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Citations de R.J. Ellory (1785)


Qu'elle se pose au sol ou qu'elle s'élève dans les airs, selon la rumeur, une plume blanche indiquait la visite d'un ange.
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Mais des couilles de ce genre, c’est lourd, et quand elles tombent, elles font un bruit d’enfer.
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C’est une librairie pour les gens qui aiment simplement lire, des lecteurs qui ne privilégient pas un auteur ni un genre particulier. Nous avons des habitués, un assez grand nombre, même ; et tous les quinze jours il y a un nouvel arrivage, et j’empile les ouvrages près de la porte d’entrée. Ils viennent alors fouiller dans la nouvelle livraison avant que je la mette en rayon.
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L’homme rit, un rire chargé de signification. Celui d’un homme qui avait appris à rire parce qu’il le fallait, parce qu’il avait compris la valeur thérapeutique de l’exercice.
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Ils parlèrent de la vie, de l’amour et du rire ; de rêves et d’aspirations ; d’un avenir encore inconnu et d’un passé qui semblait maintenant ne plus avoir aucune incidence sur le présent. Le présent, c’était ce qu’eux-mêmes en faisaient, le seul temps qui comptât désormais, dans lequel ils ne se souciaient plus que d’eux-mêmes. La jeune fille passionnée, dotée d’une forte personnalité, qu’était Elena, se sentait étouffée par les convenances et les règles en vigueur dans une vie où elle pensait ne pas avoir sa place. Elle aspirait à plus de liberté, celle d’être autre que ce qu’on attendait qu’elle soit, de se choisir elle-même une vie. Cette liberté, Jozef la lui accordait sans qu’elle ait à en payer le prix, et c’est là la raison – peut-être bien la première – pour laquelle elle l’aima.
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 La terre ne pouvait pas absorber tout ce qu’on avait emporté au Vietnam. On a lâché des bombes et des caisses de nourriture… des putains de bombes et de caisses de nourriture… et puis Nixon nous a fait sortir de là, la queue entre les jambes, et on continue aujourd’hui encore à se demander ce qu’on est allés foutre là-bas au départ.
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Je t’aime, Madeline, comme je sais que tu m’aimes, toi aussi. Un amour tel que le nôtre n’était peut-être pas destiné à survivre. Tel un papillon qui se brûle à la flamme. Un moment radieux de stupéfiante beauté, puis le noir.
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Madeline O’Neill avait été une forte personnalité, une femme intuitive et pleine d’assurance. Son intelligence et sa culture défiaient toute tentative de description, et il lui arrivait souvent de parler de choses dont sa fille était persuadée que tout le monde les ignorait. Elle connaissait les livres et l’art, la musique et l’histoire ; elle disait la vérité sans détour et sans hésitation. Elle avait été toute la vie d’Annie, une totalité, une plénitude, et pendant les années qu’elles avaient passées ensemble, Annie n’aurait jamais pu concevoir l’existence sans elle. Mais le temps poursuivait sa marche, accompagné d’une troupe de fantassins, des hommes équipés d’armes qui affaiblissaient le cœur, usaient les nerfs.
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Quand on avait un homme capable de chanter comme ça, on se moquait bien de savoir s’il était aussi le tueur mystérieux fumant une cigarette derrière son tertre herbeux en attendant le passage du président.
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Et si vous voyagiez seul, vous emportiez juste de quoi couvrir vos besoins, sans vous encombrer de bagages trop lourds – rêves abandonnés, amours perdues, jalousies, haines et frustrations. Vous n’emportiez que le plus beau. Ce qui se partage. Ce qui ne pèse presque rien mais détient le sens de toute chose. Voilà ce que vous portiez, et qui, dans une certaine mesure, vous portait.
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Il fallait que les choses bougent. Il fallait agir dans ce sens, et elle était suffisamment pragmatique pour comprendre que le pivot de tout changement ne pourrait être qu’elle-même, que pareils changements ne se produisaient qu’à condition d’être provoqués, qu’ils ne pouvaient en aucune manière être le résultat d’une intervention divine. Ils étaient le fruit de la détermination, de l’action, de l’exemple. Les gens changeaient avec vous, ou ils ne vous suivaient pas. Un peu comme ce que donnait à lire la gare de Grand Central.
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Idéaliste, passionnée, déterminée – mains avides saisissant la vie par poignées trop grosses pour pouvoir tout garder –, Annie O’Neill se languissait. Pour un objet mal défini, mais pas sans danger. Elle voulait être aimée, touchée, étreinte. Elle désirait, attendait dans l’impatience, peinait, souffrait.
Tels étaient ses sentiments, ses émotions, ses pensées. Telle était la tournure qu’avait prise sa vie encore en devenir et guettée par la dépression. Telles étaient ses couleurs, ses réflexions, sa vacuité.
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Existe-t-il, vraiment un monde parallèle ? .... Le Joseph de ce monde aurait bien aimé que sa vie ne lui a pas réservée ces événements... Mais...actuellement..ça aurait été différent..vu les moyens dont dispose la police... Je crois que le coupable aurait été appréhendé rapidement..
Très belle histoire... À lire sans modération...
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Gaines savait que si vous posiez des questions que les gens ne voulaient pas que vous leur posiez, vous aviez de grandes chances de recevoir des réponses que vous ne vouliez pas entendre.
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Il y a d'ordinaire une manière de bien faire les choses, mais il y a d'innombrables façons de les foirer.
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Le recul : le conseiller le plus cruel et le plus perspicace.
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Manifestement, la police passait la majorité de son temps et dépensait l'essentiel de ses ressources à traquer les gros poissons, les types comme Sandià, et pourtant il ne verrait jamais l'intérieur d'une cellule. Sinon, elle traquait les petits joueurs, les gamins avec des sachets d'herbe, les conducteurs qui faisaient des excès de vitesse, qui enfreignaient le code de la route. Entre les deux, il y avait tout un monde de voleurs, de dealers et de délinquants sexuels violents et déterminés, tous protégés par la lourdeur du système.
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Elle avait un jour entendu ce vieux dicton : " une coïncidence , c'est quand Dieu souhaite rester anonyme " .
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-Ce que je pense ? Ce que je pense , c'est que tout le monde peut être mauvais . Ce n'est pas une question de gênes ni de chromosomes , bon sang ! C'est une question de dynamique situationnelle , d'environnement ,et peut être aussi même de maladie mentale , et je ne crois pas que quiconque perçoive ne serait-ce qu'un tant soit peu cette vérité .
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Il ne se contentait pas de tuer ses victimes ; il les martyrisaient. Il les frappaient à coups de bâton et de matraque. Il les violaient avec une rage sadique qui donnait des cauchemars aux enquêteurs les plus aguerris. Il faisait sauter les têtes de ses victimes à bout pourtant, il les taillait en pièces, il les découpait au couteau.
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