrigants et le héros attachant; bref c'est déjà très bon et cela promet pour la suite!
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Les Torrents d'argent

Dans ce seizième tome des Royaumes Oubliés, deuxième tome de la trilogie du Val Bise, nous partons à la recherche de Mithril Hall, la cité d’origine de Bruenor. Le récit reste dans la même veine que le premier épisode de la trilogie, avec un mélange de recherche, de dialogue et de combats. La quête reste passionnante et très prenante jusqu’au dénouement. Bien qu’habituellement, les romans des Royaumes Oubliés sont d’un niveau plus médiocre ou moyen que bon, cette trilogie est quant à elle très bien réfléchie, et écrite. Les personnages deviennent plus travaillés qu’auparavant et nous commençons à nous y attacher de plus en plus. Drizzt est un personnage complexe entouré d’amis tout aussi complexes que lui. L’écriture n’est pas celle d’un grand classique, mais se lit facilement, et avec beaucoup de plaisir. Il nous reste un dernier épisode avant la fin.
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L'éclat de cristal

Ce premier tome de la Trilogie du Val Bise se déroule dans l’univers des Royaumes Oubliés. Dans le Val Bise, à Dix-Cités, Akar Kessel va mener une attaque d’envergure en prenant le pouvoir sur des hordes de gobelins et d’orcs. Ce roman est certainement depuis la trilogie de l’elfe noir, l’un des romans qui se rapproche le plus de l’univers. Nous découvrons plusieurs années après son départ de sa patrie, Drizzt, qui s’est fait des amis dont Bruenor. Le récit est bien construit et a le mérite de présenter les personnages qui vont dorénavant tourner en orbite autour de l’elfe noir qui reste le symbole de cet univers. Le roman arrive à allier l’action des combats avec la quête des personnages, un peu de magie et beaucoup d’héroïsme. L’ensemble est cohérent et le roman est intéressant. Cela donne envie de continuer cette trilogie.
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Les Royaumes Oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Un douzième opus assez déroutant, on est orphelin de Drizzt et Catty, de Bruenor et Régis, et du coup on se retrouve dans une histoire certes intéressante, mais très différente de ce à quoi l'on pouvait s'attendre.

D'abord un peu d'impatience (bon t'es où Drizzt ??), parce que les états d'âmes de Wulfgar ça va bien cinq minutes mais ça fini par devenir pénible, l'alternance du récit, un chapitre sur deux avec Méralda est plutôt sympa, mais on est très loin de la fantasy à laquelle on s'était habitué dans cette saga...

Et pourtant, je dois dire que passé cet étonnement, le récit devient assez intimiste, on suit les états d'âmes de gens aux prises avec leurs démons intérieurs, leurs contradictions et leurs compromissions, le cheminement est long mais précis et somme toute cela vaut bien d'autres intrigues, c'est assez fort et prenant, et pour tout dire, c'est même passionnant, même si pressentant RA. Salvator, le dénouement est légèrement prévisible.

L'auteur nous fait une fois de plus voyager au tréfonds de l'âme humaine, sur des sentiers ardus bordés de précipices où la survie est l'enjeu, je ne serais pas étonné d'apprendre un jour que l'auteur s'est passionné pour ce sujet et la psychanalyse en particulier.

Un tome atypique donc, mais une fois de plus passionnant !
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Les Royaumes oubliés - La Légende de Drizzt, to..

J'apprécie énormément le style de RA Salvator. Sa façon de semer des graines qui arrivent à maturité pour assurer une continuité cohérente, voire évidente, à cette belle saga m'impressionne vraiment.

Nous retrouvons Drizzt et Catty du côté de la mer des épées, plutôt heureux mais bien sûr c'est une situation qui n'est pas faite pour durer, Errtu que nous avons suivi lors du dernier épisode possède un atout qu'il est bien décidé à utiliser pour assouvir sa vengeance, ses buts nous sont connus de longue date et voici donc le décor planté.

On retrouve les ingrédients habituels que l'on apprécie d'autant ils sont toujours bien dosés, il y a encore des combats, certes, mais à un degré moindre par rapport au dernier opus.

On fait également connaissance avec de nouveaux personnages tandis que d'autres prennent un peu de volume pour nous assurer un scénario intéressant, de la fantasy, oui, mais Salvator nous fait quand même réfléchir un peu, et c'est ce que j'aime chez lui.
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Les Royaumes Oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Retour à Menzoberenzan et ses noires intrigues !

On retrouve Zarlaxle et Matrone Baenre au top et ça fait plaisir, je préfère Drizzt dans l'outreterre, cette ambiance est vraiment magique, au propre comme au figuré, toujours autant de richesse côté scénario avec l'entrée en scène du fondateur de Castelmithral (2000 ans d'âge quand même mais je n'en dis pas plus).

Au menu encore beaucoup de combats bien sûr et là je vais déplorer une fois de plus pas mal d'outrance et trop, beaucoup trop de descriptions de combats, il aurait mieux valu 100 pages de moins dans ce domaine spécifique, ça n'aurait rien enlevé à l'intérêt de l'histoire déjà riche.

Un bon opus !
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Les Royaumes Oubliés - La Légende de Drizzt, to..

Drizzt a trouvé son reflet en négatif dans le personnage d'Artémis Entrery, celui-ci a capturé Régis pour le ramener à PortCalim où le pire des sorts lui est promis, nous sommes là dans la continuité du tome cinq qui laisse nos amis en plein désarrois, Bruenor est mort en se sacrifiant pour la communauté et Régis a été capturé, la poursuite est décidée.

Tout cela sert de prétexte aux nombreuses aventures que vont vivre nos héros, impossible d'en dire trop sans spoiler car il y a au programme pas mal de rebondissements, ça tombe bien car je ne suis pas un adepte des critiques qui résument le livre, je préfère le ressenti.

En fait après six volumes je commence à saisir la "musique" de RA. Salvatore, à l'instar d'un Gemmell, il a un style bien à lui et le rythme qu'il donne au récit est savamment dosé, le tout est toujours aussi riche, plus de trois cent pages à chaque fois et on ne s'ennuie jamais car il y a toujours de l'humour, de la réflexion et de l'action bien sûr.

Là encore de belles rencontres, comme le capitaine Deudermont, des questions existentielles (encore et toujours mais je ne m'en lasse pas), si je devais émettre une (légère) critique, ce serait pour déplorer le caractère indestructible ou presque de nos héros, j'avais préféré la cohérence des tous premiers tomes à ce sujet avec moins d'outrance pour tout autant d'efficacité, mais le fait est que je m'attache vraiment à Drizzt, donc voici venir le T7 :)

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Les Torrents d'argent

J'ai adoré ce cinquième épisode !

Bruenor, accompagné de Wulfgar et Drizzt part à la recherche de Castelmithral, ils sont très vite rejoints par Régis qui préfère les périls incertains de cette aventure au péril certain que constitue l'arrivée d'Artémis Entrery aux dix-cités.

Le périple de nos quatre amis va donner lieu à de nombreuses rencontres hautes en couleurs et franchement captivantes et notamment les Harpels (entre autres). Mais aussi beaucoup de mauvaises rencontres sans parler de la traque qu'ils vont devoir subir de la part d'Artémis Entrery (maître assassin de son état).

On a là un bon scénario et tous les ingrédients pour ne pas s'ennuyer, les méchants ont une belle consistance et les actions s'enchainent sans temps morts et de façon très cohérente, à ce stade il est utile d'avoir lu les précédents épisodes car certaines interactions découlent d'événements s'étant déroulés dans les tomes précédents.

Là encore il y aura beaucoup de magie, du suspense et des drames, des combats bien sûr et d'autres choses aussi que je ne dévoilerais pas. Il y a aussi et je dois avouer que j'y prends goût, une forme de philosophie avec ce que j'appellerai des dissertations sur le sens de la vie, le plus souvent lors du prologue ou des introductions de chapitres, c'est bien structuré et plutôt intéressant.

Je passe à la suite car la fin de ce tome cinq est le prélude de ce qui suit, et j'ai vraiment hâte de connaître la suite !

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Terre d'exil

Au menu de ce deuxième tome nous faisons plus ample connaissance avec Drizzt qui poursuit sa quête existentielle, le rythme reste soutenu, on ne s’ennuie décidément pas dans l'outreterre !

On découvre également un bestiaire assez étonnant tant en quantité qu'en variété, pour ma part il y en a quelques uns que je ne connaissais pas, j'ai donc comblé quelques lacunes au passage.

Le tout est très cohérent et très plaisant à lire, d'ailleurs tant mieux car il y en a encore onze à venir :)
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La Légende de Drizzt, tome 3 : Terre promise ..

Suite et fin de l'adaptation en BD de la trilogie de l'elfe noir de R. A. Salvatore. Ici encore, pour ce qui est de l'histoire, voyez les critiques du roman "terre promise", sachant que la note de la BD ne reflète pas la qualité de l'œuvre originale.



---



Ce troisième et dernier tome ne présente pas de préface, dommage car après Salvatore et Greenwood, on aurait pu envisager une autre sommité nous donner son avis sur cet ultime volet de la première trilogie.

Serait-il en deçà ?



En effet, les dessins sont très en dessous. Lisses, souvent succincts, sans détails dans les paysages, le personnages d'arrière plan, on dirait même que, par moment, l'artiste n'a pas eu le temps de finir son boulot... on note aussi des choses bizarres comme cette grande baie vitrée style villa californienne dans une ... ferme (et oui, il faut bien que Drizzt puisse voir à l'intérieur quand même !), ou des échelles et proportions erratiques (Cattie-Brie plus grande que Férul...).



Côté adaptation, on est dans la simplification et, chose étonnante, dans le lissage et le rendu soft : Pourquoi diable supprimer la partie où Ulgulu dévore une fermière ? (C'est pourtant l'indice qui met la puce à l'oreille des enquêteurs !) ; pourquoi limiter le nombre de personnages ? Pourquoi faire avoir une épiphanie à Férul et reléguer ainsi Téphanis au rôle de personnage secondaire ?

Et comment peut-on oser supprimer la rencontre entre Drizzt et un Dragon Rouge ? Bon sang !

Au titre des remontrances, la bataille du bosquet - un des points d'orgue du roman - est là d'une nullité sans nom, torchée en 3 pages, pif paf pouf à trois contre cent, les héros gagnent...



Bref, c'est assez frustrant de voir ce qui a été fait de ce dernier tome qui, je le conçois, était vraiment très riche et donc difficile à adapter. Mais tout de même, la qualité des dessins n'a rien à voir, ni la logique, les contre-sens et les approximations. Un troisième tome qui ne représente plus l'œuvre initiale mais un résumé simplifié et édulcoré. Dommage.



Sautez sur le roman. C'est vite lu et c'est mille fois mieux !
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Les Royaumes Oubliés - Le Codex des Compagnon..

le livre est en qualité, inversement proportionnel à son 4ième de couverture, il est juste excellent !



L'auteur va comme à son habitude droit au but avec un excellent premier Chapitre qui remet sur le devant de la scène Gromph Baenre et sa soeur Quenthel. Décidément, RAS n'a pas son pareil pour mettre en scène les drows les plus puissants de Menzoberranzan. Scène particulièrement ignoble lorsque l'archimage sort la tête momifiée de leur mère qu'il donne à un Illithid que l'on croyait mort depuis longtemps et qui va ensuite jeter son dévolu tentaculaire sur Quenthel...



D'ailleurs, les 2/3 du roman font la part belles aux elfes noirs, ce que le 4ième de couv justement ne dit pas. Machinations complexes en tout genre, paranoïa et cruauté exacerbées, et l'ambition de Lolth qui devrait déboucher sur des jours biens sombres pour les habitants de la surface.



Beaucoup de combat dans ce premier tome, certains épiques notamment ceux avec les Driders, mais j'ai trouvé qu'il y en avait peu être un peu trop...



Au rayon des faiblesses, j'aime toujours aussi peu les personnages de Wulfgar (à part lancer son marteau magique et gueuler "Tempus!" il est d'une platitude...) et Catie-Brie (gnan-gnan...), un homme une femme :la parité est respectée.



Après voir consciencieusement posé ses pions, l'auteur mis en place ce qui devrait déboucher sur des événements de grande ampleur...



On sent que RAS a pris du plaisir à écrire ce tome, et je le sens libéré de toutes les contraintes de lignes éditoriales auxquelles il avait du se conformer avec les version précédentes de D&D. On sent que la situation s'est inversé : ce sont les auteurs qui vont dicter les règles au créateur du jeu et non plus l'inverse...
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