AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de R.J. Ellory (1756)


Peut-être me disais-je que si j'écrivais suffisamment sur la réalité alors je me viderais, et que de ce vide naîtraient les fruits de l'imagination et de l'inspiration. J'écrirais alors quelque chose comme Steinbeck ou Fenimore Cooper, une œuvre de fiction et non une œuvre autobiographique. Ce ne fut que plus tard que je compris que les deux étaient liées:l'expérience façonnée par l'imagination, devenait de la fiction, et la vie, vue à travers le prisme de l'imagination, devenait une chose que I'on pouvait mieux tolérer et comprendre. Je colorais mes souvenirs de sons et d'images dont je savais qu'ils n'avaient pas existé, du moins pas tels que je les décrivais.
Commenter  J’apprécie          10
L'enfer est vide, dit Calvis, tous les démons sont parmi nous.
Commenter  J’apprécie          20
Je connaissais leur père. Les fils, pas tant que ça. Mais attention, ça remonte à plus de 20 ans. Une vraie calamité. Il était pas plus grand qu'un rat d'égout, mais il avait un tempérament infect. (p. 176)
Commenter  J’apprécie          50
Frank et Victor Landis descendaient d'une lignée de personnes dures et laconiques. Leurs ancêtres se méfiaient des mots qui excédaient trois syllabes, des banques, des assureurs, des machines automatiques, des végétariens, des choses faites rapidement quand elles demandaient de la patience et du temps. (p. 13)
Commenter  J’apprécie          30
[...] elle aussi était morte, en mai 1987. Causes naturelles, qu'ils avaient dit. Ben voyons. Des causes naturelles comme un cœur brisé et trop de chagrin, et pas suffisamment de vie pour avoir la force de continuer face à une telle adversité. Ce genre de causes naturelles.
Commenter  J’apprécie          00
Quand on veut être en paix avec les autres, il faut déjà l'être avec soi-même.
Commenter  J’apprécie          10
Même attachée à un piquet à l'aide d'une longue lanière de cuir, la langue d'Ida Garfield aurait encore trouvé le moyen de s'adonner à sa passion des ragots.
Commenter  J’apprécie          151
Comme l'avait confirmé Leland Soames lors d'une soirée avinée à Abilene : "C'était pas très compliqué, fiston, Tu vis ta vie, t'écris quelques chansons, et les gens retrouvent leur propre vie dans tes paroles et ta musique, convaincus que t'es fait du même bois. Tu leur expliques ce qu'ils ressentent alors qu'eux-mêmes en seraient incapables."
Commenter  J’apprécie          210
"On peut accuser les autres, même quand y a personne à accuser, dit Henry, mais on peut aussi endosser la responsabilité de ses actes, que l'ont ait compris ou non ce qui s'est passé."
Commenter  J’apprécie          210
Henry Quinn et Evan Riggs avaient été poussé l'un vers l'autre semblait-il... par calcul, par défaut, par le destin, allez savoir. Leurs chemins s'étaient croisés, comme ceux de chiens errants en quête d'un abri qui n'existait pas et qui n'existerai jamais. La dynamique des circonstance qui avaient déterminé leur rencontre était la même pour les deux, ne serait-ce que parce qu'il y avait eu, pour l'un comme pour l'autre,l'alcool, et au bout d'une logue nuit, une peine de prison.
Commenter  J’apprécie          110
– Bill Garner est tellement hors d’âge qu’il ne s’en rendrait probablement pas compte.
– Bon sang, Barb, depuis quand êtes-vous aussi féroce ? »
Elle lâcha un rire ironique.
« J’ai toujours été comme ça. Vous étiez juste tellement occupé à faire frire votre propre bacon que vous ne l’avez jamais remarqué.
– Ce qui signifie ?
– Ce que ça dit, répondit Barbara.
– Vous pensez que je suis égocentrique ? »
Barbara eut une expression perplexe.
« Je dirais que c’est un bien grand mot pour quelqu’un avec votre vocabulaire. Vous ne vous êtes pas mis à lire des livres, si ? »
Landis lui adressa un sourire.
« Vous êtes une vieille mégère aigrie, Barbara Wedlock.
– Et au service de tout le monde. Comme vous.
Commenter  J’apprécie          20
Lorsqu’il eut fini de manger, il retourna chercher sa guitare à l’intérieur. Il grattouilla un peu, puis la reposa de frustration. À cet égard, il était semblable à son père. Il se fixait un objectif, se focalisait davantage sur les obstacles que sur les réussites, puis s’arrangeait pour se convaincre que ça n’était pas censé avoir lieu. Walter Landis avait l’habitude de leur dire la même chose à Frank et lui : « T’as tellement de renoncement en toi que t’en manqueras jamais. » Et aussi : « Ton problème, garçon ? T’es aveugle d’un œil et tu vois pas de l’autre. » Et : « J’entends les mots, mais ce que tu dis vaut pas mieux qu’un pet de lapin.
Commenter  J’apprécie          20
La vérité est une chose étrange. La plupart du temps, plus on s’en approche, plus elle semble éloignée. Parfois mieux vaut ne pas se lancer sur cette voie.
Commenter  J’apprécie          60
Une montre cassée a le mérite de donner l'heure deux fois par jour.
Commenter  J’apprécie          00
Ce sont les murs qui font le logement, mais une maison, ce sont d'abord les gens qui y habitent.
Commenter  J’apprécie          00
On a tous un livre en soi.
Commenter  J’apprécie          170
C'était un homme intelligent, mais il n'en était pas moins fonctionnaire. ( p 320 )
Commenter  J’apprécie          20
Les gens passent leur temps à rêver d'une autre vie que la leur. ( p 104 )
Commenter  J’apprécie          20
Là-bas, un portable est aussi utile qu'une roue carrée. La plupart des habitants n'en ont d'ailleurs jamais vu. ( p 37 )
Commenter  J’apprécie          20
La famille est un nœud qu'on ne défait jamais.
Commenter  J’apprécie          60



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs de R.J. Ellory Voir plus

Quiz Voir plus

R.J. Ellory en 10 questions

De quelle nationalité est RJ Ellory ?

américaine
britannique
sud-africaine
néo-zélandaise

10 questions
68 lecteurs ont répondu
Thème : R.J. ElloryCréer un quiz sur cet auteur

{* *}