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Critiques de Riyoko Ikeda (81)
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Claudine

En fan de la première heure de Riyoko Ikeda, dont j’ai toutes les oeuvres parues en Français (oui, je sais, il n’y en a que deux…), j’ai sauté sur l’occasion que les Américains nous offraient de pouvoir lire Claudine. Le titre est court mais encore une fois très fort et on y retrouve toute la puissance narrative de l’autrice.



Claudine, c’est l’histoire d’un drame annoncé. On suit depuis son enfance, la petite Claudine, qui est née dans un corps de femme mais se sent homme. On la voit donc grandir, s’affirmer, tomber amoureuse et souffrir dans un monde pour qui les transsexuels sont encore un tabou.



Claudine est une personnage typique des oeuvres de Riyoko Ikeda, c’est une personne forte et fragile à la fois, charismatique et torturée en même temps. Elle suscite de suite notre intérêt. Elle nous emporte dans le tourbillon et le drame de sa vie sous la plume toujours aussi théâtrale de la mangaka à grand renfort de pages éclatées et autres effets stylistiques propres aux années 70 que personnellement j’adore.



Les dessins sont fins, d’une beauté d’un autre temps avec ces cheveux vaporeux et ses grands yeux si expressifs. L’autrice parvient à faire passer tellement d’émotions sur les visages de ses personnages mais aussi dans leurs attitudes. La composition des pages est très dynamique malgré son côté théâtral et souvent dramatique. Elle excelle aussi dans les brefs moments humoristiques qu’elle met en scène avec des personnages presque en SD tordants. Honnêtement, je trouve ses dessins juste parfaits pour cette histoire et ses histoires en général.



Parce qu’ici, nous sommes plongés en plein drame dès le début. L’ambiance est pesante, on sent que malgré les airs enjoués de l’héroïne tout ne va pas bien se passer. En effet, ça ne peut être que dur d’essayer de s’affirmer transsexuel dans la France du début du XXe siècle. Personne ne comprend vraiment Claudine, pas même sa famille, et les femmes qu’elle rencontre ont chacune des réactions différentes face à cela. C’est tellement étrange pour l’époque de rencontrer quelqu’un qui dit qu’elle n’est pas du genre de son corps de naissance. On voit une femme devant nous, mais elle se dit homme. Je comprends que certains aient du mal à le comprendre ou l’accepter à l’époque et ça Riyoko Ikeda le rend très bien, montrant les différentes réactions qu’on peut avoir en tant de médecin, mère, père, frère, amie d’enfance, mentor, rencontre d’étudiant, etc.



En une centaine de pages, la mangaka brosse un panel assez large de réactions différentes face à cette question, mais ce n’est pas le seul thème qu’elle aborde. Elle parle aussi d’amour dans un sens plus large : l’amour entre un père et sa fille, la fascination pour quelqu’un d’intellectuellement supérieur ou encore un amour plus « traditionnel » dans lequel certains vont se réfugier par pression de la société cachant leurs vrais désirs qu’ils assouvissent parfois ailleurs. C’est un titre vraiment très riche.



Mes seuls regrets viennent de sa brièveté, j’aurais aimé que ça dure un peu plus de 100 pages, l’autrice m’a tellement habituée à ses longues fresques, mais aussi la narration souvent faite par le docteur qui « suit » Claudine. De ce fait, on ne voit que de brefs moments de la vie de Claudine et parfois l’ensemble manque un peu de liant, comme si on avait enlevé des bouts de l’histoire pour la publication, ça donne un sentiment étrange.



Sinon, l’ensemble de l’oeuvre est un vrai coup de coeur pour moi. J’ai été touchée par le personnage de Claudine et sa dramatique histoire qui dans un sens n’a pas été sans me rappeler celle d’Einar Wegener dans The Danish Girl. Je recommande cette lecture bien évidemment à tous les fans de Riyoko Ikeda mais aussi à ceux qui voudraient lire des histoires puissantes sur la communauté LGBT.
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La rose de Versailles, tome 1

Voilà sans aucun doute l'oeuvre qui a donné ses lettres de noblesse au shojô-manga; La Rose de Versailles demeure aujourd'hui considéré comme le chef-d'oeuvre du genre. Créé par la très polyvalente Ryoko Ikeda, ce manga nous entraîne dans la France du XVIIIe siècle, alors que la Révolution française point au loin. Mais penchons-nous d'abord sur la genèse de l'oeuvre: Ryoko Ikeda a toujours été éprise de dessin, à tel point d'ailleurs, qu'elle décida d'interrompre provisoirement ses études de littérature et de philosophie à l'université de Tokyo Kyoiku. En 1967, elle fait ses début de mangaka: Bara yashiki no shojô (La jeune fille de la demeure des roses) est son premier manga. En 1972, Versailles no bara commence à être publié dans l'hebdomadaire féminin Shûkan Margaret. le succès est immédiat, à tel point qu'il suscite l'engouement des jeunes japonaises pour l'Histoire de France et la langue de Molière. La série est adaptée en animé en 1979. le premier contact de l'occident avec La rose de Versailles se fit d'abord grâce à cet animé (renommé Lady Oscar en Europe). En France, le manga ne fut publié qu'à partir de 2002, mais son succès n'eut pas à en pâtir. La Rose de Versailles fait partie des vingt shojô-manga les plus vendus au monde, et son succès de ne vieillit pas. Pour créer son oeuvre, Ryoko Ikeda s'est beaucoup inspirée de la biographie de Marie-Antoinette rédigée par Stefan Zweig, et qu'elle avait étudiée au temps de ses années de lycéennes. le manga suit d'ailleurs un mouvement chronologique semblable à celui de l'ouvrage de Stefan Zweig: nous découvrons les débuts de Marie-Antoinette à Versailles, son litige avec la comtesse du Barry, sa rencontre avec Hans Axel von Fersen, le scandale de l'affaire du collier orchestré par la perfide Jeanne de Valois-Saint-Rémy, et bien sûr les heures sombres au temps de la Révolution.



Il est très intéressant d'observer les rapports des personnages entre eux dans le manga; la relation entre Oscar et André est très bien construite: Oscar ne se rend pas comte des sentiments que nourrit André à son égard et ce dernier en souffre énormément, de même que Rosalie Lamorlière qui, victime du premier émoi, oublie qu'Oscar est une femme. Car le thème de l'ambiguïté sexuelle est très présent dans cette oeuvre (on le retrouve d'ailleurs dans d'autres manga de Ryoko Ikeda comme Claudine ou Très cher frère): Oscar, par son allure masculine, suscite l'admiration des femmes de la cour, et exerce une certaine fascination sur beaucoup de personnages et surtout de lectrices! Bien sûr, la relation la plus intense reste celle de Marie-Antoinette avec Fersen: nous découvrons une jeune reine accablée par ses devoirs qui l'empêchent de s'épanouir dans sa nature de femme, qui a été mariée au profit d'une alliance purement politique, et ce, au détriment de ses sentiments. Mais la reine ne peut continuer à se mentir et veut obtenir un peu de cette liberté dont la privent Versailles et la cour. Nous découvrons d'ailleurs l'envers du décor versaillais: le palais royal est le théâtre de viles manoeuvres visant à nuire à la reine et à Oscar: la comtesse de Polignac est présentée comme une antagoniste qui abuse de l'amitié de la reine afin de s'enrichir, doublée d'une intrigante sans scrupule allant jusqu'à sacrifier sa progéniture pour son intérêt personnel. le litige de la Dauphine avec Madame du Barry montre également les tensions qui déchirent la cour, de même que l'agonie de Louis XV. Ce manga renferme une très belle fresque historique dont la lecture s'avère palpitante et captivante, et s'adresse à un très large public. Un chef-d'oeuvre à lire et à relire. Graphiquement, on reconnaît le coup de crayon typique des shojô-manga des années 1970 qui eut énormément d'influence sur d'autres manga légendaire, comme Glass no kamen par exemple; on retrouve les héroïnes aux yeux aussi étincelants que des joyaux, à la chevelure abondante et vaporeuse, un style longtemps imité et encore très prisé de nos jours (le personnage de la Princesse Peach est une héritière de ces canons, de même que Sailor Moon).
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La rose de Versailles, tome 1

au milieu du XVIIIe siècle, en France, le général de Jarjayes, dont la lignée est depuis toujours attachée à la protection de la famille royale, n'a que des filles. À la naissance de la dernière, exaspéré, il décide de l'élever comme un garçon, sous le nom d'Oscar-François, et d'en faire son successeur. La jeune femme devient un soldat aguerri et, dès ses quatorze ans, elle est chargée de veiller sur Marie-Antoinette, fraîchement mariée au futur Louis XVI. Malheureuse à cause des devoirs que lui impose son rang, la dauphine tombe rapidement amoureuse du comte suédois Hans-Axel de Fersen. Par ailleurs, André Grandier, compagnon d'enfance d'Oscar, nourrit un amour impossible pour son amie de toujours, puisqu'il est roturier.

Entre intrigues de cours, complots, amours, révoltes tous se retrouvent pris dans le tourbillon de l'Histoire, de la fin du règne de Louis XV à l'exécution du couple royale par les révolutionnaires.

Que c'est beau ! En articulant parfaitement fiction et fait historique, l'autrice est parvenue à donner une véritable intensité dramatique à son manga. En effet, tous les personnages sont déchirés entre leur identité/statut et leurs devoirs/désirs/convictions, ce qui les rend extrêmement attachants. Les péripéties sont nombreuses et s'enchaînent parfaitement. La fin est orchestrée comme une véritable tragédie. Allez-y !
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La rose de Versailles, tome 1

1770 : Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine devient dauphine de France. Elle est protégée par Oscar Francois de Jarjayes, une jeune fille élevée comme un homme. À l'insouciance de leur jeunesse et aux tourments de l'amour va succéder le fracas de la Révolution.



Quel plaisir de relire ce manga de ma jeunesse (même si ce n'est pas la première fois que je le relis) qui est un chef-d'oeuvre du shojo des années 70 !



Les dessins sont magnifiques, en particulier ceux des vêtements ! La reine a vraiment des robes magnifiques et cela m'émerveille toujours autant que lorsque j'étais jeune fille.



Les personnages historiques côtoient les fictifs dont le fameux (ou plutôt la fameuse ;) ) Oscar mais aussi Rosalie que j'adore ! Et l'auteur réussit le tour de force de faire tomber amoureuse toutes les lectrices... d'une femme ! Il faut dire qu'Oscar est exceptionnelle ! La vraie héroïne de cette histoire, même si la "rose de Versailles" est Marie-Antoinette.



Cette première partie de l'histoire a des accents plutôt joyeux malgré les tourments amoureux de nos héros ou encore la célèbre affaire du collier. On sent que le vent commence à tourner pour la royauté.
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La rose de Versailles, tome 1

J'ai trouvé le manga plus développé que la série d'animation, notamment la relation entre Marie-Antoinette et Axel de Fersen. On retrouve même la fameuse anecdote entre la reine et Elizabeth Vigée-Lebrun : la portraitiste fait tomber ses couleurs ; elle veut les ramasser, mais Marie-Antoinette constate qu’elle est enceinte en voyant son ventre arrondi et ramasse elle-même les couleurs de sa peintre attitrée !



On voit le livre "Du Contrat social" parmi les lectures d'Oscar ; pour une fois, Robespierre n’est pas représenté comme un monstre et parait même sympathique. Bernard Châtelet est largement inspiré de Camille Desmoulins, d'ailleurs j'adore sa tirade.



Je me suis délectée quand Marie-Antoinette a mis un vent à la comtesse Du Barry ! Celle-ci l’a bien cherché, elle est exécrable ! Et aussi lorsque Oscar remet à leur place le mauvais duc et Mme de Polignac avec une bonne répartie !

J'ai également bien ri en voyant Marie-Antoinette, Louis XVI, le cardinal de Rohan et la noblesse caricaturés ! Et avec la grand-mère qui envoie un coup de pied à André, j'ai eu un bon fou rire tant c'est bien dessiné !



Bref, j'ai vraiment hâte de lire les tomes 2 et 3 ; ce manga est l'un des meilleurs que j'ai lus jusqu'ici !



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La rose de Versailles, tome 1

Pas de la génération manga mais génération Alexandre Dumas ...

Je me disais chouette !je retrouve avec plaisir mes héros royaux favoris "repasteurisés.".!! .hélas ils n'ont guère l'épaisseur d'un roman de capes et d'épées et l'évocation historique est succincte...,

Cela foisonne de personnages et je me demande ce que l'adolescent qui lit ce manga retient de tout ça après avoir refermé le livre .... Les visages me font penser au dessin animé Culte "Candy"...à part les dessins romantico-noir et blanc......je m'arrêterai au volume 1.
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La rose de Versailles, tome 1

Ce manga a plus de quarante ans et cela se voit sur les traits des personnages. Mais on oublie très vite ce dessin un peu vieillit au profit de l’histoire et des émotions très bien dépeintes par Riyoko Ikeda.



L’auteur nous montre l’histoire de trois personnages : deux historiques, Marie-Antoinette Reine de France et Axel de Fersen son amant, puis un personnage fictif Oscar François de Jarjayes, une fille élevée comme un garçon par son père et qui devient capitaine de la garde royale.



le personnage central reste Marie-Antoinette, on la suit de sa jeunesse à sa mort. J’ai mis du temps à passer le premier chapitre. l’enfance de Marie-Antoinette en Autriche ne m’a pas passionnée. Mais une fois arrivée à la Cour de Versailles et mariée au futur Louis XVI, je l’ai lu d’une traite.



Plusieurs épisodes historiques sont décrits, toujours dans cet esprit « manga shojo » où le tragique côtoie l’humour. Même si on connaît le destin des personnages, on se laisse prendre par l’humour présent dans l’histoire.
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La rose de Versailles, tome 1

Si je ne suivais pas la série de façon assidue, j’avais vu quelques épisodes de « Lady Oscar » lorsque ça passait à la télévision, dans Récré A2 il me semble. Je trouvais cette femme vêtue comme un homme, avec un métier d’homme, à une époque où ça ne se faisait pas, absolument fascinante. Mais je voyais trop peu d’épisodes et de façon trop irrégulière pour suivre vraiment l’intrigue. Lorsque j’ai vu que ma bibliothèque proposait le manga à l’origine de la série d’animation, j’ai tout de suite été attirée, curieuse de découvrir ce qu’il en était.



Si « la rose de Versailles » est un shojo, l’amour est ici une préoccupation majeure, c’est aussi un manga historique. Il ne faut pas s’attendre à une véracité historique totale, le récit n’est pas factuel, c’est très romancé et les grandes figures sont ici représentées de façon sans doute un brin partisane. Je pense tout particulièrement à Marie-Antoinette dont la représentation est très différente de celle qu’on a en général en France. Dans le manga, les défauts et certains comportements de la reine sont excusés par une forme d’innocence, vision qui n’est pas vraiment celle de la France héritière de la Révolution. Pour autant, l’aspect historique romancé reste très plaisant.



Mais le gros point fort de « la rose de Versailles », c’est le personnage principal. Oscar est forte, indépendante, intelligente, elle a des convictions. Tout ça ne l’empêche pas d’avoir des sentiments mais elle étouffe ses émotions, les réprime, les cache, devenant ainsi une véritable héroïne de tragédie.

J’ai trouvé totalement réjouissant le fait de voir toutes ces femmes se pâmer, voire être véritablement amoureuses d’Oscar, parfois en sachant que cet amour est impossible, Oscar étant une femme.



Le dessin est agréable. Bien sûr, le côté kawaii est parfois un peu trop appuyé, certains personnages féminins ont des yeux immenses avec des étoiles qui brillent dedans, mais finalement ça participe au charme du manga. D’autant plus, que le récit n’est pas dénué d’humour et que l’auteure ose recourir parfois à des mimiques comiques exagérées, y compris pour des personnages au fort charisme. On est pas loin parfois du super deformed. Ce côté humoristique apporte un équilibre au récit, ainsi « La rose de Versailles », malgré son romantisme exacerbé, n’apparait jamais comme mièvre.





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La rose de Versailles, tome 1

Je connaissais (et j'adore) le dessin animé, mais je n'avais encore jamais lu le manga, dans le sens : le livre. Puisque "manga" est un terme utilisé en français également pour parler d'un dessin animé japonais... Bref, j'ai adoré. La beauté des dessins, les détails de l'histoire qui n'apparaissent pas exactement de la même manière dans le dessin animé, l'histoire romancée dans l'Histoire de France, tout. Ce qui m'a le plus surprise c'est de retrouver le côté un peu déjanté des mangas dans cette oeuvre que je ne connaissais que finalement classique. Les personnages peuvent être représentés en train de courir ou tirer la langue de façon très stylisé, comme un manga-livre. Ce qui a totalement disparu du dessin animé. De fait, c'est très rigolo. En plus de l'histoire et de la beauté des dessins, cet aspect comique m'a vraiment plu et j'ai savouré la lecture de ce qui semble pourtant être un gros pavé. J'ai hâte de trouver le 2e tome pour le lire également.
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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La rose de Versailles, tome 1

Pour la génération Récrée A2, la rose de Versailles évoque de nombreux souvenirs. Plus connu avec l'animé rebaptisé Lady Oscar, son générique des années, décennies même plus tard résonne encore dans ma tête.

Les mangas étaient à l'époque plutôt pour les garçons, cette mangaka a été un précurseur pour les shojos. Les adolescentes ont découvert un nouveau style et en même temps un pan de l'Histoire de France. Même s'il y a des erreurs, notamment dans les costumes d'Oscar dans le style empire, l'autrice a fait un énorme travail de recherche pour restituer une époque et un pays tellement différent de sa propre culture. Les événements sont relativement bien relatés même si les caractères des personnes historiques sont plus romancés, le personnage de Marie-Antoinette devient une jeune ingénue, une reine de tragédie.

Les dessins sont magnifiques, les personnages kawaii avec leurs yeux immenses, remplis d'étoiles. Contrairement à l'animé, on a quelques passages un peu plus cartoonesques dans le premier tome, quelques notes d'humour contre balançant avec L Histoire qui est en marche. le premier tome se passe dans la jeunesse de trois protagonistes Axel de Fersen, Marie-Antoinette les amants maudits et Oscar, une jeune fille, 6ème de sa famille, dont le père en a fait un garçon de par son éducation afin de perpétuer le nom. La jeunesse, les premiers amours, les rivalités à la cour avec la du Barry, les premiers pas en tant que reine, la folie des extravagances de la reine.
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La rose de Versailles, tome 1

La Rose de Versailles est un souvenir d'enfance, un dessin animé que j'ai regardé une fois ou deux dans les années 80' sous le nom de "Lady Oscar" (mais pourquoi "lady"?), j'avais aimé l'histoire romantique de courses poursuites amoureuses entre Marie-Antoinette, Axel Fernsen, Oscar, André et Rosalie... Aujourd'hui je saisi mieux à la fois le travail de reconstitution historique car même si tout n'est pas juste, il y a un énorme travail de documentation et je ne suis pas certaines que nos auteurs de BD européens s'en tirent aussi bien pour décrire le Japon du XVIII ème siècle... Et la volonté féministe qui transparaît dans cette histoire de fille cadette qu'on fait passer pour un garçon afin de maintenir un nom. J'adore l'histoire, l'atmosphère romantique et les personnages. Si le graphisme a un peu vieilli surtout comparé aux mangas actuels, le dessin garde tout son charme.
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La rose de Versailles, tome 1

J'ai lu du 23/06/2017 au 24/06/2017.

Un manga très différent des autres. En effet, le mangaka a qui l'a fait a réussi à créer le contexte d'avant la révolution française avec des personnages emblématiques comme Louis XVI, Marie-Antoinette, Fersen... avec un réalisme des faits, des caractères, des personnages impressionnants pour un manga. Etant fan de l'histoire surtout de la nôtre, j'ai adoré ce manga très réaliste et je trouve que c'est formidable comme moyen d'apprendre l'histoire aux jeunes comme aux adultes. On rajoute une histoire romancée (fictive) avec le colonel Oscar (qui est une fille). Ainsi, cela accentue le réalisme. Personnellement, mon coup de coeur pour les personnages est André tellement fidèle à Oscar et amoureux au point de sacrifier sa vie.

Pour conclure, laissez-vous séduire par ce manga dont je vais lire directement le tome 2. Cependant, ce sont de très gros mangas (+ de 900 pages).



Ma note : 8/10
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La rose de Versailles, tome 1

Ce manga historique nous plonge dans le quotidien de la reine Marie-Antoinette, en abordant son enfance, ses fiançailles avec le dauphin, son départ pour la France, sa vie à la cour, ... Et, en parallèle, nous suivons Oscar François de Jarjayes, une jeune femme (s'habillant en homme) qui est capitaine de la garde royale et qui assure la protection de ladite reine. Les vies de ces deux protagonistes sont donc liées, et vous aurez compris qu'une part de fiction s'est glissée dans cet épisode de l'Histoire de France qui nous est conté !



Personnellement, j'ai trouvé que le tout était traité de façon très intéressante ! J'ai totalement été happée par ce récit, qui lie à merveille Histoire et fiction. Globalement, on connaît à l'avance les péripéties qui arrivent à la reine au fur et à mesure. Néanmoins, la part fictive de ce manga permet de nous faire appréhender les choses différemment et de ne pas anticiper tout ce qui va se passer. Ainsi, on évite de tout deviner et de vite s'ennuyer. Mais, plus que ça, c'est la construction du récit, et surtout des personnages qui nous fait apprécier ce manga !



En effet, le récit s'enchaine de façon dynamique, en alternant les points de vue et les focus sur différents personnages. Et justement, pour ce qui est des protagonistes, on peut dire que le travail les concernant n'a pas été négligé ! Ils nous sont rendus tantôt attachants, tantôt détestables. Et cela, grâce à une bonne construction de leurs caractères ! Pour ma part, j'ai beaucoup aimé Oscar (comme beaucoup de personnes je pense) et André ! Leur duo fonctionne à merveille, et leur complicité est belle à voir !



Enfin, les dessins ont un petit quelque chose de magique ! On voit des étincelles dans les yeux des personnages, des joyaux brillants sur les bijoux de la reine, et des vêtements somptueux sur sa majesté. De plus, les décors nous donnent vraiment l'impression d'y être !



En conclusion, je vous recommande absolument de lire ce manga ! Que vous aimiez l'Histoire ou non, je pense que l'auteure saura vos charmer et vous plonger au cœur des intrigues de Versailles ...
Lien : http://lesportesdelimaginair..
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La rose de Versailles, tome 1

(je suis désolée : j'ai écrit une tartine, je spoile et j'espère ne froisser personne en plus)



Les mangas et moi avons une histoire assez récente faite de découvertes spontanées. Qu'elle ne fut pas ma surprise de trouver La Rose de Versailles à la médiathèque ! Plongée dans mon enfance (7-10 ans), avec le générique du DA « Lady Oscar » qui a démarré instantanément ! Je suis donc repartie chargée comme une mule des 3 volumes de l'intégrale et prête à redécouvrir l'origine du DA que je ne manquais jamais en mes jeunes années !

J'ai apprécié l'introduction par l'autrice/ la mangana qui rappelle qu'elle n'a pas voulu faire une oeuvre historique, mais une romance historique, les erreurs étant donc nombreuses, choisies ou par ignorance par non accès à l'information historique. J'ai été aussi surprise du succès de ce manga prévu initialement pour une revue de jeunes filles et de sa portée : des générations de Japonaises qui ont fait des études de civilisation et langue françaises et courent visiter Versailles !

C'est quand même un monument, le premier volume, couvrant la période 1774-1789, depuis la naissance de Marie-Antoinette à la veille de la Révolution française : presque 950 pages ! Avec quelques longueurs parfois. Il y a cependant des pages magnifiques, riches en détails nombreux et très travaillés... ce qui rend d'autant plus horripilantes à mon goût les vignettes bourrées d'onomatopées exprimant de manière exagérées des sentiments comme la colère, l'admiration béate ou la surprise où les traits sont simplistes et grossiers ! Il n'est pas toujours facile non plus de bien distinguer certains personnages féminins lorsque les vignettes sont en gros plan …

J'ai été aussi un peu déçue par une certaine grandiloquence et une théâtralité ridicules dans certaines scènes et dans les dialogues, des propos confondants de naïveté et les prises de conscience politiques foudroyantes des personnages : c'est parfois comique, parfois irritant.

Les émois amoureux suivent le schéma classique guimauve : A aime B qui aime C qui aime D… et tout le monde serre les dents, combat ses sentiments et se sacrifie pour le bonheur de l'autre (avec un certain masochisme, mais le sens du devoir) ! Les héros sont des adolescents, de jeunes adultes aux sentiments entiers… et les lectrices destinataires de ce manga aussi !

Quant aux erreurs historiques, j'ai un peu grincé des dents mais l'autrice a été honnête dans l'introduction, donc ...

FINALEMENT, entre enthousiasme et agacements, je suis allée au bout du volume !, avec globalement, un sentiment de satisfaction et de la curiosité pour la suite.

Je voudrais pour finir évoquer une question qui m'a interpellée, en espérant ne froisser personne et trouver les mots justes pour exprimer ma pensée.

Dernièrement, j'ai vu deux ou trois émissions et lu des articles, traitant des années 1980, disant qu'Oscar était une oeuvre extraordinaire et audacieuse, pour certains subversive, car elle était la première héroïne homosexuelle ou bisexuelle ou transgenre proposée aux enfants, etc. etc.

J'étais petite et je ne me souviens pas des détails du DA.

Mais en ce qui concerne le manga originel, cette lecture du personnage est totalement erronée. Je n'ai rien contre les LGBT+ : chacun aime qui il veut, ça me va très bien. Mais les ré-interprétations ou réappropriations ou réécritures, à contre-sens ou contre-pied de l'auteur, ça m'énerve !

D'abord il faut se rappeler que Oscar n'est pas un personnage historique, mais un personnage fictif, alors non, elle ne représente pas la France des années 1780 ! A la limite, si on cherche un personnage qui présentait officiellement une double identité sexuelle, il faut s'intéresser au chevalier d'Eon : là il y a à dire !

Mais en ce qui concerne Oscar, il est bien clair qu'elle a été habillée et élevée comme un garçon  non par goût/choix personnel, mais par le choix de son père qui a décidé qu'il ne voulait pas une fille de plus, que sa dernière fille serait donc son héritier et successeur et le gardien de la dauphine (ensuite devenue reine).

D'ailleurs, Oscar s'insurge quand les opposants à Marie-Antoinette les accusent, la reine et elle, d'être lesbiennes : 2 pages de négation TRES explicites et l'expression du personnage montre qu'elle ne ment pas pour se protéger ! Oscar a certes pour Rosalie un fort sentiment fraternel (elle lui dit « au revoir petite soeur » quand Rosalie part) et très protecteur (comme pour la reine, Charlotte de Polignac un peu), mais pas de sentiments amoureux. Les femmes, dont Rosalie, tombent sous le charme d'Oscar, mais visiblement surtout parce qu'elle est tout ce qu'elles ne peuvent pas être elles, grâce à sa tenue de garçon. Oscar a pleinement conscience d'être une femme et de tout ce que l'appartenance à ce sexe dans son époque la limiterait et l'empêcherait de faire, donc elle sait et dit que jouer un rôle masculin lui accorde des libertés d'actions, de paroles, de mouvements qu'elle n'aurait pas sinon. Qu'elle soit une femme est officiel, même si tout le monde ne le perçoit pas en la rencontrant, mais même en tenue masculine elle est parfois la cible de propos machos, d'attouchements et de menaces à caractère sexuel par des hommes (les Gardes françaises). Donc même en uniforme, elle ne trompe pas grand'monde.

Côté coeur, elle est clairement explicitement amoureuse de Fersen, son premier amour, et c'est d'ailleurs pour lui montrer qu'elle est pleinement femme qu'elle portera une robe à un bal: une seule fois !

Du coup, non, Oscar n'est pas une héroïne transgenre, ni homosexuelle, ni bisexuelle, mais plutôt une féministe : fictive cependant !!!, puisqu'elle est pleinement conscience de ce que le statut de femme a de limité dans le cadre historique donné et le dénonce. De ce point de vue, je trouve que au milieu de toutes cette guimauve et ce sentimentalisme (ce manga est avant tout une romance historique, un Arlequin à la japonaise), l'autrice a plutôt bien transmis cette idée : la femme en France à la fin du XVIII°s est avant tout un être inférieur dont la vie est dirigée par son père (ou son frère, son oncle) puis son mari et chargée de transmettre un héritage et fournir un héritier …

Malgré tout, c'est quand même une lecture un peu incontournable !!!
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La rose de Versailles, tome 1

Combien de fois ai-je regardé ce dessin animé étant enfant ? C'est donc une véritable joie de le (re)découvrir en manga à l'âge adulte.



J'ai beaucoup aimé la construction de l'histoire. On suit les interactions de trois personnages au destin tragique : Oscar, évidemment, mais également le Compte Axel de Fersen et Marie-Antoinette, reine de France. L'histoire commence alors que tous trois sont bien jeunes et l'auteur a su rendre cette jeunesse et cette naïveté dans les dessins et l'humour de son œuvre. C'est particulièrement vrai pour le personnage de Marie-Antoinette. Je trouvais même parfois un petit côté clownesque dans les échanges entre les personnages et dans les dessins. Les premières intrigues sont celles de la Cour mais, l'action se déroulant juste avant la Révolution française, les problèmes de nos héros vont devenir de plus en plus sérieux, ce qui va entrainer leur évolution. Encore une fois, je trouve que l'auteur a su merveilleusement accompagner cette évolution. L'ambiance se fait de plus en plus pesante et les thèmes abordés sont de plus en plus sérieux. Le petit coté enfantin disparait vite au profit d'une histoire prenante et intéressante (même si l'humour reste bien présent - merci Grand-Mère).



Au final, c'est un manga qui interroge sur la féminité, la place des femmes dans un monde d'hommes, la recherche du bonheur en général, les rêves envolés, la possibilité de vivre son amour, fût-il un amour impossible. La misère et la famine qui étaient présentes en France à cette époque sont aussi abordés et très bien retranscrits, de même que la lutte des classes. Ce sont des thèmes très profonds et très bien amenés qui jalonnent le récit.



J'ai beaucoup apprécié cette lecture qui a évidemment un petit coté madeleine de Proust.
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La rose de Versailles, tome 1

Je me suis offert un beau plaisir régressif et nostalgique ce week end. Ma fille a rapporté ce premier tome de l'école et quand elle me l'a mis sous le nez je suis retombée 35 ans en arrière (put... tout ça !)



Alors je le dis tout de suite. Je ne suis pas branchée manga . Je n'en ai lu que deux ou trois.

Mais celui ci, c'est juste LE chef d'oeuvre.

Si je ne devais lire qu'un manga dans ma vie ce serait celui ci.



La rose de Versailles (Versailles no bara) est une oeuvre qui a d'abord été publiée sous forme de sérié dans le magazine "Margaret" durant 82 semaines (1972/1973).

Riyoko Ikeda s'est inspirée de la biographie "Marie Antoinette" de Stefan Zweig pour créer ce shojo manga.

Elle en oubliait même de manger tellement elle était prise par son oeuvre !

Oeuvre qui va devenir un véritable phénomène : des fans clubs d'Oscar , une adaptation théâtrale, une adaptation au ciné, un disque, la parution de la série dans un magazine en italie et surtout le dessin animé "Lady Oscar" dont j'ai vu que dis je dévoré tous les épisodes, souvent le mouchoir à la main.



12 millions d'exemplaires pour la version poche. C'est juste incroyable.

Incroyable aussi que ce soit le Japon qui ait contribué à faire connaître ce pan de notre histoire.



C'est une oeuvre de fiction qui a pour cadre notre histoire de France.

Nous y suivons l'arrivée de Marie Antoinette à la cour de Versailles.

En parallèle, on découvre aussi Oscar François de Jarjayes, personnage de pure fiction, mais tellement magnifique. Lorsqu'elle est née, son père a décidé qu'elle serait élevée comme un garçon. Oscar apprend donc à se battre à l'épée, s'habille comme un garçon et devient un général de la garde royale au service de Marie Antoinette.



Ce manga est magnifique et romantique et passionné. Les dessins des personnages sont sublimes. Les sentiments sont exacerbés. oscar a un coeur noble et contrairement aux autres essaie de bien conseiller la reine et se préoccupe du peuple. Un code de l'honneur prononcé. Un sens du devoir qui fait passer ses intérêts personnels après ceux de la patrie et de la Reine.

J'ai aimé les marques d'humour dans les dessins avec la grand mère qui tape André (l'ami d'enfance d'André).



C'est une belle lecture que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir. Je n'y ai pas trouvé de défauts. oeuvre parfaite puisque plus de 30 ans après mon coeur bat encore la chamade pour Oscar et André. Oeuvre inoubliable.

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La rose de Versailles, tome 1

Un manga au graphisme clair et agréable. le colonel Oscar de Jargey est en fait une femme, la cinquième fille d'un homme qui désespérait de voir sa charge se perdre faute de garçon pour prendre la relève. Puisque c'est une femme, elle sera donc naturellement affectée au service de la future dauphine: Marie-Antoinette d'Autriche.

Dans ce manga, la future reine la plus détestée de France est présentée comme une jeune fille naïve, écervelée et surtout angoissée à l'idée de quitter son pays et sa famille pour épouser un futur roi qu'elle ne connait pas.

C'est un tour de force que d'avoir réussi à rendre sympathique cette reine à une personne élevée dans le culte de la révolution de 1789, et pourtant c'est assez réussi. Même si je n'adhère pas au personnage à 100% l'histoire est présentée sous un jour différent qui lui réussi bien.

L'auteur étant fan de Marie-Antoinette, elle a particulièrement bien documenté son histoire. C'est également une chanteuse d'opéra qui a été invitée à chanter au château de Versailles un répertoire présenté à l'origine à la reine.

une grande réussite.

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La rose de Versailles, tome 1

Je connaissais depuis l'enfance, j'en ai parlé hier, la série animée Lady Oscar. Mais mon inculture "mangaesque" fait que j'ignorai que ce dessin animé était tiré de La rose de Versailles. Je l'ai appris il y a quelques temps, et j'ai comblé mon ignorance : je viens de finir le premier pavé tome de cette réédition.



Il ne faut en effet pas avoir peur d'avoir des biceps de body builder à la fin de la lecture, car le premier volume de cette série compte près de mille pages (le second aussi d'ailleurs). Mais une fois lancé, qu'est-ce que c'est bien !



Le dessin, entièrement en noir et blanc, est très très agréable. Les personnages sont vraiment beaux, fins, assez caractérisés pour qu'on les différencie facilement. Je qualifierai le graphisme de "sérieux", même si il y a ici et là quelques cases typiques manga, avec les petits personnages aux expressions très très appuyées (mais ces cases sont assez rares et amplifient en général une idée précise de l'histoire).



L'histoire ensuite... Je l'ai trouvé très très intéressante. Bien sur, ce n'était pas une découverte complète pour moi. J'avais suivi avec beaucoup de plaisir la série animée, donc je voyais un peu de quoi on allait parler... Mais, bien qu'ayant fait 5 ans d'études d'histoire, je n'ai pas énormément de connaissances sur cette période. Je dois dire que ma période de prédilection est le Moyen Age, et que la révolution, la "pré révolution" et "l'après révolution" m'ont toujours profondément ennuyées... Ce manga (et un film dont je reparlerai très vite) m'ont donné envie de mieux connaître cette page de l'histoire, et en particulier, la vie de Marie Antoinette... J'ai repéré un ou deux livres sur lesquels je vais me pencher je pense...



Un très bon manga donc, et je vais me plonger très vite dans la suite ...
Lien : http://sofynet2008.canalblog..
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La rose de Versailles, tome 1

EXTRAIT "On suit donc ces trois personnages, et si Fersen passe presque pour un personnage secondaire, Oscar et Marie-Antoinette sont les deux vraies héroïnes de cette saga. Deux femmes somptueuses, deux caractères opposés, mais une domination sur leur entourage indéniable. Il n'y a qu'à voir comment Oscar séduit tous les hommes, et comment la reine est dessinée telle un ange. "
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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La rose de Versailles, tome 1

Un manga assez palpitant sur l'histoire de France (Marie-Antoinette). Suis curieuse de voir les deux tomes suivants. Maintenant que j'ai réussi à m'enfiler cette brique, je me dis que j'aimerais certainement lire plus de biographies historiques, d'autant plus que j'ai aussi déjà vaguement essayé cela: j'avais bien aimé l'Allée du roi"!... Une remarque quand même: l'interprétation des images peut-être un peu compliquée par la ressemblance entre personnages (les femmes toutes pouponnées), quiproquo de déguisement et représentation pas toujours très fixées (des cheveux "blancs" seraient tout d'un coup présentés en "noirs", ou le contraire???)
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