Encore une histoire qui surfe sur la mode Harry Potter, avec un collège pour sorciers caché derrière un placard à balais dans un lycée normal, et où un monde d’elfes, de trolls et de lutins vit en parallèle du notre. Le graphisme est influencé par les mangas, avec des traits un peu anguleux et raides, une colorisation qui n’est juste qu’un coloriage. Cette série n’est pas d’une grande originalité, elle est dans l’air du temps, à la limite du plagiat d’idées, mais les personnages sont assez attachants, l’action bien rythmée. C’est plutôt bien fait, bien construit, et malgré son aspect formaté, stéréotypé et académique, ça se laisse lire avec un certain plaisir. Est-ce que je lirai la suite ? Oui, si l’occasion se présente, mais je ne courrai pas après.
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Hommage, parodie, peu importe. Guillaume est un pré-ado qui ressemble à Harry P., et qui préfère lancer un sortilège sur l'ordinateur du collège pour avoir de bonnes notes plutôt que de bosser ses sortilèges...
D'ailleurs, de sortilèges, il n'en connaît réellement qu'un, celui qui entortille les cheveux de deux amoureux gothiques du collège.
Ah oui, Guillaume est élève dans le Collège Invisible, pas à Poudlard, mais à Paris. Et vu qu'il est le premier de classe vu sa tricherie, il est choisi par les fées pour être leur nouveau magicien suprême... Si on ajoute qu'il va trimballer un dragon, alors que le règlement du collège l'interdit... on peut se dire que cela ne va pas être triste.
Un dessin sylmpa, des héros attachants, des ados en pagaille et des êtres fées bien typés (et à forte poitrine pour certaines...). Quelques clins d'oeil à des références ciné ou littérature. Bien vu pour un premier tome qui se laisse lire sans surprise. Finalement Guillaume n'est pas le cancre que l'on pouvait craindre... mais qui en a douté?
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les trolls et les elfes recherche un magicien pour les protéger contre le
mal absolu.et ils font envoyer sven , tini et bibi,
rechercher le nouveau
magicien suprême, ils se
rende au collège invisible.
qui forme les futurs magiciens.
juste au moment ou on
annonce les résultats des
examens de la pleine lune de magie fondamentale.
et c'est guillaume Thélème
qui devient le nouveau numéro un de la classe 😉.
seulement il est nul en magie , c'est grâce a son ami thomas qui a trafiquer
les résultats pour éviter qu'il soit renvoyé, et bien sur les elfes font le choisir
comme protecteur du petit
peuple.
une parodie délirante d,
Harry Potter qui devrait plaire aux plus jeunes.
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Je n'ai pas ressenti autant d'engouement que les avis présents sur la page. Un semblant de parodie à notre célèbre sorcier à cicatrice en version cancre et têtu. Un anti-héros inattendu mis en valeur avec un monde typique (trolls, fées et cie) et beaucoup de dialogues se chevauchant dans les bulles. Un peu trop brouillon pour ma part et un manque complet d'attachement aux personnages. Malheureusement, ce sera sans moi pour la suite.
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Une nouvelle professeure d'histoire arrive au collège invisible avec pour ambition de reformer l'ordre des Chevaliers dragons. Ange trouve le moyen de relier cette série à son titre phare. Un album orienté jeunesse (humour et dessins moyens) mais qui se lit avec plaisir.
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Le professeur Etrange amène ses élèves dans l'Astral où cohabitent rêves et cauchemars. Les dessins sont toujours moyens mais le scénario gagne en intensité. Ce troisième volume est pour le moment le meilleur de la série.
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Le collège invisible est menacé de fermeture par un inspecteur zélé. Avis mitigé pour cette série. Les dessins sont approximatifs et le scénario mal maîtrisé. Mais l'environnement est sympathique et la lecture agréable.
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Un peu déçu par ce troisième tome... car on a une sorte de redite du premier tome avec un méchant combattu par tout le monde. C'est linéaire, direct. Cela ne m'a donc pas trop convaincu.
Les élèves de Collège Invisible apprennent à aller dans l'astral. Ils en découvrent les possibilités et les dangers. Dès lors, pas de quoi s'étonner que Guillaume finisse perdu dans l'astral (mais ce n'est pas de sa faute). On a alors droit au couplet "Guillaume est le sauveur", qui fait l'effet d'une redite par rapport au premier tome. Il est ici le sauveur d'un petit peuple d'animaux à fourrure qui sont réduits à l'état d'esclaves par une femme (à gros seins, car tous les personnages féminins de cette série ado ont de gros seins et une taille minuscule à rendre Bardie jalouse), qui est la personnification d'un cauchemar.
Tout le collège se mobilise, car il "faut sauver l'étudiant Guillaume"... et hop le tour est joué. Un peu faiblard comme scénario. On aurait pu avoir davantage de développements sur l'essence des rêves et des cauchemars, sur le pourquoi du comment, sur l'origine des choses, etc. Rien de tout cela.
Le tome se termine sur l'arrivée du collège de Péquaure, un groupe de magiciens que l'on croirait directement issus d'Harry Potter. Rien d'étonnant à cela. Quelques nouvelles énigmes sont livrées au lecteur, comme le fait que tout le monde, y compris les nouveaux arrivants, ont rêvé de Guillaume... Tome finalement assez creux au niveau du contenu, mais toujours aussi envolé au niveau humour et gaudriole (et 95C).
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Un mois après les événements du premier tome, le Collège invisible semble avoir retrouvé un semblant de paix, de calme et de sérénité. Bien sûr, Guillaume est autorisé à se balader avec Dragounet, un destructeur..., mais on en profite pour l'étudier en classe. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut toucher un tel animal, même au Collège invisible. On apprend d'ailleurs que certains professeurs ont un rapport étroit avec les Dragons.
Un mois pile poil, donc pleine lune... Rappelez-vous cette morsure de loup-garou dans la fesse de Thomas... Eh oui. Thomas profite de la pleine lune pour se transformer à présent. Et sous forme humaine il dégage une franche odeur de chacal humide.
Quand on sait que débarque un inspecteur, Radoval Sohar, dont le but est de vérifier si tout se passe bien au Collège invisible et, le cas échéant (mais on sait tous que rien ne se passe normalement au Collège), de décider s'il faut le fermer ou non, et que celui-ci a un gros problème avec les loups-garous... On devine que cela va encore remuer pas mal dans les couloirs et les classes.
Une suite tout à faite digne du premier tome. On se rend compte que les auteurs ont un fil rouge bien construit et ils déroulent dans le tome 2 des intrigues initiées dans le premier. Pas mal d'humour, des clins d'oeil à Harry Potter et du suspense. Beau cocktail.
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J'ai relu avec beaucoup de plaisir cette série qui parodie gentiment Harry Potter. Les dessins sont vraiment sympas, les dialogues percutants, et les personnages attachants. Beaucoup de références aux nouvelles technologies avec des sorts comme "googleus" ou "bouygus" XD
Troll Power!
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Découvert par hasard, cette série a été pour moi une bonne surprise. Certes on y retrouve un je ne sais quoi du héros de J. K. Rowling avec les références très amusantes au cousin du héros "Tu-sais-qui" mais cela ne m'a pas gêner car les deux histoires et la façon dont elles sont traitées ne se ressemblent pas. J'ai donc suivi avec plaisir Guillaume et son meilleur ami Thomas dans leurs aventures magiques et plutôt amusantes.
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Duel de magie entre le collège Péquaure, invaincu et grandissime favori et le collège invisible. Un scénario classique mais efficace, des dessins pas toujours convaincants mais une lecture plaisante.
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Le point positif que je retiens de cet album est que les auteurs ont la grande intelligence de terminer assez rapidement l'épisode du Grand Destructeur. Cette grosse chenille verte grandit et ravage l'environnement du Collège Invisible, à tel point que le principal du collège n'a d'autre possibilité que de sortir le collège de sa bulle. C'est donc sur terre que le Grand Destructeur exécute sa tâche de mort.
On va passer du Collège au Grand Destructeur, en passant par Guillaume et ses lutins ou aux Drims jusqu'au final un peu étrange, où les auteurs semblent botter en touche.
Ce n'est pas mauvais en soi. C'est juste que j'attendais quelque chose de plus flamboyant. UCn peu comme quand les convives se réjouissent du repas à venir, sentent les effluves des cuisines puis voient arriver un soufflé au fromage et truffes qui se prend un courant d'air avant d'atteindre la table.
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Le Collège invisible reçoit chez lui pour une série de combats amicaux de magie, un collège voisin. Voilà l'occasion donner à l'auteur pour nous faire enfin rencontrer le fameux cousin de Guillaume, "Tu-sais-qui"...
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Panne d'inspiration passagère, épuisement du filon... la suite le dira. Toujours est-il que ce tome 8 marque une nette baisse de régime, en ce qui me concerne, dans une série de BD jeunesse que je trouvais fort emballée, plaisante et drôle.
Le côté drôle reste bien présent dans ce tome. Un comique de situation, la plupart du temps, et quelques gags en forme de réminiscences par rapport aux albums précédents.
Le Collège invisible est en cours de reconstruction. L'entrée est encore bricolée, un portakabin trône dans la cour du vrai lycée et sert de portail. Lors de l'ouverture de celui-ci, Guillaume, Capucine et Dragounet sont projetés dans la dimension de poche du collège. Ils y rencontrent d'adorables créatures anthropophages... et devinez qui est au menu? Tout juste, Auguste !
Au niveau du Collège invisible, il faut donc tout démonter "en surface" afin de pénétrer dans la dimension de poche. Au grand dam des architectes. C'est chose faite, tout est bien qui finit bien, donc.
Un épisode qui n'apporte vraiment rien au récit global, si ce n'est par sa chute (que je ne dévoile pas) et qui pave le chemin vers la suite. Tout ça pour ça.
Tous les rouages sont éculés et téléphonés. Pas de jeux de mots innovants. On sent les auteurs en roue libre. Côté dessin aussi il y a du relâchement. C'est pauvre. On ne retrouve plus le trait achevé et fin des trois premiers albums. Une déception.
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Ange surfe sur la vague d'Harry Potter avec ce collège invisible destiné à un public jeune. Les dessins sont classiques et ce premier tome met en place l'univers et les personnages. Du coup l'intrigue est vraiment réduite.
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L'idée est sympathique mais ça manque de clarté. Il y a beaucoup trop de personnages, de dialogues croisés, de découvertes de créatures et règles différentes.... Tout cela perd un peu l'intérêt qu'on pourrait trouver au personnage principal et à l'histoire, c'est dommage.
J'aime bien les graphismes et le thème, peut-être que les tomes suivants sont plus faciles et intéressants à lire puisque la présentation est faite ?
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Ce deuxième tome est aussi bien que le premier, voilà une série qui s'annonce très prometteuse... XD
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Une série de sorcellerie qui semble en panne d'inspiration et s'inspire fortement de l'une des plus célèbres sagas du genre, à savoir Harry Potter. Le héros, à qui il ne manque que la cicatrice frontale, n'a aucun charisme et, malgré son statut reconnu de cancre, n'est autre que le futur "magicien suprême", suite à une méprise, bien sûr! (mais, comme chacun sait, les méprises ne le sont jamais vraiment...)
Bref, une petite série sans grand intérêt pour les grands, mais qui plaira sans doute aux plus jeunes!
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