Rhys Bowen

Tome 6 : je poursuis cette saga et ce tome tombait pile poil pour la saison. Je pense que c'est mon tome préféré.

Georgie espère ne pas être coincée au château de Rannoch avec sa belle sœur pour les fêtes. Elle trouve un poste d'hôtesse dans un petit village. La maitresse de maison souhaite organiser un Noël typiquement anglais à ses invités avec l'aide de Georgie. Mais voilà que plusieurs morts suspectes s'enchaînent.

Ni une ni deux, elle va encore se retrouver au coeur de cette nouvelle enquête : meurtres ou accidents ?

Pour une fois, l'enquête se lance dès le début du roman et nous tient en haleine tout au long de la lecture.

Tous les personnages habituels sont présents : la mère de Georgie, son grand père, Darcy (une petite évolution dans leur relation : peut être ?) et la fabuleuse Queenie.

J'ai passé un excellent moment de lecture.

J'aime vraiment beaucoup cette série de cosy mystery

Tome 5 des aventures de Georgie.

J'avais eu un peu de mal avec le tome précédent, mais celui ci m'a totalement réconcilié avec cette série. Comme quoi parfois il faut persévérer .

Pour rappel, c'est un cosy mystery qui se passe dans les années 30 et nous suivons Georgie qui fait partie de la famille royale.

Notre Georgie, toujours aussi fauchée reçoit une nouvelle mission de la reine qui l'envoie cette fois sur la Côte d'Azur.

Et elle se retrouve ni plus ni moins avec notre Coco Chanel. Entre défilé de haute couture , casino et villa de bord de mer, Georgie va devoir résoudre deux vols et un meurtre et risque de se retrouver impliquer.

Les péripéties s'enchaînent. On voit les différents personnages évoluer.

C'est drôle, frais, léger, divertissant. Un cosy mystery que je ne peux que conseiller.

Tandis que Giorgiana prépare son mariage, Darcy est en vadrouille. Inquiète de leur futur, Giorgiana apprend que son ancien beau-père lui offre l'utilisation de son manoir. Seule, elle emménage mais les domestiques chargés de la maintenance de la maison semblent vouloir qu'elle quitte les lieux en vitesse. Obstinée, elle s'échine à s'imposer malgré la résistance des domestiques. Finalement, elle fait appel à Quennie, sa bonne, sa mère, la célèbre actrice et son grand-père roturier et ancien policeman. Un douzième tome qui laisse Giorgiana s'affirmer dans son rôle d'enquêtrice amatrice et de future mariée. Un excellent moment en perspective.

1932

Georgie, vingt-et-un an et membre lointaine de la famille royale décide de quitter l'Ecosse et le chateau de son frère pour essayer de faire son chemin à Londres.

Si la reine lui propose d'espionner la nouvelle maîtresse américaine de son fils aîné, elle ne lui propose aucune rétribution et la pousse à se fiancer avec un prince roumain en exil.



Georgie est bien décidée à travailler, mais que faire quand on n'a appris qu'un peu de français et les bonnes manières dans un pensionnat suisse ? D'autant plus qu'en 1932, le contrecoup du krach de 1929 se fait sentir.



Quand elle apprend que son père avait perdu au jeu la maison de Londres et même le manoir écossais avant de se suicider, elle se rapproche de son demi-frère pour essayer de sauver le peu qu'il leur reste tout en essayant de trouver et de garder un emploi.



Pas beaucoup d'espionnage, mais un véritable meurtre dans ce premier roman d'une série qui mêle personnages bien réels et fiction.

Traduit de l'anglais par Blandine Longre



Victoria Georgiana Charlotte Eugénie de Glenn Garry et Rannoch, trente-quatrième dans l'ordre de succession au trône, a la malencontreuse idée de créer une agence d'hôtesse car elle manque cruellement d'argent. Bien sûr, rien ne tourne comme elle voudrait, sa naïveté ne lui ayant pas fait entrevoir les risques courus.

La voilà obligée de repartir dans sa famille, en Ecosse pour étouffer la scandale. Et là, bien sûr, chargée de protéger la famille royale d'éventuels criminels, elle est mêlée à toutes sortes d'incidents plus ou moins graves.

Un cosy mystery qui se lit avec plaisir. Je poursuivrai volontiers les aventures de Georgie.

Hollywood, 1934. Claire Daniels, actrice en vogue et mère de notre héroïne, a pour projet de se débarrasser d’un mari encombrant pour vivre publiquement son amour avec un riche industriel allemand. Direction Reno ! Le divorce sera discret et n’affolera pas les tabloïds. Lady Georgiana de Rannoch fait partie du voyage et embarque pour une croisière de luxe et une traversée de l’Atlantique.



Un rubis disparu et une princesse passée par-dessus bord plus tard, tout ce petit monde s’affole. Aristocrates anglais et vedettes de cinéma n’ont qu’à bien se tenir : le coupable pourrait très bien être l’un d’entre eux. Heureusement, Darcy veille au grain et bien protéger sa chère Georgie.



Son espionne royale et la reine des cœurs est déjà le huitième tome des aventures de lady Georgiana de Rannoch (dite Georgie). J’apprécie énormément cette série de cosy crime pour son cadre historique (les enquêtes se déroulent dans les années 20/30), ses petites touches d’humour et son héroïne que je trouve ô combien attachante.



Changement de décor avec cet opus qui nous fait découvrir Hollywood à une époque où le cinéma parlant risque de rebattre les cartes. Exit les stars du muet qui ne s’y retrouvent plus ! Démesure, jalousie et réalisateurs parfois tyranniques sont également de la partie.



J’ai de nouveau passé un bon moment en compagnie de Georgiana que j’aime voir évoluer de plus en plus. Moins gauche et plus affirmée, nous la retrouvons ici en enquêtrice de choc. Les personnages récurrents de la série restent fidèles au poste (la pique-assiette mais si drôle Belinda ; le mystérieux Darcy O’Mara ou encore l’impayable Queenie) et j’ai apprécié que cette intrigue se focalise sur le lien entre Georgie et sa mère. Séductrice en diable et égocentrique au possible, je trouve pourtant le personnage de cette dernière sympathique tant il apporte parfois un peu de piquant et de drôlerie à l’ensemble.



Côté enquête policière, j’ai cependant été moins embarquée que d’habitude. Le tout arrive tardivement et n’est peut-être pas exploité à son maximum (j’aurais tellement aimé découvrir une intrigue en huis clos sur le bateau, un peu à la manière de Mort sur le Nil) ! Je suis donc restée quelque peu sur ma faim. D’autant que j’avais vite deviné l’identité du voleur de bijoux.



Reste que je lirai la suite avec beaucoup de curiosité. La relation entre Georgie et Darcy avance enfin un peu. J’attends donc de savoir ce que l’autrice aura imaginé pour eux : une officialisation en bonne et due forme ? Je pense que j’apprécierai les voir résoudre des enquêtes en binôme. Il me tarde donc d’ouvrir le tome 9 (Son espionne royale et les conspirations du palais) pour peut-être en savoir plus.
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J'apprécie beaucoup cette série, son ambiance, ses personnages attachants. C'est toujours un plaisir de retrouver Lady Georgiana dans une nouvelle aventure.



L'intrigue est un peu longue à se mettre en place et j'ai trouvé le final bien tiré par les cheveux. J'ai même été agacée à de nombreuses reprises par les jeux de mots qui dans ce tome ne m'ont pas du tout fait rire et que j'ai trouvé bien grossiers. Le 1er tome m'avait fait sourire mais là c'est tombé à plat pour moi.



Les points forts de cette serie sont ses personnages que je trouve bien campés. On s'attache à cette jeune Lady désargentée qui veut vivre sa vie et être heureuse. À Darcy, jeune homme fougueux et mystérieux. À Belinda, la jeune femme moderne qui fait fi des conventions. C'est surtout pour eux que je continue cette série.



J'ai passé un bon moment de lecture qui ne sera cependant pas inoubliable.

L'autrice propose un nouvel opus qui tient toutes ses promesses.



Nous retrouvons notre espionne royale, Georgie, à l'aube d'une nouvelle vie mais rien ne semble vouloir se dérouler comme prévu.



Notre héroïne va devoir retrousser ses manches pour que tout soit prêt pour son prochain mariage.



Cependant, comme à son habitude Georgie est un aimant à mystères et elle a tôt fait de flairer d'étranges agissements et pourrait bien être en grand danger.



L'intrigue tient une fois de plus ses promesses, les pages se dévorent. Nous retrouvons tous les ingrédients qui font une bonne enquête, une touche d'humour so british ainsi que des personnages qui évoluent sans cesse.



J'ai particulièrement aimé la façon dont Georgie prend de l'assurance, dont peu à peu certains voiles se lèvent. C'était une lecture passionnante légèrement surannée qui ravira les amoureux de Downton Abbey et d'Agatha Christie.



Une série dont je ne me lasse pas.



A découvrir absolument !
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Pitch :

Décembre 1933, Georgie, 35ème prétendante au trône et sans le sou, compte vivre un Noël des plus excitants dans un petit village anglais.

Malheureusement, les cadavres pleuvent dès son arrivée et il serait fâcheux que cela entache la petite sauterie de son hôtesse. En effet, une ancienne et quelque peu gênante malédiction plane chaque année sur le village, celle de la sorcière de la Lovey.

Le paranormal n’étant pas sa cup of tea, Georgie va mener sa propre enquête…



Mon avis :

Entre chroniques mondaines et enquête, j’ai absolument adoré lire ce livre !

Même si les pages mal collées se détachaient…

C’est toujours aussi bien écrit, bourré d’un humour que j’apprécie tant et avec des situations bien cocasses.

L’ambiance de Noël est parfaitement retranscrite : on y est plongé dès les premières pages.

Neige, maisons joliment décorées, festins typiquement anglais, activités traditionnelles : chants, jeux, courses de jeunes hommes et personnages so british.

Un tome aussi délicieux que le beau et mystérieux Darcy !

On avance bien dans ce onzième tome !

Après que sa relation avec Darcy a enfin avancé, Georgie se voit confier une mission importante, une de plus.

Direction l'Italie où notre espionne royale préférée va retrouver son amie Belinda mais surtout se retrouver une fois de plus au coeur d'une terrible histoire.

Elle devra espionner le prince de Galles et sa maîtresse tout en résolvant les mystères entourant un nouveau crime.



Cet épisode est efficace et bien rythmé, j'ai vraiment passé un très bon moment de lecture. Il y a des pointes d'humour bienvenues, une tension historique croissante et une enquête passionnante.

Il me tarde de lire le tome suivant car il semblerait qu'un mariage très attendu se profile...

Non, je ne vous dirai rien de plus si ce n'est : foncez car cette série de cosy mystery est excellente !
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Lady Victoria Georgiana Charlotte Eugenie, fille du duc de Glen Garry et Rannoch, trente-quatrième héritière du trône britannique, est complètement fauchée depuis que son demi-frère lui a coupé les vivres. Et voilà qu’en plus ce dernier veut la marier à un prince roumain !

Georgie, qui refuse qu’on lui dicte sa vie, s’enfuit à Londres pour échapper à cette funeste promesse de mariage : elle va devoir apprendre à se débrouiller par elle-même.

Robert Laffont

2019

360 p.



Décidément, les Windsor inspire les écrivains et les fictions ! Dans le genre, je vous suggère un autre roman dont la chronique est présente sur le blog : Meurtre à Balmoral.



Ainsi, plonger dans l’intimité des têtes couronnées m’attirait au premier abord, une manière d’en apprendre plus sur cet univers hermétique. Ensuite, cette dynamique scénarisait l’aristocratie dans des rôles épineux et pas trop dangereux. L’ambiance un peu surannée de la période Victorienne a son charme, et le style d’écriture le respecte dans une moindre mesure. Heureusement, car les quelques règles des protocoles très British de la dynastie royale manquaient d’explications.



Un cosy crime bien sympathique, MAIS je n’ai pas du tout adhéré à ce postulat. En effet, l’idée de mettre un membre de la famille en situation d’enquêteur amateur royale est amusante. Pourtant, l’originalité est exagérée, car son lien de parenté avec cette dynastie Windsor est rocambolesque. De plus, la réunion incongrue de ses deux parents, tout les oppose, d’un point de vue social et culturel. Ce postulat rend encore plus improbable les liens de ces derniers avec la reine. Et la mission qui lui est confiée est totalement saugrenue quand on pense au moyen dont dispose l’autorité suprême d’Angleterre.



Après avoir éprouvé une grande déception avec cette lecture, je suis déterminée à éviter les autres tomes de cette série. Trop d’ennuis . Je n’ai pas pu terminer l’ouvrage rempli d’incohérences. Mais je ne vous empêche pas de vous faire votre propre idée.




Lien : https://lesparolesenvolent.c..

J'ai un avis assez mitigé sur ce roman. Dans un premier temps, j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger dans cette histoire. J'ai trouvé que l'intrigue prenait son temps à apparaître. Mais une fois arrivé à la moitié du livre, j'ai été aspiré dans cette lecture rythmée par de multiples péripéties. Cependant j'ai trouvé la fin un peu bâclé, vite expédié. J'ai eu l'impression que l'auteur voulait en finir vite.

Je lirais tout de même le second tome car j'ai envie de découvrir la suite de l'histoire entre Géorgie et Darcy.

Petit à petit cette série devient assez conséquente. À l'heure où j'écris cette chronique, Rhys Bowen a déjà écrit 12 tomes pour la version française, mais elle en a encore sous le coude. Dans cette nouvelle aventure, notre belle Georgie se rend en Italie. Si vous souhaitez lire les autres chroniques écrites pour cette série, il suffit de cliquer sur le tag « Son espionne royale » en bas de la chronique. Ce n'est pas mon tome préféré qui reste « Son espionne royale et les douze crimes de Noël », même s'il est talonné de très près par « Son espionne royale et le baron irlandais ».



* Attention spoiler pour les personnes qui n'ont pas lu les tomes précédents, ne lisez pas cette chronique avant d'avoir rattraper votre retard ! *



Darcy est encore une fois reparti pour une nouvelle et mystérieuse mission. Georgiana étant de sang royal, elle doit obtenir l'autorisation de se marier. Les jeunes amoureux sont dans l'attente de la décision. La jeune femme inquiète, décide de partir soutenir son amie Belinda, qui se trouve dans une situation plus que fâcheuse pour sa réputation. Elle attend sa délivrance, seule, en Italie. Mais c'est sans compter sur SM, qui apprenant que Georgie se rend là-bas, va la mandater pour une mission secrète qui va de nouveau placer la jeune aristocrate sur les traces d'un meurtrier.



Cette histoire est bien construite, même certains indices un peu trop flagrants, peuvent permettre au lecteur de découvrir l'assassin bien avant le dénouement. Ce dernier pourrait d'ailleurs reprocher à Rhys Bowen d'utiliser toujours un peu les mêmes engrenages, et les mêmes interactions entre les personnages. En même temps, les relations ne peuvent pas évoluer de façon drastiques d'un tome à l'autre, cela ne serait pas cohérent.



Au niveau des personnages secondaires, petit pincement au cœur pour Queenie, même si cette situation colle parfaitement à la personnalité de cette dernière. Georgiana a également l'occasion d'observer sa mère en couple, ce qui n'était encore jamais arrivé. Belinda se montre aussi moins superficielle, ce qui est normal étant donné la situation où elle se trouve. Elle est plus humaine, et cela fait du bien de la découvrir avec de vraies qualités et un cœur. Le dénouement est un peu facile, mais il fait plaisir au lecteur et arrange bien les affaires des personnages concernés. Du coup, peut-être que Camilla et son mari vont devenir des personnages récurrents ?



Il est très intéressant que l'auteure aborde la situation historique de l'Europe à cette époque-là. La montée du nazisme est abordée sous un angle tout à fait original, c'est-à-dire à travers le regard des puissants de ce monde. Le réseau des influences et des manipulations est déjà à l'œuvre, alors que le récit se déroule durant le printemps 1935.
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Je suis tombée sur ce livre par hasard en librairie et le résumé m’a tout de suite donné envie. Malheureusement l’histoire n’a rien à voir avec l’intrigue d’espionnage qui nous est promise dans le résumé.



Dans ce premier tome on découvre le personnage de Georgie, son cadre de vie, et son désir d’émancipation.



Le début du roman est chouette mais très vite les longueurs s’installent. Il faut attendre la page 150 (sur 336 pages) pour qu’un élément perturbateur pointe son nez.



Georgie retrouve un cadavre dans sa baignoire et résoudre ce meurtre qui touche de près sa famille devient son objectif. J’ai malheureusement eu plus l’impression que la jeune femme subissait l’intrigue plutôt que dans être l’actrice principale.



Elle reste assez passive et enchaîne les situations loufoques qui rendent vite son personnage agaçant. Sa maladresse excessive ne m’a pas charmé et rendait le tout plutôt lourd à digérer.



Les personnages secondaires sont détestables, voir problématiques. Son frère et sa bêtise poussée à l’extrême qui ignore tout de sa sœur sauf quand il a besoin d’elle. Son amie Belinda est aussi pleine de stéréotypes. Et le personnage love interest masculin ne connaît visiblement pas la notion de « consentement ».



Le dénouement et la résolution de l’enquête ne m’a pas satisfaite. J’ai lu en diagonale jusqu’à la fin pour connaître le coupable un peu trop évident à mon goût. C’était si facile qu’il n’y a même pas d’éléments surprenants ni d’indices pour que le lecteur puisse s’impliquer.



C’est une déception pour ma part, je ne lirais pas la suite.

YES ! Cri de joie d'une lectrice qui a réussi enfin à avoir le livre nouveau arrivé à la Bib' et déjà très convoité !

Inutile de dire que je n'en ai fait qu'une bouchée !

J'étais impatiente de lire ce tome qui devait constituer une nette avancée dans l'histoire de Georgie et de Darcy ! Il faut attendre la toute fin pour que le voile du "peut-être" du titre soit levé, mais ça en vaut quand même la peine !

J'ai moins ri que dans les tomes précédents et curieusement j'ai eu parfois du mal à suivre Georgie qui dans son rôle de nouvelle châtelaine passe d' une noble et autoritaire assurance à des tergiversations et des doutes un peu "sur-joués" à mon goût ... la fébrilité des préparatifs du mariage et de l'aube d'une nouvelle vie, sans doute ...

Queenie me fait toujours sourire, et Belinda ne m'a pas manqué (quelques apparitions, c'est assez). Quant à la maman de notre héroïne, disons que l'évolution du personnage est intéressante.

Je laisse le mot de la fin pour Darcy à Georgie "comment faites vous pour vous retrouver toujours dans des situations impossibles?" (en substance !) : pour être honnête, je me le dis aussi ! C'est un aimant à ennuis, notre Georgie ... mais c'est aussi pour celà qu'on l'aime, non ?

Ce tome est pour l'instant le dernier traduit en français, mais il y a en langue anglaise encore 4 tomes si je ne me trompe, que j'espère pouvoir lire un jour ???

Pour les fans de Georgie, qui ont lu ses aventures une à une, vous trouverez dans ce tome un certain aboutissement ... J'attends la suite !

Roman divertissant.



L’héroïne Georgiana est en 34ème position dans la succession au trône d’Angleterre. Cela lui a assuré une éducation irréprochable qui inclut la connaissance de l’étiquette et des bonnes manières, mais pas une situation financière florissante surtout depuis que son frère, le duc de Rannoch, passablement fauché ne lui verse plus sa rente annuelle.



Quand elle apprend que sa famille complote pour lui trouver un mari, elle prend ses jambes à son cou et fuit dans le pied-à-terre familial de Londres.



Le personnage principal de cette série m’a été d’emblée sympathique. C’est une jeune femme volontaire, plutôt débrouillarde qui fait fi des convenances. Nous sommes dans les années 1930, elle est âgée d’une vingtaine d’année, non mariée et seule dans la capitale, sans domestiques, ni chaperon. On compatit et on sourit en même temps devant les difficultés auxquelles elle doit faire face, qui ne sont pas celles auxquelles on pourrait s’attendre… Quoi de plus normal quand les tâches courantes de la vie quotidienne sont habituellement prises en charge par une tierce personne.



L’aspect Cosy Mystery pointe le bout de son nez quand son Altesse Royale, herself, convoque Georgiana au palais pour lui confier une mission. Et prend un peu d’ampleur quand un problème autrement plus inquiétant survient.



J’ai apprécié ce 1er tome de la série Son espionne royale, c’est une lecture détente qui fait son job !

Rhys Bowen est surtout connue pour sa saga ô combien délicieuse « Son Espionne Royale », mais elle a écrit d’autres œuvres, dont « Farleigh Field » me faisait de l’œil depuis un certain temps ! Si vous souhaitez retrouver une ambiance à la « Downton Abbey » au cours de la Seconde Guerre mondiale, alors ce roman est fait pour vous !



En plein cœur de la campagne anglaise, dans un village tranquille, la famille Westerham possède la demeure de Farleigh Field depuis des générations. En dehors des parents, dignes représentants de l’aristocratie britannique, la fratrie se compose de Livvy (Olivia), aînée stricte et mère de l’héritier du domaine ; Margot, vivant à Paris où elle s’initie aux secrets de la mode ; Pamela, l’héroïne de l’histoire, brillante, qui a fait la conquête de ses deux amis d’enfance, Ben et Jeremy ; Diana, sorte de Lydia Bennet dont l’unique espoir est de faire ses débuts dans le monde ; et enfin, Phoebe, la benjamine, à l’esprit affûté. Autour de cette illustre famille, gravitent des voisins plus ou moins proches…mais la Seconde Guerre mondiale va semer le trouble dans cette communauté, lorsqu’un parachutiste soupçonné d’être un espion allemand est découvert mort sur le domaine de Farleigh Field. Nous suivons alors les différents membres de la famille, de Paris à Bletchley Park, ainsi que l’enquête menée par Ben Cresswell, l’ami d’enfance des sœurs Westerham et fils du pasteur de la paroisse, secrètement épris de Pamela et travaillant pour le MI5.



Un résumé pareil ne peut que promettre une intrigue haletante ! Si la résolution de l’enquête n’a pas été une surprise, l’intérêt majeur de l’histoire réside dans le cheminement de chacun des protagonistes vers la vérité et ce, en temps de guerre. Menaces d’invasion allemande, espionnage, trahison, arrestation par la Gestapo, codages, couvre-feu, raid aérien sont évoqués de façon précise et détaillée, créant une ambiance pesante, où la peur et l’insécurité prédominent. Par ailleurs, comme dans Son Espionne Royale, Rhys Bowen dépeint le quotidien d’une famille de la haute société britannique, ainsi que les bouleversements engendrés par le conflit mondial, renversant l’ordre établi !



Farleigh Field a donc été une parfaite lecture estivale, haletante, rafraichissante et rondement menée !

Ayant lu le tome 11 avant ce tome 10 (hasard des disponibilités de ma bibliothèque), une partie du suspense et des péripéties de l'épisode m'étaient déjà connus, mais j'ai tout de même savouré cette nouvelle aventure de Georgie et de Darcy !

L'intrigue se passe en Irlande (pays cher à mes yeux!). Le père de Darcy est accusé de meurtre et Darcy, puis Georgie et "Zou Zou" lui viennent en aide. Il y a bien sûr des rebondissements, plus ou moins prévisibles, mais évidemment, tout est bien qui finit bien !

Les choses progressent entre Georgie et Darcy aussi !

Ayant lu le tome 11, j'attends avec impatience de lire le tome 12 !!!

J'ai lu toute la saga et j'ai adoré. Je vais les recommander sans hésiter aux clubs de lecture qui se tiennent dans ma ville. J'ai beaucoup aimé le caractère de lady Georgiana, la description de l'époque, Queenie est toujours fabuleuse.

Le tome 12 peut être un très joli cadeau de Noël.

Traduit de l'anglais par Blandine Longre



Victoria Georgiana Charlotte Eugénie de Glen Garry et Rannoch, dite Georgie, reçoit, à la demande de la Reine, Son Altesse Royale la princesse Maria Theresa Hannelore de Bavière, dite Hanni.

Eh oui, nous sommes dans le beau monde. Ce qui n'empêche pas lady Rannoch d'être désargentée car l'aristocratie ne travaille pas voyons, elle laisse cela au peuple. Mais Georgie , même si elle attire les cadavres, se débrouille. Quant à Hanni, qui sort du couvent, elle aime les films de gangsters et la langue verte... et aussi les jeunes hommes.

Tout ceci fait un agréable moment de lecture avec moult rebondissements.