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Citations de Rawia Arroum (66)


Quelle est ma passion ? La survie à l'envers : une vie sûre.
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Dix survivants. Dix miraculés. Ceux qui ont joué leur salut pendant que les armes crachaient leur haine, que le sang coulait, que les immeubles ployaient, que les bombes explosaient.
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La musique est plus précieuse que l’amour, chez nous. Elle est vitale.
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Comme tous les enfants de Symphonie, j’ai grandi avec une mélo-âme en moi, gracieusement offerte par Melody. Un cadeau empoisonné, pour ma part.
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Yas et moi, on aurait voulu emménager ensemble dans un loft glamour en centre-ville. Mais ce mode de vie est prohibé. Selon la Structure, la vie à deux rappellerait trop les mariages hétérosexuels d'antan.La loi stipule que les habitations ne doivent contenir qu'une mère et son ou ses enfants, ou bien une jeune femme future mère. Pas deux adultes.
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Le courage est un trait de caractère permettant de faire face aux situations les plus critiques. La raison est une faculté de l'esprit qui permet de dissocier le bon du mauvais, le sûr de l'incertain. La sagesse désigne le savoir et la grande vertu de l'être. Courage, raison, sagesse telle est la définition vraie de la "Femme".
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Un parasite vit aux dépens d'un être ou d'une chose sans y avoir été invité. Un virus détruit le bon fonctionnement dun être ou d'une chose, se propageant sans contrôle. Un surplus impose une présente non désirée. Parasite, virus, surplus : telle est la définition vraie de l'"Homme".
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Ce ne sont pas des larmes qui me piquent la poitrine, ce sont des clous. Chacun d'eux s'enfoncent profondément à mesure que je respire. Quand vivre est-il devenu si douloureux ?
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Dans ce monde de femmes, les hommes sont interdits.
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Tout le monde s'aligne le long du port, dos à la mer. Face à nous, les portes arrières de Vent. Derrière Vent, Hard, Classique, Tam et Clavier assistent à notre départ. Ils ne bougent pas avant notre retour. Du moins je l'espère... ça me rappelle cet excellent livre que j'ai dévoré dans les archives de la grande bibliothèque. Çà racontait l’histoire d'un semi-homme à peine plus haut que mon genou qui partait détruire un seigneur sans visage avide d'anneaux magiques. Frodon qu'il s'appelait. Serais-je un Frodon de mon temps, moi aussi ? Retrouverai-je Symphonie comme lui retrouve sa Comté ?
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Un parasite vit aux dépens d'un être ou d'une chose sans y avoir été invité. Un virus détruit le bon fonctionnement d'un être ou d'une chose, se propageant sans contrôle. Un surplus impose une présence non désirée.

Parasite, virus, surplus: telle est la définition vraie de l'«homme».

Le courage est un trait de caractère permettant de faire face aux situations les plus critiques. La raison est une faculté de l'esprit qui permet de dissocier le bon du mauvais, le sûr de l'incertain. La sagesse désigne le savoir et la grande vertu de l'être.

Courage, raison, sagesse: telle est la vraie définition de la «femme»
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Je est adorer le livre !et aussi le style de écriture. On n'a l impression d'y être!! la fin est triste car lyra meurt (car quand je lis des livre je m atche au personnage ) mais bon en vie pas dans un monde au tous est rose .
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— Tu es un voleur, Loan Milano.
Mon compagnon écarquille les yeux, surpris. Ses expressions sincères sont magnifiques. Mon regard doit pourtant exprimer autre chose que de l’émerveillement, vu comment il me détaille avec incompréhension.
— Mon cœur m’appartenait, tu me l’as pris, dis-je. Mes pensées étaient à moi, tu t’es incrusté dedans sans me le demander. J’avais une vie réglée et tranquille, tu l’as chamboulée. Tu m’as volé mon quotidien. Tu as fouillé dans mon cœur et tu t’y es fait une place entre ma mère et mes sœurs. Tu m’as rendue dépendante, Loan. Comme droguée à toi, à ta présence. Ça m’a beaucoup contrariée, sache-le.
Mon compagnon, interdit, m’entend lui reprocher l’amour qu’il me porte.
— Tout ce que je te demande à présent, c’est d’assumer tous ces délits. Je veux que tu assumes pleinement ton rôle de voleur de cœur. Jusqu’au bout.
Après un court silence, j’ajoute :
— Ça veut dire que je t’aime. Je crois.
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Loan

Lire, c'est mon oxygène. J'en ai besoin. Dans les livres, rien n'est interdit. Dans les livres que je lis, il y a des femmes. Il y a des hommes, des familles, des mariages. Il y a une harmonie, un apaisement, que je retrouve seulement quand je me plonge dans un livre. Quand je lis j'oublie que je suis un homme traqué. J'oublie que je n'ai pas droit à l'amour, à un futur. J'oublie que je suis destiné à mourir.
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Je jette un oeil discret aux carcasses qui nous font face, dépouillées du moindre bout de chair, du moindre cheveu. Ils sont tous identiques, et c'est là que je me dis que l'homme est con comme un ver: dans cette marée d'os, je ne distingue pas de Noirs. Pas de peaux basanées. Je ne distingue pas de gros. Pas de riche, de pauvre, de beau ni de laid. Je ne distingue pas de citoyen du Nord ou du Sud. Simplement l'image de ce qui nous attend tous.
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Polluées seront les âmes. Désarticulés seront les corps. Quand les cœurs ne battront plus, seule la musique sauvera le monde.
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Un parasite vit aux dépens d'un être ou d'une chose sans y avoir été invité.
Un virus détruit le bon fonctionnement d'un être ou d'une chose, se propageant sans contrôle.
Un surplus impose une présence non désirée.
Parasite, virus, surplus: telle est la définition vraie de l' Homme.
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Je me surprends à rire. Je ris aux éclats. Je suis mort de rire. J'en pleure. C'est le spectacle le plus divertissant qu'il m'ait été donné de voir. Je regarde la flaque de sang brun qu'a laissée le lapin sur l'herbe humide et me dis que, finalement, même le faible recèle une part de force.
Et c'est une bonne chose.
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Comme le phoenix, je renais.
Comme un nourrisson, je pleure.
Comme la musique, je me laisse porter.
Et j'attends que ma nouvelle vie tienne sa promesse.
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Ethan et moi étions comme un devoir et son corrigé. Nous ne sommes plus que deux pages d'un livre différent.
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