Robert Galbraith

Une seconde enquête de Cormoran Strike encore plus réussie que la précédente.

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Récemment, j’ai lu L’Appel du Coucou, duquel je n’attendais rien. Les romans policiers qui passent entre mes mains sont ceux que j’ai pioché sur les étagères des autres (ou sur celles des maisons d’édition que j’ai fréquenté). Ce ne sont pas mes lectures préférées parce que j’ai toujours l’impression que le lecteur est tenu grossièrement, simplement par le dénouement. Rien n’est jamais tenu grossièrement par Rowling, même quand elle prétend s’appeler Galbraith.



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Déjà, il faut savoir que Robert Galbraith est le pseudonyme de J.K. Rowling, auteur de la série Harry Potter et de Une Place à prendre. Bon, Harry Potter, jamais lu, Une place à prendre oui ! Et bien j'ai préféré celui-ci. Il se lit très bien, une bonne intrigue. Il n'y a pas non plus un suspens torrrriiiiide qu'on n'en dort plus la nuit... non non non ! Mais c'est un roman sympa et je lirai volontiers "le ver à soie", l'autre enquête de Cormoran Strike.


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la suite des enquêtes de Cormoran Strike nous emmène dans le milieu littéraire et le moins qu'on puisse dire est que ce roman est passionnant et captivant!! j'ai adoré!!

Un livre que j'ai apprécié malgré certaines longueurs.

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Atmosphère so british.

Très bien écrit

Tout d'abord, je regrette de ne pas avoir pris les renseignements nécessaire pour savoir s'il y avait un livre avant celui-ci, ce n'est en effet que trop tard et passé la moitié du livre, que je me suis rendue compte qu'il y avait « l'appel du coucou », soit, je ne regrette pas d'avoir lu ce livre.

J.K. Rowling, comme dans ces Harry Potter m'a emportée au fil des pages, sans vraiment savoir quitter ma lecture, hormis pour dormir et aller travailler. Encore une fois, je ne peux constater que son génie,.....(suite sur le blog)
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Cormoran Strike est un détective privé qui traverse une mauvaise passe. Endetté, quasiment sans client, il vient de rompre avec sa fiancée et vit dans son bureau. Mais John Bristow, un avocat, vient le trouver pour qu’il enquête sur la mort de sa sœur adoptive, Lula Landry, un top model célèbre dont la mort, après une chute du haut de son balcon, a été classée comme un suicide. Avec l’aide de Robin, sa secrétaire intérimaire, Cormoran va essayer de retracer les dernières heures de la vie de Lula et gratter le vernis des paillettes du show business.



C’est un roman assez dense et copieux, qui n’est pas dépourvu de longueurs. En même temps, vu la profusion de détails nécessaires à la reconstitution du dernier jour de Lula, il pourrait difficilement être plus court. On se passe également du temps à découvrir la vie de Cormoran Strike, on nous livre au fur et à mesure des brides de son existence, ce que j’ai plutôt apprécié, même si ce n’est pas directement utile à l’enquête. Cela apporte un peu d’épaisseur au roman et pose les bases des futures suites prévues par l’auteure.



Dans l’ensemble je dirais que ce roman policier ressemble à des classiques du genre. Il est plutôt bien mené, je n’ai pas deviné le mot de la fin (mais ce n’est pas un critère fiable car je ne devine jamais, petite lectrice crédule que je suis). Mais il ne m’a pas non plus emportée et ne recèle rien d’exceptionnel qui le distingue d’autres romans. L’ambiance est clairement anglaise, policée mais recelant des ombres sous la surface, avec un détective plutôt solitaire et très intelligent. Les amateurs du genre devraient y trouver leur compte, et c’est aussi mon cas.



Au départ, Cormoran Strike est un personnage qui n’a rien de particulièrement attachant. Et pourtant, on se prend facilement d’affection pour ce grand costaud, vétéran d’Afghanistan et torturé par des fantômes de son passé. Là encore, l’auteure n’invente rien, mais c’est un personnage qui fonctionne, et j’ai bien aimé son côté militaire. Quant à Robin, on la connaît peu, elle est plutôt futée mais elle se laisse influencer par l’humeur des hommes qui l’entourent, elle manque un peu de caractère à mon goût. On croise une multitude de personnages très bien croqués : le styliste Guy Somé, Evan Duffield, l’acteur/chanteur accro aux drogues, le couple Bestigui, Kieran, le chauffeur qui rêve de célébrité, et bien d’autres encore…



L’écriture m’a paru un peu moins exigeante que celle du précédent roman de l’auteure, même si elle continue d’utiliser ça et là des mots issus d’un registre soutenu, que l’on n’a pas l’habitude de lire. Néanmoins, la lecture est fluide. Les décors sont bien plantés, ainsi que la psychologie des personnages. Un style qui fonctionne pour un roman policier.



Ainsi, JK Rowling nous offre ici un policier à l’anglaise, qui ne révolutionne pas le genre mais qui fonctionne bien, malgré quelques longueurs. Le roman est porté par un détective bourru assez attachant et toute une galerie de personnages hauts en couleur. Je n’en garderai pas un souvenir impérissable, mais j’ai passé un bon moment et il me semble que tous les amateurs du genre y trouveront leur compte.
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Que de descriptions ! à Harry

L APPEL DU COUCOU

L’appel du coucou de Robert Galbraith, ou plus exactement de Joanne Kathleen Rowling, la maman Harry Potter.

Et oui JK Rowling s’encanaille en nous livrant son premier roman policier.

L histoire est vraiment bien menée, cela raconte la mort d’un top model, on suppose qu’elle s’est suicidée. Cependant son frère a des doutes, et fait appel à un détective privé Comoran Strike.



Une nuit d’hiver, dans un quartier chic de Londres, le célèbre mannequin Lula Landry est trouvée morte, défenestrée. Suicide. Affaire classée. Jusqu’au jour où l’avocat John Briscow, frère de la victime, frappe à la porte du détective privé Cormoran Strike. Strike est au bout du rouleau : ex- lieutenant dans l’armée, il a perdu une jambe en Afghanistan, sa carrière de détective est au point mort et sa vie privée un naufrage.

Aidé par une jeune recrue intérimaire virtuose de l’Internet, Strike est chargé d’enquêter sur la mort de Lula. De boîtes de nuit branchées en hôtels pour rock-stars assaillies par les paparazzi, en passant par un centre de désintoxication et le manoir où se meurt la mère adoptive de Lula, Strike va passer de l’autre côté du miroir glamour de la mode, dont les reflets chatoyants dissimulent un gouffre de secrets, de trahisons, de manoeuvres inspirées par la vengeance.

Avec son intrigue haletante et sa galerie de personnages plus vrais que nature, L’Appel du Coucou, premier volet des aventures du détective Strike, s’inscrit dans la tradition du grand roman policier classique illustrée par Ruth Rendell et P D James.

Le maitre est de retour.

Maintenant je me pose la question, Est ce que j aurais lu ce livre si je n’avais pas su qu’il avait été écrit par JK Rowling????

De plus après ma déception de « une place à prendre » il est vrai que j’avais besoin de me réconcilier avec l’auteur, voilà chose faite, et c’est un excellent bouquin.

Bonne lecture
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Une intrigue qui traîne en longueur, du mal à me mettre dans l'histoire tellement de détails inutiles. J’attendais beaucoup de ce livre. Dès le début on comprend qui est le meurtrier..

Bon roman mais sans plus : une jeune femme, Robin, se retrouve à travailler pour un détective, Cormoran Strike et va le suivre sur une nouvelle enquête celle du prétendu suicide de la top model, Lula Bristow.

L'enquête policière est bien amenée avec des révélations progressives, impossible de découvrir le vrai coupable jusqu'à la fin.

En revanche, je n'ai pas trop aimé le traitement des personnages : Robin est trop transparente malgré son aide sur l'enquête. Strike est lui mieux travaillé mais je trouve que les passages sur sa vie personnelle sont trop rapides et un peu baclés.



C'est une lecture divertissante pour le suspense autour de l'enquête policière, une lecture de vacances mais qu'on oublie assez vite car les personnages ne sont pas assez forts de mon point de vue.

Un bon policier mais rien exceptionnel...cela ne vaut pas la série Harry Potter. Mais, après avoir lu et adoré Harry Potter, ne saurons nous pas déçu des autres mondes de JK Rowling...Par contre, l'auteure sait passer d'un environnement à un autre sans problème....Roman qui reste très agréable à lire.

A l’époque où ce livre est sorti je me suis demandé pourquoi il remplissait les rayons des librairies. Je n’avais jamais entendu parler de Robert Galbraith et je ne comprenais pas qu’un premier roman fasse l’objet d’une telle promotion. Et un jour j’ai compris. Robert Galbraith est le pseudonyme de JK Rowling, la célèbre auteure d’Harry Potter.



L’Appel du Coucou est son deuxième roman pour adulte. Bien qu’extrêmement déçu par son ouvrage précédent « Une place à prendre » je me suis laissé tenté. Et me voilà avec le livre entre les mains.



L’histoire commence par le suicide d’un top model Lula Landry. Suicide ? Peut être pas. En tout cas c’est ce que pense John Bristow, son frère. Celui ci demande alors au détective privé Cormoran Strike de mener une contre enquête. Le détective secondé par son assistante Robin va mener une enquête de proximité et chacune des relations du mannequin se verra interroger par Strike.



J’ai beaucoup aimé cet ouvrage. L’écriture de JK Rowling est fluide et conforme au style du polar. Elle ne révolutionne pas le genre mais elle nous offre un roman d’une grande intelligence jusqu’à la résolution finale.



Voici un roman que je recommande et avec lequel j’ai passé un bon moment. Il est certain que je lirai le prochain roman mettant en scène Cormoran Strike.

un roman policier plein de rebondissements d'intrigues et de mystères!!! j'ai vraiment adoré!!! je le recommande à tous les amoureux du roman policier et des polars!!!

Tout les romans policiers ne me captive pas , en voila un qui ma beaucoup déçu .

Quand j’ai entendu que J.K. Rowling se cachait derrière un roman policier dont les critiques étaient plutôt positives, j’ai tout de suite eu l’envie de m’y attaquer. Malgré sa tentative pour rester « anonyme » derrière le nom de plume Robert Galbraith, les révélations divulguées par la femme de son avocat ont finalement poussé l’auteure à se révéler. Avec « L’appel du Coucou », on reconnait certains traits de l’écriture de la maman d’Harry Potter même si elle s’éloigne, cette fois-ci, du genre fantastique pour s’intéresser au polar.



L’appel du Coucou est un pavé de 576 pages, le bonheur pour moi. J’aime passer de lectures courtes à des « briques » plus longues. Dans ce cas, on ne voit même pas les pages passer, encore un des atouts de J.K. Rowling.



L’histoire n’est pas en soi hyper originale, elle reprend bien les caractéristiques du genre. On rencontre Cormoran Strike, un ex-lieutenant dans l’armée, marqué par la guerre en Afghanistan. Il est maintenant à son compte comme détective privé et a du mal à boucler ses fins de mois. C’est un peu l’archétype du « flic torturé au passé trouble, un peu alcoolique » que l’on retrouve dans de nombreux policiers, mais cela fonctionne très bien ici. On s’attache très vite à ce personnage central.



Un roman policier, c’est aussi un meurtre ou, en tout cas, un meurtre soupçonné. Ici, c’est la mannequin Lula Landry trouvée morte, défenestrée. La police classe tout de suite l’affaire en suicide. Le frère de la victime, un riche avocat, n’accepte pas cette conclusion et demande l’aide de Cormoran Strike.



L’histoire nous mène dans une intrigue très bien ficelée. On rencontre une pléthore de personnages, tous esquissés de manière précise. Ce roman est donc une très bonne enquête avec quelques surprises, les indices sont distillés au fur et à mesure de la lecture, mais ne m’ont pas forcément permis d’avoir la bonne idée de l’assassin. Je suis donc assez contente de cette lecture, j’ai vraiment passé un agréable moment en compagnie des personnages et j’ai déjà hâte de les retrouver pour le second volet.
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Cormoran Strike est ancien militaire reconverti en détective privé. Alors que sa vie personnelle est un véritable chaos, sa situation professionnelle est encore pire entre le manque de travail et les dettes accumulées. Mais voilà qu'un matin se présente à sa porte le frère d'un ami d'enfance qui veut lui confier un cas: découvrir la vérité sur la mort de Lula Landry, sa soeur adoptive et jeune mannequin à l'avenir prometteur. En effet il ne croit pas à la thèse du suicide et voudrait que Strike enquête afin d'en apporter la preuve. Secondée par sa secrétaire intérimaire, Robin (qui rêvait secrètement d'embrasser une carrière de détective), le détective s'embarque dans une affaire où rien n'est ce qu'il paraît.



Ecrit sous pseudonyme, les ventes de ce polar n'ont véritablement démarré que lorsque la véritable identité de Robert Galbraith a été révélée. Serait-ce un gage de peu de qualité ou bien du peu d'intérêt suscité par un énième roman policier mettant en scène un détective sur le déclin. Dès lors on pourrait se dire que le succès du livre n'est dû qu'au prestige de son auteur. Penser cela serait ne pas lui rendre justice car finalement c'est pas si mal!

Alors que sa première tentative d'écrite pour les adultes ne pas séduite (loin de là! trop de longueurs, de passages totalement inutiles et de personnages stéréotypés) je trouve L'Appel du coucou de meilleure facture (ou du moins à mon avis de plus plaisante lecture). L'énigme est plutôt bien ficelée, les rebondissements bien dosés, et la place prise par l'enquête à proprement parler ne fait pas trop d'ombre à celle donnée à la vie des personnages. Le dénouement n'est pas extraordinaire (je l'ai même trouvé un peu rapide) mais j'avoue que je ne me suis pas spécialement posée des questions sur le pourquoi du comment...préférant suivre le raisonnement de Cormoran Strike.

Malgré ces longueurs (et détails inutiles) les quelques 500 pages du roman se lisent relativement vite. Bref une lecture assez plaisante et des personnages assez sympathiques pour donner envie de lire la suite (parce que d'autres aventures il y aura selon l'auteure).

J’ai eu entre les mains un roman policier qui ne m’a pas emballé plus que cela, mais que j’ai lu consciencieusement tout du long et dont la fin m’a dépitée.

Les divers personnages sont approfondis tout au long du livre (Robin et Strike sont intéressants), les descriptions et dialogues ne sont pas maladroits, mais le tout manquait par moment de rythme. A la 200e page, j’ai laissé le livre deux jours avant de m’y replonger lors de mes trajets quotidiens pour aller au travail. J’ai donc repris ma lecture et la suite est tout de même mieux passée.

On suit le déroulement de l’enquête, les divers interrogatoires que mène Strike et il apparait qu’il y a forcément quelque chose de pas clair dans ce que tout le monde pense être le suicide de Lula. Divers pistes sèment le trouble dans la volonté du lecteur d’anticiper. Au final, ils sont nombreux à mentir, à cacher des choses, et je n’ai pas eu l’ombre d’un soupçon quant au coupable. Donc de ce point de vue, oui, l’intrigue est bien ficelée. En revanche, lorsque le fin mot de l’histoire m’est apparu, je me suis dit que c’était… euh… vraiment stupide. Mais si ce n’était pas bancal, pas vraiment, puisqu’on a une explication… encore faut-il l’accepter, car moi en tant que lecteur, je n’y ai pas adhéré du tout.

Bilan bien mitigé pour ma part à cause du dénouement de l'histoire.
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Après le bancal Une place à prendre, J.K. Rowling revient à ce qu'elle sait faire: créer des personnages, raconter une histoire. Et écrire des pages formidables sur les désagréments de la célébrité (auxquels elle a tant goûté).
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